Dans toute notre vie, on évolue aussi mentalement que physiquement c'est-à-dire qu'on pense pas de la même façon qu'on pensait à 10 ans. Le problème c'est que la majorité des décisions qui définissent notre avenir étudiant et professionnel, on les prend qu'on est trop jeune, donc ça pourrait arriver qu'on regrette quand on prend conscience de nos choix.
Racontez-nous les chemins que vous avez empruntés et les regrets que vous avez eus pendant ce trajet ? de vos expérience, on peut tirer notre leçon
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Vous regrettez votre parcours scolaire et professionnel ?
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RE: L'écriture
Fleur Agonisante (Prose)
Bonjour je crois que c'est la section prévue pour publier ses écrits.
Bon j'ai écrit ce poème, mais je ne veux rester le seul à le lire :Une fleur délaissée par négligence dans une vaste étendue de verdure, personne ne peut la voir, elle était cachée subtilement. Fanant lentement, elle était agonisante, pour autant elle résistait encore, ne voulant pas céder à la défaite facilement.
Cette fleur était une rose, maintenant elle est rosâtre. Pourtant elle ne s’inquiétait pas pour cela, elle savait déjà que les couleurs n’est qu’une illusion subie par notre faible sens de la vue. Donc elle perdurait sous le ciel tantôt brumeux, tantôt dégagé.
Moi qui suis toujours solitaire (seul), je marchais en ce bas monde mais mes pensées baignaient dans les nuages. D’un pas hâtif, je me dirigeais vers l’inconnu car nous les humains, nous pouvons juste voir mais ne pas prévoir.
En fait ce sont mes pieds qui marchaient, moi je n’étais pas là et mes sens non plus. Quand je repris le contrôle de moi-même, je me trouvai dans un lieu où tout était en harmonie. La verdure de la terre, le vent à peine perceptible, le fleuve gai courant sans dévier de sa voie, tout cela formait un tout.
Soudain, dans la musique que concevait inconsciemment cette nature, j’entendis des pleurs, des pleurs presque muets dont la proie ne voulait pas montrer sa peine. Par mon ouïe, je cherchais en secret d’où venaient ces sanglots, et pour que celui qui pleure ne sente pas ma présence, je restai pieds nus.
A mesure que je m’approchais de la source de cette voix, elle devenait plus triste. Je la trouvai enfin ! J’étais là, caché derrière un arbre. A son insu je la regardais avec mélancolie. C’était une tulipe que la terre avait négligée et le ciel aussi. Alors je me mis à me demander : « pourquoi la vie est partielle ? Pourquoi cette fleur est la seule à être triste parmi toutes ces créatures heureuses et en harmonie ? ». A ces questions, je lâchai un si profond soupir que la fleur l’entendit.
Timide ou orgueilleuse, à ma vue elle cacha son visage et fit semblant de rien. Donc je pris le courage de l’aborder sans pour autant l’apeurer.
Je la regardai dans les yeux, en dépit de son état, elle était belle. En se trouvant très proche d’elle, je sentais une atmosphère bizarre, un mélange de tristesse et de beauté. Et au moment où je me baissai vers elle, mes larmes se mirent à tomber à foison sans que je puisse les retenir. Je me suis rendis compte que chaque larmes lui faisait du bien, elle s’épanouissait de plus en plus.
« Ô Dieu, ô ciel, pourquoi mes larmes sont infinies » fut-ce mes dernier mots, avant que je meure de sécheresse et que la fleur fane inondée. -
RE: L'écriture
Poème en prose :
Je ne sais que raconter ; la confusion me hante, la honte aussi. Blancheur me demande de garder sa pureté, mais la plume, après avoir dépassé la puberté, ne veut que rassasier ses désirs ; Blancheur, je suis navré, je n’y peux rien, ma main subit l’esclavage, elle exécute et ne déroge jamais.
S’émanciper est le miracle pour lequel les doigts se joignent. Par désespoir ou par excès de pensées, la tête est penchée vers le bas, les yeux ne peuvent plus voir ailleurs. Accroupi, je m’approche du sol, bien que je sache qu’il est perfide et qu’un jour, il me dévorera.
Je saigne de partout, alors quel fil rouge suivre ? -
RE: Murder (How to Get Away with Murder)
Pour moi c'est la meilleur, en plus, j'aime bien ce genre de séries psychologiques où tout se repose sur la profondeur des personnages, un peu comme You.
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RE: Bonjour à tous!
@libellule Merci à vous de nous monter ces belles roses de votre jardin secret.
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RE: Faire partie des protagonistes de la littérature française !
@djino Yo ! en fait, je suis pas vraiment entouré d'assez de francophones en vrai puisque j'habite au Maroc, dans notre société y'a moins de gens qui raffolent de ce domaine, donc le seul moyen qui me reste c'est la toile, pour autant j'en reste toujours à l'affût, merci pour tes conseils frère.
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Le protagoniste m'imite ?
Yo !
C'est une question beaucoup plus large que je vais vous poser aujourd'hui : quel est le personnage de film dans qui vous avez senti incarné ? pour quelle raison ? quelle était votre impression au moment de vous rendre compte que le film est fait pour visualiser ce que vous vivez ?
une réponse globalisante suffit, merci !
Cordialement -
RE: Les musiciens underground sont les plus forts ! T'es de mon avis ?
@Hornet Merci infiniment
ça y est c'est fait. -
RE: Faire partie des protagonistes de la littérature française !
@LeBoxon J'vais disposer de ta vidéo pour en tirer ma leçon, merci beaucoup.
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RE: Faire partie des protagonistes de la littérature française !
@LeaPierce D'acc j'vais me reposer sur ton conseil, merci.
Derniers messages publiés par Plume de phénix
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RE: Comment appelle-t-on ce type de porte ?
@ayamé oui c'est photo est prise à Casa
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RE: Comment appelle-t-on ce type de porte ?
@ayamé Hahaha merci beaucoup, "rideau de bambou" c'est ce que je cherchais.
PS : Je trouve cool ce que t'as écrit, mais dans ma nouvelle c'est si gore qu'ça. -
Comment appelle-t-on ce type de porte ?
Bonsoir tout le monde, j'espère que vous allez bien.
Dernièrement je me suis lancé dans l'écriture de ma première nouvelle, et maintenant je travaille sur un passage où le personnage se rend au resto', dont la porte est pareille à celle apparente dans l'image. Le hic c'est que j'ai pas pu trouve le mot exact pour la désigner, j'aimerais bien que qqn me le dise. Merci.
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RE: Murder (How to Get Away with Murder)
Pour moi c'est la meilleur, en plus, j'aime bien ce genre de séries psychologiques où tout se repose sur la profondeur des personnages, un peu comme You.
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RE: L'écriture
Poème en prose :
Je ne sais que raconter ; la confusion me hante, la honte aussi. Blancheur me demande de garder sa pureté, mais la plume, après avoir dépassé la puberté, ne veut que rassasier ses désirs ; Blancheur, je suis navré, je n’y peux rien, ma main subit l’esclavage, elle exécute et ne déroge jamais.
S’émanciper est le miracle pour lequel les doigts se joignent. Par désespoir ou par excès de pensées, la tête est penchée vers le bas, les yeux ne peuvent plus voir ailleurs. Accroupi, je m’approche du sol, bien que je sache qu’il est perfide et qu’un jour, il me dévorera.
Je saigne de partout, alors quel fil rouge suivre ? -
RE: Bonjour à tous!
@libellule Merci à vous de nous monter ces belles roses de votre jardin secret.
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RE: Qu'écoutez-vous là tout de suite ?
J'écoute du silence, la meilleure de toutes les musiques.
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RE: Les Vampires de Chicago (série littéraire)
@kallindra Salut ! cela paraît intéressant surtout quand on est de la génération z, et que ce genre de saga fait partie de notre culture et notre éducation. Mais y'a un souciqui m'a sauté d'emblée aux yeux c'est la cover, je la trouve obsolète et du coup non accrochante, ce qui pourrait empêcher des lecteur à ouvrir le livre. Je sais que ça n'a rien à avoir avec le fond mais je trouve que le visuel est devenu indispensable dans la majorité des domaines, même ceux dont la pratique ne se consomme pas par la vue.
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RE: L'écriture
Bonne lecture !
Voilà arrivé le moment de partir; tout ce qui me reste, c'est un amas de souvenirs. Je les vois défiler vite devant mes yeux. Je n'en ai retenu qu'un : celui qui me rappelle mon premier amour, le souvenir le plus marquant dans les débris de ma mémoire.
Je n'ose dire adieu à personne, ma solitude m'en empêche violemment. Alors que puis-je faire face à cette force infernale à laquelle seul le trépas puisse résister ?
Mon malheur est tellement grand que même les titans s'y cachent, pour autant j'enferme cela dans des pages.
comment est-ce possible d'arrêter cette fatalité de nous désunir ? je nous vois nous éloigner les uns des autres, le principal motif en est ... nous-même.
Le destin agit salement dans nos propres relations, on le sait bien mais personne ne peut y remédier. On est des marionnettes, nos pensées noires manient les ficelles, injectent du seum dans nos coeurs.