L'Hôtel du Cygne
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Yueran Zhang - L'Hôtel du Cygne
Venue du lointain Sichuan, Yu Ling travaille à Pékin depuis dix ans et rêve de changer de vie. Au détour d’un pique-nique, avec son acolyte M. Courge, ils fomentent le kidnapping de Dada, charmant petit garçon de l’élite chinoise dont elle est la nounou. Mais une fois avalées les pattes de crabe du Kamtchatka et les brochettes d’ailes de poulet, le plan tombe à l’eau, adieu la rançon : le grand-père de Dada vient d’être inculpé pour corruption, le père est arrêté, la mère a disparu. Yu Ling se retrouve seule avec l’enfant. Dans la grande villa aseptisée, Dada dresse une tente pour y accueillir tous ceux qui comme lui n’ont pas d’amis : l’Hôtel du Cygne.
Mon avis
En prenant ce livre j'espérais en apprendre un peu plus sur la culture chinoise ou la vie quotidienne en Chine, le mais au final j'ai été déçu. On apprend pas grand chose de ce point de vue, l'histoire étant courte il n'y a pas vraiment de développement sur la psychologie des personnages, leur relations ou l'évolution des relations.
Au vu de la description je m'attendais à un coté feel-good sur la rencontre entre les différents personnages qui allait déboucher sur quelque chose mais même pas.
Heureusement que le livre n'était pas long finalement parce que je me suis ennuyé...Et vous, ça vous tente malgré mon retour pas terrible
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@icescream a dit dans L'Hôtel du Cygne :
[Et vous, ça vous tente malgré mon retour pas terrible ]
Absolument pas !
Merci tout de même de ton retour ! -
@icescream
vu ce que tu en dis, je ne serais pas allée jusqu'au bout. -
@agathe ceci dit il ne fait que 160 pages et il est noté 3,6 sur 5 chez Babelio
Les commentaires semblent apprécier la concision alors que j aime que l histoire ait la place pour s étendre, je n étais peut être juste pas le bon client pour ce type de livre. -
@icescream
oui, il en faut pour tout les lecteurs. -
@icescream le résumé était alléchant et j'aurais imaginé comme toi, un côté feel-good, de l'émotion, voire de la poésie.
Tu vas donc m'épargner une déception !
Mais je garde néanmoins l'idée pour l'abécédaire de l'année prochaine