Mémoires d'une vie : l'âge adulte et carrière part:3
travaux divers dont la salle de bain et la cuisine , l’appartement était en duplex , avec un petit escalier qui menait à notre chambre à gauche et une pièce au grenier que je fis rénové pour accueillir un 2ème enfant , un peu avant le décès de père, Maman m’annonçât que mon futur était assuré , et que Papa avait tout prévu notarialement , au niveau pécunier et puis au décès de mon infortuné père , effectivement Papa laissait l’usufruit à ma mère , l’appartement de mes parents achetés par Papa à son nom, j’en étais l’héritier unique , donc un appartement valeur actuelle 600000 euros situé tout près de la Cee , avec une cave et un grand bureau situé , entre le rez de chée et le 1er étage , vous y ajouter 600000 euros de cash bancaire et divers bon d’état,
Très pris par mes occupations professionnelles, je veillais à prendre 25000 euros valeur de l’époque (1992) qui finançait les fournitures manquantes pour l’appartement et la chambre à droite de la nôtre pour un 2ème enfant, pas d’euro à cette époque-là et quelle qualité améliorée de vie en plus !
Ma mère me proposât la gestion des comptes, et moi en confiance totale avec ma mère qui était une icone, acceptât, lui signant procuration, mal m’en pris ! Car lorsque lors du second mariage , je contactais ma mère , pour prendre , une autre part de l’héritage pour m’installer et apporter ma part dans ce mariage , quelle ne fut pas ma stupéfaction d’apprendre par elle , qu’il n’y avait plus rien ,j’exigeai de voir tous les comptes et extraits , elle avait tout dilapidé et même vendu l’appartement et apuré les dettes de son gigolo qui possédait 2 magasins de fleurs au sablon , il s’appelait Beguin authentique !
Après tout cela , je remplis mon devoir de fils , et plaçait ma mère dans un home , en effet ce Beguin avait bien sur quitté le navire , n’ayant plus un clou à bord, après cela , mes visites furent rares chez ma mère, trahi ,renié et déshérité par sa faute , néanmoins, je lui présentais beaucoup plus tard ma Josianne chérie , quel dommage de ne pas avoir rencontré Josianne à cette époque-là , nous nous serions mariés , aurions-eu de magnifiques enfants et avec une ardennaise comme mon amour , cela ne se serait jamais passé ainsi , et oui destinée !
Michelle voulait 3 enfants minimum, nous nous mîmes donc à la tâche , Michèle fit une fausse couche puis 3 ans après accouchât de Nathan Douglas Morisson (en mémoire de Jim Morisson) petit blondinet aux cheveux blonds comme le soleil , Michèle pour gagner un meilleur salaire fit les nuits mais s’usât pour sa santé , elle dormait le jour , et le week-end soit je passais mes journées au parc ou maman venait s’en occuper lorsque j’étais pris par mon travail très prenant , notre vie de couple en pâtissait , le caractère de Michèle changeât , fatiguée de plus en plus , elle ne supportait plus le bruit et désordre inévitable faits par les enfants , malgré que notre chambre était à l’étage , notre appartement était un très grand duplex avec une grande terrasse ou nous pouvions en été souper à 10 facilement et c’était bien utile car quand la tribu Prunier débarquait avec compagnons et enfants tout était bien nécessaire, une terrasse sans sans vis-à *vis , avec ascenseur , nous étions au 3eme étage et mes parents au premier . Maman devint de plus en plus envahissante et une violente altercation eu lieu entre Michelle et Mère,
Michelle lui interdit l’entrée de l’appartement et un conflit larvé s’installât entre mes Parents et elle , j’étais déchiré entre les 2 petit à petit notre amour s’étiolât et Michèle fit la connaissance d’Antonio ouvrier espagnol et de 14 ans son aîné , elle me le présentât comme un ami bienfaisant , en réalité , il était son amant ,naïf malgré les mises en garde de coco ma grand-mère qui les croisait la journée pendant que je travaillais main dans la main, de cette amitié adultère naquit Amaury prénom choisi pour des résonnances aristocratiques , Michèle me présentât Amaury comme étant mon 3 ème enfant , déjà à l’époque Coco qui s’était rapprochée de nous en vendant Wépion (sujet de discussion houleux entre père et ses 2 sœurs dont la rivalité et jalousie féroce entre elles , l’une Chabichou avait épousée un riche homme d’affaire Georges Bertrand pdg de Publi-air société spécialisée dans la publicité aérienne avec une flottille se trouvant à Temploux et ou le bar est toujours propriété de ma tante qui finit sa vie (88 ans ) avec un homme de 40 ans son cadet à Doha entre autres, Chabichou était et est une ravissante femme évidemment vieillissante ,
Moune aussi, elle avait épousée un électromécanicien qui devint celui de Publi-air et donc Moune se sentait rabaissée et lors de l’héritage de Wépion, Chabichou qui avait il est vrai complété la maigre pension d’indépendant de Coco avec une substantielle aide mensuelle, voulut se rembourser sur Wépion et Père sortit la phrase elle crèvera avec son fric dans sa tombe à Chabichou.
Revenant à Sotramon , j’y restais 10 ans , jusqu’à sa faillite, Lhoost ayant pris le bouillon avec des affaires avec le Dictateur Mobutu , qui ne payait pas ses factures ou avec parfois 8 mois de retard alors que Sotramon devait payer ses fournisseurs, pour terminer l’épisode douloureux Sotramon ,celle-ci avait aussi un département industrie et envoyait des ouvriers en maintenance aux Acec Charleroi , forgeries de Clabecq , Caterpillar Gosselines , Boel la Louvière.
Après 12 ANS à Zaventem et 10 ans à Sotramon , Creyfs intérim avec qui j’entretenais avec la directrice commerciale lieve Van imschoot( femme souriante et de caractère à la flamande) des relations presque plus que commerciales me convoquât à Anvers ou une proposition magnifique m’était faite , area manager pour les agences creyfs de Bruxelles mais la condition sine qu’anone , savoir conduire , je m’inscrit à l’auto-école , en effet avec du temps libre et ayant reçu 1an et demi payé par le fonds de fermeture des entreprise , la loi renaut venait juste de passer , je m’y consacrais , je réussis le théorique les yeux fermés ,mais au pratique , le contrôleur moniteur me dissuadât de continuer et du coup les portes de creyfs interim furent fermées. A l’époque l’internet était à ses balbutiements , j’allais tous les matins au forem voir les offres d’emplois , je trouvais assez rapîdement du travail dans le sanitaire grâce à mes antécédents professionnels et mes connaissances de 4 langues ( nl ,f, english , duits) pour rappel , régendat en langues ; j’y restai 8 ANS , m’ennuyant à mourir dans une ambiance déplorable ou le personnel était traité comme des mouchoirs à jeter avec des crises d’agressivité ou le jeune patron eut un jour une crise d’agressivité avec un délégué commercial parce qu’il ne faisait pas assez de chiffre , il s’appelait Dimitri , nous le revîmes plus tard avec ma seconde épouse et encore plus tard avec la femme de ma vie JOSIANNE, mais chaque fois la relation ne durât pas , Dimitri trop penché sur l’argent.Encore en fonction dans le sanitaire , je cherchais un nouvel emploi sur le conseil de ma deuxième épouse , et trouvai un nouveau job nettement plus en phase avec mes études supérieures , un poste de directeur administratif mais dans le domaine de l’alarme que je découvrais , chance pour moi beaucoup de clients étaient issus soit de la haute bourgeoisie ou noblesse ou aristocratie belge et surtout flamande ; A cette époque aussi ma vie privée prit un nouveau tournant avec la rencontre fortuite due aux scouts ou ma fille ainée et son frère fréquentaient les activités le dimanche , c’était une espagnole basque peu souriante très sévère , le visage marqué et on pu le comprendre quand elle m’appris qu’elle avait été abandonnée par son père à l »âge de 9 ans avec sa petite sœur et son petit frère et sa Mère .Entretemps mon couple qui battait de l’aile suite au mensonge de Michelle sur Amaury les yeux noirs et cheveux noirs et portant l’adn infaillible de son amant espagnol et qui portait mon nom , me fit prendre la décision de divorcer , ce fût très dur pour moi , mais l’atmosphère devenait irrespirable , je ne faisais plus chambre commune avec mon épouse qui me dégoutait au plus haut point .Et de plus c’était mon appartement , père prévoyant avait été au notaire pour l’établir à mon nom et avait veillé à ce que notre contrat de mariage soit en séparation de bien ,