Meilleurs messages postés par Yoyo

@Spip

@punk-à-chien
Bah, c'est amusant de tenir la route avec une drôle d'idées (peut-être vraie !). Si la raison s'en mêle, c'est même enrichissant, je dois défendre mon bout de gras en cherchant ce qui me manque. Dans ce domaine, ça ne manque pas, je suis plus Maternelle Supérieure que Maths Sup.

Je ne sais pas si nous sommes tous intriqués, mais pour la petite histoire, pendant que je commençais d'écrire sur le sujet, je parlais avec une amie d'ici en MP.  Je lui racontais une chose qui m'était arrivée l'été dernier, et au même moment je reçois un message m'annonçant le dénouement de cet événement arrivé neuf mois plus tôt !
Tout est lié je te dis ! Les poussins, les robots, les chats morts-vivants, tout !

Ah ! Tu n'aime PAS les gens infidèles ! J'avais compris l'inverse...

@mai-tai Oui, tu as sans doute raison, les Anglais ont squatté le sud sud-ouest de la France des centaines d'années, ça laisse forcément des traces. 
Aussi, je ne pense pas que ces pourcentages soient une indication fiable, comme tu le dis les gênes sautent parfois des générations. Pour être sûr que ça vienne de là, il faudrait être plusieurs de ma famille à faire le test. Ou un secret de famille, parait-il qu'il y en a bien plus que l'on ne le croit…

Bienvenue @Megaral, il n'y a pas de tchat sur ce forum, mais j'espère que tu t'y plairas. Tu remarqueras aussi qu'il n'est pas très actif la nuit hélas, je pense que demain il y aura plus de monde pour t'accueillir. Au plaisir de te lire

@Heidi Apparemment, la bienveillance (ou l'empathie) serait innée, même chez certains animaux comme le chimpanzé (j'aurais misé sur une notion purement humaine). En revanche, l'agressivité le serait aussi, la bienveillance serait donc une qualité à cultiver. Alors "cultivons notre jardin" pour en revenir à Voltaire.

Je crois qu'entre les partisans du changement et ceux d'un moi immuable, il y a deux visions de ce qui nous définit réellement. Que sommes-nous exactement, un corps ? Que nous n'avons pas choisi ? Dans ce cas, en effet, Pour changer, il suffirait de faire un régime, de la chirurgie esthétique ou constater simplement que nous vieillissons... Mais nous sommes bien plus que cela. Peut-être notre mental ? Celui qui nous bombarde de pensées à longueur de temps et pas toujours pour le meilleur. Lorsque l'on se réveille à quatre heures du mat pour se dire, je suis nul, je n'y arriverai pas et s'identifier à ces pensées néfastes. Oui, nous pouvons changer notre mentalité, l'améliorer en fonction de nos expériences de vie, mais une fois de plus, nous ne sommes pas notre mentalité. Elle n'est qu'apparence, c'est un "nous" superficiel. Comme disent les bouddhistes, ce petit singe agité qu'il nous faut calmer pour mieux s'apercevoir qu'il y a derrière elle une version bien plus ultime de ce que nous sommes. Cette radio mentale comme l'appelle Mathieu Ricard n'est assurément pas ce qui nous défini en tant qu'être, même si l'on s'y laisse facilement prendre. La conscience peut-être ? Il est déjà plus difficile de dire, j'ai changé de conscience, on ne la change pas, elle est tout simplement. Idem pour l'âme du point de vue de ceux qui y croient, elle est immuable. Il ne faut pas confondre les masques que l'on porte en fonction du monde extérieur et celui qui le porte, les vestes que l'on retourne tout au long de notre vie et celui qui les porte. Nous pouvons changer, mais en surface seulement. Nous nous adaptons, nous évoluons, mais c'est toujours au regard du monde extérieur. À l'intérieur de nous, caché derrière des couches et des couches d'apprentissage et de diverses expériences de vie, notre moi profond reste bien le même de la naissance à la mort.