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Cette histoire complètement hallucinante. Qui est tirer d'une histoire vraie, mis en scène par Clint eastwood.
Avec en-tête d'affiche la belle Angelina jolie à qui la mode des année 30 va à ravir.
Los Angeles, 1928. Un matin, Christine dit au revoir à son fils Walter et part au travail. Quand elle rentre à la maison, celui-ci a disparu. Une recherche effrénée s'ensuit et, quelques mois plus tard, un garçon de neuf ans affirmant être Walter lui est restitué. Christine le ramène chez elle, mais au fond d'elle, elle sait qu'il n'est pas son fils...
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Ce film, vue déjà plusieurs fois, de retour sur Netflix, je n'ai pu m'empêcher de le visionner encore une fois.
Comme à chacun de ses films Clint, nous captive avec ses mises en scène, l'histoire est très dure, disparition d'enfants, corruption, manipulations.
À l'instant où elle appelle la police et qu'il lui sort que l'enquête ne pourra commencer que dans 24 h, les gosses reviennent souvent avant... ils reviennent toujours madame...
Dès le début on sent que le statue de femme à cette époque n'étais pas facile, quand le chef de son travail lui dit :
Quand on voulait mettre des femmes à votre poste (plus de responsabilités) les supérieurs n'étaient pas d'accord, mais vous prouvez que vous êtes aussi bonne que les hommes...
Bin oui tiens !
Et tout le long, on la prend pour une conne désolé de l'expression, mais c'est tout à fait ça.
Les policiers, médecins tous sont contre elle.
Je serre encore les dents quand le médecin qui est envoyé à son domicile pour la "rassurer" sur les changements de son fils, donc il a rapetisser, c'est à cause du choc traumatique, il est circoncis, ses ravisseurs ont du trouver sa plus hygiénique et l'enfant ne s'en souvient plus, car c'est un stress, vous voyez madame Collins, nous avons une explication médicale à toutes vos questions. (je rêve)
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On voit un espoir dans le Pasteur jouer par Malkovich, lui qui dis tous haut ce qu'il pense de la corruption, et de l'enquête sur la disparition du petit Walter.
Nous sommes ravie de voir l'institutrice poser des questions simple à l'enfant, comment je m'appelle ? Va t'asseoir à ta place...
Puis le dentiste qui est ravi de certifier que non l'enfant en question n'est pas Walter.
Mais Christine, là ça la fou mal pour la police alors on va te mettre dans un hôpital psychiatrique, avec des infirmières tyranniques et un médecin sadique et très hautain. Tant qu'à faire...
Puis la découverte du poulailler de Wineville, l'aveu d'un ados qui a été complice de plusieurs meurtres d'enfants dont le petit Walter.
La pauvre femme a cherché en vain toute sa vie son enfant.
Psychologiquement, elle a dû être très abîmée, oui, on a retrouvé ton fils et puis non, mais fait comme si, puis on a trouvé le tueur, mais ce n'est pas sûr et enfaîte, il dit que oui, il l'a tuer et puis non. Comment vous voulez vous remettre d'un truc comme ça, déjà un enfant qui disparaît, c'est quelque chose d'inimaginable, mais jouer avec les sentiments et les émotions d'une maman ainsi, c'est de la torture psychologique.
Le jeune ado qui déclare avoir participé aux meurtres, a aussi été abusé par le tueur, son oncle donc, les vacances chez tonton ne se sont pas dérouler comme prévue...
Ce qui est aberrant, c'est la facilité avec laquelle les autorités "jettent" Christine dans un asile. C'est le garçon qui sûrement prit de remords déclara finalement qu'il n'était pas Walter Collins.
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Si vous n'avez jamais vu ce bijou, il est temps ! Ce film est à voir au moins une fois.
