Meilleurs messages postés par Spillway
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RE: Décris-moi un mouton
" Une grande pensée habitait l'âme de ce prisonnier rebelle condamner à la peine capitale dans cette prison. (S'évader, s'évader par tout les moyens inimaginable.) Avait t'il réussi ? Au final non, puisqu'il n'est plus de ce monde. "
Il pris une pause et les regarda :
" Vous êtes sûr que c'est un livre pour enfants ? " -
RE: Décris-moi un mouton
Avec toutes son énergie et quelques en-cas, ce petit feu avait de la détermination. Cette petite lumière grandit alors, et ces avec force qu'il se déploie.
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RE: Décris-moi un mouton
L'aliénation, la perte d'humanité, devenons-nous des robots ?
Et si la modernité n'est qu'illusoire. -
RE: Décris-moi un mouton
Faudrait dire oui aux changements, ne plus reporter aux lendemains, regarder d'un nouvel horizon, maintenant.
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RE: Décris-moi un mouton
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J’ai volontairement mis ce ‘ô’, ce n’est pas une faute de ma part.
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Oui, c’est une histoire pressée d’une personne qui a cassé un miroir, elle est en route pour aller en acheter un autre, la superstition du 7 ans de malheur c’est juste un détail par contre (une question quoi, je me trouvais drôle quand je l’ai écrit, mais la phrase sert pas à grand chose et n’a, je crois, pas l’effet escompté que j’ai à l’esprit de l’utilisation du ‘vous’ dans un texte), en gros le miroir (qui aurait une certaine valeur sentimentale pour x raison comme un trésor qui se partage entre frères et sœur depuis des générations, le choc n’est pas la superstition inutile, mais plutôt le fait de l’avoir brisé) s’échange entre des personnes^^, j’ai fait une incomplète référence (elle marchait pas trop ma référence mdr)aux films et aux livres ‘4 filles et un jean’. (On pourrait aussi le voir, mais, pour ça, j’avais pas vraiment autant réfléchie pour mon texte (que j’ai écrit en peu de temps), mais comme si c’était, t’sais le moins adepte du truc de partage de miroir, mais qui sait que c’est important, donc il ne fait pas trop attention, mais qui regrette d’avoir cassé le miroir sans faire exprès, 7 ans de malheur pour lui, ça serait comme les gens qui lui en veulent d’avoir brisé le truc, s’ils ne s’en rendent pas compte, il n’aurait pas de malheur, quoi. Mais, on s’entent que ça va paraître au fond)
Edit: j’ai éditer mon message
Edit: et maintenant que j’y pense, j’aurais très bien pu faire une référence dans l’histoire d’un film qui n’existe pas réellement, mais qui est bien réel dans l’histoire.
Edit: J’avais pas trop le temps à matin désolé d’éditer énormément ce message, mais moi j’ai rien contre les remarques, au contraire, je trouve que ça permet d’expliquer le pourquoi des choses.(surtout si le texte n’a pas été compris, mais l’important c’est que la personne qui a écrit un texte le comprenne ^^ )C’est bien correct si tu n’as rien compris à mes explications:) Je sais que je peux faire des fautes de syntaxes a profusion. Je m’excuse de ce pavé que je trouves beaucoup trop long.
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RE: Décris-moi un mouton
Des fleurs étaient posées sur la table. Une jolie lettre écrite à la plume, il y avait, sous le bocal transparent qui transportait les roses. Les deux tourtereaux dormaient après une soirée remplie de sensualité. On pouvait voir sortir des couvertures, un bout de lingerie en dentelle et des menottes.
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RE: Décris-moi un mouton
Elle avait fait un rêve qui lui semblait si réel. Elle avait ressenti une multitude d’émotions. Quand elle ouvrit les paupières, elle se demandait comment s’était possible. Comment s’était possible, comment avait-elle pu agir comme un être qu’elle n’est pas dans un songe et y avoir cru. Étendue dans son lit, y penser était insupportable, comment s’était possible, comment un rêve avait t’il bien pu lui faire cet effet ?
Elle avait rêvé … elle revoyait le visage de ces 12 personnes effrayés … un monstre dans ce rêve elle fut, une personne qui de prime abord n’a l’air de rien était devenue une créature. Elle avait dévoré 12 personnes après un exercice dans une réunion. 12 personnes qui semblaient tous gentil et gentille. Sans compter que comme une rapace, elle avait piquer leur portefeuille. Elle se sentait mal de cet illusion dont elle a été l’antagonisme. Comment s’était possible ?
Fin