La vaccination et vous
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@marie-thérèse a dit dans La vaccination et vous :
Le figaro qui se réveille avec 2 ans de retard.
Grosse fatigue.Tu lis le Figaro toi ?
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@carl_jung : il est utile de savoir ce que racontent les autres pour, au cas où, préparer la contre-attaque
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Le Sénat valide le pass sanitaire alors que l'Assemblée avait dit non.
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@cynthia80 : ils ont trouvé un compromis pour que ça passe.
Bon, je lis : " soit d'un test négatif RT-PCR, antigénique ou un autotest réalisé sous la supervision d'un professionnel de santé de moins de 24h maximum ".
Le pass sanitaire rentre dans le modus vivendi, on est loin d'en avoir fini avec ce virus.
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@carl_jung c'est pas mon dada, mais je ne bloque pas. Je suis pour la liberté de la presse qui implique donc une forme de pluralisme. Je trouve très dangereux le petit jeu fascisant de la macronie qui interdit certains médias(rt par exemple, qui n'est pas mon dada non plus). Après je me forge mon propre avis. Et si cela va à l'encontre d'une source journalistique, ce n'est pas un problème
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@cynthia80 a dit dans La vaccination et vous :
Le Sénat valide le pass sanitaire alors que l'Assemblée avait dit non.
Hélas, on commence à en avoir l'habitude de ces retournements de vestes.
Oui, le Sénat ne parle pas d'un "pass sanitaire" mais d'un "certificat sanitaire". Le nouvel article propose donc 2 dispositifs : la possibilité pour le gouvernement d'imposer la présentation d'un test négatif à l'embarquement pour les voyageurs en provenance d'un pays étranger où circule un nouveau variant du Covid, mais aussi pour les voyages vers les collectivités ultramarines "en cas de risque de saturation" de leur système de santé (hôpitaux...)
Pour les voyages en Europe, les règles relatives à la présentation du certificat COVID numérique de l'UE (équivalent du pass sanitaire) sont prévues jusqu'au 30 juin 2023 !
HughL'important n'est pas la fin de l'aventure mais la manière de l'avoir vécue
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@cygoris : " et c'est parti pour le show, tout le monde est chaud , et c'est parti, bouge-toi sur ce flow" .
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" Branle-bas de combat au pays du vaccin !
Cette semaine, en Allemagne, le ministère de la Santé a reconnu l’existence d’effets secondaires graves suite à la vaccination anti-covid. Près d’une personne sur 5’000 serait touchée.
C’est énorme pour un vaccin diffusé à l’échelle mondiale (en France cela équivaudrait à près de 11’000 personnes concernées) !
Mais le ministère ne s’arrête pas là, il a lancé un appel aux victimes dans tout le pays, leur demandant de contacter leur médecin et de recenser les effets secondaires qu’elles ont pu ressentir suite à leur vaccination :
“ Suspicion d’effets secondaires dus à la vaccination contre le coronavirus ?
Contactez votre médecin et signalez vos symptômes à l’Institut Paul Ehrlich en utilisant le formulaire de déclaration COVID-19.”
Etrangement, cette annonce du gouvernement postée sur Twitter il y a quelques jours a disparu. Et pendant ce temps-là…
Plus étrange encore, le ministre de la Santé, Karl Lauterbach (encore lui !) recommande une 4e dose à toute la population allemande, même au moins de 60 ans !
D’un côté on reconnaît un nombre élevé d’incidents graves, de l'autre on continue de promouvoir à tout va le vaccin… Comprenne qui pourra !
Si la transparence sur les vaccins commence peu à peu à se faire, les politiques restent dogmatiques dans leurs discours, répétés inlassablement depuis 2 ans.
Thibaut Masco de Santé non Censurée
P.S. : Alors que le conseil scientifique français, formé spécialement pour gérer la pandémie, va être dissout tout prochainement, le Parlement s’apprête à voter de nouvelles lois
concernant le Covid… Assisterons-nous à la même dissonance étatique qu’en Allemagne ? " -
@ayamé il y a des médicaments avec effets secondaires graves mais nécessaires donc prescrits. Si on juge le vaccin nécessaire, on fait pareil, on recense les effets secondaires et on continue à l'utiliser. Si on s'arrêtait à chaque effet secondaire, on ne prendrait plus rien comme médicament.
J'en ai des effets secondaires de mes 3 médicaments obligatoires avec risque d'avc etc, et bien obligée de les prendre, pas d'alternative.
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@cynthia80 : excuse-moi de penser que ce vaccin n'est pas " nécessaire " pour tout le monde.
Quant aux médicaments, je ne prends même pas un doliprane les rares fois où j'ai de la fièvre : je sais qu'elle a son rôle à jouer dans le combat contre une infection. Chacun se soigne comme bon lui semble : voilà le droit que je réclame et qu'on foute la paix aux gens en bonne santé. -
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@deckardnexus-6 c est moins de 0.1% du personnel soignant, 1 personne par hopital en moyenne me semble-t-il avoir entendu.
Le problème des moyens de l'hopital est bien plus profond que ça -
@icescream : ok, mais " en même temps ", voilà des personnes qui se retrouvent sans revenus, même pas droit au chômage, après tant de loyaux services rendus quand il n'y avait ni vaccin, ni matériel de protection non plus : c'est pour moi un vrai scandale !
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@ayamé je pense la même chose, c'est une honte
pour être sur un groupe de soignants sur FB, je lis des choses très tristes
beaucoup de personnes ont changé de métier ne pouvant plus vivre sans revenus -
81 milliards de recettes pour Pfizer en 2021, allez 4e, 5e , 10e dose !
et les gosses aussi ! à quand les chiens ? les chats ? les canaris ?
Un ramassis d'ordures à la tête de l'occident !
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La Lettre de " Santé-Corps-Esprit ".
Sait-on vraiment ce qu’on fait, quand on interfère avec notre précieux système immunitaire ?
Dans un cours de vaccinologie donné à l’Hôpital d’instruction des armées du Val-de-Grâce, l’enseignant, Jean-François Saluzzo, virologue et expert auprès de l'OMS, pendant plus de 10 ans directeur de la production des vaccins viraux chez Sanofi-Pasteur, dit ceci : « historiquement, un vaccin qui ne marche pas dès le début, on n’arrive pas à le faire marcher par la suite. Le paludisme, cela fait x années. L’herpès, cela ne marche toujours pas. Idem pour la syphilis. Sa conclusion :
si l’on veut faire des progrès dans l’avenir dans le domaine de la vaccinologie, il faut étudier la réponse immunitaire.
Le vaccin causerait une sorte d’infection atténuée qui conduit notre organisme à garder en mémoire le microbe dangereux (via la fabrication d’anticorps), ce qui lui permettra de se défendre efficacement par la suite en cas de véritable infection.
S’il était si simple de créer un vaccin sûr et efficace, on aurait depuis longtemps créé un vaccin contre le virus respiratoire syncytial qui cause tant de bronchiolites infantiles parfois mortelles. Sanofi aurait réussi à mettre au point un vaccin contre la dengue sans causer la mort d’enfants philippins.
On n’aurait pas besoin de mettre dans les seringues, même à des doses supposées « sans danger », des substances aussi toxiques et controversées que le formaldéhyde ou l’aluminium.
Il y a notamment une difficulté fondamentale et insoluble : plus le vaccin se rapproche de l’infection naturelle, plus il est efficace, mais aussi potentiellement dangereux comme peut l’être l’infection.
Et plus le vaccin s’éloigne de l’infection naturelle (avec des microbes tués ou des petites parties isolées du microbe), moins il stimule le système immunitaire, et plus il requiert d’ajouter d’autres substances potentiellement risquées (des adjuvants, comme l’aluminium). Ce que la plupart des gens ignorent, c’est que le système immunitaire est probablement la partie de notre physiologie la plus mal comprise en médecine.
Le Pr Mark Davis, directeur de l’Institut d’immunologie de l’Université de Stanford :
« le système immunitaire est d’une complexité inouïe, comprenant au moins 15 types de cellules différentes en interaction qui crachent des dizaines de molécules différentes dans le sang pour communiquer entre elles et se battre. Et nous ne savons pas vraiment ce que font la majorité d’entre elles ou ce qu’elles devraient faire ».
Les risques à long terme des vaccins ont-ils réellement été évalués ? Et cela ne devrait-il pas rendre modeste sur l’efficacité des vaccins dans la durée ?
Car les conséquences de la vaccination sont infiniment plus complexes que ce que l’on imagine. Prenez les fameux anticorps : contrairement à une idée répandue, on peut en avoir beaucoup sans être protégé de la maladie. Cela a été reconnu par le Pr Delfraissy devant le Sénat : « Vous pouvez avoir des anticorps à un niveau élevé et faire un Covid.
Et vous pouvez, après vaccination, avoir peu d’anticorps et ne pas l'attraper. En pratique opérationnelle, il ne faut surtout pas laisser s’installer l’idée que les anticorps servent à quelque chose ».
Certains vaccins favorisent les infections : comme on l’a vu avec le Covid, il y a des anticorps « facilitants », qui non seulement ne protègent pas, mais risquent de faciliter l’infection.
Plusieurs études ont ainsi suggéré que les vaccins contre la grippe augmentent le risque d’être infecté par d’autres virus respiratoires comme les coronavirus.
Était-ce prudent, pendant la crise Covid, d’inciter fortement la population à se vacciner contre la grippe ?
Tout ceci pour vous dire qu’il y a beaucoup moins de certitudes qu’on le croit avec les vaccins.
C’est pourquoi je prépare un livre sur le sujet qui promet d’être assez « explosif ».
Xavier Bazin, journaliste d'investigation scientifique passionné de médecine naturelle ( un complotiste donc pour certains ), auteur avec le Dr Eric Ménat du livre :
" Big Pharma démasqué ! De la chloroquine aux vaccins, la face noire de notre système de santé " . -
Si cela intéresse, un rapport provisoire a était fait sur les effets secondaires. C'est très intéressant mais très long à lire, je dirais qu'a partir de la page 40, on se sent plus concernés
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@chouchou13 je vais être directe, beaucoup se sont fait vacciner pour continuer à travailler, dont mon mari et tous ceux qu'il voit au boulot n'ont pas eu de gros effets indésirables.
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@tigrette : les effets 2aires, nombreux ou pas, graves ou pas, doivent être TOUS identifiés et signalés ( trop sont encore cachés ). " La vérité scientifique, qui n'exclut pas les nuances et peut évoluer, doit être la référence qui guide les décisions politiques et permet d'apaiser les tensions trop nombreuses ".
A mon sens, la " vérité scientifique " a pour conclusion : la balance bénéfices-risques n'est favorable qu'aux personnes à risques ( réels comme les co-morbidités, pas ceux liés à l'âge car certains âgés sont en bien meilleure santé que d'autres plus jeunes ).
2e conclusion : qu'on laisse tranquilles ceux en bonne santé. S'ils attrapent le covid, la très grosse majorité n'ira pas à l'hosto, et c'est bien la surcharge des hôpitaux qui est l'inquiétude 1ère du gvt, sa motivation principale pour justifier la vaccination, et non notre santé ! -
@cynthia80 eh oui je le sais malheureusement
je connais beaucoup de personnes dans ce caschacun fait comme il peut, comme il veut
je comprend tout le mondej'ai de la chance je ne travaille plus depuis 11 ans
