Les musiques tellement nulles qu'elles en deviennent cool !
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@parhasard Je pense qu'on a compris que pour toi les parodies Groland sont toutes des "musiques tellement nulles qu'elles en deviennent cool".
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@Shanna : Je te fais une confidence. Déconneur de naissance, j'adore la déconnade. Peu importe le flacon tant qu'on en retire l'ivresse. Bien sûr, ça n'ira jamais dans mon esprit jusqu'à Patrick Sébastien : chez lui c'est trop calculé et ça frise le mépris de classe (concept ô combien à la mode!).
Les parodies grolandaises s'inscrivent -ou s'inscrivaient, je ne sais pas si l'émission existe encore avec Bolloré aux manettes- dans la vieille tradition des chansonniers, avec en sus une touche de kitsch qui était propre à l'esprit Canal des débuts.Sur les vieilleries postées plus haut, figure-toi qu'on s'échangeait les tuyaux dans la cour de récré, en classe de 4ème, dans ce qu'on appelait notre "chasse aux ringards". On se refilait les cassettes de ce qu'on avait enregistré sur les stations périph' où ça passait (chez certains avec la complicité de leurs vieux). Comme j'ai bonne mémoire, je me suis souvenu de ces z'oeuvres.
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Atmosphère quinzaine commerciale sous chapiteau à Saint-André-de-Cubzac un samedi de 1975 et des poussières. La sono est pourrie, les haut-parleurs nous vrillent les tympans entre le marchand de barbe-à-papa, le fourgue de Perfectos en skaï véritable et le stand du négociant en jaja, c'est la voix auguste de Christian Delagrange et c'est toute une époque !
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Quand l'idole des jeunes de 1932 s'essayait à un semblant de début d'embryon de projet de mixtape house sous l'impulsion de fiston, ça donnait ceci :
