Georges Brassens, né le 22 octobre 1921 à Sète (Hérault) et mort le 29 octobre 1981 à Saint-Gély-du-Fesc (Hérault), est un auteur-compositeur-interprète-poète français.

A l'occasion de l'anniversaire de ces 100 ans je vous propose de partager les chansons que vous aimez le plus, ce qu'il représente pour vous, des anecdotes de sa vie. Ce qui vous fait plaisir en fait.

Pour ma part, c'est quelqu'un que j'apprécie énormément. Je peux même certainement dire qu'il est pour moi un maître à penser. Je l'ai découvert à un moment de ma vie où j'étais vraiment pas au top et ses chansons m'ont fait énormément de bien. Je ne sais même plus comment j'étais arrivé à acheter ce coffret des 100 meilleurs chansons mais je l'écoute encore régulièrement de manière très intime.
Si je devrai faire un top 3

Je savais que ce serait The Offspring j'aurais du le parier !

@hornet Je suis tellement imprévisible

Je comprends..... il a été mon voisin de quartier de Paris " j'étais jeune" hébergé chez sa Jeanne , c'était une ambiance de copains comme il l'a si bien chanté,qui le suivait partout il avait sa tribu . Bp de thèmes de ses chansons ressemblent à notre temps actuel ce qui le rend encore vivant .

@1tel44
Un beau trio !

@sanguine

Tu l'as vu pour du vrai? parler et tout?

@1TEL44 Cet interview est anthologique.

Je connais honteusement peu Brassens, alors ma contribution va s'en tenir au classique

et parenthèse semi-HS

De Pierre à Paul
En passant par Jules et Félicien
Embrasse-les tous, embrasse-les tous, Dieu reconnaîtra le sien

@guizmo
J'étais très très très jeune , mais mes parents l'ont côtoyé comme d'autres du quartier, il habitait dans une toute petite ruelle qui existe encore. Une anecdote, il y a qques années j'ai passé des vacances à Sète et en attendant le bus une dame âgée m'interpelle, une envie de discuter et elle m'apprend qu'elle était une tante de Georges, elle-même habitant Paris à l'époque et regrettait bp d'en être parti justement par la faute de Brassens dit-elle, lorsque qu'il a quitté Paris il a voulu que toute sa famille le suive à Sète puisque sa famille était à la fois son imprésario, manager etc, un homme très exigeant il semblerait ,mais quelle écriture ! En ce moment il y a qques concerts à Paris, du plaisir ++++ .

@marie-thérèse Comme beaucoup d'autres thèmes, ils savaient vraiment parler des femmes mais jamais de façon généralisé. A part celle là où c'est presque toute

Bien qu'il en parle de façon virulente parfois on sent toujours l'expérience et le vécu.

@Sanguine Jolie Anecdote. J'ai vraiment l'envie de péleriner vers ces lieux un de ces jours.

@Hornet Excellent! Je ne connaissais pas

@chipolata a dit dans Le Bonheur du jour ! :

L’instit de mon fils de 10 ans leur a donné comme poésie "L’auvergnat"....séquence souvenirs...du coup tout le monde y va de son couplet

Je me permets de te répondre ici du coup Je l'avais eu aussi à peu près au même âge. Cela devrait être généralisé à toutes les classes. Il ne leur a pas fait chanté?
J'ai appris il y a peu qu'à Paris les Auvergnat avait pour réputation d'être de gros radins à tort en fait. C'était des gens pauvres qui venaient à la capitale pour travailler et qui avait finalement le respect de l'argent et qui ne flambaient pas.
D'où la chanson de Brassens qui rend hommage à leur générosité.

@guizmo
Il leur enseigne du lundi au jeudi. Pas de bol pour eux aujourd'hui c'est une autre instit qui ne fait pas la continuité pédagogique apparemment...du coup ils l'ont apprise mais aujourd'hui niet

@chipolata Dommage cela aurait été l'occasion pourtant

@1tel44 En parlant d'anarchie celle là est fameuse aussi

@guizmo "Dès qu’il s’agit de rosser les cognes, tout le monde se réconcilie" j'adore.

@marie-thérèse "La plus grasse de ces femelles, ouvrant son corsage dilaté, matraque à grands coups de mamelles ceux qui passent à sa portée."
Je sais pas si c'est du vécu ou de l'imagination mais je me fends la poire quand j'imagine la scène.

LE PETIT CHEVAL BLANC

@guizmo Oui très bon....Emasculer ses" hommes" , Darmanin porterait plainte pour outrage .

@célestinette "Qu'il avait donc du couraaage."
Comme ce pauvre Martin...