Accident de Pierre Palmade
-
@ayamé a dit dans Accident de Pierre Palmade :
Ce qui me soûle et me choque, c'est que soient annoncés à outrance des faits de pédo-criminalité qui ne sont pas encore prouvés. Ils le seront peut-être, mais en attendant, ils ne le sont pas et je trouve ça très moche, ce sordide déballage.
Oui et au dernières nouvelles du même style lors de la soirée de l'accident dans la maison de P.P, il y aurait eu des grosses légumes voire des gosses de ministre qui auraient amené la snouff, à quand l'apparition de Dupont de Ligonnès accompagné du docteur Godard vus sortir par une porte dérobée de sa maison
Quelle misère, heureusement que notre Adolp Poutine est là pour donner un peu de sérieux à l'actu -
@Kitsune ou bien il y avait une espèce de chantage de prévu, mais maintenant que le gars est fini..... Ouais, Berk.
-
@Marcel a dit dans Accident de Pierre Palmade :
@Kitsune ou bien il y avait une espèce de chantage de prévu, mais maintenant que le gars est fini..... Ouais, Berk.
Ouais encore qu'ils devront ( si ce ne sont pas des affabulateurs) expliquer comment on peut se retrouver en possession de telles docs ou vidéos sans être soi-même partie prenante de l'affaire
-
@chickais je lis un peu trop de thriller mais j'imagine un type chez l'accusé, à qui ce dernier aurait montré des documents. Et, le "visiteur" prend ensuite des photos ?
-
@Marcel a dit dans Accident de Pierre Palmade :
@chickais je lis un peu trop de thriller mais j'imagine un type chez l'accusé, à qui ce dernier aurait montré des documents. Et, le "visiteur" prend ensuite des photos ?
Ouais tout est possible mais jouer à la roulette russe avec la tempe des autres
-
@chickais pas compris l'image
Enfin, ce n'est que conjectures de toute manière. -
@chickais je connais un ami dont la voiture a été percutée par un mec alcoolisé, sur son scooter, en plein centre ville, à un carrefour. Le mec s'est retrouvé sur son pare brise tant le choc a été fort. Son casque en percutant le parebrise de son voiture l'a fait voler en éclats. A l'époque des faits, il y a plus de 15 ans, mon ami avait appelé la police nationale les informant de l'accrochage et que le conducteur était aussi alcoolisé (il sentait l'alcool). Aucun équipage de policiers ne s'est déplacé donc mon ami a jugé nécessaire d'accompagner le type légèrement sonné, sans aucune blessure, à l'hôpital. Il a appris quelques jours plus tard par le type que ce dernier avait signé une décharge pour ne pas rester à l'hôpital et n'a pas été mis, non plus, en cellule de dégrisement !! Ce type était connu en ville même par la police parce qu'il avait l'habitude de se déplacer en scooter toujours alcoolisé. II a jugé nécessaire de déménager car du jour au lendemain, on ne le vit plus en ville sur son scooter. Il n'était pas à son premier accrochage dixit sa compagnie d'assurances. J'espère qu'il n'a tué personne sur la route
-
@pedropop " Chaque année, l'alcool tue plus de 1 000 personnes sur les routes, notamment la nuit et sur route secondaire (2 accidents mortels sur 3).
Dans la grande majorité des cas (à 90 %), les conducteurs alcoolisés sont des hommes et 25% des tués ont entre 18 et 24 ans.
Par ailleurs, 55 % des accidents mortels sont liés à un taux d’alcoolémie supérieur à 1,5g/l de sang : le risque d’être responsable d’un accident mortel est 8,5 fois plus élevé chez une personne ayant bu de l’alcool.
En effet, l’ingestion d’alcool diminue les capacités physiques : temps de réaction allongé, difficulté à adapter la conduite aux circonstances, trouble de la vision, défaut de coordination des gestes…
Cumulé à la prise de stupéfiants, l’alcool au volant multiplie par 14 le danger d’un accident mortel, par rapport à un conducteur négatif à l’un ou l’autre.
Enfin, la prise de médicaments peut être incompatible avec la conduite.
"
Chaque année, 700 personnes sont tuées sur les routes dans un accident impliquant un conducteur ayant consommé des drogues, soit 21 % de la mortalité routière, selon les chiffres de la Sécurité routière publiés en 2020"Drogue au volant : un état incompatible avec la conduite
Augmentation du temps de réaction, diminution de l’aptitude à décider rapidement et altération de la conscience de son environnement
En plus d’être interdite, la consommation de tous les types de drogues représente un danger réel sur la route :
le cannabis entraîne une somnolence, ralentit la coordination des mouvements, allonge le temps de réaction et diminue les facultés visuelles et auditives ;
l’ecstasy masque la sensation de fatigue et altère les capacités mentales, donne l’impression trompeuse que l’on est maître de soi et de sa conduite, et favorise un comportement irrationnel au volant ;
la cocaïne suscite une conduite agressive associée à des erreurs d’attention ou de jugement pouvant aller jusqu’à la perte de contrôle du véhicule ;
les opiacés provoquent une baisse de l’attention, altèrent la capacité à décider rapidement et de façon adaptée, et réduisent la conscience du danger et des obstacles ;
le LSD, les champignons psilocybes, la mescaline font partie des drogues hallucinogènes. Leur consommation induit des troubles de la perception, des illusions délirantes, un sentiment de confusion ou d’angoisse allant parfois jusqu’à la crise de panique.
Le risque de se tuer ou de tuer quelqu’un
→ La conduite sous l’emprise du cannabis multiplie par deux le risque d’être responsable d’un accident mortel.
→ Un accident mortel sur cinq implique un conducteur positif aux stupéfiants. Cette part passe à un accident sur trois, la nuit au cours des week-ends.
→ Les conducteurs contrôlés positifs aux stupéfiants dans les accidents mortels sont à 93 % des hommes et représentent 23 % des 18-24 ans et 21 % des 25-34 ans.
→ Parmi les conducteurs positifs aux stupéfiants impliqués dans un accident mortel, la moitié présente également un taux d’alcool supérieur à 0.5 g/l.
"" -
-
@pedropop
Oui tout à fait. Merci pour ta vidéo.En fait, les drogues licites comme illicites ont un effet sur notre cerveau dont sur la dopamine. Suivant les drogues, l'agir sur la dopamine est différent mais le résultat est le même : une abondance de dopamine sécrétée. Quand on est dépendant, on n'est pas dans le même état au niveau neurologique que lorsqu'on use de la drogue de manière festive et qu'on a un coup dans le nez.
Quand on est dépendant, on n'est plus en état d'avoir un contrôle sur sa consommation de drogue et donc sur soi-même, ses agirs. Parce que la drogue agit directement sur le système nerveux et le court-circuite. Et suivant la drogue, si la personne arrête sa consommation, le syndrome de sevrage est difficile à vivre. Notamment pour l'alcool où l'arrêt du jour au lendemain de la consommation est tellement brutale qu'elle entraîne la mort.
C'est pour ça que dire que c'est qu'une question de volonté, c'est complètement faux (je l'ai entendu encore hier par une proche). J'ai eu des patients addict' qui luttaient au quotidien. C'est un enfer pour s'en sortir et pas donné à tout le monde.
-
@Miliam a dit dans Accident de Pierre Palmade :
C'est pour ça que dire que c'est qu'une question de volonté, c'est complètement faux (je l'ai entendu encore hier par une proche). J'ai eu des patients addict' qui luttaient au quotidien. C'est un enfer pour s'en sortir et pas donné à tout le monde.
C'est certain que ça ne peut pas n'être qu'une question de volonté de s'en sortir mais pour rester dans le cas de P.P il avait au contraire de nombreuses personnes dépendantes à la dérive bcq d'atouts entre autre l'argent pour se faire aider par les meilleurs dans la spécialité, il a tenté c'est ce qu'il est dit mais son actualité sur certains de ses comportements honteux n'est il pas un moyen de vouloir rester dans le déni grâce aux drogues
-
@chickais
L'argent, si tu en as, te donne peut être plus de moyens que d'autres pour t'en sortir mais ça ne veut pas dire que tu t'en sors forcément comparé aux autres même avec les meilleurs experts. C'est du cas par cas. On ne règle pas une pathologie mentale aussi simplement qu'on guéri d'un rhume même avec si on est bien entouré sinon ça se saurait. A ce moment-là, toutes les personnes dépendantes connues auraient arrêté et certaines ne seraient pas mortes si il n'était uniquement question que de moyens.Les rechutes dans la dépendance sont très fréquentes, argent ou pas argent, choses mises en place ou non. Et il y a des personnes même qui resteront dépendantes toute leur vie, argent ou pas argent / meilleur spécialiste ou pas meilleur spécialiste. On ne se sort pas de dépendance ou de n'importe quelle pathologie mentale à coup d'argent, de meilleurs spécialistes.
Merci d'avoir parlé de l'actualité concernant certains de ses agirs. Je ne voyais pas ce que tu voulais dire par comportements honteux. Du coup, j'ai été voir et je viens de lire qu'il est soupçonné de pédopornographie. A voir du coup. C'est autre chose parce que je ne sais pas si y'a une corrélation à faire entre ce qu'il a peut être fait et l'utilisation de drogues pour rester dans le déni. C'est toi qui pose la question mais ça seul les experts (psychologue, psychiatre etc..) qui ont pu discuter avec lui peuvent l'affirmer.
-
"La cocaïne crée-t-elle une dépendance?
Elle peut toutefois être l’une des drogues dont il est le plus difficile de se sevrer. Les personnes qui développent une dépendance à la cocaïne ne maîtrisent pas leur usage. Elles ressentent un besoin intense de prendre de la drogue, même lorsqu’elles sont conscientes que cet usage leur cause des problèmes médicaux, psychologiques et sociaux. Se procurer et prendre de la cocaïne peut devenir leur plus grande préoccupation.
Toute méthode d’usage de la cocaïne peut entraîner une accoutumance. La quantité de cocaïne consommée et la fréquence de son utilisation ont un effet sur l’accoutumance.
Si une personne arrête de prendre de la cocaïne, elle peut avoir l’impression de « s’effondrer ». Lorsque cela se produit, son humeur change rapidement, passant d’un « high » à un sentiment de détresse, menant à un état de manque intense.
Un usage excessif de cocaïne dans le but de maintenir ce « high » entraîne rapidement une toxicomanie.Les symptômes du sevrage de la cocaïne comprennent, entre autres : épuisement, sommeil prolongé et mouvementé ou insomnies, faim, irritabilité, dépression, pensées suicidaires et désir intense de reprendre de la cocaïne. Le souvenir de l’euphorie procurée par la cocaïne est puissant et entraîne un risque réel de rechute.
Est-ce qu’il y a des dangers liés à l’utilisation?
Cette drogue peut être très dangereuse, qu’elle soit prise une seule fois ou souvent.
L’usage de cocaïne entraîne un épaississement et une constriction des vaisseaux sanguins, réduisant ainsi l’alimentation du cœur en oxygène.
En même temps, la cocaïne fait travailler davantage les muscles du cœur, ce qui peut causer des crises cardiaques ou des accidents vasculaires cérébraux, même chez les personnes en bonne santé.
La cocaïne fait monter la tension artérielle, ce qui peut causer l’éclatement des vaisseaux sanguins affaiblis dans le cerveau.
Une personne peut faire une surdose même après n’avoir pris qu’une petite quantité de cocaïne.
Une surdose peut provoquer des convulsions et une défaillance cardiaque. Elle peut affaiblir la respiration ou même l’arrêter. Il n’existe pas d’antidote contre une surdose de cocaïne.La consommation de cocaïne avec de l’alcool entraîne la production de cocaéthylène dans le foie. Ce puissant composé augmente le risque de mort subite en plus du risque associé à l’usage seul de la cocaine.
Quels sont les effets à long terme de l’utilisation de cette substance?
La cocaïne augmente dans le cerveau le niveau des substances chimiques qui procurent le même sentiment de bien-être que lorsque nous mangeons, buvons ou avons des rapports sexuels.
Un usage régulier de cocaïne peut entraîner des changements durables dans ce système de récompense du cerveau, ce qui peut amener à l’accoutumance. L’état de manque et les symptômes psychiatriques peuvent persister même si la personne cesse de prendre cette drogue.L’usage régulier de cocaïne sur une longue période est associé à nombre de dangers pour la santé et à des comportements problématiques.
En voici des exemples :
-
Renifler de la cocaïne peut entraîner l’infection des sinus et une perte de l’odorat, et peut endommager les tissus du nez et percer le cartilage des narines, à l’intérieur du nez.
-
Fumer de la cocaïne peut endommager les poumons et engendrer ce qu’on appelle le « poumon du crack ». Les symptômes comprennent de graves douleurs dans la poitrine, des problèmes respiratoires et une température élevée. Le « poumon du crack » peut être mortel.
**S’injecter de la cocaïne peut entraîner une infection causée par une seringue usagée ou des impuretés dans la drogue. Le fait de partager des seringues peut également occasionner une infection à l’hépatite ou au VIH.
*L’usage de cocaïne pendant la grossesse peut augmenter le risque de fausse couche et de naissance prématurée. De même, il peut augmenter le risque de donner naissance à un bébé ayant un poids insuffisant. Comme les femmes qui prennent de la cocaïne pendant leur grossesse souvent consomment aussi de l’alcool, de la nicotine et d’autres drogues, l’ampleur des effets de la cocaïne sur le bébé est encore mal connue.
*L’usage de cocaïne pendant l’allaitement entraîne la transmission de cocaïne à l’enfant, ce qui l’expose à tous les effets de la cocaïne et aux risques associés à celle-ci.
*L’usage de cocaïne est lié à des comportements risqués et violents. Il est également lié à un faible pouvoir de concentration et à un mauvais jugement, ce qui augmente les risques de blessures et de maladies transmises sexuellement.
Un usage chronique de cocaïne peut causer de graves symptômes psychiatriques comme la psychose, l’anxiété, la dépression et la paranoïa.
Un usage chronique de cocaïne peut également entraîner une perte de poids, la malnutrition, une mauvaise santé, des difficultés sexuelles, l’infertilité et la perte de soutiens sociaux et financiers
Comment traiter et soigner une dépendance à la cocaïne ou à une addiction à la cocaïne :
Le traitement d’une dépendance à la cocaïne a pour but de rétablir la santé du patient et de recréer les liens avec son environnement affectif et son milieu professionnel. Le traitement de la dépendance à la cocaïne s’envisage donc à plusieurs niveaux : physique, psychologique et social.
Plusieurs programmes existent pour aider ces patients dans leur sevrage : avec hospitalisation ou en ambulatoire, par des thérapies individuelles, familiales ou en groupe
. Reprendre confiance en soi, imaginer une vie libérée de la dépendance à la cocaïne, trouver des soutiens chez des proches ou dans des groupes d’anciens consommateurs, dépasser ses fragilités en cas de troubles anxieux ou de la personnalité associés : voilà les axes d’un accompagnement permettant d’inscrire le sevrage dans la durée.
"
-
-
@pedropop
Merci pour le partage d'information bien utile. Je partage également les critères du DSM-V qui est une référence :Critères du DSM-5 relativement à l’usage des substances psychoactives
-
Besoin impérieux et irrépressible de consommer la substance ou de jouer (craving)
-
Perte de contrôle sur la quantité et le temps dédié à la prise de substance ou au jeu
-
Beaucoup de temps consacré à la recherche de substances ou au jeu
-
Augmentation de la tolérance au produit addictif
-
Présence d’un syndrome de sevrage, c’est-à-dire de l’ensemble des symptômes provoqués par l’arrêt brutal de la consommation ou du jeu
-
Incapacité de remplir des obligations importantes
-
Usage même lorsqu'il y a un risque physique
-
Problèmes personnels ou sociaux
-
Désir ou efforts persistants pour diminuer les doses ou l’activité
-
Activités réduites au profit de la consommation ou du jeu
-
Poursuite de la consommation malgré les dégâts physiques ou psychologiques
Ces critères permettent de caractériser le degré de sévérité de l'addiction :
Présence de 2 à 3 critères : addiction faible
Présence de 4 à 5 critères : addiction modérée
Présence de 6 critères ou plus : addiction sévère -
-
@Miliam "Me T S tient à rappeler que son client "parle à la troisième personne"
"
Pour Albert Moukheiber, docteur en neurosciences, et psychologue :Parler avec soi-même ou de soi-même à la troisième personne a un nom : l'illéisme.
Parler de soi à la troisième personne, ce n’est pas exactement prendre du recul, c’est se voir différemment, comme si vous examiniez le cas d’une autre personne. C’est converser, de façon distanciée avec soi-même. On ressent les émotions, mais à la 3e personne. Il semblerait que c’est une façon très intéressante de gérer le stress.""
-
@Miliam a dit dans Accident de Pierre Palmade :
@chickais
Merci d'avoir parlé de l'actualité concernant certains de ses agirs. Je ne voyais pas ce que tu voulais dire par comportements honteux. Du coup, j'ai été voir et je viens de lire qu'il est soupçonné de pédopornographie. A voir du coup. C'est autre chose parce que je ne sais pas si y'a une corrélation à faire entre ce qu'il a peut être fait et l'utilisation de drogues pour rester dans le déni. C'est toi qui pose la question mais ça seul les experts (psychologue, psychiatre etc..) qui ont pu discuter avec lui peuvent l'affirmer.
Je crois que tu es le seule en France de ne pas être au courant des suspicions de pédopornographie du sieur Palmade car ça tourne en boucle depuis une semaine sur toutes les chaines
Ce n'est pas aux experts à ce jour de discuter avec lui mais plus aux policiers; les médias avancent des faits de pédopornographie mais à cette heure il n'est pas mis en examen donc ce sont peut être que des rumeurs, il faut l'espérer car l'accident c'est une chose déjà inexcusable par son comportement mais la pédopornographie, c'est plus du tout le même registre -
@pedropop ""Le nombre de consommateurs ayant expérimenté la cocaïne a été multiplié par quatre ces 20 dernières années.
Responsable de 10 000 hospitalisations par an, et de complications médicales dont la gravité et la fréquence augmentent, l’ampleur des effets de la consommation de cocaïne nécessite d’informer le public, les usagers et leur entourage sur la dangerosité du produit, de sensibiliser les professionnels de santé au repérage des consommations, à l’accompagnement des usagers, à la réduction des risques et à la prise en charge des complications médicales.
La production mondiale de cocaïne a doublé entre 2014 et 2020, pour atteindre le niveau record de 1982 tonnes en 2020
65€ c'est le prix moyen du gramme de cocaïne en 2021 (70€ en 2018). 1gr de cocaïne = 5 à 10 prises ou "rails"
66% c'est le taux moyen de pureté de la cocaïne en 2021 (contre 46% en 2011)
2,8% des jeunes de 17 ans et 5,6% des adultes (4 fois plus en 20ans) avaient déjà expérimenté la cocaïne en 2017Les complications médicales liées à la consommation de cocaïne ont été multipliées par 6 entre 2010 et 2016
- Source : Rapport mondial sur les drogues 2022, ONUDC ; OFAST 2021 ; INPS 2020 ; Drogues, chiffres clés, OFDT, Juin 2019
""
""
-
@pedropop ""Le Hezbollah contournerait les sanctions US par le trafic de drogue en Europe
Selon une étude américaine, les membres du Hezbollah interviennent comme intermédiaires sur la route de la drogue – depuis l'Amérique du Sud vers l'Europe en passant par l'Afrique de l'Ouest, permettant ainsi de faire entrer dans les ports de Belgique et d'Allemagne des centaines de tonnes de cocaïne et autres stupéfiants.11 juin 2019" + le port du Havre
A voir ou à revoir " Hezbollah, l’enquête interdite, documentaire en trois volets de Jérôme Fritel et Sofia Amara (France, 2023), 3 × 55 m. Inédit. Dimanche 5 février à 20h50 sur France 5,
"Jérôme Fritel et Sofia Amara cosignent Hezbollah, l’enquête interdite, trépidant documentaire en trois parties, qui croise l’histoire du Hezbollah, né il y a quatre décennies, et une enquête de la DEA (agence fédérale américaine chargée de lutter contre le trafic de drogue). Baptisée « opération Cassandre », elle mettait en lumière, dans les années 2008-2015, le financement du Hezbollah, parti religieux chiite souhaitant instaurer la charia au Liban, par le trafic de cocaïne. Commentaire enlevé, infographies, archives et témoignages pointus, le spectateur est embarqué dans un incroyable récit, une sorte de « Narcos chez les barbus »."""
-
@pedropop "
«Chaque année, 700 personnes sont tuées dans un accident impliquant un conducteur ayant consommé des stupéfiants, à l’image de la cocaïne. Justement, comment la cocaïne interfère-t-elle avec la conduite ? Que se passe-t-il dans la tête du conducteur ?La cocaïne est la deuxième drogue illicite la plus consommée en Europe. Dans la mesure où elle est stimulante, elle présente un effet notable sur les pensées et sur les actions. Qu’il l’ait snifé, fumé ou injecté, le consommateur a souvent l’impression d’agir normalement. Au regard des autres en revanche, il peut donner l’impression d’agir de manière erratique et imprévisible.
Au volant, la « coke » entraîne une agressivité de conduite et une altération de la perception ce qui occasionne très souvent une perte de contrôle du véhicule. En fait, les symptômes les plus courants peuvent avoir un impact sur la conduite : excès de confiance donc, accompagné d’une euphorie, de bouffées d’énergie, d’une faible capacité dans la prise de décision, d’une impulsivité, de difficultés de concentration, d’une sensibilité accrue à la lumière, d’un manque de coordination…
Dans les faits, les temps de réactions sont allongés alors que le conducteur peut adopter un comportement dangereux, comme se lancer des défis (passer les feux avant qu’ils ne deviennent rouges et finir par les griller un feu rouge)
Pourquoi la consommation de cocaïne affecte-t-elle la conduite ?
La cocaïne a de nombreux effets néfastes sur le cerveau et le corps. Elle amène par exemple le cerveau à libérer de grandes quantités de dopamine. Cela provoque une euphorie et un bonheur extrêmes, suivis d’un choc émotionnel intense**. Cette sensation n’est pas naturelle et peut conduire à une mauvaise gestion des risques**.
Cette drogue expose aussi à un risque cardiovasculaire car le cœur doit travailler beaucoup plus fort lorsque cette substance se trouve dans l’organisme.""
-
@chickais a dit dans Accident de Pierre Palmade :
Je crois que tu es le seule en France de ne pas être au courant des suspicions de pédopornographie du sieur Palmade car ça tourne en boucle depuis une semaine sur toutes les chaines
Oui, en effet, je ne suis pas au courant de tout à la minute ou au jour près car je n'ai pas la télévision chez moi. D'autant plus que vu ma situation actuelle, je n'ai pas de temps à consacrer à regarder la télévision et encore moins l'envie. Un de mes besoins actuels est le temps (du moins avoir du temps entre autre) et je n'aime pas perdre mon temps ou si j'en perds c'est comme j'en ai envie. Donc quand j'ai des infos c'est via Hugo Décrypte pour avoir le gros des infos en général (forcément tout n'est pas dit) car en plus ce n'est pas orienté, bref et c'est intéressant. J'ai fait le choix de vivre sans télévision pour différentes raisons et à mon avis, je suis loin d'être la seule en France à ne pas posséder de télévision chez moi . Nb : Je dis ça à titre informatif et avec humour hein, je ne t'en veux pas. On a tous des modes de vie différents, c'est tout.
Quand je parlais des experts, j'expliquais simplement que la corrélation que tu faisais entre sa possession d'images pédopornographiques et la drogue qui le met dans le déni par rapport à cela... bah c'est ta vision des choses mais tu n'es pas expert et donc que y'a que eux (notamment ceux qui ont vu Palmade) qui peuvent affirmer ou non cela car c'est leur boulot.
Bien évidemment que si il possède des images pédopornographiques, il va avoir affaire à la police et à la justice, merci hein x). Bien qu'il pourrait passer devant des experts (psychiatres, psychologue) si besoin lors de l'enquête. C'est une possibilité. Après, je ne suis pas du tout experte dans le domaine judiciaire, des procédures etc., donc je ne préfère rien affirmer.