Que pensez-vous de la mort ?
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La mort reste le grand secret de Dieu :
Autrement dit...
Elle est aussi impénétrable que Dieu Lui-même...
Que personne n'a jamais vu. C'est pourquoi la Foi, la Connaissance, la réflexion, la raison, l'intelligence, la Sagesse, et toute vertu sont là pour nous apporter, je ne dirais pas, "Quelques réponses" :
Mais, du moins... Quelques "pistes intéressantes"...
Puisque nous savons, comme concept opérationnel, que Dieu, en tant qu'esprit, ne peut être connu qu’en Le découvrant dans les profondeurs de notre vie intérieure; autrement dit... En même temps que nous découvrons, par la Méditation, et par la Prière, la Divinité qui est en nous.
Mais même quand nous n'en sommes pas encore là, ne pouvons -nous pas affirmer que tout beau sentiment; que toute belle pensée, en même temps que toute Spiritualité, sont "Divin" ?
Cette Connaissance, voyez-vous, est déjà, en soi (me semble-t-il), une bonne base, pour nous permettre, sans y répondre (Puisque PERSONNE ne peut parler de l'esprit et du Divin, que nous ne pouvons QUE VIVRE INTÉRIEUREMENT!) d'approfondir le sens que nous pouvons donner à la mort, et à votre questionnement (Sachez que je suis tout avec vous en ce moment si douloureux pour vous !) sur la mort de votre ami ; en donnant quelques "orientations" intéressantes !
Pour ce faire, je suis convaincu que nous ne pouvons, à propos de la mort, que revenir SANS NOUS LASSER, sur les écrits des grands poètes mystiques (Baudelaire, Lamartine, Musset, Victor Hugo, etc.), des sages; des écrivains mystique (Léon Bloy était un de ceux-là; et bien qu'ayant perdu 2 enfants en bas age à cause de la misère, engendrée par la méchanceté des hommes :
Il n'en demeurait pas moins, un immense Croyant; et, sans aucun doute, l'un des plus grands écrivains Catholique mystique que le monde ait jamais connu!); de la vie des Saints; et de tout ce qu'ils en ont dit !
En fait, la mort est un changement dans le processus de vie d'un corps déterminé. L'intégration cesse et la désintégration commence. Le connaissant disparaît à la mort, de la même façon qu'il est apparu à la naissance. Mais la vie reste.
La conscience a besoin d'un véhicule et d'un instrument pour sa manifestation; ainsi, quand la vie produit un autre corps, un autre connaissant vient à être. Il y a quelque chose qu'on pourrait appeler "le corps mémoire, ou corps causal":
Un enregistrement de tout ce qui a été pensé, désiré et fait. C'est comme l'agglomération "d'un nuage d'images".
Dans la mort, seul le corps meurt.
La vie ne meurt pas, ni la conscience, ni la réalité :
Même le corps n'est jamais aussi vivant qu'après la mort.Ce qui est né doit mourir. Seul le non né ne meurt pas.
Trouvons EN NOUS ce qui jamais ne dort ni jamais ne s'éveille. Le sage réalisé SAIT par son mental, mais son mental est pur. On dit aussi que le mental qui vibre est impur; et que le mental apaisé est pur. Le mental pur est Lui- même DIEU; il s'ensuit que DIEU n'est pas autre chose que le mental du sage.Les eaux s'évaporent et retournent sous forme de pluie sur les collines, pour ensuite s'écouler en rivières qui se jettent à nouveau dans l'océan ; de même, les individus perdent pendant le sommeil leur état séparé, pour le retrouver au réveil selon chacune de leurs latences psychiques dont le faisceau provoque l’apparition du spectacle du monde; il en est de même à la mort :
L'individualité d'une personne qui a encore des tendances ne se perd pas. Considérons l'arbre dont les branches ont été coupées... Il repousse ! Tant que ses racines sont en bon état, l'arbre continue à croître. De même, les tendances, qui ont simplement "plongées dans le Cœur" au moment de la mort, mais qui n'ont pas péries pour autant occasionnent la réincarnation lorsque l'heure en est venue.Mon corps est-il "moi"?
Il est silencieux et inerte, mais je sens la pleine force de ma personnalité, et j'entends même la voix du moi au fond de mon être. Je suis donc un esprit qui transcende le corps.
Le corps meurt, mais l'esprit, transcendant le corps, ne peut être touché par la mort.
Ce qui veut dire que je suis un esprit immortel.
Ainsi en est-il de vous, de moi...
Comme de votre ami qui vous a quitté !Les gens ont peur de mourir parce qu’ils ne savent pas ce qu’est la mort. Mais une personne Réalisée (qui est parvenue à l’Éveil !) est morte avant sa mort. Elle a vu qu’il n’y a rien dont on puisse avoir peur.
Commençons donc par briser le mur de l’Ignorance, car dès l’instant où nous connaissons notre Être Réel, notre Être Véritable, nous n’avons plus peur de rien.
La mort donne la Liberté et la Puissance.
Pour être libre dans le monde, il nous faut être mort au monde. Alors, nous possédons l’univers; et celui-ci devient notre corps, une expression, et un outil.
Le Bonheur d’être absolument libre est au-delà de toute description :
Car l’attachement, c’est l’esclavage, le détachement, c’est la Liberté. Désirer, c’est asservir. Vivre, c’est mourir : Car la vie ne peut exister sans la mort.
L’attachement à la vie, c’est l’attachement à l’affliction.
Nous aimons ce qui nous donne de la peine, telle est notre nature. L’instant de la mort devrait être pour nous un moment de jubilation intense, et non de peur. Ainsi, si nous avons pleuré en naissant... Nous devrions mourir mourrai en riant.
Courage !!! Et, très Cordialement, je vous souhaite une très...
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Bonjour !
"Je m'arrêterais de mourir s'il venait un bon mot ou une bonne idée ( Voltaire ) "
Mais moi ce qui m'intéresse dans la mort " c'est le mot de la fin" le dernier que j'emporterais, puis tirez le rideau ! -
Brent, le retour . Il y avait longtemps que tu n'étais venu ici partager tes croyances.
Pour être libre dans le monde, il nous faut être mort au monde.
Bien que croyante, mais de façon très hérétique, je ne peux cautionner ton propos trop empreint
du dolorisme catholique.
Le monde n'est pas à rejeter : n'est-il pas écrit dans la Bible que nous devons le cultiver pour le faire à l'image d'Eden ?" Car l’attachement, c’est l’esclavage, le détachement, c’est la Liberté ".
Les bouddhistes expliquent mieux les choses en précisant : l'attachement excessif.
L'Amour engendre un lien, forcément, et ce lien est une forme d'attachement.
Mais effectivement, il ne faut pas qu'il entrave notre propre réalisation." Vivre, c'est mourir " : vivre, c'est vivre, et mourir, c' est le terminus du parcours d'une vie terrestre
pour laquelle nous avons été dotés de sens pour quoi faire, à ton avis, si ce n'est justement pour apprécier la vie sur terre ?
Désolée, garçon, je ne serai jamais d'accord avec toi et tes beaux discours ne me font pas douter
de mes propres convictions . -
Hello!
Pour moi, la vie = Dieu qui nous teste!
Évite de vivre dans l'insouciance et l'errance.
No jugement please!
Amour, Respect, Gentillesse, Écoute, Générosité -
La mort est plus juste que la vie, tout le monde meurt mais tout le monde ne vit pas.
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@jed
Cela dépend de ta définition de vivre -
@jed tout le monde ne meurt pas dans les meme conditions
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@battler et @icescream
Vous êtes trop premier degré -
La mort c'est ce qui donne tout son sens à la vie
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je n'ai pas peur de la mort, à la limite de m'en fou de mourir
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La mort est pleine de surprises, tout sera différent d'ici une fois de l'autre côté
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@jed
Je préfères -
@chouchou13
j ai vu, j ai tenue la main de beaucoup de personnes qui s en aller. Et je n en ai jamais vue qui s en foutaient, même des croyants -
@le-taxidermiste
même pas sur -
@battler Certain
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@le-taxidermiste
Une réincarnation, un autre multivers? -
@battler Surprise
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@le-taxidermiste
pas d idée? -
@battler En parler n'avancerait à rien je pense, je ne peux rien te démontrer.
Et puis là réponse te sera donnée le moment venu -
@battler : c'est vrai. Pour avoir travaillé en soins palliatifs et fin de de vie, la mort dans ces lieux-là
n'est jamais envisagée avec sérénité. Pourtant, j'en ai connus qui la réclamaient à grands cris
tant ils souffraient. Le médecin-chef du service, une femme, refusait de morphiner plus.
Elle a été renvoyée, suite aux plaintes du personnel soignant, entre autres malfaçons de sa part.
Vraiment pas une perte C'est l'expérience la plus difficile que j'ai vécue dans ma carrière d'infirmière.
La mort fait partie de l'inconnu, et ce qui fait le plus peur à l'homme, c'est bien l'inconnu.
Je n'ai pas peur de la mort, mais pour l'avoir fréquentée pour d'autres : j'ai peur de l'agonie.
Marie Cardinal, dans son livre " les mots pour le dire ", dit :
" on meurt ( généralement ) quand on est prêt pour ce dernier acte, quand on est dans son acceptation ".
Je pense que c'est vrai.