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J'ai vraiment bien aimé ce film, n'en déplaise aux très nombreuses critiques. Il faut préciser plusieurs choses pour expliquer ça :

• Je ne me suis pas hypé pour ce film pendant des mois, j'ai essayé de m'en foutre le plus possible, en sachant que je le verrais mais sans faire des tas de théories, sans lire tous les articles avec les leaks, … bref j'y suis allé presque sans attentes, tant positives que négatives. Ma seule peur concernait le multivers, j'y reviendrai.

• Je n'ai pas vu les trois premiers Spiderman à l'époque de leur sortie. Contrairement aux personnes de ma génération, je n'ai pas grandi avec l'araignée de Sam Raimi. Je n'ai pas un rapport nostalgique à ces films, et je ne les mets pas sur un piédestal. Je les ai vu des années après, avec un œil d'adulte, et ils avaient déjà un peu vieilli. Donc Tom Holland n'a jamais été comparé à cet idéal indétrônable qu'est le Spiderman de Tobey, parce que pour moi ce n'est pas un idéal indétrônable.

Donc je lui ai laissé sa chance, et je n'ai pas été déçu. C'est pour l'instant mon film préféré de la phase 4, ce qui n'est à vrai dire pas difficile, je trouve qu'en terme de films, la phase 4 est pour le moment là plus décevante. (Les séries c'est autre chose)

Je trouve que les émotions étaient là, assez bien gérées et pas trop rushées pour un film qui devait contenir autant de choses, les personnages étaient attachants et les motivations de chacun assez claires. Le combat final était décevant, c'est vraiment dommage parce qu'il y a un combat en milieu de film bien plus intéressant à tous points de vue, voir mon cinquième commentaire dans le post précédent, mais globalement je n'ai pas boudé mon plaisir.

Un tome 2 est en cours de préparation. Je suis loin d'avoir terminé le premier, c'est plutôt difficile.

@LeaPierce a dit dans La lumière du salon :

C'est mieux pour ne pas abîmer ses yeux de ne pas être dans le noir complet... Mais ça n'empêche pas certains de le faire quand même

Il est temps de débunker ce mythe urbain : regarder la télé ou lire dans le noir ne cause aucun dommage aux yeux. Les yeux peuvent fatiguer plus vite mais rien d'irréversible.

Source

Cela dit je vis avec une personne qui ne me laisse pas tranquille là dessus donc parfois j'allume la lumière, mais pas une lumière qui puisse se refléter dans l'écran.

J'ai des sentiments mitigés vis à vis de ce film. Globalement j'ai passé un bon moment, je me suis bien amusé et j'ai été ému par cette histoire. Mais j'ai du mal à comprendre où est-ce que le film voulait aller, j'ai presque eu l'impression parfois de regarder un "film à sketch" où les différentes péripéties n'ont pas vraiment de lien entre elles (comme Licorice Pizza que j'ai vu récemment). Ici ce n'était pas si fort mais oui, parfois je ne ressentais pas tellement l'impact d'une scène sur le reste de l'histoire. Et je trouve que la relation Antoinette / Patrick n'est pas aussi fouillée qu'elle aurait pu l'être, à la fin on perçoit bien l'amour entre eux, mais j'ai des difficultés à le comprendre, on ne les a pas vu partager tellement de choses au final.

@Artelise Pas du tout, contrairement au système de cartes à collectionner où il faut acheter des pochettes constituées de cartes choisies allaitement en espérant trouver les bonnes pour faire un deck, ici le jeu est vendu en boîte de deux decks avec tout ce qu'il faut pour jouer. Et dans l'absolu, pas besoin de racheter une nouvelle boîte, à moins de vouloir jouer à plus que deux.

La saison deux est plus une extension d'un jeu populaire qui peut être jouée sans la saison 1, pas besoin de repasser à la caisse régulièrement. C'est juste qu'en fonction des goûts on voudra tester la boîte Reine Vampire/ Séraphine plutôt que de jouer toujours Moine / Paladin par exemple. Ça permet de tenter de nouvelles stratégies, de nouvelles mécaniques.

Deux boîtes me semblent déjà largement suffisantes pour s'amuser et varier les plaisirs, 4 personnages, 6 duels possibles, c'est déjà très bien. Seuls les plus gros fans voudront avoir tous les personnages disponibles.

À noter qu'en anglais il y a eu une troisième "saison" pas traduite chez nous avec des personnages Marvel.

Peut-être arrivera-t-elle chez nous s'ils réussissent à s'en sortir avec les droits.

Ça me fait penser qu'on peut aussi considérer que le classique "Sa Majesté des mouches" est aussi une sorte de huis clos, qui s'étend à toute une île. C'est parce que le groupe d'enfants se retrouve naufragés sur une île déserte et isolée de tout que les choses commencent à mal tourner.

Le film était OK à l'époque. Très joli, certes, mais niveau histoire, enjeux, acting, … c'était OK. Mais ça fait si longtemps que c'est annoncé que ça m'étonne que les gens se souviennent encore de ce film.

Mystery House est un jeu coopératif d'énigmes et d'enquête boxant dans la même catégorie que la série Unlock par exemple.

Comme pour son illustre collègue, une application mobile est nécessaire pour répondre aux différentes énigmes proposées par le jeu.

La principale différence, et ce qui fait la force du jeu, c'est qu'il s'agit d'une sorte de labyrinthe dans lequel les joueurs vont devoir jeter un coup d'oeil pour résoudre les mystères. Je m'explique.

Le jeu est sous forme de boîte, représentant la fameuse maison. Tout autour sont percées des fenêtres qui permettent de regarder dans la maison. Dans le "toit" il y a des fentes qui quadrillent toute la surface. Au début de chaque scénario, on glisse de nombreuses cartes dans ces fentes. Chaque carte représente un mur. Certaines ont des dessins représentant des objets, des meubles, des personnages, … certaines sont trouées et représentent des fenêtres, des portes, des arches, …

En regardant par les fenêtres, on peut apercevoir certaines de ces cartes, et d'autres seront cachées de l'autre côté de ces cartes. On peut "interagir" avec tout ce qu'on voit sur les cartes visibles. Un objet étrange ? Une porte en bois ? Un personnage mystérieux ? On utilise l'app qui nous informe plus en détail sur ce qu'on voit, et nous permet de faire des actions, de prendre des objets, de poser des questions, de rentrer un code, … si on récupère un objet, on genre la carte le représentant, qui servira plus tard.

Au fur et à mesure qu'on résout les énigmes, les murs vont disparaître, on retire des cartes, et on peut voir plus profondément dans la maison, et s'approcher de plus en plus de la résolution du mystère caché en son centre.

Bien sûr, il y a un temps imparti, et il s'agit de ne pas faire d'erreurs. Si on ne reconnaît pas un objet, si on prétend avoir vu un livre mais qu'il s'agit d'un coffret, on perd du temps.

Dans la boîte de base il y a deux scénarios mais il y a déjà eu des extensions. Chaque histoire se déroule dans un univers qui lui est propre, fantastique, horreur, western, science-fiction, …

C'est une expérience assez particulière, qui ne plaira pas à tout le monde. Mais le gimmick fonctionne bien, les énigmes ne sont pas simples et devraient faire chauffer vos cerveaux. Je vous conseille de tester la chose si vous en avez l'occasion un jour.

Hier j'ai enfin fini The Sky is Everywhere, le premier roman que je termine en langue étrangère, je pense. Et ça fait du bien d'en avoir fini avec lui. Parce que le manque page que j'utilisais était un tract anti-TTIP ce qui veut dire que j'ai commencé ce roman au plus tard en 2016 donc il y a 7 ans

Maintenant je vais enfin pouvoir replonger dans un truc nouveau.

C'est marrant j'avais vu il y a des années une vidéo YouTube d'un critique anglophone qui donnait la même solution que Peri, avec un montage à la va-vite de ce que ça donnerait en pratique. Et démontrait que tant que Chris Pratt est le héros, le film était très prévisible, il allait obtenir le pardon et avoir son happy ending. Alors que si tout le film était du point de vue de Jennifer Lawrence, avec son réveil aux côtés d'un mec étrange mais plutôt sympa, deux directions seraient possibles: soit une histoire d'amour comme celle qu'on a eu, sur une histoire horrifique où Chris Pratt est carrément et sans équivoque le vilain. Et rien que le fait que c'est deux possibilités existent fait que tout le film aurait été ambigu et peu prévisible, donnant bien plus d'intérêt à l'histoire.

@icescream ils ont en effet tous les deux des similarités mais il y a un truc avec The Mind que j'aime particulièrement, c'est ce moment de flottement quand personne ne sait qui devrait être le prochain à jouer, et qu'on s'épie les uns les autres en se demandant qui craquera d'abord.

@Antigua J'ai déjà eu quelques belles bosses en laissant tomber une grosse brique de quelques centaines de pages sur ma tête

@brujah

@Orabig a dit dans Love Letter :

Je me demande si je vais pas acheter ça en prévision des vacances...

Vu le prix exorbitant et la taille immense que ça prend dans une valise, tu aurais tort de t'en priver

@orabig Sa jupette flottante était pourtant un bon indice

Cela dit il joue remarquablement bien malgré la moitié supérieure de son visage masquée. C'est comme Hugo Weaving dans V pour Vendetta, un bon acteur réussira à faire passer des émotions malgré le masque.

The Hunger est un jeu de société créé par Richard Garfield et publié par Origames et Renegade Game Studios.

Le vampitch :

Vous êtes un vampire, un seigneur immortel, vivant dans votre somptueux château avec vos copains et copines vampire. Vous vous cachez du soleil la journée, mais quand vient la nuit vous sortez pour un sanglant buffer à volonté. Cette nuit vous vous sentez joueurs, et décidez de lancer une petite course entre vous. Lequel parviendra à se nourrir du plus d'humains avant le lever du soleil ? La course est lancée, les babines sont léchées, mais gare aux trainards qui ne seront pas rentrés à temps, le soleil les réduira en cendres sur le perron du château.

Comment ça se joue ?

The Hunger est un jeu pour 2 à 6 joueurs basé sur le principe du deck-building. Chaque joueur a les mêmes cartes de départ, et dois jouer sa main pour se déplacer, se nourrir d'humains, enrôler des compagnons animaux et remplir des missions secrètes. Au fur et à mesure de la partie, les joueurs récupèrent de nouvelles cartes qui viennent grossir leur paquet () et soit leur permettre de nouvelles choses, soit alourdir inutilement leur main.

A son tour chaque joueur peut, grâce à ses cartes :

• se déplacer sur le plateau pour s'éloigner du château ou s'en rapprocher, et gagner des récompenses en fonction des là où il s'arrête.
• prendre dans le "marché" une victime humaine innocente en payant son coût. A noter que le marché fonctionne selon un système assez classique de colonnes : les cartes commencent dans la première colonne, assez chère, et tout ce qui n'a pas été "consommé" à la fin d'un tour passe dans la colonne suivante, moins chère, etc.

Attentions les tours ne suivent pas un ordre défini, c'est le joueur le plus éloigné du château qui joue d'abord.

Ce que j'en pense

Le côté déplacement grâce au deck-building et amasser un maximum de points avant de rentrer à l'abri fait évidemment penser au jeu Clank! dont j'ai déjà parlé ici. Si le principe est similaire, je trouve The Hunger un peu plus lourd, moins évident à prendre en main. Il est également moins porté aux coups de couteaux dans le dos, et la stratégie du "je rentre, je prends le premier truc de valeur puis je remonte" n'est ici pas possible, puisque c'est l'aube qui déclenche la fin de la partie, au 15ème tour, et non les joueurs eux-mêmes comme à Clank!

C'est un jeu qu'il faut sans doute jouer plus d'une fois pour vraiment profiter à fond des stratégies possible et du sel du jeu, mais un jeu très amusant avec un thème sympa et de magnifiques illustrations.

Et vous qu'en pensez-vous ? Y avez-vous déjà joué ? Ça vous tente ?

@jool Je me suis justement dit que pour passer en jeu offert aussi rapidement, et surtout, pour ne pas avoir fait parler de lui pendant cette année, il ne devait pas être ouf. Je testerai mais je ne m'attends pas à grand chose.

Ce que Baby Driver a d'excellent, et de plus que les films avec lesquels il a été comparé, c'est Edgar Wright. C'est le montage nerveux, pop et intelligent, c'est tous ces détails qu'on ne remarque pas au premier abord mais qui sautent aux yeux lors d'un autre voisinage, c'est toutes ces références de geek passionné de cinéma et de culture alternative, c'est cet humour particulièrement bien dosé, souvent en second plan, sans appuyer trop dessus.

Je sais que je ne vais pas me faire des copains en disant ça mais pour moi c'est, avec Scott Pilgrim, le meilleur Edgar Wright.

De passage à Essen, j'ai pu récupérer la mini extension Le peuple du dessous et la tester immédiatement revenu à l'airbnb.

Le jeu de base avait des cartes de 1 à 68, l'extension rajoute une carte 0 et les cartes 69 à 76. Elle rajoute aussi plusieurs sanctuaires.

Mais plus en détail, qu'est-ce que ces quelques cartes apportent ?

Déjà des cartes "incolores", avant ce n'était possible que pour les sanctuaires, et du coup de nouvelles cartes pour marquer des points en fonctions des cartes incolores.

Il y a aussi une nouvelle façon de faire des points avec certaines cartes, en réunissant des ensemble des 3 éléments du jeu, animal, plante, pierre.

Enfin des cartes aux conditions encore plus dures sont rajoutées, avec par exemple une carte qui demande 6 pierres pour gagner un nombre incroyable de points.