Artelise : acribologue passionnée, sujette à la paréidolie, explorant le monde à travers l'objectif d'une caméra et les univers chimériques des jeux vidéo. Une femme qui s'efforce de jongler entre ses rôles de mère (2 enfants TSA) et d'épouse tout en s'efforçant de rester elle-même, c'est à dire une femme honnête et franche et curieuse. Passionnée par les Kdramas, à mes heures perdues, je crochète tout en jouant à Hearthstone.
Fins gourmets, joyeux gourmands, cuisiniers amateurs ou avertis, soyez tous les bienvenus ici...
Ce que je souhaite vous proposer est une animation interactive en plusieurs étapes et renouvelable tous les mois. L'idée de base étant d'échanger autours du thème de la nourriture. (Re)découverte d'un aliment, discussions autours de nos habitudes de consommation, conseils pratiques et bien-sur échange de recette, seront les piliers de cette animation très interactive.
Tout commencera par une petite question anodine associée à un petit sondage à valeur essentiellement ludique.
Ensuite, viendra un petit quiz de mon cru visant à tester vos connaissances concernant l'aliment mis en valeur.
Puis, je posterai un petit article / fiche visant à vous présenter l'aliment du mois. Vous serez alors invité à venir partager recettes, astuces, souvenirs, infos... tout ce que vous voudrez en fait concernant l'aliment star.
Enfin, je vous proposerai un défi : vous serez invité à choisir parmi les recettes qui auront été proposées une recette de votre choix que vous cuisinerez. Il faudra alors nous poster une photo de votre plat (avant consommation tant qu'à faire ) pour valider votre participation.
Dans un an, le membre qui aura réussi à relever le plus de défi culinaire sera nommé à titre très officieux : chef cuisinier du forum.
si cela vous plait, je commencerai cette animation mensuelle dès lundi prochain.
Mon bonheur du jour date de 2 jours ^^ lol.
Mais je voulais partager ma joie avec vous.
L'adoption de notre petite chienne a été une joie pour toute la famille, mais mon fils a eu énormément de mal à se lier avec elle. Il faisait des cauchemars et avait du mal à l'approcher. Il a réussi à passer ce cap il y a environ 2 semaines et avant-hier soir, sur sa suggestion, nous avons fait l'ultime sortie de la journée de la chienne en famille. Une vingtaine de minutes à marcher ensemble, en discutant gentiment. Un pur bonheur. Une libération. Nos trajectoires de vie respectives (surtout celle des enfants) restent chaotiques et incertaines, mais ce soir-là, j'ai eu droit à une belle éclaircie, une jolie bouffée d'oxygène et ça m'a fait un bien fou !
@Guizmo a dit dans Le tournoi TOP50 des années 70 : Je choisis de donner 3 points pour John Travolta et Olivia Newton John Je choisis de donner 2 points pour The Buggles Je choisis de donner 1 point pour Nino Ferrer
Ceci dit, son raisonnement est scientifiquement simpliste pour nous permettre de comprendre ce genre de particularités
si tu parles du raisonnement de Julien Bobroff :
Il ne faut pas mélanger vulgarisation et simplification.
Le soucis, c'est qu'à force de trop vouloir simplifier on finit par faire des amalgames erronés et trompeurs. Le savoir ne se construit pas à partir d'approximations et de simplifications. Il se construit lentement, une notion simple après l'autre qui permettent de comprendre des notions un peu plus complexes et ainsi de suite jusqu'à atteindre des connaissances carrément compliquées.
ça voudrait dire que même si la Terre était plate l'onde de choc aurait pu repasser plusieurs fois ?
Si les conditions atmosphériques l'avait permis, oui.
En réalité, l’événement ne peut pas être utilisé comme preuve que la Terre est ronde.
Ce qu’il démontre surtout, c’est que la Terre possède une atmosphère stratifiée — et c’est cette atmosphère, avec ses couches et ses variations de densité, qui a guidé l’onde de choc du Krakatoa tout autour du globe. L’onde n’a pas “suivi la forme de la Terre” parce que la Terre est ronde, mais parce que l’atmosphère fonctionne comme un guide d’onde qui la canalise le long de la surface. Sans atmosphère, le phénomène n’aurait rien donné de comparable : une explosion de même puissance sur la Lune (qui est pourtant parfaitement ronde) ne serait détectée nulle part ailleurs, faute de milieu pour propager l’onde.
En bref : ce que le Krakatoa prouve, c’est que notre atmosphère est structurée ; la rotondité de la Terre, elle, se démontre autrement.
Le son est une onde qui se dirige dans toutes les directions... en ligne droite dans que le milieu dans lequel elle se disperse reste homogène - ici, l'air.
Or, l'atmosphère n’est pas uniforme (Variation de température avec l’altitude et variation du vent, entre autres). Et ces variations provoquent une réfraction du son (comme la lumière dans l’eau). Le son peut être courbé vers le sol, ou au contraire dévié vers le haut. Et parfois voyager beaucoup plus loin que prévu.
Les graphiques de mesures barométriques dont il se sert pour sa démonstration sont bien en rapport avec l'explosion du Krakatoa, mais ils nous permettent de visualiser l'onde de choc... qui a fait effectivement plusieurs fois le tour de la terre parce que, bien que linéaire elle aussi (elle se propage localement selon des trajectoires quasi rectilignes tant que le milieu est homogène), a été guidée, elle aussi, par l'atmosphère et ses variations.
A noter que dans le cas de l'explosion du Krakatoa, l'onde de choc était tellement puissante qu'elle s'est transformée en Onde de Lamb
Onde de Lamb : C’est une onde de pression piégée près de la surface car elle guidée par la stratification de l’atmosphère. Elle reste donc collée à la Terre, elle en épouse la courbure, non pas parce c'est une onde soumise à la gravité et donc forcée par la Terre à suivre sa courbure, mais parce que l’atmosphère fait office de guide d’onde.
En bref, le bruit produit par l'explosion du Krakatoa a bel et bien été absurdement puissante, mais d'une part ce n'est pas le son qui a voyagé plusieurs fois autours de la terre, mais l'onde de choc. Et d'autre part, ce n'est pas un phénomène qui permet de prouver que la terre est ronde.
L’odeur des clémentines grillées
(titre original : 날씨가 좋으면 찾아가겠어요 – litt. Quand le beau temps reviendra, j’irai te voir)
Auteur : Lee Do-woo Date de publication : 2018 Genre : roman contemporain / roman introspectif / romance
Époque : contemporaine Lieu : Corée du Sud – principalement dans un village rural, au cœur de l’hiver
Note au sujet du titre :
Publié en France sous le titre L’odeur des clémentines grillées, le roman porte un nom très libre par rapport au titre original coréen, mais profondément fidèle à son esprit. Là où When the Weather Is Fine évoque l’attente d’un mieux à venir, le titre français choisit une image sensorielle forte, tirée d’une scène clé du livre : celle d’un feu discret, d’un parfum d’agrume et d’un moment partagé où le monde extérieur peut bien rester en suspens.
Le roman se distingue par une narration volontairement lente et délicate, qui nous plonge dans une atmosphère propice à la rencontre avec les personnages, leurs silences et leurs blessures. Loin d’être pesante ou gratuite, cette lenteur est un choix narratif essentiel : elle nous permet d’entrer pleinement dans un univers feutré et apaisant, nous invite à nous poser le temps d’une parenthèse dans nos vies trépidantes et, à l’instar des personnages, à reprendre enfin notre souffle.
L’histoire se déroule en hiver, en Corée du Sud, dans un petit village de montagne. Le lieu, bien que fictif, reste représentatif de ces villages ruraux vivant loin du tumulte de la capitale. Point de repère central : une petite librairie indépendante, installée à la croisée de deux routes. C’est dans ce décor hivernal, intime et chaleureux, que se retrouvent Im Eun-seop et Mok Hae-won, deux personnages profondément marqués par leur passé et leurs solitudes. Tous deux sont des âmes égarées, sans en avoir vraiment conscience, en quête d’un endroit où se poser enfin — et peut-être aussi d’une personne sur qui se reposer.
Le roman raconte leurs retrouvailles et surtout leur reconstruction progressive. Pas à pas, au rythme des livres partagés et des conversations simples, chacun réapprend à habiter sa propre vie. L’hiver, omniprésent, devient alors un espace de pause et d’introspection plutôt qu’une épreuve à fuir : un temps nécessaire pour panser les blessures avant le retour du beau temps, au sens propre comme au sens figuré.
À travers une écriture douce et sensible, Lee Do-woo explore les thèmes de la solitude, du refuge, de la guérison émotionnelle et du lien humain. L’odeur des clémentines grillées n’est pas un roman d’action ni de rebondissements spectaculaires ; c’est une invitation à ralentir, à écouter ce qui se joue dans les non-dits et à accepter que certaines renaissances prennent du temps.
Ce livre s’adresse à celles et ceux qui aiment les récits contemplatifs, les atmosphères enveloppantes et les histoires où l’essentiel ne se crie pas, mais se murmure — idéalement avec une tasse de thé chaude et la neige qui tombe derrière la fenêtre ️
l'une des intrigues principales du roman fait référence à des violences conjugales.