La Constance du prédateur
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La constance du prédateur de Maxime Chattam
La profiler Ludivine Vancker enquête dans une mine abandonnée du nord-est de la France, où des cadavres vieux de plusieurs dizaines d'années ont été découverts.
Pourtant, l'ADN du meurtrier potentiel découvert sur place est identique à celui d'une affaire récente. La mise au jour d'un troisième charnier marqué du même ADN, datant cette fois des années 1920, complique encore ses investigations. -
@icescream j'aime bien Maxime Chattam donc j'étais plutot confiant en attaquant ce livre d'autant qu on retrouve un de ces personnages récurrent Ludivine Vancker , c'est un peu à Maxime Chatttam ce que Lucie Henebelle est à Franck Thilliez ( coucou @Marcel ! ).
Côté ambiance, pas de déception il sait toujours installer une ambiance déprimante mais j'avoue que par moment les détails sur les meurtres allaient trop dans le glauque. Je ne suis pas super sensible à ça mais la je trouvais que c'était un peu faire du glauque pour du glauque sans que ça apporte vraiment grand chose à l'histoire.
Il y a certains passages ou c'est quand même un peu prévisible dommage mais globalement il tient quand meme bien le lecteur en haleine.Reste que j'aurais aimé un peu plus de nouveauté par rapport à d'autres thriller qu il a pu écrire, je suis toujours à la recherche du plaisir que j'avais éprouvé avec Le signal que j avais trouvé vraiment différent de ces autres romans.
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@icescream a dit dans La constance du prédateur :
c'était un peu faire du glauque pour du glauque
J'aime bien le glauque de temps en temps, bouh suis une affreuse nana !
Voilà, tu m'as donné envie de le lire.
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@ayamé le glauque ne me dérange pas mais ilfaut qu il serve l histoire, c est la surenchère inutile que je trouve dommageable
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@icescream : la surenchère sert sans doute à bien maintenir le lecteur dans l'atmosphère.
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@ayamé c'est sûrement le but mais c'est vrai que ça m'est déjà arrivé pour certains livres de trouver qu'il y avait surenchère de glauque ou d'horreur sans que ça serve l'intrigue ou l'ambiance. Il y a sûrement un bon dosage à trouver. À force d'écrire des horreurs, peut-être que Maxime Chattam s'emballe un peu trop
Et ça dépend aussi un peu du lecteur j'imagine.