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    Et si on s'échangeait des poèmes et des jolis mots ?

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    • pocahontas13
      pocahontas13 @Invité dernière édition par

      @Lavinia 😌😌 mercii

      Carpe diem

      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
      • Un Ancien Utilisateur
        Un Ancien Utilisateur dernière édition par Un Ancien Utilisateur

        [Carnet de voyages dans l'univers de la réflexion](http://www.newalchemy.eu/korlang/carnets_wb.pdf
        Attention, à éviter pour toute personne sensible à ses croyances, quelles qu'elles soient...

        Un Ancien Utilisateur Un Ancien Utilisateur 2 réponses Dernière réponse Répondre Citer 0
        • Musings
          Musings Banni @Hornet dernière édition par

          @Hornet Un sujet identique sur un autre forum ? , Forum fr ? Pseudo : Closed ?
          Si c'est bien cela, il s'agit de moi.
          D'ailleurs , il suffit de voir la mention "Banni" pour vite faire le rapprochement !

          (Rires).

          Hornet 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
          • Hornet
            Hornet @Musings dernière édition par

            @Musings C'est bien cela ! c'est un texte de toi alors ?

            Je ne me permettrais pas de commenter les bans sur d'autres plateformes que la nôtre 😋

            People Always Look Better in the Sun

            Musings 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
            • Musings
              Musings Banni @Hornet dernière édition par

              @Hornet

              Non ce texte n'est pas de moi.
              Ce texte vient de là =>

              "
              Non Fides - Base de données anarchistes" ( http://www.non-fides.fr/)

              1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
              • Un Ancien Utilisateur
                Un Ancien Utilisateur @Invité dernière édition par

                @statis06 306 pages, j'ai la flemme, mais je vais essayer de lire en diagonal ^^.

                Un Ancien Utilisateur 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                • Un Ancien Utilisateur
                  Un Ancien Utilisateur @Invité dernière édition par

                  @statis06 j'avoue que même en diagonale j'ai un peu de mal, j'ai juste lu le sommaire. Est-ce que cela a un rapport avec les accords toltèques et le bien-être et tout ça ?

                  Un Ancien Utilisateur 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                  • Un Ancien Utilisateur
                    Un Ancien Utilisateur @Invité dernière édition par

                    @Roma31 a dit dans Carnet de voyages dans l'univers de la réflexion :

                    @statis06 j'avoue que même en diagonale j'ai un peu de mal, j'ai juste lu le sommaire. Est-ce que cela a un rapport avec les accords toltèques et le bien-être et tout ça ?

                    Pas du tout, je n'ai pas lu "les accords toltèques" donc ne peut donner une comparaison.
                    "Le terme "Toltèque" est utilisé dans les œuvres de l'écrivain Carlos Castaneda pour désigner une personne qui a été recrutée dans un groupe de sorciers" (wikipedia) correspond plus au titre du chapitre qui pourrais te faire penser à une similitude.
                    J'aurais du mieux présenter le livre...
                    Maintenant je ne sais pas si j'ai bien fait d'en parler, doit-on tout partager ?

                    Pour juger à quel point l'auteur est déjanté il suffit de lire le chapitre 3...

                    Un Ancien Utilisateur 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                    • Un Ancien Utilisateur
                      Un Ancien Utilisateur @Invité dernière édition par

                      @statis06 bien sûr que si, tu peux partager. Juste... Donne nous envie de le lire 😁, suis un peu paresseuse

                      Un Ancien Utilisateur 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                      • Un Ancien Utilisateur
                        Un Ancien Utilisateur @Invité dernière édition par

                        @Lavinia
                        306 pages dures à lire même en diagonal, c'est pas un cadeau...
                        Par contre je me demande s'il ne serait pas possible de lire d'abord les conclusions pour voir si on a envie de se torturer l'esprit pour rien.
                        Ce n'est pas traditionnel de commencer par la fin mais c'est un début 😉

                        Un Ancien Utilisateur 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                        • Un Ancien Utilisateur
                          Un Ancien Utilisateur @Invité dernière édition par Un Ancien Utilisateur

                          @Roma31 Je pense que la meilleure présentation serait "un livre qu'il faut commencer par la fin".
                          Comme dit à Lavinia, les conclusions peuvent permettre de voir si l'on a envie de se prendre la tête avec une lecture ardue et des fois dérangeante, voir souvent...
                          Pour éviter de charger le PDF je met le sommaire dans lequel il est possible de voir les sujets sur lesquels il y a eu réflexion.
                          Sommaire
                          Introduction ...p003
                          Chapitre 1 Au début...
                          Chapitre 2 Les « religions »...
                          Chapitre 3 Le « deïcidant »...
                          Chapitre 4 L’individu et le groupe...
                          Chapitre 5 Libre arbitre ?...
                          Chapitre 6 Le langage...
                          Chapitre 7 Amour, sexe et reproduction...
                          Chapitre 8 L'identification...
                          Chapitre 9 Le sixième sens...
                          Chapitre 10 Les sorciers toltèques...
                          Conclusions... p285

                          1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                          • Un Ancien Utilisateur
                            Un Ancien Utilisateur @Invité dernière édition par

                            @statis06 "Ce qu'il y a de plus pitoyable au monde, c'est, je crois, l'incapacité de l'esprit humain à relier tout ce qu'il renferme." H.P. L

                            Un Ancien Utilisateur 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                            • Un Ancien Utilisateur
                              Un Ancien Utilisateur @Invité dernière édition par

                              @Lavinia a dit dans Carnet de voyages dans l'univers de la réflexion :

                              Ce qu'il y a de plus pitoyable au monde, c'est, je crois, l'incapacité de l'esprit humain à relier tout ce qu'il renferme

                              Lovecraft, pourquoi ne l'ai-je pas lu ?...

                              1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                              • Musings
                                Musings Banni dernière édition par Musings

                                Le dindon pigeonné.

                                La dinde colorée a trouvé son dindon
                                Paradant et gloussant , touché par Cupidon
                                il déploie fièrement les plumes de sa queue
                                Cachant son arrogance , son air belliqueux

                                -Savais-tu mon beau que je suis dinde de toi ?
                                À ces mots le dindon s'envola sur le toit
                                Accrochant au passage le sapin de Noël
                                Il crut à cet instant toucher le 7 ème ciel

                                Il n'en fallut pas moins qu'il perde la boule
                                Et revenant sur terre , accrocha une ampoule
                                Cassant la guirlande prévue pour la grand-messe
                                Le malheureux paiera pour cette maladresse

                                Le courant fatigué de faire du continu
                                Mit le feu à ses plumes ce qui le mit à nu
                                Et voilà le balourd qui sentait le roussi
                                se dit : 'Si j'avais su , j'aurais pas tant grossi

                                Voilà , à faire le beau , on se brûle les fesses
                                Tout ça pour un oiseau qui se la joue déesse
                                Mais en fait la beauté est plutôt une garce
                                Qui le fera plumer en dindon de la farce

                                Un anonyme.

                                1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                • Un Ancien Utilisateur
                                  Un Ancien Utilisateur dernière édition par Un Ancien Utilisateur

                                  "Votre raison et votre passion sont le gouvernail et les voiles de votre âme qui navigue de port en port.
                                  Si votre gouvernail ou vos voiles se brisent vous ne pouvez qu'être ballotté et aller à la dérive ou rester ancré au milieu de la mer.
                                  Car la raison régnant seule est une force qui brise tout élan. Et la passion livrée à elle-même est une flamme qui se consume jusqu'à sa propre extinction."

                                  Khalil Gibran

                                  1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                  • dante69
                                    dante69 dernière édition par

                                    J'en profite pour posté un de mes poèmes

                                    ''L'écorché doux''

                                    Effleurant avec douceur la brume du jour
                                    Tenant dans sa main un bouquet de rose
                                    Pour sa merveilleuse et Divine amour
                                    marchant haletant vers les ecchymoses
                                    De la venue du printemps
                                    Au plus profond sentiment
                                    Désarmé face a sa délicate promise
                                    Et ce terran comme il terrorise
                                    Sa muse imparfaite le laisse seul dans sont sommeil
                                    Et se découvrant en harmonie avec le ciel
                                    La déchéance comme pour compagne
                                    Il ce desole de voir ce drame
                                    Et parcourans les cieux
                                    Il en devient amoureux.

                                    Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger.
                                    Térence

                                    1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                    • dante69
                                      dante69 dernière édition par

                                      L'amour (poème)

                                      De le faire
                                      ce n'est pas l'essentielle
                                      ce n'est qu'une guerre
                                      traversant le temps
                                      sans laisser qu'une trace un gouffre
                                      au coeur d'une âme
                                      pourtant ont dit que la vie est belle
                                      et parfois au fil du temps
                                      elle parcours les gens
                                      devant ce pale reflet d'exactitude
                                      il ne reste que la vie sans éclat
                                      car apres tout c'est cela ,l'incertitude
                                      demande moi pas pourquoi
                                      dis moi et pourquoi pas
                                      il ne reste que des blessures
                                      celle du temps qui passe et laisse une
                                      trace
                                      comme si il ne reste que le vague a l'ame,le néant
                                      par ce qu'ici bas dans les rivages et les naufrages, des amours perdu
                                      des coeurs délaissé
                                      des coeurs oubliés
                                      le dernier recours peut etre l'amitié
                                      comme un appel au secours
                                      un souvenirs du passé
                                      qu'est ce que des corps s'entrelassant et ce délaissant
                                      pour finalement n'etre plus qu'un fardeau de la nature
                                      comme apparait le vent
                                      comme apparait la pluie du temps
                                      pour faire couler et diluer cette palette de l'image
                                      il faut que cela soit
                                      il faut que cela noie
                                      dans l'océan de la misère
                                      parfois si éphémère
                                      parfois sans repère
                                      la vague du tourment
                                      la vague des blessures
                                      il ne reste rien que des souvenirs
                                      rien que du plaisir
                                      rien qu'un simple désir
                                      effacé de la mémoire des coeurs d'avant
                                      des coeurs qui ce meurent lentement qui ce vide de toute lueurs
                                      le temps qui passe et qui efface toutes traces
                                      des corps qui s'ennivrais du délice de l'impure.

                                      Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger.
                                      Térence

                                      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                      • Un Ancien Utilisateur
                                        Un Ancien Utilisateur dernière édition par

                                        John Clare

                                        « Je suis – mais qui je suis, nul ne sait ou s’en soucie ;

                                        Mes amis me délaissent tel un souvenir vieux :

                                        De mes propres souffrances je me rassasie-

                                        Elles enflent et meurent dans un essaim oublieux

                                        Comme les ombres de nos affres amoureuses-

                                        Et pourtant je suis et je vis –ballotté, vaporeux,

                                        Dans le vaste néant du mépris et du bruit,

                                        Dans l’océan vivant des rêves éveillés

                                        Sans le moindre bonheur et sans la moindre vie,

                                        Seul le grand naufrage de mes vies estimées ;

                                        Et même les êtres que j’aime, les êtres chers,

                                        Me sont devenus étrangers –et je les perds.

                                        Je rêve de lieux ou nul homme n’a marché,

                                        Où nulle femme encore n’a souri ni pleuré,

                                        Ainsi là avec Dieu, toujours, y demeurer,

                                        Et rêver tel qu’enfant doucement j’ai rêvé,

                                        Serein et calme, couché dans un songe éternel,

                                        L’herbe en dessous –par-dessus, l’arche du ciel. »

                                        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                        • Un Ancien Utilisateur
                                          Un Ancien Utilisateur dernière édition par Un Ancien Utilisateur

                                          Espoir

                                          Ouvrir son cœur mais sans rancoeur
                                          Regarder cette ôte sans peur
                                          Qui prend le chemin de la liberté
                                          Comme souffle le vent dans les blés

                                          Avoir pour protecteur et frère pareil
                                          A cet être si diligent qu’est le soleil
                                          Qui sait mieux peut-être qu’un Dieu
                                          Ce qu’est l’amour des cieux

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                                          • Un Ancien Utilisateur
                                            Un Ancien Utilisateur dernière édition par

                                            La Cigale, ayant chanté
                                            Tout l'été,
                                            Se trouva fort dépourvue
                                            Quand la bise fut venue.
                                            Pas un seul petit morceau
                                            De mouche ou de vermisseau (1).
                                            Elle alla crier famine
                                            Chez la Fourmi sa voisine,
                                            La priant de lui prêter
                                            Quelque grain pour subsister
                                            Jusqu'à la saison nouvelle.
                                            Je vous paierai, lui dit-elle,
                                            Avant l'août (2), foi d'animal,
                                            Intérêt et principal.
                                            La Fourmi n'est pas prêteuse ;
                                            C'est là son moindre défaut (3).
                                            Que faisiez-vous au temps chaud ?
                                            Dit-elle à cette emprunteuse (4).
                                            Nuit et jour à tout venant
                                            Je chantais, ne vous déplaise.
                                            Vous chantiez ? j'en suis fort aise :
                                            Et bien ! dansez maintenant.

                                            laetie1804 apis 32 2 réponses Dernière réponse Répondre Citer 1
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