Le jugement
-
D"ailleurs l'on pourrait même aller plus loin, passer en jugement que l'issue soit négative ou positive il s'agit bien d'un procès avant tout sur le fond et sur la forme.
Amusant d'ailleurs ce terme "jugement" lorsque l'on prend le temps de le dissocier ... "Le juge ment" (Rires).
-
@Musings En tant que prof, l'on est dans le jugement quand on note une copie. Est-ce pour autant forcément négatif ? Je pose la question de manière ouverte.
-
@Dryanaide Ca tombe bien , j'allais en parler.
Il s'agit d'une appréciation ni plus ni moins, mais encore une fois pas un jugement. -
@Musings Euhuuuuuum ! On est quand même dans le jugement des connaissances de l'élève et de sa capacité à retenir ce que l'on a tenté de lui enseigner. La frontière est assez mince je trouve.
-
@Dryanaide Certes une fois la note posée, l'appréciation, la note c'est l'instant T pour un devoir précis.
Ceci dit, dans le prochain devoir, la note, l'appréciation peut changer, tu ne vas pas dire ou penser, cet élève est bon ou mauvais élève et en avoir la certitude de manière générale.Ceci dit, en effet, je conçois que la frontière peut paraître mince, mais elle ne l'est que relativement.
-
@Musings Quand tu juges quelqu'un, cela peut évoluer pendant le procès ... Tout comme cela peut évoluer pendant que tu discute avec quelqu'un. Le jugement est péremptoire à un moment T, mais il peut évoluer en fonction des informations, des preuves, des indices que tu collectes.
Ouais, je cherche la petite bête de si bon matin, je suis comme ça, une canaille taquine
-
@Dryanaide LOL.
Ce n'est pas une mauvaise chose bien au contraire.
Ceci dit, je ne veux pas que tu diriges vers la boite à pharmacie et soulager un éventuel mal de tête dont je pourrais être responsable.
(Rires). -
@Dryanaide Je ne peux que "liker" ton précédent message, car il valide plus ou moins ou à demi-mot mes précédents posts.
-
@LeaPierce pourtant quand ça t'est arrivé, tu avais un avis et tu avais largué ton mec.
Je comprends pas trop... -
@Mai-Tai Je n'ai jamais quitté uniquement pour cette raison
-
@LeaPierce
Dans le topic "complice d'une infidélité"Sinon, je comprends que tu agisses normalement avec ton beau-frère, surtout si de son côté ta sœur a accepté ou pardonné. Mais j'ai du mal à imaginer que tu n'as rien pensé de son acte, surtout si ta sœur était chamboulée en l'apprenant.
-
@Mai-Tai Je confirme que c'était pas l'unique raison (juste la goutte d'eau d'un Xeme mensonge et cette goutte était l'infidélité).
Sur le moment, j'étais tellement surprise et mal pour elle, que je voyais plus le mal qu'il lui faisait que son acte en lui-même (je sais pas si c'est compréhensible ce que je dis ?). J'étais davantage fâchée parce qu'il la faisait souffrir, juger son acte n'avait aucune utilité à ce moment-là (ma mère s'en chargeait très bien) et surtout ce n'était pas mon rôle de le juger mais celui de ma soeur. Après tout, c'était à elle de décider ce qu'elle voulait faire.
-
@LeaPierce a dit dans Le Jugement :
surtout ce n'était pas mon rôle de le juger mais celui de ma soeur. Après tout, c'était à elle de décider ce qu'elle voulait faire.
Certes, c'est son choix, et tu n'as pas à lui dire quoi faire. Mais intérieurement tu n'en penses rien ? L'infidélité en elle-même ?
Je pense que si ça arrivait à quelqu'un de proche, je ne pourrais pas m'empêcher de penser dans un premier temps "quel salaud"
Ensuite seulement je verrai s'il n'y a pas des "circonstances atténuantes". -
Je vais demander à peri si je peux lui emprunter sa signature
-
@Mai-Tai a dit dans Le Jugement :
Mais intérieurement tu n'en penses rien ? L'infidélité en elle-même ?
Honnêtement, je ne m'étais pas vraiment posé la question. Tu me donnes matière à réflexion. Ce qui me dérange le plus, je crois, c'est le mensonge qui cache l'infidélité.
Je pense que si ça arrivait à quelqu'un de proche, je ne pourrais pas m'empêcher de penser dans un premier temps "quel salaud"
Ensuite seulement je verrai s'il n'y a pas des "circonstances atténuantes".Au vu de ce que j'en sais et de ce que tu me dis, il n'avait aucune circonstance atténuante.
-
@LeaPierce oh l'enfoiré !
-
@Mai-Tai suis pas surprise par ta réaction. Et encore... J'ai pas dit le pire selon moi, mais ça le concerne qu'indirectement.
Pour en revenir au sujet, j'ai quand même l'impression que c'est plus facile de ne pas émettre de jugement quand on n'est pas directement impliqués dans l'acte/le comportement de l'autre.
-
@LeaPierce a dit dans Le Jugement :
Honnêtement, je ne m'étais pas vraiment posé la question. Tu me donnes matière à réflexion. Ce qui me dérange le plus, je crois, c'est le mensonge qui cache l'infidélité.
S'il n'y a pas de mensonge, il n'y a pas infidélité. L'un ne va pas sans l'autre. C'est cela qui rend l'infidélité insupportable, car tu détruis toute forme de confiance et sans confiance, tu ne peux construire une véritable relation.
-
@Barbouille a dit dans Le Jugement :
A l'époque, j'étais pourtant assez peu tolérant avec la tromperie. J'en voulais à mon père et j'étais présent e pour ma mère mais bon j'ai pris du recule et même si je suis leur fils cela n'est pas ma relation. J'ai dis ce que je pensais au 2.
Pour revenir sur ce point précis, je suis d'accord sur le fait que c'est leur relation et que tu n'as pas à te mêler de ça. Ils sont assez grand pour régler leurs problèmes sans l'aide de leurs enfants.
Par contre là où je ne suis absolument pas d'accord avec toi, c'est que l'on a le droit de juger les choses et quand je parle de juger ce n'est pas les problème et la façon dont ils les résolvent, mais bien comment les événements ont été gérés. Si mes parents avaient discuté entre puis décidé de la suite. Je n'aurai rien à redire sur ce qui se passe même si j'aurai probablement eu mon opinion. A partir du moment où l'un des deux bafoue alégrement les principes qu'il t'a inculqué depuis ta plus tendre enfance et qui les tient lui-même de son père qui les tient de son père et cela sur plusieurs génération. Bah tu te dis que cette personne chie littéralement sur les valeurs familiales, qu'il bafoue totalement les pilier fondamentaux sur lesquels tu t'es construit. Donc oui, à ce moment même où l'on te touche au plus profond de ton être, que l'on remet en question ta construction même en tant qu'être vivant doué d'une conscience, tu as le droit de juger le modus operandi.
Si on continue, on va dévier du sujet quoique je pense que cela permettrait de comprendre pourquoi on juge plus ou moins durement les gens, les actes, etc: c'est l'éducation que l'on reçoit, les valeurs que l'on nous inculque.
-
@LeaPierce Sans vouloir m'en mêler, c'est particulièrement minable en effet.