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    Meilleurs messages postés par Delnis

    • Dersou Ouzala (Dersu Uzala, 1975)

      DERSOU OUZALA
      Akira Kurosawa - 1975 - 2 h 21 - Russie - Japon
      text alternatif

      Distribution:
      Dersou ouzala: Maksim Mounzouk
      Capitaine Arseniev: Solomine

      Résumé:
      1902 - Frontière Sino-Russe, vallée du fleuve Oussouri, le capitaine Arseniev, géographe dirige une expédition scientifique de topographie, au coeur d'une nature rude, il rencontre Dersou, un trappeur, véritable expert de la survie dans la taïga, du coup il est très vite adopté par l'équipe, et grâce à lui, l'expédition ne tourne pas au tragique.

      mon avis:
      C'est d'abord un film méconnu de l'immense Kurosawa, et pour une fois ça n'est pas au Japon, rien que ces 2 raisons devraient suffire à attiser votre curiosité.

      Si vous aimez les aventures de Jack London, alors vous adorerez celles du trappeur Dersou, en effet la taïga en est le point commun et y survivre nécessite une grande connaissance de la nature, de la faune, de la flore et du climat, le capitaine Arséniev, officier scientifique fût vraiment chanceux de rencontrer un tel guide, aussi à l'aise dans la nature, que les jeunes soldats de l'expédition ne l'étaient pas du tout, comme il leur disait, "vous êtes des enfants, vous avez des yeux mais vous ne voyez rien".

      Le film repose essentiellement sur 2 choses, d'abord la leçon d'écologie de Dersou, dans une grande simplicité et sans la moindre bouffonade, il guidera la petite équipe à travers de multiples dangers, en leur insufflant son amour et son respect de la forêt, une véritable initiation écologique et de survie comme devait aussi en donner les indiens rencontrés par les migrants en Amérique.

      text alternatif

      Ensuite c'est l'amitié entre 2 hommes que tout semble séparer qui apporte la note émotionnelle du film, allant croissante elle est très bien jouée par 2 acteurs inconnus qui incarnent parfaitement ces rugueux explorateurs, une amitié toute en pudeur, une amitié d'hommes, la rencontre d'amoureux de la nature, et qui deviennent inséparables.

      text alternatif

      le fond:
      Encore une fois Kurosawa est avant-gardiste, nous sommes en 1975, il y a 1 demi-siècle ! il donne un vibrant plaidoyer pour le respect de la nature, un plaidoyer pour le respect des cultures indigènes longtemps jugées arriérées, alors qu'en fait on commence à en mesurer la profondeur, l'immensité de la sagesse, ceux que les colons européens appelaient les sauvages étaient finalement souvent bien plus civilisés que les apparences ne laissaient croire...

      je mets rarement 5 étoiles, mais là c'est sans hésiter 5/5 ⭐ ⭐ ⭐ ⭐ ⭐

      Cerise sur le gateau, film disponible sur YT

      posté dans Films
      Delnis
      Delnis
    • RE: Énigmes tirées de faits réels

      @shanna commisaire Gibert et émilien 🤣

      posté dans Animations Communauté
      Delnis
      Delnis
    • RE: Le Pr Didier Raoult

      les recettes de Big Pharma 👀

      posté dans France
      Delnis
      Delnis
    • RE: Pacific Rim (série de films)

      @Shanna petite réaction à tes commentaires
      je pense que les dialogues sont secondaires car c'est une film de guerre ultime, les guerriers ne lisent pas Zola ou Shakespeare mais plutôt les BD Marvel.

      Ce film c'est typiquement le film 100% audio-visuel, il doit être vu au cinéma ou sur écran géant et son puissant car vous avez oublié de mentionner la musique qui est particulièrement symbiotique avec l'action. C'est Ramin Djawadi (Game of thrones, Iron Man, Westworld,...)

      le mec mélange Métal et orchestre symphonique, Génial !!

      Bref un grand spectacle comme seul Hollywood sait les faire. On pose son cerveau, et on laisse ses sens nourrir son archéo cortex et ses tripes. Et là c'est de la bombe, j'ai adoré. Clairement ceux qui ne vibrent pas à l'action guerrière vont détester.

      posté dans Films
      Delnis
      Delnis
    • RE: Énigmes tirées de faits réels

      elle était croisée avec un barracuda, donc elle avait des écailles à la place des plumes 😆

      posté dans Animations Communauté
      Delnis
      Delnis
    • RE: Le Pr Didier Raoult

      A wonderful World... de corruption

      et hélas la "santé" est devenue plus rentable que la cocaïne !

      quand on écoute le Prof, on se dit que la mafia est aux commandes

      Allez y sortez vos couplets sur le complotisme, sans même écouter la vidéo

      posté dans France
      Delnis
      Delnis
    • The Man from Earth (Jerome Bixby's The Man from Earth)

      THE MAN ON EARTH

      The_Man_from_Earth.JPG
      sa fiche WIKI

      mfe 1.jpg

      Distribution:
      David Lee Smith : John Oldman
      John Billingsley : Harry
      Ellen Crawford : Edith
      William Katt : Arthur M. Jinkins
      Annika Peterson (de) : Sandy
      Richard Riehle : le docteur William Gruber
      Alexis Thorpe : Linda Murphy
      Tony Todd : Dan

      Résumé:
      Un homme va changer de vie, ses amis le rejoignent par surprise pour une cérémonie d'adieu qui va virer aux confessions ... surnaturelles.

      mon avis:
      Tiré d'un roman de SF a succès ce film est un OVNI , pas d'effet spéciaux, l'action se déroule en huis clos dans le séjour du héros, et c'est une expérience narrative passionnante qu'il est impossible d'évoquer sans spoiler.

      mfe 2.jpg

      Ne lisez rien, ne tapez rien dans dans google, n'allez pas dans la fiche wiki, précipitez vous sur le film présent en morceaux dans Dailymotion, vous ne serez pas déçu , Hou Non !

      N'aimez vous qu'on vous raconte une histoire fantastique ? 👁 👀

      PARTIE 1 VOSTFR

      PARTIE 2

      PARTIE 3

      PARTIE 4

      PARTIE 5 FINALE

      posté dans Films
      Delnis
      Delnis
    • RE: Énigmes tirées de faits réels

      @shanna à t il dégradé une œuvre d'art ?

      posté dans Animations Communauté
      Delnis
      Delnis
    • RE: Élection présidentielle de 2022

      Donc Election terminée
      L'outil FN inventé par tonton fonctionne encore

      posté dans France
      Delnis
      Delnis
    • RE: Mission impossible (Mission: Impossible, série de films)

      @JL celui là

      Avec Martin Landau 😂

      posté dans Films
      Delnis
      Delnis
    • RE: Énigmes tirées de faits réels

      @shanna lol y'a des vedettes quand même !

      posté dans Animations Communauté
      Delnis
      Delnis
    • RE: Le débat E. Macron M. Le Pen

      Macron :
      content de sa gestion de la COVID, content de ses réformes de l’hôpital, content de la situation de la santé en ville, etc...

      EM c'est: je suis le meilleur et toujours content.

      C'est bon, pour moi j'ai fait mon choix, bonne soirée et bon courage pour vous soigner

      posté dans France
      Delnis
      Delnis
    • Citizen Kane

      Citizen_Kane_(alternate_logo).png

      text alternatif

      Orson Welles - USA - 1941 - 2h00

      Distribution:
      Orson Welles: Charles Foster Kane
      Buddy Swan: Charlie Kane à 8 ans
      George Coulouris: Thatcher, son tuteur
      Joseph Cotten: Jedediah Leland
      Everett Sloane: Bernstein
      Dorothy Comingore: Susan Alexander Kane
      Agnes Moorehead: la mère de Kane
      Harry Shannon: le père de Kane
      Sonny Bupp: le fils de Kane
      Ruth Warrick: Emily Kane
      Ray Collins: James W. Gettys
      Erskine Sanford: Carter
      William Alland: Thompson

      Résumé:
      Charles Foster Kane, grand magnat de la presse américaine, meurt dans son manoir, il laisse tomber une boule en verre remplie de fausse neige et prononce ses derniers mots "Rosebud". Aussitôt la presse s'empare de ce mystère et débute une intrigante enquête pour découvrir le sens de ce mot. Le film nous raconte la vie de cet homme, à travers les témoignages de ses proches, et indice après indice, le puzzle se construit, le personnage se révèle, car en fait qui est donc CFK ?

      ORSON WELLES
      Orson Welles a 25 ans quand il tourne son 1er film, et il va frapper fort, démontrant l'étendue de son génie, car comme disait Corneille, "la valeur n'attend pas le nombre des années". Le film devait s'appeler "American", et il retrace la vie de William Randolph Hearst (1863-1951), un magnat de la presse devenu très riche, puissant et même élu sénateur. On Ne sait si Welles voulut lui rendre hommage ou le taquiner mais celui ci mena un féroce combat contre le film, comme quoi il n'y a que la vérité qui fâche. Le film fût innovant de plusieurs façons, techniquement avec d'impressionnants travellings et de nombreuses prises de vue en plongées et surtout contre plongées, qui agrandissent l'image, soulignant l'incroyable égocentrisme du personnage. Mais la narration est elle aussi révolutionnaire, d'abord ce début par la fin de l'histoire, la mort du héros, procédé classique aujourd'hui mais nouveau en 1941. Puis l'art de piquer notre curiosité avec ce mystérieux "Rosebud", laché pdt son dernier soupir, elle va être encore plus aiguisée par les avis divergents sur CFK, et les positions définitives de divers personnages le qualifiant de communiste, de fasciste, de fou, d'être merveilleux ou d'ignoble salopard.

      text alternatif
      Bon sang ! qui est donc Charlie Foster Kane ?
      Le récit va mélanger le présent, l'enquête du journaliste Thompson, projection du spectateur dans le film, et les flashbacks, les récit de ses proches. Ainsi scène après scène, avis après avis, on pénètre dans l'intimité et la complexité de CFK sans vraiment comprendre ce qu'il fait. Les avis divergent et sont tous nuancés, on est loin du manichéisme des films habituels avec leurs héros parfaits et leurs méchants, vraiment méchants. Et lui que dit il à son sujet ? Que son seul but est d'être avant toute chose "un américain", titre initial du film, il le répétera plusieurs fois. C'est probablement le fond du film, Welles a voulu rendre hommage à ce que son pays permet, après tout CFK est né au XIXe siècle, quand le pays explosait pour devenir ce qu'il est grâce à des hommes comme CFK. Un pays-continent, riche de tout, et vierge d'archaïsmes qui permet l'émergence des grands hommes. La peinture sociologique est d'ailleurs éclairante, un pays neuf, fait d'entrepreneurs combatifs, certes aux parents issus d'Europe, mais coupés de leurs racines et aux ambitions à l’échelle de l'Amérique. C'est particulièrement clair avec ce domaine de Xanadu, patchwork culturel, extravagante collection d’œuvres du monde entier comme pour combler la vacuité culturelle de cette nation adolescente. Ils ne sont presque plus des européens, mais pas encore vraiment suffisamment émancipés pour créer leur propre culture, ce sont des enfants, qui s'amusent et jouissent de leur puissance, ce sont des américains. Et c'est probablement en partie ce qui explique leur passion pour ce film classé meilleur film de tous les temps, car il parle d'eux, d'une success story d'un homme et indirectement d'une nation devenant la plus grande et la plus puissante, c'est l'Amérique messianique, créée pour diriger le monde.

      text alternatif

      "All you need is Love"
      Charlie va être frappé d'une double malédiction, d'abord un héritage colossal, fruit de la mine d'or maternelle, le condamnant à une oisiveté automatique et puis sa rupture familiale avec sa mise sous tutelle d'un banquier pour le former à cet avenir de nabab. Brutale, sans préliminaire, il sera arraché de son innocence en qqs secondes, cruciales pour le reste de sa vie, il a 8 ans et alors qu'il joue dans la neige, il apprend qu'il va quitter ses parents pour être éduqué par un banquier (Thatcher). Devenu adulte, la tutelle s'achèvera et il va enfin pouvoir décider de sa vie. Comme il scandera à son tuteur qui lui demandait*"Qu'aurais tu aimé faire si tu n'avais pas été riche ?"*, la réponse fuse, cinglante: "Tout ce que vous détestez". Car il est bien là le problème, depuis l'âge de 8 ans il subit sa vie et à présent il va vouloir tout décider pour lui, mais aussi pour les autres. C'est un insoumis, chassé de toutes les grandes écoles, il va s'épanouir dans le journalisme qui est pour lui une occupation, un jeu, mais surtout un outil de pouvoir.

      text alternatif

      "L'être et l'avoir"
      Directeur du journal, il s'entoure d'une petite équipe, substitut familial, il y exercera son autorité, et y puisera une affection, ses collaborateurs l'admirent et l'aiment. Bref il trouve un équilibre dans cette profession. Infiniment riche, il prendra paradoxalement le parti des petits, des ouvriers, des gueux, dénonçant les magouilles des financiers ou des politiciens, bref il semble détester les riches, et représente en quelque sorte un preux chevalier, un robin des bois, bref un héros populaire. Mais recherche t il l'amour des petites gens ? ou plus pragmatiquement leurs voix ? Ses ambitions politiques et son mariage malicieux répondent à cette double question, c'est un politicien.

      Finalement il veut sûrement prouver qu'il peut réussir et devenir grand par lui même et non par ses rentes, son obsession étant de tout diriger et surtout, tout acheter, des journaux, des radios, des statues, ... tel un monarque entouré de courtisans, tel le Roi Soleil il se regarde dans ses miroirs, il se croit aimé et respecté, il cru pouvoir acheter l'amour, y compris celui de sa 2e femme, simple marionnette de son orgueil. Ainsi il finira bien seul pour avoir confondu l'être et l'avoir, pour avoir réussi dans la vie, mais raté sa vie, ...

      Chef d'oeuvre 10/10
      text alternatif

      posté dans Films
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    • RE: Énigmes tirées de faits réels

      @shanna c'est celui de Salma Hayek ?

      posté dans Animations Communauté
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    • RE: Commerces : ouverture le 28 novembre

      @Roma31 Ho que non, je vais juste laisser refroidir le chaudron dans lequel cette épidémie nous a tous enfermé, mais compte sur moi pour vous saouler avec les films muets et le karaoké 😊 😘 😂

      @apis-32 bien sur que j'écoute et j'aime trop ce forum et ses membres, même celles qui sont partis, pour plomber l'ambiance. On finit 2020 tous un peu à cran, c'est ça le fond je pense, une année historiquement merdique qui nous envoie tous vers la crise de nerf

      Après je suis un méridional et excessif, pléonasme car c'est la norme 😃 😉

      posté dans France
      Delnis
      Delnis
    • Seul sur Mars (The Martian)

      tHE mARTIAN.jpg

      text alternatif

      Ridley Scott - 02.10.2015 - USA
      Distribution:
      Matt Damon : Mark Watney
      Jessica Chastain : Melissa Lewis
      Kristen Wiig : Annie Montrose
      Jeff Daniels : Teddy Sanders
      Sebastian Stan : Dr. Chris Beck
      Naomi Scott : Ryoko
      Kate Mara : Beth Johanssen
      Sean Bean : Mitch Henderson
      Michael Peña : major Rick Martinez
      Mackenzie Davis : Mindy Park
      Aksel Hennie : Alex Vogel
      Chiwetel Ejiofor : Venkat Kapoor
      Donald Glover : Rich Purnell
      Mark O'Neal : Guidance

      Résumé:
      Durant une mission sur la planète Mars, l'astronaute Mark Watney est présumé mort dans une tempête de sable. Son équipage étant reparti précipitamment sur Terre, Mark est seul et doit se débrouiller pour survivre. Il n'a des vivres que pour 31 jours.

      text alternatif

      mon avis:
      Bon là je me suis Ré ga lé Very Happy

      Merci Ridley d'avoir su retrouver la flamme mystique de l'aventure spatiale, en fait il a quasi abandonné la pure SF, presque délirante dans Prometheus, pour faire de la pseudo science, c'est à dire que son film est conçu comme un direct d'une vraie mission et se veut réaliste. Bon évidemment il y aura toujours des trucs gros, mais dans l'ensemble on voit qu'il a fait un gros travail préparatoire avec des conseillers scientifiques, précisément de la NASA, les fans d'Alien et Blade Runner ne doivent pas manquer dans cette noble institution, et la nouvelle qu'il a adaptée est connue aussi pour sa rigueur quasi scientifique, du coup c'est vrai qu'on est pris car c'est presque toujours crédible, en tout cas on veut y croire 😉

      D'abord le choc est visuel, vraiment ça pète, en 2D, les couleurs sont vives et la netteté du BluRay époustouflante, forcément ça rend la chose encore plus réaliste, le décor est sommaire et finalement il n'en faut pas plus car Mars est bien loin et c'est pas demain la veille qu'il y aura de lourdes installations. Bref la réalisation est très bonne.

      Ensuite on est ravi de voir la délicieuse rouquine, Jessica, bien que je ne la trouve guère convaincante en commandant de bord, peut-être un problème de doublage, je me le referai en VO tantôt, mais c'est une actrice qui incarne tellement la beauté, la douceur, quasi maternelle, comme dans "Tree of Life" où elle est magistrale, que peut-être ça ne colle pas avec le role dur d'une périlleuse mission. Le reste du petit équipage est globalement correct, et sur terre Jeff Daniel fait un directeur des opérations parfait. Mais évidemment la palme revient à Matt, qui fait là une superbe prestation, bien aidé par le fait d'être justement seul et d'avoir le film sur ses épaules, il a été habité par ce rôle et s'est visiblement régalé.

      La musique est bien choisie, et forcément le disco du commandant est tout à fait ce que j'aime, et il aura son rôle anti-déprime sur ce pauvre naufragé, c'est tout sauf anodin finalement, le moral c'est fondamental dans de telles aventures. Surtout, petite larme quand retentit "Starman" de Bowie, ce vieil et indémodable morceau qui colle au film à merveille, une association qui va nous suivre désormais tant elle est inspirée.

      Au final sans être un chef d'oeuvre, ce "Martian" est la bonne surprise de ce cher Scott

      le film a été très bien accueilli de partout, voir ce tableau et malgré de nombreuses nominations il n'eut aucun Oscar (la faute à di Caprio ?)

      pour le plaisir, voilà les chansons du film Very Happy

      Track Listing:

      1 Turn the Beat Around – Vicki Sue Robinson
      2 Hot Stuff – Donna Summer
      3 Rock the Boat – The Hues Corporation
      4 Don’t Leave Me This Way (Single Version) – Thelma Houston
      5 Starman (2012 Remastered Version) – David Bowie
      6 Waterloo – ABBA
      7 Love Train – The O’Jays
      8 I Will Survive – Gloria Gaynor
      9 The Martian Score Suite – Harry Gregson-Williams

      posté dans Films
      Delnis
      Delnis
    • RE: Énigmes tirées de faits réels

      @shanna Allez pour le plaisir

      les clients s'enfuient pas 🤣

      posté dans Animations Communauté
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    • RE: Le passe sanitaire - passe vaccinal

      @marie-thérèse Bon je comprends l'inquiétude, mais bon déconfinement + été, on savait que ça allait repartir un peu, variant ou pas, mais bon pour le moment les hôpitaux respirent et pourvu que ça dure. Au moins cette psychose médiatique aura boosté les retardataires à se vacciner, c'est déjà ça.

      posté dans France
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    • Les Cheveux d'or (The Lodger: A Story of the London Fog)

      text alternatif

      Réalisateur: Alfred Hitchcock
      VF: les cheveux d'or

      WIKI US

      Ivor Novello: Jonathan Drew (The Lodger)
      June Tripp (créditée "June") : Daisy Bunting
      Malcolm Keen: Joe Chandler, le fiancé de Daisy

      mon avis:
      Je dis tj que 1927 c'est l'année reine du cinéma (muet) et ça se confirme encore avec cet envoutant thriller où Hitchcock déploie ses ailes. Tout est réussi dans ce film et on découvre déjà tout ce qui va suivre dans ses films, sa marque de fabrique, les plans incroyables, les mimiques, encore plus importantes en muet, la musique angoissante, déjà sa fascination pour les blondes, c'est quand même le sujet du film, ses doubles pistes, fausses pistes, etc...

      Et puis Ivor Novello est tout simplement fascinant, beau, mystérieux

      On est loin des films précédents un peu brouillons et il est même meilleur que "Blackmail", son premier film parlant tourné 2 ans plus tard tj en Angleterre et qui lui aussi, connaitra un grand succès.

      Rem: Il émigrera aux USA ( Contrat Selznic) en mars 39

      A voir absolument. ♥

      Un bel extrait si Hitchcockien

      le film entier restauré (2012 - 90 min), c'est pas formidable ça ?

      Le film est tiré d'un roman qui narre la traque d'un serial killar, The Avenger, dont on ne saura rien et on ne le verra jamais, qui tue de belles blondes tous les mardis.
      Comme on est habitué à Hitchcock on se laisse embarquer dans la suspicion de culpabilité du locataire bizarre, en se doutant bien que ça n'est pas lui le meurtrier, même si tout penche vraiment à le croire. La gestuelle et le regard de Novello sont juste impressionnants de beauté et de mystère, quel talent ! un film qui pose les bases de tous ses futurs chefs d’œuvre, par exemple quand Daisy est dans la baignoire, comment ne pas penser immédiatement à Psychose qu'il tournera en 1960

      posté dans Films
      Delnis
      Delnis
    • RE: Énigmes tirées de faits réels

      C'est la maison de chuck Norris, son homme est en danger 🤣

      posté dans Animations Communauté
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