@Cynthia80
-bonjour monsieur le buraliste, j'ai une douleur aux poumons.
-bonjour, je vous conseille des Camel ou des gauloises caporal.
-merci.
Meilleurs messages postés par Marie-Thérèse
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RE: Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait
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RE: Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait
@Cygoris les deux personnes entourant cet enfant dans cette séquence, faisaient surtout de la communication au dépend de l'enfant et de sa douleur.
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RE: Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait
"si les produits stupéfiants sont dangereux pr ceux qui les consomment leur trafic sont aussi plus généralement néfastes pr l'ensemble de la société""ces produits font l'objet d'un commerce lucratif dt ls fonds viennent alimenter d'autres activités criminelles dont le terrorisme"
C'est un sénateur de la majorité, contre la légalisation du cannabis qui a dit cela.
Il vient de se faire tester positif aux :amphétamines, aux opiacées, au cannabis, à la cocaïne, à la méthadone et à la MDMA.
Pour lutter contre les addictions et le traffic mafieux, il faut légaliser toutes les drogues, sans exception.
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RE: Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait
@Cynthia80 a dit dans Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait :
@Marie-Thérèse sauf que ces pseudo médecines parallèles créent des problèmes de santé, des malades qui se retrouvent à l'hôpital car pas soignés correctement.
La réalité, c'est que depuis que des gens, qui pensent la sécurité sociale et la santé publique comme toi, ont mis la main sur le pactole, les problèmes croissent.
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RE: Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait
@Cynthia80 a dit dans Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait :
toutes ces médecines alternatives devraient être interdites et non remboursées
Ça commence toujours comme ça, partout dans le monde où une sécurité sociale existe. Le déremboursement de certains traitements jugés inefficaces. L'objectif est de réduire le coût des finances publiques.
Alors des caisses privées prennent le relais. Normalement c'est pas grave, ça ne touche pas aux finances publiques. Mais non, ça énerve certains qui décrètent l'interdiction. Non maiis dis donc!
Et c'est là que les dérives commencent. Ce qui était encadré par des professionnels formés en médecine, devient du marché noir. Comme l'avortement au siècle dernier. Et des apprentis sorciers se remplissent les poches, des gens s'éloignent des organismes de soin officiels.
De rien.