La transidentité, qu'en penser ?
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@barbouille a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
Alors je comprends pas très bien ou tu veux en venir, mais hors cadre des sexes, j'attends la même chose d'une femme, est ce donc vraiment une attente féminine ou juste humaine ?
Une attente humaine pour les êtres d'exceptions qui ont une idée quelque peu eugéniste de la perfection comme nécessité pour leur choix de conjoint...
Et en tout cas l'attente démesurée d'un certain nombre de femme à l'heure actuelle, qui n'ont d'ailleurs que rarement la même chose à proposer et veulent même être acceptées avec leurs défauts par des hommes, eux, d'exception...
Tu ne vois toujours pas le problème ?Par "certain nombre", je veux dire quoi à ton avis ? Toutes ?
Attente elle même en adéquation avec notre environnement sociale, j'entends par la et à titre d'exemple que pour moi une femme puissante n'est pas forcément une personne d'étaler 3 agresseur à main nue tout comme pour un homme d'ailleurs. Je trouve qu'un homme pleurant en pleine rue dans notre société d'aujourd'hui exprime bien plus de virilité que le gros bras qui roule des mécanique et intimide.
Mais bien sûr... Dans le discours c'est certain, dans les faits, c'est très différent. tu vois beaucoup d'hommes pleurer en pleine rue ? et d'ailleurs quel rapport ?
De base un homme ne pouvant être féministe (se serait encore imposé la vision masculine à ce que devrait être le féminisme et donc un non sens) il est soit un allié du féminisme soit contre le progrès sociale et donc oui Anti féministe. Le féministe pour moi porte très mal son nom, il devrait juste y avoir les personnes respectueuses d'un côté et les sexiste de l'autre.
Qu'un homme féministe impose sa vision masculine est là encore pour moi une abbération de langage propre à ce délire qui veut que les noirs doivent rester entre eux pour parler de discrimination, les femmes entre elles, etc.
C'est justement le lieu communautariste vers plus de discriminations, d'entre soi, de mise à distance de l'autre, de défiance, de sectarisme.
Le progrès social n'est pas univoque. Ce n'est plus un horizon radieux avec la statut en bronze du travailleur, ou de la femme, ou de l'étranger, marchant vers l'avenir béatifié !
Nous sommes à l'anthropocène ! Un progrès qui ravage la planète, qui montre que les haines sont multiples et viennent de partout, sans distinction de race, de couleur, de sexe, d'âge, de classe...Et non, nul part il n'y a que les gentils et les méchants bien calés de chaque côté !Les féministes ne souhaitant au final qu'être considéré également aux hommes donc juste échapper au patriarcat, tout comme je suis convaincu que si c'était l'inverse, les hommes essaierait juste de sortir du matriarchat, et dire que c'est impossible c'est oublié que ce n'est qu'un phénomène social et non pas une prédisposition physionomique (il a existait et existe encore des sociétés matriarchal).
Il y a DES féminismes... et toutes les féministes sont loin d'être d'accord sur tout entre elles !
Joan Scott, Caroline Fourest et Elisabeth Badinter suffiront à illustrer ce type de tensions.Je dois avoir de la chance d'arriver à plaire qui me trouve beau que je sois mal rasé, ou vêtu de vêtement pour être à l'aise et tout sauf chic et tendance. C'est quand même très cliché et loin de la vérité de ce que désire la généralité réel des femmes, voir même des personnes. On dirait presque que tu es formatés sans réel conviction propre par tout les média et extrême qui peut exister en oubliant ou omettant que la majorité se situe sur l'axe médian.
Néanmoins je peux comprendre ce que tu sens comme démesuré mais à mon sens cela viens seulement d'une partie infime et celle qu'on entend le plus. Une partie que la grande majorité en elle même n'approuve pas.Et tant mieux pour toi. Je n'ai pas dit que j'avais d'ailleurs moi-même des soucis de ce genre, même si, il m'est arrivé occasionnellement de recevoir des commentaires désobligeants, avec une volonté de blesser (même sans y arriver) et totalement "gratuit" de la part de femmes, heureusement plutôt rares. Mais j'ai observé, et ce phénomène est assez régulièrement rapporté, même si les hommes évitent de trop s'étendre sur leurs humiliations de ce type qui ne les valorisent pas. et je l'ai bien dit, c'est le fait de certaines... Je dis simplement qu'il y a une tendance inquiétante de ce point de vue.
C'est une simple question de vigilance et de ne pas laisser des dérives s'installer par inertie ! -
@leo a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
sommes- nous si bien nourris, voire gavés, autonomes, voire indépendants, que notre place dans le vivant nous serait devenue incompréhensible ? > Oui, notre impact sur le vivant le dénonce bien...
Mais sommes-nous déjà des êtres virtuels ?Cette conclusion, qui en dérange certains, n'en est pas moins vraie ;).
On s'est mis à affirmer que l'homme ( l'humain ) était au sommet de la création :
héritage judéo-chrétien du commandement de Dieu donné aux hommes dans la Génèse :
" soumettez le vivant, blablabla ".
Dans le même temps, on " tue " Dieu : on est libres, on ne lui doit rien !
Je ne dis pas pour autant qu'il faut être croyant pour comprendre notre place dans le vivant.
Mais le fait est qu'on assiste bien à une perte de repères, de valeurs aussi qui sont remplacés par
individualisme et matérialisme.
" sommes-nous déjà des êtres virtuels ? ": presque oui, vu comment beaucoup sont dépendants
des réseaux sociaux et des forums pour discuter...ce qui n'engage à rien.
Les autres derrière leur écran ne représentent pas un danger non plus, puisqu'il suffit d'éteindre l'ordi
pour que leur réalité ne soit plus.
( J'exclue les cas de harcèlement qui lui peut avoir des conséquences dramatiques).
Certains sont même adeptes des relations amicales ou amoureuses via ce biais.
Mylène Farmer chantait en 1991 " génération désenchantée "...
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@leo a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
Je parle de victimisation car il y a des victimes positives et d'autres négatives ! Il y a un intérêt à être certaines victimes plus que d'autres.
Je n'ai pas de mot... Juste, wtf ?
Seulement être une cible de haine raciste nouvelle, mais bon ton, plutôt fun et légitime.
Le racisme fun, c'est la première fois que j'entend ça...
Le sexisme existe encore, mais de qui est-il le fait ? qui sont les hommes les plus sexistes, dans quels pays l'homophobie est-elle le plus marquée, les femmes les plus opprimées ?
Ce n'est pas parce que c'est pire ailleurs que c'est bien ici. C'est ridicule comme argument.
Clémence est super sympa ! Mais où a-t-elle été sifflée dans la rue ?
J'aime beaucoup ce vieux cliché repris comme un leitmotiv... Où, dans quels quartiers ? J'ai passé beaucoup de temps à arpenter des rues, des quartiers en France et ailleurs... Je n'ai pas entendu une femme se faire siffler depuis... Je ne peux même pas m'en souvenir ! mais en tout cas plus de 30 ans.
Les femmes en France ne peuvent pas mettre un pied dehors sans risques ? Sans être agressées par des hommes ? A quelle fréquence ? Où ? Tous les hommes ?https://www.popcornfr.com/topic/4810/le-ras-le-bol-des-femmes?page=1
On en parle notamment ici.
Quant à se faire siffler dans la rue, ce n'est malheureusement pas si rare que tu le prétends.
A titre personnel, j'ai vécu en région parisienne jusqu'à il y a encore deux ans, et c'était récurrent. Depuis le covid j'étais en distanciel donc plus de transports en commun. Pour moi c'était surtout dans/autour des transports en commun. Et je n'ai même pas 30 ans, donc tu vois ça date d'il y a moins de 30 ans >.>.Et bien sûr que non pas tous les hommes. Qui dit ça ?
Et si les femmes peuvent être plus facilement inquiétée, j'en suis d'accord, il y a aussi des codes vestimentaires qui entrent en ligne de jeu.
Les filles en jupe l'ont bien cherché, ces petites aguicheuses, c'est ça ?
un homo en short à fleur
J'ai rit.
en continuant à valoriser une esthétisation des bas fonds et des bad boys dans les fictions, ce que regardent autant voire plus de femmes que d'hommes.
Tu as un exemple en tête ?
Et sur le regard, quels regards ? Faut-il qu'un homme (certains seulement ? sur quels critères ?) détourne systématiquement le regard ou baisse les yeux lorsqu'une femme entre dans son champs de vision ?
Il y a peut-être un juste milieu entre détourner systématiquement le regard dès qu'une femme entre dans le champ de vision d'un homme, et siffler les femmes dans la rue. Tu ne penses pas ?
Ce que j'entends par transition, c'est aller au moins jusqu'aux hormones et à une vie sociale "féminine". Et je ne suis pas le seul à l'entendre...
Je suis (en partie) d'accord pour dire que transitionner, c'est passer à une vie sociale du genre auquel on s'identifie. (tu parles d'une vie sociale "féminine", mais tu oublies les ftm).
Cela peut passer par des modifications de son apparence pour la mettre en accord avec son genre. Les hormones y participent, mais pas seulement. Les cheveux, les vêtements, la voix, les opérations de réassignation sexuelle, etc, tout ça y participe. Les hormones ne sont qu'un outil parmi d'autres. "Aller au moins jusqu'aux hormones" voudrait dire que c'est un passage obligatoire d'une transition. Mais la transition peut commencer avant d'avoir accès aux hormones (tu sais peut-être que ce n'est pas si facile que ça d'y avoir accès en France). Il y a aussi des personnes trans qui ne peuvent pas ou ne veulent pas avoir recours aux hormones. Ce qui ne les empêche pas forcément de vivre une vie sociale du genre qui leur correspond.
Mais bon, admettons. Je voulais surtout savoir si pour toi transitionner voulait forcément dire passer par la case opération, du coup je vois que non.J'ai parlé de cela par anticipation car c'est une erreur assez commune sur le sujet que cette soit disant explication de la différence mtf / ftm... Et j'étais à peu près certain que tu me la servirais !!!
Et comme tu l'as vu, je trouve aussi que ce n'est pas une explication satisfaisante. Ca peut être une partie de l'explication, tout au plus. Si tant est qu'il y ait quoi que ce soit à expliquer.
Rarement la dernière ? C'est à dire ? Parles-tu de l'administration, des papiers ?
Oui, mais pas seulement.
En France jusqu'à il y a peu, il était nécessaire d'avoir été opéré pour pouvoir changer d'état civil. (Ca a été simplifié en 2016 il me semble, mais même maintenant que ce n'est plus obligatoire, c'est quand même une procédure qui se fait au tribunal).
Evidemment, une fois l'état civil changé, il faut refaire faire tous ses papiers, carte d'identité, passeport, permis, carte vitale, etc. En général, ça c'est chiant car c'est des papiers, mais c'est quand même réjouissant.
Non mais l'opération n'est pas forcément la dernière étape d'une transition car même après l'opération, il faut continuer les hormones à vie (et donc le corps continue à changer). Car après une opération de réassignation sexuelle (ou avant, mais là on parle d'après) on peut choisir de faire d'autres opérations (mammoplastie, limage de la pomme d'adam, par exemple). Parce qu'on peut se faire opérer avant d'être "out" auprès de tous ses proches ou publiquement. Parce qu'on peut se faire opérer avant, après ou pendant le travail sur la voix par exemple, et la voix est souvent quelque chose d'important pendant une transition.Il est vrai que ce n'est pas quelque chose qui intervient "au début" d'une transition. Mais ce n'est pas forcément non plus la dernière. Et ce n'est pas non plus ce qui valide ou non une transition. Les personnes trans qui ne peuvent pas ou ne veulent pas se faire opérer ne sont pas moins valides que les autres.
Tout ça bien sûr, c'est sans même parler des gens qui ne peuvent pas se faire opérer car vivant dans un pays où ce n'est pas possible ou à une époque où ce n'était pas possible. Les personnes trans existaient et vivaient leur vie avant que les chirurgies de réassignation sexuelle existent. Tu dis que ça ne date pas d'hier, et c'est vrai, mais ce n'est pas non plus si veux que ça, ça date du 20ème siècle. Les personnes trans existent par contre depuis bien plus longtemps et dans toutes les cultures.
Non, ça n'explique rien puisque ce ne sont pas des chiffres de réassignation mais de troubles de genre, donc de consultations et d'enquêtes... aucun rapport donc avec le passage à l'acte.
Ah, il faudrait savoir ! C'est toi qui disais que les mtf seraient plus nombreuses à transitionner que les ftm. Je te demande ce que c'est pour toi la transition, tu me dis "aller au moins jusqu'aux hormones". Et maintenant tu me dis que ces chiffres concernent les consultations et enquêtes...
Mais du coup on est d'accord : ce n'est pas la difficulté de la phalloplastie qui explique le plus faible nombre de ftm que de mtf.Depuis quand les être humains évitent-ils de prendre des risques, de se mettre en danger, pour des raisons souvent irrationnelles ? C'est même un trait courant de notre espèce.
Dans les années 90, il y a eu une "mode" du barebacking dans les milieux gay...Quel est le rapport ?
La transidentité n'a rien à voir avec un comportement sexuel à risque.La socialisation ou la satisfaction de désirs sont bien plus urgents et importants pour la plupart des humains que le risque possible à venir. Ce qui fait, par exemple, que mettre "fumer tue" sur un paquet de tabac n'a qu'un impact marginal...
Pareil, aucun rapport.
Les personnes trans sont en général au contraire très conscientes des risques. Ce n'est pas pour rien que c'est si stressant de faire son coming out. Tu crois que les personnes trans ne se disent pas "et si je me fais rejeter par ma famille, mes amis ? Et si on me refuse l'accès aux hormones ? Et si je me fais virer par mon chef à cause de ça ? Et si je n'y arrive jamais ? Et si je me fais agresser ?".
Je ne peux pas parler pour toutes les personnes trans, mais pour prendre ce genre de décision, ce n'est pas à la légère. Ce n'est pas à la légère qu'on va s'exposer au rejet voire à la violence de notre propre famille. Il n'y a rien de plus horrible. Si ça se passe mal, ça peut être mortel.
Tu parles d'une mode. Croire que c'est une mode, c'est aussi stupide que croire que l'homosexualité est une mode.
La transidentité a cela de différent avec l'homosexualité, que au moins pendant une période, c'est littéralement "marqué sur leur front" si elles sont trans ou pas. Pendant la transition, pendant cet "entre-deux" pendant lequel les gens ne savent pas s'ils doivent dire monsieur ou madame. Cet "entre-deux" où tu as peur à chaque fois que tu dois sortir tes papiers d'identité car ils ne correspondent pas au genre que tu exprimes.Le transsexualisme possède, entre autre, et massivement, un côté "glamour", cool, transgressif, post-moderne, qui suffit à attirer nombre de vécus en manque de quelque chose, d'une identité, d'une distinction, d'une originalité, etc.
cf ce que je viens de dire.
C'est juste ridicule. La transidentité n'a rien de récent. Tu dis toi même que la réassignation sexuelle ne date pas d'hier.
Tu oublies peut-être que pendant longtemps et il n'y a pas si longtemps que ça, les personnes trans étaient traitées comme des malades mentaux, "traitées" à coup de drogues et d'électrochocs. Tu oublies peut-être que les thérapies de conversion existent toujours. Là je parle de pays occidentaux oui, mais tu oublies peut-être aussi que la transidentité est punie de mort dans certains pays.
Mais oui c'est ça, c'est "glamour" d'être trans...C'est une forme de nouvelle mystique à mon sens ! Sa novlangue (cisgenre, non-binarité, etc.), son sectarisme, ses anathèmes, sa combativité, ne veut pas seulement une défense de situations individuelles sensibles, mais également une expansion, une valorisation, une supériorité de son modèle, soit disant innovant...
La novlangue consiste à appauvrir la langue, quel rapport avec les termes cisgenre et non-binarité ?
Et personne ne dit que c'est innovant... Tu ne trouveras aucun militant pour dire "oui la transidentité c'est innovant !". Au contraire, c'est quelque chose qui a toujours existé.
Au contraire, ce sont les réactionnaires qui prétendent que c'est une mode récente...Mais il y a actuellement une fermentation entre la libération des mœurs, le féminisme, la pornocratie galopante et d'autres luttes dont l'anti-racisme, qui cherche une post-émancipation, active, agressive, conquérante, sans qu'il y ait de réelle cohérence d'ailleurs. L'objectif me semble surtout être le changement pour le changement
Donc tout va bien dans le meilleur des mondes et aucune raison de changer quoi que ce soit ?
Le racisme, le sexisme, l'homophobie, la transphobie, l'handiphobie, la xenophobie, etc., tout ça c'est dans la tête des victimes, mais juste les victimes négatives hein. Les victimes positives, elles ne se victimisent pas ! Soyez une bonne victime et fermez là.
Bah non dsl.Non, justement... Un travesti est un transgenre qui a donc une transidentité
Une personne travestie est une personne qui s'habille avec des vêtements traditionnellement considérés comme du genre opposé au genre auquel elle s'identifie.
Une personne transgenre est une personne qui ne s'identifie pas au genre qu'on lui a attribué à la naissance.
Rien à voir donc. Un homme qui s'habille avec des vêtements traditionnellement considérés comme féminins est travesti, il se sent homme et se travesti pour une raison x ou y. Une femme transgenre qui porte des vêtements considérés comme féminins porte donc des vêtements qui correspondent à son genre. C'est justement l'inverse d'une personne travestie.
On peut être trans et se travestir, tout comme on peut être cis et se travestir.
Rien à voir.Le genre est une catégorie sociale pratique pour faire tenir ensemble des groupes humains, en particulier pour rendre efficace les attributions matrimoniales de façon à éviter les violences, l'accaparement des femelles par des mâles, l'exclusion des mâles faibles, etc.
J'aurais justement tendance à dire l'inverse : les dominations masculines sur les femmes, et même sur d'autres hommes perçus comme "faibles" sont justement le produit du système de genre.
Il est basé à l'origine sur une observation assez simple : il y a des sexes féminins qui produisent du masculin et du féminin, il y a des sexes masculins qui ne produisent rien directement.
Il y a les petites abeilles et les petites fleurs.
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@leo a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
@sylareen a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
Et c'est toi qui parlais de victimisation ^^.
Je parle de victimisation car il y a des victimes positives et d'autres négatives ! Il y a un intérêt à être certaines victimes plus que d'autres. Et souvent, les demandes de "réparations" donc d'espèces sonnantes et trébuchantes ne sont pas loin, ce qui est une instrumentalisation de la mémoire et des discriminations, qui agace d'ailleurs parfois certaines victimes !
Tu parles bien de la discrimination positive ?
Il n'y a aucune intérêt victimaire à être blanc... Seulement être une cible de haine raciste nouvelle, mais bon ton, plutôt fun et légitime. Nieras-tu que certain-e-s activistes parlent couramment, voire systématiquement, des vieux mâles blancs avec des intentions malveillantes ?
Je suis dans la case de l'homme blanc hetero cisgenre, et ouep mais perso je m'en bas le steack, cependant on peut pas nié que nos aïeux ont bien fais en sorte que la sociétée soient plus facile pour eux au détriment des minorité sous le seul prétexte que c'est la majorité. Plutôt que dès le départ commencé à créer une société où chacun est sa place. Et des vieux réac blancs à la con y en a, je pense notement à mon ancien patron qui vis encore à l'air de l'industrialisation vapeur d'après guerre.
Participes-tu de cela ?
Y a un mal à ça ? Après tout c'est un constat.
Ca serait bien si le sexisme n'existait plus mais on en est encore loin, alors qu'il s'inverse comme tu sembles le penser... C'est pas demain la veille.
Le sexisme existe encore, mais de qui est-il le fait ? qui sont les hommes les plus sexistes, dans quels pays l'homophobie est-elle le plus marquée, les femmes les plus opprimées ?
Tu serais en trains de faire remarquer qu'on entend plus les femmes crier au sexisme alors que les hommes ne disent rien ?
Par contre je ne comprend pas l'intérêt de préciser quel pays ou quel femme, c'est pire ailleurs tout comme c'est mieux, sa empêche de vouloir progresser ?Clémence est super sympa ! Mais où a-t-elle été sifflée dans la rue ?
J'aime beaucoup ce vieux cliché repris comme un leitmotiv... Où, dans quels quartiers ? J'ai passé beaucoup de temps à arpenter des rues, des quartiers en France et ailleurs... Je n'ai pas entendu une femme se faire siffler depuis... Je ne peux même pas m'en souvenir ! mais en tout cas plus de 30 ans.Les femmes en France ne peuvent pas mettre un pied dehors sans risques ? Sans être agressées par des hommes ? A quelle fréquence ? Où ? Tous les hommes ? Pour en avoir discuté avec de nombreuses femmes, rares sont celles à avoir été ne serait-ce qu'importunées plus de quelques fois dans leur vie. Je me doute que c'est plus fréquent dans certains quartiers ou lieux, mais est-ce réellement un climat de terreur oppressif ?
Encore une fois l'endroit à t'il un réel intérêt ? Je sais que ma compagne et ma belle sœur qui ont était élever dans un environnement urbain et se quartier de ne sentent pas en sécurité, sans pour autant avoir été victimes d'agressions ou quoi, je sais qu'il y a une parti de transmise de par leur éducation. Pour autant mes cousines et amies qui ont été élevée en campagne et qui ont été élevé de la même manière que les garçons n'ont jamais eu peur de sortir mais pour le coup ont déjà pour certaines subi des incivilités.
Ce n'est pas parce qu'on entend pas tombé l'arbre, qu'il ne tombe pas.Et franchement, il y a des quartiers ou homme ou femme savent, parfois d'instinct que se "promener" n'est pas une bonne idée. Et si les femmes peuvent être plus facilement inquiétée, j'en suis d'accord, il y a aussi des codes vestimentaires qui entrent en ligne de jeu. Une fille comme clémence se fera moins remarquer qu'un homme en petit costume dans certains lieux... Ou qu'un homo en short à fleur... Cela relève d'un comportement masculin de meute, pour lequel la loi est faite, mais il est illusoire de croire qu'on pourra le faire disparaître de l'espace public, surtout en continuant à valoriser une esthétisation des bas fonds et des bad boys dans les fictions, ce que regardent autant voire plus de femmes que d'hommes.
Pour ma part les personnes ne font pas le choix de leurs endroits de vie surtout s'ils ne si sentent pas en sécurité. Est ce pour autant qu'on doit pas faire en sorte qu'ils puissent arrêter de se sentir inquiet ? Par contre ce cliché sur les tenues vestimentaires, oh mon Dieu, il a était démontré qu'il n'y a aucune corrélation entre la tenue vestimentaire et les agressions notamment sexuelle. Et oh mon Dieu, sous quel prétexte une femme ne peut pas mettre une jupe sans que cela puisse dire: c'est open bar ? Idem, qu'est ce qui devrais t'inquiéter de te balader en costume trois pièces dans un quartier ? Tu as le droit de vouloir être elegant, tout comme le short à fleur réserver aux homo ? Tu me donnes envies d'en mettre rien que pour ça. Ce comportement tu le tiens de quel étude comportementale ? Le seul comportement de meute masculin dont j'ai connaissance c'est celui où l'homme chercher à dominer les autres du groupes pour montrer que c'est lui le chef. Mais la domination ne passe pas forcément par l'intimidation, l'agression ou autre terme renvoyant à du négatif.
Et sur le regard, quels regards ? Faut-il qu'un homme (certains seulement ? sur quels critères ?) détourne systématiquement le regard ou baisse les yeux lorsqu'une femme entre dans son champs de vision ? Cela, après les confinements va considérablement compliquer les relations humaines...
Je pense que quand on a pas l'habitude d'être regarder comme une proie on peut difficilement s'imaginer ce que cela fait. N'as tu jamais lancer un regard noir à certaines personnes ? Cela reste communicatif, le regard peut être bienveillant sans pour autant perturbant, bon nombre ne s'embête pas à dévorer des yeux sans gènes aucunes le corps d'autrui ? Mais il y a une différence entre maté en toute discretion pour le plaisir des yeux et bavé devant un décolleté, la différence c'est les manières et le respect, et ça c'est pas qu'une question de sexe, je suis persuadé que n'importe quelle nana hetero du fofo à déjà regarder le popotin d'un monsieur dans la rue, sans bavé devant.
Que dit ce besoin de disciplinarisation de notre société ?
Disciplinarisation ou civisme, savoir vivre et respect ?
L'espace public est considérablement plus sûr qu'il y a un siècle, surtout de nuit (mis à part les quartiers évoqués). Sommes-nous plus chatouilleux ? trop nombreux pour ne pas se taper sur les nerfs ? Y-a-t-il une recrudescence de comportements agressifs discrets et calculés ? Et en ce cas dû à quoi ?
Je sais pas sur quoi tu te bases pour affirmer cela mais je suis pas convaincu qu'en 1920 à l'après guerre mondiale et avec la solidarité de reconstruction l'espace public était moins sûr. Je pense surtout qu'avec la paix les langues se délie et qu'avec le manque de moyen dans l'éducation du civisme aujourd'hui des le plus jeune âge, ainsi que la ghettisation des quartiers et le communautarisme il y a une recrudescence de la violence.
Je ne dis pas que l'inversion de la violence est réalisée, mais elle a déjà bien avancé... Et je dis qu'elle est surtout désirée ! Et cela reste très problématique de ce manque de désir d'égalité pour, au final constater que nous n'apprenons pas grand chose, collectivement, et que beaucoup de femmes sont de simples êtres humains avec les même motivations que les hommes à qui elles veulent prendre les places de domination qu'elles convoitent...
Euh, je pense que tu es encore dans le cliché, peut être certaines femmes veulent le "pouvoir" mais encore une fois cela reste une minoritée non supporté par la majorité. J'ai l'impression que pour toi, il faut forcément une bascule de se dis "pouvoir" pour se sentir en sécurité et respecté en tant qu'individu et pas en tant que porteuse d'uterus. Et mettre tous les hommes dans la partie ou tous les hommes sont motivé à avoir le pouvoir... Alors là... Non. Et non. Et rerenon.
C'est ce que veulent sûrement les hommes élevés dans un patriarcat exacerbés et qui ont était endoctriné à cela. Mais pas la majorité des hommes d'aujourd'hui clairement. Des qu'on veut vivre pepouze, respecter et avec ton prochain pour faire avancer l'humanité il faut que tu es le pouvoir en main ? C'est un non sens, il n'y a pas d'humanisme la dedans et je pense que c'est ça ce que souhaite la majorité des gens et ceux peut importe la minorité d'où elle vient. Et cela ne passera pas par l'égalité mais par l'équité des moyens.La différence de moyens ne change donc rien à la finalité !
Car tu penses que le féminisme c'est le pouvoir des femmes sur la société hors c'est faux.
Pour revenir à la phrase à laquelle je réagissais plus haut, tu dis que plus de mtf transitionnent que de ftm. Mais du coup, qu'est-ce que tu entends par "transitionner" ?.
Ce que j'entends par transition, c'est aller au moins jusqu'aux hormones et à une vie sociale "féminine". Et je ne suis pas le seul à l'entendre...
Tu parles de phalloplastie. Est-ce que pour toi transitionner c'est effectuer une opération de réassignation sexuelle ?
J'ai parlé de cela par anticipation car c'est une erreur assez commune sur le sujet que cette soit disant explication de la différence mtf / ftm... Et j'étais à peu près certain que tu me la servirais !!!
Pourtant ce n'est qu'une étape dans une transition. Une étape que certaines personnes trans ne veulent pas et/ou ne peuvent pas effectuer. Ce n'est pas la première étape et rarement la dernière.
Rarement la dernière ? C'est à dire ? Parles-tu de l'administration, des papiers ?
C'est clairement un événement important pour les personnes qui choisissent d'y avoir recours, mais ça reste juste une étape ^^.
Comme tu le dis, la phalloplastie c'est compliqué. Ce qui peut peut-être en partie expliquer pourquoi il y aurait moins de ftm que de mtf. Ca n'empêche pas des hommes trans qui ne veulent pas ou ne peuvent pas se faire opérer de faire une transition.Non, ça n'explique rien puisque ce ne sont pas des chiffres de réassignation mais de troubles de genre, donc de consultations et d'enquêtes... aucun rapport donc avec le passage à l'acte.
Tu poursuis en parlant des femmes trans qui ne sautent pas le pas à cause des stigmatisations, agressions, difficultés au travail, etc. Toutes les discriminations à l'égard des personnes trans qu'on peut trouver dans notre société, allant parfois jusqu'à la violence physique et la mort, et à cela peut se rajouter des difficultés de ce type au sein même de la famille. Bref, tu vois bien (et @ayamé peut-être aussi) que ce n'est pas un "phénomène à caractère social et culturel" ou "plus désirable que d'être un homme"...
D'ailleurs si c'était ça, les ftm n'existeraient tout simplement pas.J'ai exposé ces risques, donc fais moi grâce de considérer que je les ai pris en compte pour dire que c'est un phénomène social et culturel...
Depuis quand les être humains évitent-ils de prendre des risques, de se mettre en danger, pour des raisons souvent irrationnelles ? C'est même un trait courant de notre espèce.
Dans les années 90, il y a eu une "mode" du barebacking dans les milieux gay...La socialisation ou la satisfaction de désirs sont bien plus urgents et importants pour la plupart des humains que le risque possible à venir. Ce qui fait, par exemple, que mettre "fumer tue" sur un paquet de tabac n'a qu'un impact marginal...
Le transsexualisme possède, entre autre, et massivement, un côté "glamour", cool, transgressif, post-moderne, qui suffit à attirer nombre de vécus en manque de quelque chose, d'une identité, d'une distinction, d'une originalité, etc.
Cela n'enlève rien à celles et ceux qui ont une véritable dysphorie de genre (encore qu'il faudrait travailler longuement le sujet entre représentations anthropologiques de genre et homosexualité). Mais impose justement une analyse fine et longue des motivations... Pour éviter justement ce masquage social.Crois-tu que sociologues et médecins n'ont pas justement pensé à ça ? La réassignation sexuelle ne date pas d'hier !
Mais il existe un militantisme, radical, très lié au mouvement des intersectionnalités, qui est animé d'une rage de conversion !
C'est une forme de nouvelle mystique à mon sens ! Sa novlangue (cisgenre, non-binarité, etc.), son sectarisme, ses anathèmes, sa combativité, ne veut pas seulement une défense de situations individuelles sensibles, mais également une expansion, une valorisation, une supériorité de son modèle, soit disant innovant...
Les mœurs ont très souvent été des terrains d'utopies sociales... certaines sectes dans l'antiquité, et même quelques unes chrétiennes au moyen âge (dont les dolciniens), jusqu'au phalanstère de fourrier et son nouveau monde amoureux...
Mais il y a actuellement une fermentation entre la libération des mœurs, le féminisme, la pornocratie galopante et d'autres luttes dont l'anti-racisme, qui cherche une post-émancipation, active, agressive, conquérante, sans qu'il y ait de réelle cohérence d'ailleurs. L'objectif me semble surtout être le changement pour le changement, et le désir individuel comme absolu, sans aucune limite ni aucune interrogation sur les effets sociaux et culturels potentiels, vus comme des freins, relents démoniaques d'un passé sale, honnis, proscris.@sylareen a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
@ayamé a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
en transgenre, intersexe, transidentité, travestis, etc.
Tous ces mots qualifiants différents n'en cachent pourtant qu'un seul en sous-entendu :
la souffrance de ne pas être accepté dans leur différence par rapport à la majorité.Oui enfin ça recouvre quand même plusieurs réalités bien différentes ^^.
Non, justement... Un travesti est un transgenre qui a donc une transidentité, un intersexe n'a pas obligatoirement à voir avec une transidentité, mais cela pourra être le cas.
Et les groupuscules et communautés x y w z z' etc. ne sont pas toujours d'accord entre eux, préférant créer du vocabulaire pour se particulariser. Je ne dis pas qu'il n'y a pas parfois des réalités derrière certains ressentis mais tout ce qui est humain est social ! Et c'est un peu court de simplifier les vécus, les parcours de vie dans des reformulations de genre.
Le genre est une catégorie sociale pratique pour faire tenir ensemble des groupes humains, en particulier pour rendre efficace les attributions matrimoniales de façon à éviter les violences, l'accaparement des femelles par des mâles, l'exclusion des mâles faibles, etc. Il est basé à l'origine sur une observation assez simple : il y a des sexes féminins qui produisent du masculin et du féminin, il y a des sexes masculins qui ne produisent rien directement.Alors, oui, certes, un artiste qui regarde un tronc d'arbre y voit peut être déjà une sculpture, mais l'idée d'une société avant de permettre la liberté de chacun de faire et d'être ce qu'il veut, voire même sans lien avec un quel qu’autre être humain, c'est de faire survivre des animaux humains, assez fragiles seuls dans la nature, donc en les regroupant et les faisant collaborer (ce qui n'est pas si évident...!) Est-ce si difficile à comprendre de nos jours ? sommes si bien nourris, voire gavés, autonomes, voire indépendants, que notre place dans le vivant nous serait devenue incompréhensible ?
Alors j'ai pas tout compris ou tu voulais en venir concernant la transidentité et tout ce qui y est lié, phénomène de mode ? Euh, je crois pas, j'entends par là que si on en entends parler aujourd'hui plus qu'avant c'est surtout parce que la société a évoluer pour le permettre. C'est comme dire qu'il y a plus d'homo aujourd'hui qu'avant alors que c'est juste moins mal vu par la société. D'autant plus qu'il y en a dans tout le règne animal, ça a toujours exister. Après il faut tout de même nuancer, des femmes se travestisser en homme pour échapper au poids patriarcal de la société depuis des siècles. Peut être certains le font par plaisir et encore je vois pas en quoi c'est une raison pour les stigmatisés. La preuve la plus évidente que j'ai, c'est la fille du voisin qui a 8 ans et qui a échappé à toute cette influence societal sur la guerre des sexes à dit à son père qui est un homme blanc cis genre hetero qu'elle voulait être un garçon mais d'une manière réfléchi et ou elle a réussi à faire comprendre qu'être dans ce corps de petite fille c'est une souffrance pour elle. Alors.... Phénomène de mode ? D'autant plus que le père n'était pas préparer à ça et accompagne son enfant comme il peut afin qu'il puisse grandir le p'us heureux possible, peut être cela lui "passera" peut être pas, d'ailleurs elle est suivie (plus pour l'accompagner dans sa minoritée que pour y déceler un quelquonque trouble du comportement).
Le truc c'est que si ce phénomène peut s'expliquer par les gènes, il va seulement progresser car nous somme en temps de paix et les gènes vont continuer à s'échanger et que les minorités ont une plus grande chance de survie.
D'ailleurs pour ceux et celles qui sont encore dans leur croyance que l'homosexualité n'est pas naturel, je vous invite à faire des recherches sur l'homosexualité expliqué scientifiquement. J'ai juste transposé ce qui s'applique à l'homosexualité avec la transidentitée. D'ailleurs je pourrais même allez plus loin en vous parlant d'autres espèces animal. Notement chez le lion, ou de plus en plus de lionne on la crinière qui pousse tel un mâle et devienne l'alpha du groupe.Oui, remarque... notre impact sur le vivant le dénonce bien...
Mais sommes-nous déjà des êtres virtuels ?
En conclusion, qu'est ce que ça peut nous foutre les raisons pour laquelle une femme veut un zguegue ou un homme un vagin ? Ce qui le défini c'est ça ? Son moyen reproducteur ? Moi tant que c'est pas un con ça me va très bien et j'encourage même. Si tu te sens bien dans tes baskets et que tu emmerdes pas les autres y a pas de soucis. Ce qui m'emmerde le plus dans cette question sur la transidentité, c'est qu'à titre individuel ça va rien changer à ta vie et qu'au niveau de la société les gens seront plus heureux car ils seront libre de faire comme ils veulent. Donc ou est le problème ? C'est comme ci demain y avait des super prothèse de la mort et que tu decidé de couper ton bras pour mettre cette prothèse, la clairement c'est pas naturel du tout et pour autant... Qu'est ce que ça peut te foutre ?
Je ne vise personne c'est le coup de gueule comme ça hein. Juste mare.
Vous pouvez gueler sur les extrêmes sa c'est sur mais sur ceux qui aspirent à avoir la même liberté que les autres sans prendre de celle des autres.... Pourquoi ? Y a quelques choses à compenser ? Y a un complexe de supériorité ? Vraiment je ne comprend pas
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@sylareen a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
Seulement être une cible de haine raciste nouvelle, mais bon ton, plutôt fun et légitime.
Le racisme fun, c'est la première fois que j'entend ça...
Mais tu évites soigneusement pour se faire de répondre à ma question... n'est-ce pas ?
Le sexisme existe encore, mais de qui est-il le fait ? qui sont les hommes les plus sexistes, dans quels pays l'homophobie est-elle le plus marquée, les femmes les plus opprimées ?
Ce n'est pas parce que c'est pire ailleurs que c'est bien ici. C'est ridicule comme argument.
Belle tentative de déformation de mes propos puisque ce n'est pas ce que je dis. Ce n'est donc pas un argument mais une observation !
A laquelle tu n'as donc rien d'autre à redire, visiblement... Le vide !https://www.popcornfr.com/topic/4810/le-ras-le-bol-des-femmes?page=1
On en parle notamment ici.
Quant à se faire siffler dans la rue, ce n'est malheureusement pas si rare que tu le prétends.
A titre personnel, j'ai vécu en région parisienne jusqu'à il y a encore deux ans, et c'était récurrent. Depuis le covid j'étais en distanciel donc plus de transports en commun. Pour moi c'était surtout dans/autour des transports en commun. Et je n'ai même pas 30 ans, donc tu vois ça date d'il y a moins de 30 ans >.>.Tu peux dire ce que tu veux... Je t'invite à te suivre deux journée durant dans toute la capitale et nous verrons preuve à l'appui !
Et bien sûr que non pas tous les hommes. Qui dit ça ?
Et bien lesquels ? Quels hommes sont à stigmatiser et à ré-éduquer ?
Et si les femmes peuvent être plus facilement inquiétée, j'en suis d'accord, il y a aussi des codes vestimentaires qui entrent en ligne de jeu.
Les filles en jupe l'ont bien cherché, ces petites aguicheuses, c'est ça ?
Je n'ai justement pas utilisé ce cliché désuet... Ce pourquoi d'ailleurs tu tronques ma citation pour une utilisation frauduleuse et malveillante... On pourrait éviter ce type de mauvaise foi ?
un homo en short à fleur
J'ai rit.
Tu peux, l'homophobie fonctionne aussi là-dessus, c'est une exemple précis d'une connaissance qui s'est justement fait tabasser à cause de ça... Si ça te fait rire...
en continuant à valoriser une esthétisation des bas fonds et des bad boys dans les fictions, ce que regardent autant voire plus de femmes que d'hommes.
Tu as un exemple en tête ?
Tu veux des séries ? Type la casa de papel ? Tu as vraiment besoin d'une liste ?
Il y a peut-être un juste milieu entre détourner systématiquement le regard dès qu'une femme entre dans le champ de vision d'un homme, et siffler les femmes dans la rue. Tu ne penses pas ?
Si, et justement, je réitère... je n'ai pas entendu siffler une femme depuis des lustres. Et je réitère mon invitation, car je me promène dans des rues tous les jours !, et je suis pourtant assez attentif à mon environnement. Ça ne passe pas inaperçu un sifflement...
Ce que j'entends par transition, c'est aller au moins jusqu'aux hormones et à une vie sociale "féminine". Et je ne suis pas le seul à l'entendre...
Je suis (en partie) d'accord pour dire que transitionner, c'est passer à une vie sociale du genre auquel on s'identifie. (tu parles d'une vie sociale "féminine", mais tu oublies les ftm).
Je parlais originellement des mtf donc je n'ai pas fait une revue de détail... Merci d'éviter les incises mesquines de ce type.
Cela peut passer par des modifications de son apparence pour la mettre en accord avec son genre. Les hormones y participent, mais pas seulement. Les cheveux, les vêtements, la voix, les opérations de réassignation sexuelle, etc, tout ça y participe. Les hormones ne sont qu'un outil parmi d'autres. "Aller au moins jusqu'aux hormones" voudrait dire que c'est un passage obligatoire d'une transition. Mais la transition peut commencer avant d'avoir accès aux hormones (tu sais peut-être que ce n'est pas si facile que ça d'y avoir accès en France). Il y a aussi des personnes trans qui ne peuvent pas ou ne veulent pas avoir recours aux hormones. Ce qui ne les empêche pas forcément de vivre une vie sociale du genre qui leur correspond.
Ah... là je veux bien des exemples surtout en mtf, puisque pour les ftm, la confusion de genre est souvent moins difficile.
Et comme tu l'as vu, je trouve aussi que ce n'est pas une explication satisfaisante. Ca peut être une partie de l'explication, tout au plus. Si tant est qu'il y ait quoi que ce soit à expliquer.
Ah oui... si tant est ? Lorsque les explications possibles d'un fait dérange, il ne faut plus cherche d'explication ?
C'est une vraie question !!
Rarement la dernière ? C'est à dire ? Parles-tu de l'administration, des papiers ?
Oui, mais pas seulement.
En France jusqu'à il y a peu, il était nécessaire d'avoir été opéré pour pouvoir changer d'état civil. (Ca a été simplifié en 2016 il me semble, mais même maintenant que ce n'est plus obligatoire, c'est quand même une procédure qui se fait au tribunal).
Evidemment, une fois l'état civil changé, il faut refaire faire tous ses papiers, carte d'identité, passeport, permis, carte vitale, etc. En général, ça c'est chiant car c'est des papiers, mais c'est quand même réjouissant.
Non mais l'opération n'est pas forcément la dernière étape d'une transition car même après l'opération, il faut continuer les hormones à vie (et donc le corps continue à changer). Car après une opération de réassignation sexuelle (ou avant, mais là on parle d'après) on peut choisir de faire d'autres opérations (mammoplastie, limage de la pomme d'adam, par exemple). Parce qu'on peut se faire opérer avant d'être "out" auprès de tous ses proches ou publiquement. Parce qu'on peut se faire opérer avant, après ou pendant le travail sur la voix par exemple, et la voix est souvent quelque chose d'important pendant une transition.Mais comme tu l'as dit auparavant, la voix est souvent travaillée bien avant l'opération, puisque celle-ci arrive tout de même quasi toujours pour finaliser la transition. Tu en connais beaucoup qui ont commencé par l'opération ?
Et je ne parle pas de la pomme d'Adam, qui vient également le plus souvent avant. Pour la mammo, oui, éventuellement, c'est possible. D'accord.Les papiers c'est chiant, long surtout, mais ça tend à se simplifier assez bien maintenant. Après tu auras des tracasseries individuelles, oui, ça peut arriver, mais comme dans beaucoup d'autres cas. Mais rien de bien grave à ma connaissance. Tu as eu vent de choses graves ?
Il est vrai que ce n'est pas quelque chose qui intervient "au début" d'une transition. Mais ce n'est pas forcément non plus la dernière. Et ce n'est pas non plus ce qui valide ou non une transition. Les personnes trans qui ne peuvent pas ou ne veulent pas se faire opérer ne sont pas moins valides que les autres.
Nous en sommes d'accord ? Avais-je dit le contraire ?
Tout ça bien sûr, c'est sans même parler des gens qui ne peuvent pas se faire opérer car vivant dans un pays où ce n'est pas possible ou à une époque où ce n'était pas possible. Les personnes trans existaient et vivaient leur vie avant que les chirurgies de réassignation sexuelle existent. Tu dis que ça ne date pas d'hier, et c'est vrai, mais ce n'est pas non plus si veux que ça, ça date du 20ème siècle. Les personnes trans existent par contre depuis bien plus longtemps et dans toutes les cultures.
Je croyais qu'il ne fallait pas parler de pays ou c'était pire ? (Tu vois à quel point ce type de déviation du discours ne mène à rien ?)
Sur la transidentité dans l'histoire et les cultures, tu veux vraiment aborder le sujet ? C'est hautement discutable justement...
Quel est le rapport ?
La transidentité n'a rien à voir avec un comportement sexuel à risque.
Pareil, aucun rapport.Tu parlais de la difficulté à transitionner du fait des risques, de la difficulté du parcours, des jugements, etc.
Je te montre simplement que le risque n'arrête pas les êtres humains. C'est aussi simple que ça.
Les personnes trans sont en général au contraire très conscientes des risques. Ce n'est pas pour rien que c'est si stressant de faire son coming out. Tu crois que les personnes trans ne se disent pas "et si je me fais rejeter par ma famille, mes amis ? Et si on me refuse l'accès aux hormones ? Et si je me fais virer par mon chef à cause de ça ? Et si je n'y arrive jamais ? Et si je me fais agresser ?".
Je ne peux pas parler pour toutes les personnes trans, mais pour prendre ce genre de décision, ce n'est pas à la légère. Ce n'est pas à la légère qu'on va s'exposer au rejet voire à la violence de notre propre famille. Il n'y a rien de plus horrible. Si ça se passe mal, ça peut être mortel.Et donc je te montre que le risque n’arrête pas beaucoup d'êtres humains !!! Je dois l'écrire en gras ?
Les dangers sont potentiels, la satisfaction est quotidienne, présente. Parfois, il y a marche arrière, ou pause, etc. Justement parce que rares sont celles et ceux qui fonctionnent à l'anticipation totale et rationnelles des risques.
Tu es certaine de vouloir contester ça ?
D'autant que toutes les situations ne sont pas du tout problématique... Il existe justement maintenant, beaucoup de compréhension, de soutiens ! Nous ne sommes plus dans les années 80 de ce point de vue ! Je ne nie pas qu'il y est encore des difficultés puisque je l'ai évoqué, mais il ne faut pas surjouer et noircir le tableau !
Tiens d'ailleurs, as-tu vu la série Pose ?
Tu parles d'une mode. Croire que c'est une mode, c'est aussi stupide que croire que l'homosexualité est une mode.
Les sexualités peuvent aussi connaître des modes oui ! Surtout lorsque les individus se cherchent, sont incertains. et c'était tout le problème d'origine de ce débat.
Ce qui est stupide c'est d'essentialiser des comportements et des choix de vie. Penses-tu que le genre soit donc génétique ?
C'est juste ridicule. La transidentité n'a rien de récent. Tu dis toi même que la réassignation sexuelle ne date pas d'hier.
Tu oublies peut-être que pendant longtemps et il n'y a pas si longtemps que ça, les personnes trans étaient traitées comme des malades mentaux, "traitées" à coup de drogues et d'électrochocs. Tu oublies peut-être que les thérapies de conversion existent toujours. Là je parle de pays occidentaux oui, mais tu oublies peut-être aussi que la transidentité est punie de mort dans certains pays.
Mais oui c'est ça, c'est "glamour" d'être trans...Oui, cela a acquis un côté Glamour, ne t'en déplaise ! Et les Conchita Wurtz et Hassani sont là pour le signifier !
Je suis curieux de lire ton analyse misérabiliste de ces deux beautés ! Et surtout de ce qu'elles suscitent chez des jeunes...
C'est une forme de nouvelle mystique à mon sens ! Sa novlangue (cisgenre, non-binarité, etc.), son sectarisme, ses anathèmes, sa combativité, ne veut pas seulement une défense de situations individuelles sensibles, mais également une expansion, une valorisation, une supériorité de son modèle, soit disant innovant...
La novlangue consiste à appauvrir la langue, quel rapport avec les termes cisgenre et non-binarité ?
Depuis quand la novlangue consiste-t-elle à appauvrir ? citation de wikip : Hors du contexte du roman, le mot novlangue est passé dans l'usage, pour désigner péjorativement un langage ou un vocabulaire destiné à déformer une réalité, ou certaines formes de jargon.
Et personne ne dit que c'est innovant... Tu ne trouveras aucun militant pour dire "oui la transidentité c'est innovant !". Au contraire, c'est quelque chose qui a toujours existé.
As-tu lu Donna Haraway ?
Au contraire, ce sont les réactionnaires qui prétendent que c'est une mode récente...
Ben voyons... les noms d'oiseaux maintenant. pfff !
Donc tout va bien dans le meilleur des mondes et aucune raison de changer quoi que ce soit ?
Le racisme, le sexisme, l'homophobie, la transphobie, l'handiphobie, la xenophobie, etc., tout ça c'est dans la tête des victimes, mais juste les victimes négatives hein. Les victimes positives, elles ne se victimisent pas ! Soyez une bonne victime et fermez là.
Bah non dsl.Il y a une différence entre se défendre et attaquer, tu conçois cela ? Une différence entre vouloir l'égalité et vouloir imposer aux autres sa vision du monde et son utopie...
Etre une victime n'autorise pas tout ! Et surtout pas de vouloir faire le monde à son image.
Non, justement... Un travesti est un transgenre qui a donc une transidentité
Une personne travestie est une personne qui s'habille avec des vêtements traditionnellement considérés comme du genre opposé au genre auquel elle s'identifie.
Une personne transgenre est une personne qui ne s'identifie pas au genre qu'on lui a attribué à la naissance.
Rien à voir donc. Un homme qui s'habille avec des vêtements traditionnellement considérés comme féminins est travesti, il se sent homme et se travesti pour une raison x ou y. Une femme transgenre qui porte des vêtements considérés comme féminins porte donc des vêtements qui correspondent à son genre. C'est justement l'inverse d'une personne travestie.
On peut être trans et se travestir, tout comme on peut être cis et se travestir.
Rien à voir.Totalement et radicalement faux par réduction. Je te conseille simplement de te renseigner sur le travestissement et de lire les définitions de la transidentité... On va s'arrêter là puisqu'il faut au moins cette base commune pour aller plus loin...
J'aurais justement tendance à dire l'inverse : les dominations masculines sur les femmes, et même sur d'autres hommes perçus comme "faibles" sont justement le produit du système de genre.
Il y a les petites abeilles et les petites fleurs.Ah oui, et il a été mis en place par qui et comment ce système de genre ?
Tu peux avoir toutes les tendances que tu veux. Et ce type d'ironie est si désarmante de naïveté...
Donc idem, voire entre autre Françoise héritier, et on en reparlera !
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Quand on voit régulièrement dans l actu que des personnes se font tabasser, insulter, cracher dessus parce qu elles tenaient la main d une personne du meme sexe dans la rue, ou des ados se faire mettre dehors par leur famille parce qu ils ont fait leur coming-out je me dis qu il faut etre super courageux pour céder a un effet de monde
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@barbouille a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
Tu parles bien de la discrimination positive ?
Non, je fais référence à la volonté de certain-e-s de vouloir rester entre eux (noirs, femmes par exemple) pour discuter, et donc d'exclure dans une forme de racisme ou de sexisme, les blancs ou les hommes...
Je suis dans la case de l'homme blanc hetero cisgenre, et ouep mais perso je m'en bas le steack, cependant on peut pas nié que nos aïeux ont bien fais en sorte que la sociétée soient plus facile pour eux au détriment des minorité sous le seul prétexte que c'est la majorité. Plutôt que dès le départ commencé à créer une société où chacun est sa place. Et des vieux réac blancs à la con y en a, je pense notement à mon ancien patron qui vis encore à l'air de l'industrialisation vapeur d'après guerre.
Je ne le nie pas, mais tu veux faire un catalogue historique des atrocités commises ? L'Afrique pré-coloniale était loin d'être un pays de cocagne, et pas seulement à cause des maladies endémiques et des famines...
Je suis le premier à trouver logique le comportement économique de la Chine et à trouver affligeantes les lamentations des occidentaux sur les pratiques de concurrences ou de restriction financière chinoises, alors que le capitalisme industriel occidental s'est construit pour partie sur le colonialisme... qui n'était pas souvent 'loyal'...
Tu serais en trains de faire remarquer qu'on entend plus les femmes crier au sexisme alors que les hommes ne disent rien ?
Par contre je ne comprend pas l'intérêt de préciser quel pays ou quel femme, c'est pire ailleurs tout comme c'est mieux, sa empêche de vouloir progresser ?Je veux dire qu'on va dans la surenchère, et qu'on fait comme si toute la misère du monde venait de l'occident alors que le pire est ailleurs et ne fait pas mine de changer, bien au contraire. Le progrès ne vaut que s'il est partagé par tous ! Et dans un monde global, il faut d'abord faire du rattrapage ! et également éviter les excès communautaristes et sectaires ici.
Encore une fois l'endroit à t'il un réel intérêt ? Je sais que ma compagne et ma belle sœur qui ont était élever dans un environnement urbain et se quartier de ne sentent pas en sécurité, sans pour autant avoir été victimes d'agressions ou quoi, je sais qu'il y a une parti de transmise de par leur éducation. Pour autant mes cousines et amies qui ont été élevée en campagne et qui ont été élevé de la même manière que les garçons n'ont jamais eu peur de sortir mais pour le coup ont déjà pour certaines subi des incivilités.
Ce n'est pas parce qu'on entend pas tombé l'arbre, qu'il ne tombe pas.Effectivement, mais si on te dit que des forêt entière brûlent en permanence et que tu ne vois aucune fumée...
Le doute devient légitime. Non pas tant sur la réalité du feu que sur son étendue et sa localisation !Localisation qui a du sens oui. Du moins si on veut réfléchir constructivement à des solutions.
Pour ma part les personnes ne font pas le choix de leurs endroits de vie surtout s'ils ne si sentent pas en sécurité. Est ce pour autant qu'on doit pas faire en sorte qu'ils puissent arrêter de se sentir inquiet ? Par contre ce cliché sur les tenues vestimentaires, oh mon Dieu, il a était démontré qu'il n'y a aucune corrélation entre la tenue vestimentaire et les agressions notamment sexuelle. Et oh mon Dieu, sous quel prétexte une femme ne peut pas mettre une jupe sans que cela puisse dire: c'est open bar ? Idem, qu'est ce qui devrais t'inquiéter de te balader en costume trois pièces dans un quartier ? Tu as le droit de vouloir être elegant, tout comme le short à fleur réserver aux homo ? Tu me donnes envies d'en mettre rien que pour ça. Ce comportement tu le tiens de quel étude comportementale ? Le seul comportement de meute masculin dont j'ai connaissance c'est celui où l'homme chercher à dominer les autres du groupes pour montrer que c'est lui le chef. Mais la domination ne passe pas forcément par l'intimidation, l'agression ou autre terme renvoyant à du négatif.
Il y a des lieux plus dangereux que d'autres. C'est un fait. Faut-il y travailler ? Oui, mais en attendant, aller braver le danger n'a rien d'héroïque. Où et quand ais-je parlé de jupe ? tu te laisse abuser aussi facilement par les manipulations de notre interlocutrice ?
Je ne parlais justement pas d'agressions sexuelles ! car certains lieux sont dangereux, non pas sexuellement spécifiquement mais tout court ! Pour beaucoup de gens divers !
En pousser des cris d’orfraie n'y changera rien ! Et ce ne sont pas des comportements aussi simples. Il y a une mécanique de groupe derrière cela, il faut alors porter la critique sur l'éducation, faites par des hommes et des femmes, sur la concentration de situations sociales, sur les discriminations etc. C'est un peu plus complexe justement que "ah ben moi je veux aller partout où ça me chante, quand je veux ! parce que c'est mon drrrrroiiiitttt et qu'il faut faire respecter mon droit à moi !!!". Il faut faire avec des réalités,et le changement ne s'opère pas avec des anathèmes, surtout quand il sont flous et visent assez facilement les mauvaises cibles (souvent par lâcheté d'ailleurs).Disciplinarisation ou civisme, savoir vivre et respect ?
Tu as raison, mais justement, je vois se développer dans le même temps, une désinvolture face au vrai manque de respect dans le fait que chacun soit invité à faire ce qui lui plaît sans se soucier des autres (la circulation devient de plus en plus chaotique, la propreté et l'apropriation des espaces publics aussi, etc.), et une discipline, demandée quasiment aux seuls hommes sur la place qu'ils occupent, leurs jambes, leur regard, leur attitude... Qui plus est avec le sous-entendu qu'il ne faudrait le reprocher qu'aux hommes blancs, car si d'autres sont concernés alors, les critiquer serait du racisme... De fait, c'est un véritable deux poids deux mesures qui se construit et qui affaibli l'espace commun, pour en faire un chantier de schizophrénie intersectionnelle ...
Je sais pas sur quoi tu te bases pour affirmer cela mais je suis pas convaincu qu'en 1920 à l'après guerre mondiale et avec la solidarité de reconstruction l'espace public était moins sûr. Je pense surtout qu'avec la paix les langues se délie et qu'avec le manque de moyen dans l'éducation du civisme aujourd'hui des le plus jeune âge, ainsi que la ghettisation des quartiers et le communautarisme il y a une recrudescence de la violence.
Bien, je chercherais des textes ah... l’idéalisation du passé en fonction des intérêts du discours... (bah, pas grave ça a bien dû m'arriver aussi parfois !)
Euh, je pense que tu es encore dans le cliché, peut être certaines femmes veulent le "pouvoir" mais encore une fois cela reste une minoritée non supporté par la majorité. J'ai l'impression que pour toi, il faut forcément une bascule de se dis "pouvoir" pour se sentir en sécurité et respecté en tant qu'individu et pas en tant que porteuse d'uterus. Et mettre tous les hommes dans la partie ou tous les hommes sont motivé à avoir le pouvoir... Alors là... Non. Et non. Et rerenon.
Je ne mets pas tous les hommes dans cette motivation ! Très loin de là ! tout mon discours en témoigne !
S'il te plait ! tu m'as assez lu pour ne pas faire ce type de glissement !
Et je parle encore de certaines femmes, voire d'un certains nombre de femmes, car elles sont assez nombreuses ! Mais donc pas toutes !
Et j'ai l'impression que pour beaucoup de féministes, oui ! Il faut une bascule pour atteindre à un sentiment qui n'est donc pas seulement de respect mais de survalorisation. Et c'est bien ce qui pose problème. Car l'égalité implique un traitement strictement équivalent.C'est ce que veulent sûrement les hommes élevés dans un patriarcat exacerbés et qui ont était endoctriné à cela. Mais pas la majorité des hommes d'aujourd'hui clairement.
Ce qui voudrait dire que les récriminations sur "les" hommes sont donc bien devenues infondées ? Ou marginales ?
Des qu'on veut vivre pepouze, respecter et avec ton prochain pour faire avancer l'humanité il faut que tu es le pouvoir en main ? C'est un non sens, il n'y a pas d'humanisme la dedans et je pense que c'est ça ce que souhaite la majorité des gens et ceux peut importe la minorité d'où elle vient. Et cela ne passera pas par l'égalité mais par l'équité des moyens.
Peux-tu développer " l'équité des moyens " ?
Car tu penses que le féminisme c'est le pouvoir des femmes sur la société hors c'est faux.
C'est ce que veulent beaucoup de féministes à mon sens.
Alors j'ai pas tout compris ou tu voulais en venir concernant la transidentité et tout ce qui y est lié, phénomène de mode ? Euh, je crois pas, j'entends par là que si on en entends parler aujourd'hui plus qu'avant c'est surtout parce que la société a évoluer pour le permettre. C'est comme dire qu'il y a plus d'homo aujourd'hui qu'avant alors que c'est juste moins mal vu par la société. D'autant plus qu'il y en a dans tout le règne animal, ça a toujours exister. Après il faut tout de même nuancer, des femmes se travestisser en homme pour échapper au poids patriarcal de la société depuis des siècles. Peut être certains le font par plaisir et encore je vois pas en quoi c'est une raison pour les stigmatisés. La preuve la plus évidente que j'ai, c'est la fille du voisin qui a 8 ans et qui a échappé à toute cette influence societal sur la guerre des sexes à dit à son père qui est un homme blanc cis genre hetero qu'elle voulait être un garçon mais d'une manière réfléchi et ou elle a réussi à faire comprendre qu'être dans ce corps de petite fille c'est une souffrance pour elle. Alors.... Phénomène de mode ? D'autant plus que le père n'était pas préparer à ça et accompagne son enfant comme il peut afin qu'il puisse grandir le p'us heureux possible, peut être cela lui "passera" peut être pas, d'ailleurs elle est suivie (plus pour l'accompagner dans sa minoritée que pour y déceler un quelquonque trouble du comportement).
Laisser des enfants, qu'on ne reconnaît pas suffisamment mûrs pour tout un tas d'activités et de prises de décision, et à bon escient, prendre de telles décisions est un glissement grave ! Très symptomatique du désordre et de la confusion mentale de ce type de changement social désarticulé.
Le truc c'est que si ce phénomène peut s'expliquer par les gènes, il va seulement progresser car nous somme en temps de paix et les gènes vont continuer à s'échanger et que les minorités ont une plus grande chance de survie.
D'ailleurs pour ceux et celles qui sont encore dans leur croyance que l'homosexualité n'est pas naturel, je vous invite à faire des recherches sur l'homosexualité expliqué scientifiquement. J'ai juste transposé ce qui s'applique à l'homosexualité avec la transidentitée. D'ailleurs je pourrais même allez plus loin en vous parlant d'autres espèces animal. Notement chez le lion, ou de plus en plus de lionne on la crinière qui pousse tel un mâle et devienne l'alpha du groupe.Donc il y aurait un gène de l'homosexualité... hum, intéressant, des sources ?
En conclusion, qu'est ce que ça peut nous foutre les raisons pour laquelle une femme veut un zguegue ou un homme un vagin ? Ce qui le défini c'est ça ? Son moyen reproducteur ? Moi tant que c'est pas un con ça me va très bien et j'encourage même. Si tu te sens bien dans tes baskets et que tu emmerdes pas les autres y a pas de soucis. Ce qui m'emmerde le plus dans cette question sur la transidentité, c'est qu'à titre individuel ça va rien changer à ta vie et qu'au niveau de la société les gens seront plus heureux car ils seront libre de faire comme ils veulent. Donc ou est le problème ? C'est comme ci demain y avait des super prothèse de la mort et que tu decidé de couper ton bras pour mettre cette prothèse, la clairement c'est pas naturel du tout et pour autant... Qu'est ce que ça peut te foutre ?
Vous pouvez gueler sur les extrêmes sa c'est sur mais sur ceux qui aspirent à avoir la même liberté que les autres sans prendre de celle des autres.... Pourquoi ? Y a quelques choses à compenser ? Y a un complexe de supériorité ? Vraiment je ne comprend pasTu es réellement prêt à vivre dans une société qui permet à quelqu'un qui en a les moyens de devenir autre chose qu'un être humain ?
Mais as-tu encore une définition de l'être humain ?
Comment mesures-tu les impacts sur les autres ?Du moment qu'il n'y a pas d'impact visible à 3 mois sur d'autres individus, chacun peut faire absolument tout ce qu'il veut ? Vraiment ?
Je te laisse tout de même y réfléchir à deux fois !
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@icescream a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
Quand on voit régulièrement dans l actu que des personnes se font tabasser, insulter, cracher dessus parce qu elles tenaient la main d une personne du meme sexe dans la rue, ou des ados se faire mettre dehors par leur famille parce qu ils ont fait leur coming-out je me dis qu il faut etre super courageux pour céder a un effet de monde
Il faut peut-être ne pas regarder que TF1... Sinon, le monde est à feu et à sang en permanence partout ! Mettez des barreaux aux fenêtres et achetez des armes !
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@leo pas besoin de tf1 pour ça, l actu locale du quotidien régional suffit
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@icescream a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
@leo pas besoin de tf1 pour ça, l actu locale du quotidien régional suffit
Comprends moi bien. Je ne dis pas que ça n'existe pas, mais, comme je l'ai indiqué, il faut regarder où, quand comment par qui, à quelle fréquence... Sinon, on reste dans la confusion et on ne distingue pas ce qui fait sens. Ou alors, le premier qui a emporté l'émotion a simplement raison et point n'est besoin de s'interroger... Ni donc de discuter de quoique ce soit.
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Apparemment, on réclame des sources et des définitions.
-Un homme se déguise en femme et se balade dans les rues de Paris pour connaître la réalité du harcèlement de rue
.-Une femme décide de filmer son quotidien face au harcèlement de rue dans Bruxelles.
-L'homosexualité serait en partie liée à des facteurs génétiques ? Source : France Culture
Définitions données par le dictionnaire le Robert :
transidentité : (nom féminin)
Identité sexuelle psychique en discordance avec le sexe biologique.travesti : (adjectif et nom masculin)
1/
(adjectif)
Revêtu d'un déguisement.
2/
(nom masculin)
Homme (souvent, homosexuel) habillé et maquillé comme une femme.Attention, aujourd'hui il y a aussi des femmes qui se travestissent et même si elles sont minoritaires, elles ne sont pas inexistantes.
Et merci aussi de faire preuve d'un minimum de cordialité et de respect envers les autres quand ils disent être victime de harcèlement de rue tous les jours et que des personnes qui n'en sont pas victimes prétendent le contraire. C'est minimiser et remettre la culpabilité sur la victime. On notera aussi que le harcèlement de rue ce n'est pas qu'un sifflement, et même si ce n'est que ça c'est déjà trop.
@leo, tu fais beaucoup trop de raccourcis dans tes exemples même si ceux-ci peuvent partir d'une bonne intention, quelqu'un qui lit "un homme homo se fait agresser pcq il porte un short à fleurs", cest trop simpliste et erroné. Un homme hétéro aurait pu se faire agresser en portant le même vêtement si la raison de l'agresseur est son short.
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L'évènementiel est surmédiatisé et les médias quels qu'ils soient savent très bien y faire pour choquer notre émotionnel.
Or, il faudrait envisager les problèmes en se détachant un minimum des émotions, comme le stipule
à juste titre @leo, pour trouver des solutions qui ne correspondent pas à des sur-réactions.
Si les crimes sont jugés des mois voire des années après les actes, c'est bien pour permettre à la vivacité
des réactions émotionnelles d'être moins prégnante.
Léo, tu analyses les choses " à froid " ( et c'est la raison pour laquelle certains ici interprètent mal tes propos )
en mettant de côté ton émotionnel pour conserver le plus possible d'objectivité.
Mais le mettre de côté ne signifie en rien qu'on en est dépourvu ;). Cela permet d'aller plus en profondeur dans un débat.Je rebondis sur cet exemple :
la fille du voisin 8 ans, qui a échappé à toute cette influence societale sur la guerre des sexes, a dit à son père qui est un homme blanc cis genre hetero qu'elle voulait être un garçon mais d'une manière réfléchie et elle a réussi à faire comprendre qu'être dans ce corps de petite fille c'est une souffrance pour elle.
Ma soeur petite-fille tenait le même discours. Elle ne s'habillait qu'en pantalons, pas question de mettre robe ou jupe, se frappait le thorax pour empêcher ses seins de pousser, bref : un vrai garçon manqué.
Mes parents l'ont laissée faire, mais sans se dire pour autant : il faut l'accompagner dans son désir d'être un garçon. Les années ont passé, elle est tombée amoureuse ( d'un garçon ), s'est mariée et a fait volontairement 3 enfants alors que les changements du corps pendant la grossesse étaient pour elle une abomination .
Qu'en aurait-il été si elle avait été confortée dans son désir d'être un garçon dès l'enfance ?
Je pense comme @leo qui dit : " Laisser des enfants, qu'on ne reconnaît pas suffisamment mûrs pour tout un tas d'activités et de prises de décision, et à bon escient, prendre de telles décisions est un glissement grave ! Très symptomatique du désordre et de la confusion mentale de ce type de changement social désarticulé."
Ne pas rabrouer l'enfant mais ne pas trop cautionner non plus, car la puberté fait évoluer les choses.
Si le désir de changer de sexe perdure, car cela se peut aussi, il sera toujours temps de mettre en place les moyens pour y parvenir.
Cette confusion mentale que tu évoques , Léo, est un vrai problème de nos jours.
Mais rien que l'évoquer sera perçu comme un manque d'ouverture d'esprit alors qu'au contraire,
cela permet d'envisager plus sainement tous les tenants et aboutissants d'un problème. -
Ce message a été supprimé ! -
@leo a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
Tu peux dire ce que tu veux... Je t'invite à te suivre deux journée durant dans toute la capitale et nous verrons preuve à l'appui !
Suis quelqu'un d'autre stp, perso je trouve juste ça creepy.
Et bien lesquels ? Quels hommes sont à stigmatiser et à ré-éduquer ?
C'est toi qui part du principe que les hommes sont stigmatisés.
Je n'ai justement pas utilisé ce cliché désuet... Ce pourquoi d'ailleurs tu tronques ma citation pour une utilisation frauduleuse et malveillante... On pourrait éviter ce type de mauvaise foi ?
Tu parles des femmes qui sont plus inquiétées, et des codes vestimentaires qui entrent en ligne de jeu.
Du coup, qu'est-ce que tu voulais dire ?Tu veux des séries ? Type la casa de papel ? Tu as vraiment besoin d'une liste ?
Oui pour le coup je veux bien une liste car je ne vois pas de quoi tu parles.
Tu cites un exemple, casa de papel. Pour le coup je ne peux pas réfuter car je n'ai jamais regardé. Donc je veux bien d'autres exemples, mais au pire osef.Si, et justement, je réitère... je n'ai pas entendu siffler une femme depuis des lustres. Et je réitère mon invitation, car je me promène dans des rues tous les jours !, et je suis pourtant assez attentif à mon environnement. Ça ne passe pas inaperçu un sifflement...
Je doute que tu te promènes tous les jours dans toutes les rues de France toute la journée.
Personne n'a dit que dès qu'une femme sort dans la rue, elle se fait siffler du matin au soir en continu. Heureusement quand même !Cela peut passer par des modifications de son apparence pour la mettre en accord avec son genre. Les hormones y participent, mais pas seulement. Les cheveux, les vêtements, la voix, les opérations de réassignation sexuelle, etc, tout ça y participe. Les hormones ne sont qu'un outil parmi d'autres. "Aller au moins jusqu'aux hormones" voudrait dire que c'est un passage obligatoire d'une transition. Mais la transition peut commencer avant d'avoir accès aux hormones (tu sais peut-être que ce n'est pas si facile que ça d'y avoir accès en France). Il y a aussi des personnes trans qui ne peuvent pas ou ne veulent pas avoir recours aux hormones. Ce qui ne les empêche pas forcément de vivre une vie sociale du genre qui leur correspond.
Ah... là je veux bien des exemples surtout en mtf, puisque pour les ftm, la confusion de genre est souvent moins difficile.
Des exemples de quoi ? De personnes trans qui transitionnent sans hormones ?
Alors déjà, toutes les personnes trans qui commencent leur transition avant d'avoir accès aux hormones. Certaines personnes préfèrent attendre d'avoir les hormones avant de s'outer par exemple, d'autres non.
Mais il y a aussi des personnes trans qui ne veulent pas avoir recours aux hormones. Tu trouveras des exemples sur internet. Tiens, par exemple :
https://www.journaldemontreal.com/2016/01/29/mon-corps--nest-pas-un--obstacleMais dans tous les cas, on est bien d'accord que ce n'est pas le parcours "classique". Je ne remets pas ça en cause. Je dis juste qu'il ne faut pas oublier les personnes qui ont un parcours différent.
Ah oui... si tant est ? Lorsque les explications possibles d'un fait dérange, il ne faut plus cherche d'explication ?
C'est une vraie question !!
En quoi c'est un fait qui dérange ? Depuis le début ma question c'était "Tu dis qu'il y a plus de mtf que de ftm qui transitionnent, et alors ?"
Mais comme tu l'as dit auparavant, la voix est souvent travaillée bien avant l'opération, puisque celle-ci arrive tout de même quasi toujours pour finaliser la transition. Tu en connais beaucoup qui ont commencé par l'opération ?
Et je ne parle pas de la pomme d'Adam, qui vient également le plus souvent avant. Pour la mammo, oui, éventuellement, c'est possible. D'accord.Les papiers c'est chiant, long surtout, mais ça tend à se simplifier assez bien maintenant. Après tu auras des tracasseries individuelles, oui, ça peut arriver, mais comme dans beaucoup d'autres cas. Mais rien de bien grave à ma connaissance. Tu as eu vent de choses graves ?
Lis bien ce que j'ai écrit s'il te plait : "Il est vrai que ce n'est pas quelque chose qui intervient "au début" d'une transition".
Je n'ai jamais prétendu que c'était la première étape. Juste qu'il est illusoire de croire que c'est forcément la dernière et que c'est la "fin" de la transition, et que ça valide une transition.Pour les papiers, je dis justement que ce n'est pas grave. C'est chiant car c'est administratif, mais c'est réjouissant, c'est le moment où tu vas enfin avoir des papiers qui correspondent à ton identité. C'est une délivrance.
La procédure de changement d'état civil a été simplifiée en 2016. Avant cela, il était nécessaire d'avoir été opéré et donc stérilisé. Il était nécessaire de passer devant le tribunal, avec un avocat. Il était parfois nécessaire de subir des examens médicaux humiliants et invasifs pour s'assurer que tu as bien été stérilisé. Heureusement depuis 2016 c'est plus simple, mais ça reste quelque chose qui se fait au tribunal.Il est vrai que ce n'est pas quelque chose qui intervient "au début" d'une transition. Mais ce n'est pas forcément non plus la dernière. Et ce n'est pas non plus ce qui valide ou non une transition. Les personnes trans qui ne peuvent pas ou ne veulent pas se faire opérer ne sont pas moins valides que les autres.
Nous en sommes d'accord ? Avais-je dit le contraire ?
Non, je répondais juste à ta question me demandant ce que j'entendais par "rarement la dernière".
Je croyais qu'il ne fallait pas parler de pays ou c'était pire ? (Tu vois à quel point ce type de déviation du discours ne mène à rien ?)
Où est-ce que j'ai dit ça ?
Bien sûr que si il faut en parler.
Simplement, ce n'est pas parce que c'est pire ailleurs qu'on peut ignorer les problèmes ici en disant "c'est pire ailleurs !".Les dangers sont potentiels, la satisfaction est quotidienne, présente. Parfois, il y a marche arrière, ou pause, etc. Justement parce que rares sont celles et ceux qui fonctionnent à l'anticipation totale et rationnelles des risques.
Tu es certaine de vouloir contester ça ?
Mais évidemment qu'il y a de la satisfaction dans une transition. C'est même le but. Je n'ai jamais prétendu le contraire.
Le but d'une transition en général, c'est pouvoir vivre sa vie dans le genre auquel on s'identifie et en étant bien dans son corps. Evidemment que c'est satisfaisant. Evidemment que le but c'est d'être heureux.D'autant que toutes les situations ne sont pas du tout problématique... Il existe justement maintenant, beaucoup de compréhension, de soutiens ! Nous ne sommes plus dans les années 80 de ce point de vue ! Je ne nie pas qu'il y est encore des difficultés puisque je l'ai évoqué, mais il ne faut pas surjouer et noircir le tableau !
Tant mieux si tu ne le nie pas.
A l'inverse, on ne peut malheureusement pas dire que tout va bien.Les sexualités peuvent aussi connaître des modes oui ! Surtout lorsque les individus se cherchent, sont incertains. et c'était tout le problème d'origine de ce débat.
Ah d'accord, j'avais mal compris. Je pensais que tu disais que la transidentité était une mode. Mais qu'elle peut connaître des modes, ça peut-être oui, je ne sais pas.
Mais bon, la transidentité n'est pas une sexualité, donc on revient au point dé départ.Ce qui est stupide c'est d'essentialiser des comportements et des choix de vie. Penses-tu que le genre soit donc génétique ?
Je ne pense pas, néanmoins je ne peux pas l'affirmer. Ce qui ne veut pas forcément dire que c'est un choix.
Oui, cela a acquis un côté Glamour, ne t'en déplaise ! Et les Conchita Wurtz et Hassani sont là pour le signifier !
Qui ne sont pas trans, donc quel rapport ?
Depuis quand la novlangue consiste-t-elle à appauvrir ? citation de wikip : Hors du contexte du roman, le mot novlangue est passé dans l'usage, pour désigner péjorativement un langage ou un vocabulaire destiné à déformer une réalité, ou certaines formes de jargon.
"Depuis quand" lol.
"un langage ou vocabulaire destiné à déformer la réalité" => Pourtant les termes cisgenre et non-binarité décrivent une réalité.
"certaines formes de jargon" => A la limite oui. Mais tu remarqueras que les personnes trans veulent expliquer et faire comprendre ces termes.Il y a une différence entre se défendre et attaquer, tu conçois cela ? Une différence entre vouloir l'égalité et vouloir imposer aux autres sa vision du monde et son utopie...
Etre une victime n'autorise pas tout ! Et surtout pas de vouloir faire le monde à son image.
Et c'est tout ce que demande la majorité des gens : l'égalité.
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@leapierce a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
Apparemment, on réclame des sources et des définitions.
Bien !!!
Tes videos, que je connais bien, exposent bien des hommes particuliers, et non tous les hommes... Qui plus, il est difficile d'évaluer ce qui dans le regard porte sur une femme et porte ici sur une travestie, car je ne prendrais pas cette travestie pour une femme. Un homme, tout au début se retourne d'ailleurs sur elle, bien plus intrigué que séduit...
Le discours du militant va bien au-delà des images elles-mêmes.Qui plus est certains quartiers sont plus propices à ce harcelement, c'est ce que je disais ! Et c'est bien ce que montre la deuxième video. La jeune femme indique d'ailleurs qu'elle a été étonné par ces comportements dans ce quartier... Elle fait donc bien la comparaison implicite avec ce qu'elle avait connu avant...
Donc, merci pour ces video !
-L'homosexualité serait en partie liée à des facteurs génétiques ? Source : France Culture
As-tu bien écouté l'émission ?
Il y a une possibilité ! Une théorie, et celle-ci est-elle confirmée à ce jour ?Le débat entre innée et acquis perdurent depuis le 19e s. pour des raisons essentiellement idéologiques. Et les scientifiques n'ont pas toujours moins d'idéologie que les autres. Rendre innée des situations permet de les figer, de les imposer comme des déterminismes, et donc de valoriser le déterminisme biologique. Ce qui permet ensuite également de justifier les inégalités, les hiérarchies.
Tu noteras que B.C (Brice Couturier), indique que cela pourrait signifier pour les auteurs de ces études que l'homosexualité serait entre autre génétique, donc parfois un choix, parfois un gène. Et ceci, encore, ne relève que de l'hypothèse...
On voit enfin l'objectif : faire en sorte que les religions qui font de l'homosexualité une inversion n'aient plus d'arguments puisque cette situation échapperait alors au libre arbitre.
Rien de concluant donc.
Mais je veux bien que nous explorions d'autres sources. Car en attendant il existe chez tous les mammifères des comportements 'homosexuels', variables dans le temps. Les dauphins et les phoques sont connus pour ces comportements qui ne les empêchent nullement de copuler et de procréer par ailleurs avec des femelles. Chez les bonobos, les femelles ont beaucoup de rapports entre elles pour solidifier les relations dans le groupe. En prison, les comportements homosexuels sont très courant, etc.
Il y a une bisexualité, ou plus exactement une variabilité sexuelle, qui varie grandement entre opportunisme et obligations morales liées à nécessité ancienne d'alliance et de reproduction au sein des groupes humains.
Les assignations de genre sont donc en grande partie fonctionnelles. Les divergences si elles semblaient mettre en danger le groupe pouvaient, ou non, être sanctionnées, interdites, stigmatisées. Ainsi certaines sociétés ont toléré des divergences, d'autres ne s'en sont pas même réellement soucié, d'autres les ont prohibé avec violence.
Les choses peuvent même évoluer historiquement. L'Islam qui est si hostile et violent avec les homosexuels à l'heure actuelle a été durant des siècles assez tolérant de cette sexualité.Si un gène de l'homosexualité est un jour acquis scientifiquement comme le seul et unique déterminant de celle-ci, soit. Mais ce n'est pas le cas pour le moment.
Et je n'attache pas le respect des homosexuels et de leur liberté sexuelle à un tel gène. Le choix d'être homo, puis hétéro, puis homo à l'envie, revient pour moi au même que de manger des fraises le lundi et des abricots le jeudi...Et c'est plutôt ce libre choix qui doit être progressivement diffusé pour être accepté.
Définitions données par le dictionnaire le Robert :
transidentité : (nom féminin)
Identité sexuelle psychique en discordance avec le sexe biologique.Et c'est moi qui suit réducteur !!!! Ahahahah !!!!
travesti : (adjectif et nom masculin)
1/
(adjectif)
Revêtu d'un déguisement.
2/
(nom masculin)
Homme (souvent, homosexuel) habillé et maquillé comme une femme.Merci de lire l'article de wikip sur la transidentité plutôt que de réduire tout d'un ou deux mots !
Attention, aujourd'hui il y a aussi des femmes qui se travestissent et même si elles sont minoritaires, elles ne sont pas inexistantes.
Et cela suit aussi des modes et des circonstances socio-culturelles, comme la mode des garçonnes dans les années 30.
Et merci aussi de faire preuve d'un minimum de cordialité et de respect envers les autres quand ils disent être victime de harcèlement de rue tous les jours et que des personnes qui n'en sont pas victimes prétendent le contraire. C'est minimiser et remettre la culpabilité sur la victime. On notera aussi que le harcèlement de rue ce n'est pas qu'un sifflement, et même si ce n'est que ça c'est déjà trop.
Mettre en doute les sifflements n'est pas un manque de respect mais un doute légitime. Il est trop facile surjouer. Et cela dénote justement une tendance à la surévaluation, dans une intention bonne certes, mais très problématique pour faire avancer réellement les choses.
Et cela ne culpabilise en rien quiconque ! il n'y a pas de relation de cause à effet.
Sur les autres formes de harcèlement, bien réelles, je maintiens et maintiendrais qu'il faut s'interroger sur les circonstances pour mieux comprendre et trouver des solutions (quel discours, à qui, où, sous quelles modalités)@leo, tu fais beaucoup trop de raccourcis dans tes exemples même si ceux-ci peuvent partir d'une bonne intention, quelqu'un qui lit "un homme homo se fait agresser pcq il porte un short à fleurs", cest trop simpliste et erroné. Un homme hétéro aurait pu se faire agresser en portant le même vêtement si la raison de l'agresseur est son short.
Et ce n'est pas un raccourci de ma part mais une mauvaise lecture de ta part... Mon propos était justement (je ne prenais pas l'exemple fallacieux d'une mini-jupe à cause de cela), de montrer que les circonstances d'agressions sont complexes à lire (entendre à analyser).
Le costume que je prenais aussi en exemple, était porté par un noir... (enfin métis) si je dis cela vas-tu penser qu'il a été agressé par des skins parce qu'il était noir ?
Non, tu ne vas plus le penser puisque je te pose la question, mais tu aurais pu le penser !
Or il ne s'est pas fait agresser (une gifle) "que" pour son portefeuille et son portable. Et il y avait deux noirs dans ses agresseurs...
En revanche, il trouve lui même très "con" d'être passé par là, sachant pertinemment que le lieu était connu pour n'être pas sûr...Cela ne veut pas dire non plus qu'il excuse ses agresseurs. Ce sont eux qui ont commis un délit, pas lui. Mais il aurait pu l'éviter en évitant ce lieu, à cette heure surtout.
Faire usage de sa raison n'invite pas les agresseurs à conserver leurs comportements ! mais à ne pas confondre vouloir le monde et vivre le monde !
Il est dommage qu'il y ait des dangers en ce monde. Et il est plutôt sain de vouloir l'améliorer. Mais il est très bête de faire comme si ces dangers n'existaient pas sous prétexte qu'ils ne devraient plus exister !Donc, être prudent et attentive.
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@leo a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
@barbouille a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
Non, je fais référence à la volonté de certain-e-s de vouloir rester entre eux (noirs, femmes par exemple) pour discuter, et donc d'exclure dans une forme de racisme ou de sexisme, les blancs ou les hommes...
Je ne vois pas en quoi vouloir rester uniquement dans sa communauté ou groupe etc, exclu ceux qui n'en font pas parti. Après, tout dépend des actes précis, mais si une personne c'est fait agresser par une personne ne faisant pas partie de son cercle de confiance. Peut on raisonnablement reproché à une femme arabe violenté par un noir de ne plus vouloir avoir d'interaction avec une personne noir ?
Non, clairement pas. Cependant peut on reproché à quelqu'un de rester entre noir car pour cette personne, les noirs sont supérieurs aux autres. Oui, le communautarisme n'a rien de bon pour la société contrairement à la communautéJe ne le nie pas, mais tu veux faire un catalogue historique des atrocités commises ? L'Afrique pré-coloniale était loin d'être un pays de cocagne, et pas seulement à cause des maladies endémiques et des famines...
Je parle surtout de mon environnement proche que je connais et surtout, sur lequel je peux agir. Et il y a une différence entre omettre volontairement et faire des généralités, tu ne nies pas, pour autant tu ne l'as pas pris en considération dans tes propos.
Je veux dire qu'on va dans la surenchère, et qu'on fait comme si toute la misère du monde venait de l'occident alors que le pire est ailleurs et ne fait pas mine de changer, bien au contraire. Le progrès ne vaut que s'il est partagé par tous ! Et dans un monde global, il faut d'abord faire du rattrapage ! et également éviter les excès communautaristes et sectaires ici.
Pour le coup parle t'on encore de trans-identité ? Le progrès à quel échelle ? donc si la majorité de la population mondiale n'évolue pas comme moi cela ne sers à rien ? Je n'ai à mon échelle que faire du taïwanais qui violente les enfants du voisins dans la mesure ou à mon niveau je ne
peux que condamné verbalement un tel acte, pour autant j'ai le droit et le pouvoir de faire en sorte que cela n'arrive pas à mes enfants et surtout que mes actions peuvent dépassé et de loin la condamnation verbale. Et oui j'aimerais bien qu'un jour cela ne se produise pas ailleurs, pour autant si personne ne change, rien ne changera. Ce qui entraine un véhicule ne sont pas les roues mais le moteur.Effectivement, mais si on te dit que des forêt entière brûlent en permanence et que tu ne vois aucune fumée...
Le doute devient légitime. Non pas tant sur la réalité du feu que sur son étendue et sa localisation !
Localisation qui a du sens oui. Du moins si on veut réfléchir constructivement à des solutions.Pour autant tu n'es pas chirurgiens ou astronaute et tu sais qu'il est possible de greffer un cœur et que la terre est ronde, par apprentissage et non par par la pratique ou l'observation. Il n'y pas pas de désinformation concernant les actes sexistes, seul l'amplitude peut changer, ainsi dans mon travaille, n'ayant aucune femme au niveau de la production j'ai la chance d'échapper aux blagues déplacés, aux mains aux fesses et autres harcèlement que nombre de me anciens camarade de classe peuvent témoigné dans leur usine, de plus il m’apparaît tout à fait normal que dans des endroits à la densités de population plus élevés il y est un phénomène plus important. Tu as plus de chance en ville de rencontré 15 personnes mal éduqué que 15 en campagnes. Cependant en terme de proportion, pas sur que la différence soit éloigné.
Il y a des lieux plus dangereux que d'autres. C'est un fait. Faut-il y travailler ? Oui, mais en attendant, aller braver le danger n'a rien d'héroïque. Où et quand ais-je parlé de jupe ? tu te laisse abuser aussi facilement par les manipulations de notre interlocutrice ?
J'étais en train d'écrire mon poste quand Sylareen t'a répondu, du coup, Je pense que tu devrais prendre du recul sur la façon dont tu exprimes les choses si plusieurs personnes comprennent la même chose suite à tes propos, tout est dans ton intérêt.
Je ne parlais justement pas d'agressions sexuelles ! car certains lieux sont dangereux, non pas sexuellement spécifiquement mais tout court ! Pour beaucoup de gens divers !
Bien sur, c'est dangereux pour un noir d'aller à un regroupement de néonazi et pour la police et les pompiers d'aller dans certains quartier. Mais du coup je n'ai pas compris ou tu voulais en venir avec ce fait, peut être que comme c'est le cas pour d'autre chose que la trans-identité, les femmes et autres cela t’apparaît donc comme plus acceptable ou normal ? Si tel est le cas, Effectivement, il y a des lieux ou peut importe le motif tu as plus de chance de te faire agresser que d'autre quelqu’un soit la raison. Hors ce n'est pas le sujet et émettre une évidence et une réalité... je ne vois toujours pas l’intérêt. A moins de rendre tout cela légitime en disant... "Ah, mais oui, elle c'est faite agresser dans tel quartier... donc c'est normal, elle la cherchée", c'est au même niveau que dire, elle a mis une jupe et la donc cherchée.
En pousser des cris d’orfraie n'y changera rien ! Et ce ne sont pas des comportements aussi simples. Il y a une mécanique de groupe derrière cela, il faut alors porter la critique sur l'éducation, faites par des hommes et des femmes, sur la concentration de situations sociales, sur les discriminations etc. C'est un peu plus complexe justement que "ah ben moi je veux aller partout où ça me chante, quand je veux ! parce que c'est mon drrrrroiiiitttt et qu'il faut faire respecter mon droit à moi !!!". Il faut faire avec des réalités,et le changement ne s'opère pas avec des anathèmes, surtout quand il sont flous et visent assez facilement les mauvaises cibles (souvent par lâcheté d'ailleurs).
Je suis d'accord avec toi, que tout commence par l'éducation, cependant quel moyen met l'état pour aider cette dynamique ? Elle m’apparaît bien faible pour pallier le manque de solidarité de groupe des gens concerné par l'éducation qu'ils veulent donné à leurs enfants. Combien d'ado de quartier sont en décrochage scolaire car entraîner par le phénomène de groupe, j'imagine que (afin d’être plus en adéquation avec le sujet) c'est ce qui se passe avec les tournante dans les caves. Mais quel est l'aide que leur apporte l'état ? Pour ma part j'ai plutôt l'impression que ce dernier aide plus au communautarisme qu'autre chose.
Tu as raison, mais justement, je vois se développer dans le même temps, une désinvolture face au vrai manque de respect dans le fait que chacun soit invité à faire ce qui lui plaît sans se soucier des autres (la circulation devient de plus en plus chaotique, la propreté et l'apropriation des espaces publics aussi, etc.), et une discipline, demandée quasiment aux seuls hommes sur la place qu'ils occupent, leurs jambes, leur regard, leur attitude... Qui plus est avec le sous-entendu qu'il ne faudrait le reprocher qu'aux hommes blancs, car si d'autres sont concernés alors, les critiquer serait du racisme... De fait, c'est un véritable deux poids deux mesures qui se construit et qui affaibli l'espace commun, pour en faire un chantier de schizophrénie intersectionnelle ...
Pour le coup je suis d'accord avec toi, ça rejoint ce qui se dit plus haut.
Cependant je ne suis pas d'accord sur le fait qu'un blanc cisgenre etc ne puisse pas s'exprimer et donner son opinion sur les autres communautés sans se faire taxé de racisme, il y a une teneur dans les propos qui font que ce que tu dis peut l'être ou non: de manière général tout ce qui englobe est mauvais, que se soit du racisme ou du sexisme. exemple, "les arabes tous des voleurs", "les femmes toute des salopes" etc. Cependant, il se peut que certains en joue genre dire que Jean louis ta volé ton porte feuille et qu'il rétorque "c'est parce que je suis noir c'est ça ?" Je pense que personne n'est dupe à se moment là, au pire c'est du communautarisme et c'est ça le gros problème de fond.
Bien, je chercherais des textes ah... l’idéalisation du passé en fonction des intérêts du discours... (bah, pas grave ça a bien dû m'arriver aussi parfois !)
Pas besoin, et je ne pense pas idéaliser, je pense surtout que les procurations était ailleurs tout comme aujourd'hui on a le temps de discuté trans identité, je pense qu'a cet époque, il y avait d'autre chose. Ce qui n’enlève pas ou retire le faire qu'il y avait certainement des agressions et autres, d'autant plus qu'il y en avait certainement moins au vue de la densité de la population.
Je ne mets pas tous les hommes dans cette motivation ! Très loin de là ! tout mon discours en témoigne !
S'il te plait ! tu m'as assez lu pour ne pas faire ce type de glissement !
Et je parle encore de certaines femmes, voire d'un certains nombre de femmes, car elles sont assez nombreuses ! Mais donc pas toutes !
Et j'ai l'impression que pour beaucoup de féministes, oui ! Il faut une bascule pour atteindre à un sentiment qui n'est donc pas seulement de respect mais de survalorisation. Et c'est bien ce qui pose problème. Car l'égalité implique un traitement strictement équivalent.Le problème est que tu utilises des stéréotypes et des clichés, hors ce genre d'exemple n'est même pas représentatifs de la réalité. Et parler de certain.e.s n'est malheureusement pas assez, il faut ciblé d'avantage: comme les "femen", au moins ont sait directement de qui ont parle. mais du coup... les "femen" sont la grosses minorités des féministes, hors dire beaucoup... est donc faux, c'est juste celles dont on entends le plus parler. Tu entendra toujours plus parler d'action débiles que d'action saine et posé ou il ne se passe rien. Au final, la grosse majorité des féministes tournent le dos au femen qui bien qu'utile au départ pour donné de la visibilités, deviennent inutile et voir même déserve "la cause" de par leurs actions. Et on retrouve cela dans bon nombre de mouvement comme le veganisme par exemple. Il est inutile de craindre les extrêmes et même dangereux car c'est leur donné de la légitimités, alors qu'en les laissant dans leurs coins on entendra vaguement des échos aux loins de leurs tentatives désespérée de faire parler d'eux.
Ce qui voudrait dire que les récriminations sur "les" hommes sont donc bien devenues infondées ? Ou marginales ?
Non, ça existe, et elles sont justifiés, c'est la majorité des hommes qui étaient comme ça, car éduqué comme ça. Je ne dis pas que tous pratiqué le harcèlement sexuel bien entendu. Mais la considération du moi homme sexe fort et toi femme sexe faible fais que c'est tout à fait normal qu'elle soit présente, il n'y aurait pas de féminisme sinon.
Des qu'on veut vivre pepouze, respecter et avec ton prochain pour faire avancer l'humanité il faut que tu es le pouvoir en main ? C'est un non sens, il n'y a pas d'humanisme la dedans et je pense que c'est ça ce que souhaite la majorité des gens et ceux peut importe la minorité d'où elle vient. Et cela ne passera pas par l'égalité mais par l'équité des moyens.
Peux-tu développer " l'équité des moyens " ?
Oui et non, je peux te dire pourquoi je pense cela mais je ne pourrais te dire quel moyen mettre en oeuvre, peut être pourrais je répondre dans quelques années. Si je pense cela c'est car il m’apparaît bien plus facile d'élevé une fille qu'un garçon. Une fille tu l'élèves pour quelles comprennent que son corps lui appartient, qu'elle n'a pas à subir d'oppression etc, et là tu vas me dire baaah pareil pour un ptit gars non ? oui et non, la société étant ce qu'elle est , il aura moins besoin de moi pour son éducation sur son affirmation de lui, mais je devrais plutôt lui apprendre à ce que cette affirmation, cette confiance ne déverse pas sur les personnes qui ne l'ont pas. notement à cause des influences extérieures du patriarcat assez fortes qu'il pourrait capter.
C'est ce que veulent beaucoup de féministes à mon sens.
Répondu plus haut.
Laisser des enfants, qu'on ne reconnaît pas suffisamment mûrs pour tout un tas d'activités et de prises de décision, et à bon escient, prendre de telles décisions est un glissement grave ! Très symptomatique du désordre et de la confusion mentale de ce type de changement social désarticulé.
L'enfant en question n'a pris aucune décision, elle à juste demandée à être reconnu comme un garçon par son père (lui à pris une décision), et le fait qu'elle souffre d'être dans son corps n'est pas un choix, aux même titres qu'on ne fait pas le choix d'aimer le même sexe que le siens (par contre en tant qu’hétéro je peux faire le choix d'avoir des pratiques sexuel homosexuel). Si elle est suivie c'est justement pour être en paix avec ce qu'elle ressent et ne pas être laissée seule avec cette souffrance qu'elle ressent.
C'est un peu comme dire qu'un enfant qui a moins de 3 ans pleures par caprice... on l'a peut être longtemps penser mais c'est faux. (ceci étant un exemple, merci de faire vos recherche vous même).Donc il y aurait un gène de l'homosexualité... hum, intéressant, des sources ?
Je te renvoie sur les travaux de Jacques Balthazart ou même sur la vidéo de Max bird sur l'homosexualité, les moteurs de recherches sont là pour ça. car ce n'est pas un gène du tout, j'ai digressé.
Tu es réellement prêt à vivre dans une société qui permet à quelqu'un qui en a les moyens de devenir autre chose qu'un être humain ?
Défini moi "autre chose qu'un être humain", je parle de prothèses et donc d'outils.
Mais as-tu encore une définition de l'être humain ?
Et toi que définies tu par être humains, admettons que mon corps disparaissent et qu'ils ne subsistent que mon cerveau qui par un quelconque procédé est encore présent et que l'on développe des outils me permettant de communiqués. Je suis donc littéralement handicapé de tout, sauf d'une chose: ma pensée et comme dis l'adage: je pense donc je suis.
Ne serais je donc plus humain ?Comment mesures-tu les impacts sur les autres ?
C'est à dire? si j'ai une prothèse me permettant de soulever 50 kg avec le petit doigt devrais faire changer la vision humaine que les autres ont de moi ?
Je comprend pas ta question, les athlètes olympique avec des prothèses courent dans l'ensemble plus vite que ceux qui n'en n'ont pas (et encore elles sont réglementés, je pense que se serait possible de courir encore plus vite sans les limitations techniques imposé) est ce que c'est personnes handicapés sont donc avec une part d'humanité en moins ?Du moment qu'il n'y a pas d'impact visible à 3 mois sur d'autres individus, chacun peut faire absolument tout ce qu'il veut ? Vraiment ?
Qu'entends tu pas impact sur 3 mois ?
Tu veux dire que se passerait il si on laisse faire tout ça et que dans 3 générations ont se retrouvent avec pleins d'hommes enfermés dans des corps de femme et pleins de femmes dans des corps d'hommes ? Bah, si c'est naturel et du a un fait biologique il y en aura c'est sur, si c'est pas le cas et que ça augmente quand même... Bah c'est cool, ça veut dire que les esprits se sont ouvert et que la société à gagné en maturité et tolérance. Le seul travers, serait les obligations qu'ont t'imposes, hors que les voisins finissent pas être des voisines, je vois pas ce que je "subis".Je te laisse tout de même y réfléchir à deux fois !
Ah mais c'est déjà bien réfléchi x)
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@leo a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
Tes videos, que je connais bien, exposent bien des hommes particuliers, et non tous les hommes...
Je n'irai pas sur ce terrain-là parce que premièrement on commencerait à être hors sujet (et nous savons tous que tu es intarissable) et deuxièmement parce que ça finirait en eau de boudin raciste et xénophobe.
Qui plus, il est difficile d'évaluer ce qui dans le regard porte sur une femme et porte ici sur une travestie, car je ne prendrais pas cette travestie pour une femme. Un homme, tout au début se retourne d'ailleurs sur elle, bien plus intrigué que séduit...
Alors, pour la partie que j'ai mis en gras : tu serais étonné de ne pas savoir faire la différence. Surtout qu'ici, il était maquillé de façon très naturel pour coller au mieux à "la féminité sociétale".
Ensuite, tu peux être intrigué sans pour autant déshabiller la personne du regard.As-tu bien écouté l'émission ?
Il y a une possibilité ! Une théorie, et celle-ci est-elle confirmée à ce jour ?Je n'ai fait que fournir une source. Avec la question qu'elle pose. Si tu n'en es pas satisfait, ce n'est pas mon problème. De toute façon, hypothèse "en partie génétique" ne signifie pas exclusivement génétique. Tu débats donc pour dire peu ou prou la même chose que les sources que je te donne. Inutile dans ce cas.
Mais je veux bien que nous explorions d'autres sources.
Toutes les sources que j'ai trouvées jusqu'à maintenant redirige vers la même étude citée dans la source dont je t'ai fait part.
Et je n'attache pas le respect des homosexuels et de leur liberté sexuelle à un tel gène. Le choix d'être homo, puis hétéro, puis homo à l'envie, revient pour moi au même que de manger des fraises le lundi et des abricots le jeudi...
Et c'est plutôt ce libre choix qui doit être progressivement diffusé pour être accepté.
Là tu t'éloignes à nouveau du sujet mais si vraiment ça t'intéresse, je t'invite à te renseigner sur la fluidité sexuelle. Mais là, à nouveau on va être HS si on commence là-dessus.
Et c'est moi qui suit réducteur !!!! Ahahahah !!!!
Merci de lire l'article de wikip sur la transidentité plutôt que de réduire tout d'un ou deux mots !
Alors. Je ne réduis pas. J'ai pris tel quel la définition. Et peux-tu arrêter de confondre transidentité et travestissement ? Je viens de te donner la preuve en définitions que ce sont deux choses différentes. Et ton lien wikipédia est bien joli, mais à aucun moment ne réfère le travestissement puisqu'il y parle de la transidentité. Long n'est pas synonyme de complet.
Et cela suit aussi des modes et des circonstances socio-culturelles, comme la mode des garçonnes dans les années 30.
Je ne sais pas ce que tu appelles mode à la garçonne mais moi je parlais des drag King.
Mettre en doute les sifflements n'est pas un manque de respect mais un doute légitime. Il est trop facile surjouer. Et cela dénote justement une tendance à la surévaluation, dans une intention bonne certes, mais très problématique pour faire avancer réellement les choses.
Donc mettre en doute l'agression d'une personne est légitime, ok.
Et cela ne culpabilise en rien quiconque ! il n'y a pas de relation de cause à effet.
Tu diras ça aux victimes alors.
Et ce n'est pas un raccourci de ma part mais une mauvaise lecture de ta part... Mon propos était justement (je ne prenais pas l'exemple fallacieux d'une mini-jupe à cause de cela), de montrer que les circonstances d'agressions sont complexes à lire (entendre à analyser).
Disons que j'ai mal lu (on est plusieurs dans le cas mais ok). Si tu sais d'avance que l'exemple de la jupe (plus largement du vêtement) est fallacieux, pourquoi l'utiliser quand même ? Si tu es d'accord que c'est bien plus complexe que simplement de dire il portait ça et a été agressé, pourquoi le mentionnes-tu ?
Le costume que je prenais aussi en exemple, était porté par un noir... (enfin métis) si je dis cela vas-tu penser qu'il a été agressé par des skins parce qu'il était noir ?
Non, tu ne vas plus le penser puisque je te pose la question, mais tu aurais pu le penser !
Or il ne s'est pas fait agresser (une gifle) "que" pour son portefeuille et son portable. Et il y avait deux noirs dans ses agresseurs...Désolé mais je ne comprends pas. Ce sont deux histoires différentes ou une seule et même histoire ? Pas très clair pour moi. Fais des sauts de ligne si tu changes d'histoire, ce sera plus facile de comprendre, je crois.
Édit : Après relecture, j'ai compris mais je comprends pas où tu veux en venir pour moi c'est H.S.
En revanche, il trouve lui même très "con" d'être passé par là, sachant pertinemment que le lieu était connu pour n'être pas sûr...
Certes, y a des lieux moins sûrs. Mais tu sais les agressions n'ont ni heure ni date ni lieu. Ce que je veux dire par là, c'est qu'ils n'ont que peu d'importance parce que demain, tu peux te faire agresser en sortant de chez toi.
Il est dommage qu'il y ait des dangers en ce monde. Et il est plutôt sain de vouloir l'améliorer. Mais il est très bête de faire comme si ces dangers n'existaient pas sous prétexte qu'ils ne devraient plus exister !
Je n'ai jamais dit le contraire.
Donc, être prudent et attentive.
Oui enfin, à partir du moment où ça arrive constamment et cela peu importe l'heure et l'endroit, bah on ne va pas s'arrêter de vivre.
Ce sera tout pour moi.
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@leo a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
Transidentité
Merci de lire l'article de wikip sur la transidentité plutôt que de réduire tout d'un ou deux mots !L'article dont tu n'as même pas lu la première ligne : "La transidentité est le fait, pour une personne transgenre, d'avoir une identité de genre différente du sexe assigné à la naissance"
C'est bien de ça qu'on parle.@barbouille a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
elle à juste demandée à être reconnu comme un garçon
Du coup, pourquoi parler de lui au féminin ? ^^.
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@sylareen a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :
Du coup, pourquoi parler de lui au féminin ? ^^.
Je m'assure de pas perdre mon interlocuteur
Et je parle rarement avec l'identité de genre, plutôt avec l'expression de genre, elle porte des habits féminin tout de même. Je lui dis bien il par contre quand je m'adresse à lui ou quand je dialogue avec des personnes qui sont au courant.
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@barbouille
La seule façon de ne pas se tromper dans les pronoms qu'on emploie, c'est de demander à la personne concernée. Vu que je ne le connais pas, je ne vais pas en juger.
Néanmoins si tu lui dis "il", j'imagine qu'il préfère qu'on dise "il", non ?