Mon bonheur du jour :
préparer la bûche de Noël en famille !
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Artelise. Derrière ce pseudo, il y a une femme qui s'efforce de jongler entre ses rôles de mère (2 enfants TSA) et d'épouse tout en s'efforçant de rester elle-même, c'est à dire une femme honnête et franche, amoureuse des mots et curieuse. Photographe amateur, crocheteuse, gameuse, lectrice, amatrice de musique.. Artelise est tout cela... est plus encore.
Mon bonheur du jour :
préparer la bûche de Noël en famille !
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@Hornet, @Elenwey, @Kallindra, @Biquette, @Cygoris, @agathe, @jool, @Music, @Spip, @Mai-Tai, @Brunokar, @ToTeM, @Guizmo, @icescream, @loutre, @Heidi, @Steliane, @ytica et @Jabba-the-Hutt
Et pour les détails des points, voici un petit tableau :
La dernière colonne indique le nombre de questions auxquelles vous n'avez éventuellement pas répondu.
J'ai pour projet de vous proposer un petit récapitulatif des bonnes réponses et quelques petites explications qui vont avec.
Mais pour le moment, je suis convoquée pour une partie de Citadelle... @ pluche !
Hop, je viens agrémenter la collection avec quelques clichés de mon cru:
Sur le grand Ring des réseaux sociaux...
A ma gauche : Greta Thunberg, jeune femme mondialement connue pour son engagement écologique. Sa spécialité : des discours poignants engagés et sincères.
A ma droite : Andrew Tate. Ancien kickboxeur britanico-américain, influenceur sur les réseaux sociaux connu essentiellement pour ses propos machistes et misogynes Sa spécialité : des prises de positions violemment masculinistes.
L'engagement commence par un coup de la part d'Andrew Tate sous la forme d'un Tweet provocateur directement adressé à Greta Thurnberg. Le contenu, en résumé, est le suivant : Regarde, Greta, j'ai plein de grosses voitures à gros moteurs qui consomment un max et qui ne sont pas, mais pas du tout, écologiques. Si tu veux, je peux t'envoyer la liste complète de mes 33 voitures". Le tout accompagné d'une photo où on le voit poser à côté de l'un des ses précieux véhicules.
La réponse de Greta ne se fait pas attendre. La jeune femme répond, par un mail subtil... quoique ^^ . Sa réponse: "ok, s'il te plait éclaire-moi ! tu peux m'envoyer ta liste l'adresse mail suivante : petitbite (@) achete toi une vie.com
Ce à quoi son adversaire répond (très intelligemment ^^) : "merci de confirmer que tu as une petite bite, le monde se posait justement la question. Effectivement, je confirme qu'il faudrait que tu t'achètes une vie". Et le mec, de joindre une photo posant devant deux boîtes de pizza qu'il venait de se faire livrer - des pizzas dans des boîtes en carton non recyclable, évidemment.
L'histoire aurait pu s'arrêter là.... d'autant que Greta n'a pas répondu à ce tweet.
Sauf que, en réalité, le gars était recherché activement par une antenne du Conseil de l'Europe qui porte le doux nom de Group of Experts on Action against Trafficking in Human Beings et dont l'acronyme officiel est... GRETA. Leur boulot : traquer, débusquer et arrêter les trafiquants d'être humain. Crime pour lequel Andrew Tate était justement recherché en Roumanie. Or, je vous le donne en mille : les pizzas étaient roumaines...
Il n'aura pas suffit davantage pour que Andrew Tate soit localisé et mis aux arrêts.
C'est avec humour que Greta, dans un ultime tweet à conclu :
"Voilà ce qui arrive quand vous ne recyclez pas vos boîtes à pizza".
Nous voilà prévenus !
Personnellement, je trouve cette anecdote hilarante.
J'adore l'idée de ce retour de Karma aussi fulgurant qu'efficace !
Avant toute chose, commençons par définir ce que l’on entend par TSA.
TSA pour Trouble du Spectre Autistique.
Bien que le terme « autisme » soit encore couramment utilisé, les spécialistes lui préfèrent désormais l’expression TSA car c’est un terme qui permet de mieux prendre en compte la diversité des manifestations de l’autisme. Car les caractéristiques de l’autisme sont très variées d’un individu à l’autre.
La première des choses à comprendre c’est qu’il s’agit d’un trouble du neurodéveloppement. C’est-à-dire que l’on parle ici d’altérations du cerveau qui se mettent en place avant la naissance et sont impliqués dans le langage, la motricité, la perception, les émotions, les interactions sociales… Il ne s’agit donc pas d’une maladie et l’on ne peut pas en guérir. Ce trouble apparaît dès la petite enfance et évolue tout au long de la vie.
En l’état actuel des recherches, il est juste de dire que l’on ne connait pas la/les cause(s) de l’autisme. Certaines études ont montré un lien entre autisme et génétique. Mais ce n’est pas la seule explication. Le développement neurologique ainsi que les facteurs environnementaux pourraient également avoir une incidence. Le champ des recherches est encore très vaste sur ce point.
Une chose est sûre cependant : l’autisme n’est pas lié à la relation parent-enfant, ni au mode d’éducation.
Ensuite, et malgré les différences entre les individus, il y a un tronc commun que l’on appelle la Dyade Autistique. Dyade, car le diagnostic reposera sur deux critères principaux.
Difficultés dans la communication et les interactions sociales.
Ces difficultés peuvent se manifester de plusieurs manières :
Comportements répétitifs et des intérêts restreints
Ce qui pourra se traduire par :
Quelques questions et réponses :
L’autisme se soigne-t-il ?
PAS VRAIMENT
La cause de l’autisme n’étant pas connue, aucun traitement médical n’existe pour le moment.
MAIS
Grâce à une prise en charge pluridisciplinaire et adaptée aux besoins de chacun, il est possible d’améliorer la qualité de vie des personnes autistes tout au long de leur vie. Chaque personne autiste se verra confronté à des difficultés et des contraintes qui lui seront propres. Tout l’enjeu consiste d’une part à identifier ces difficultés et contraintes et de trouver un moyen de s’y adapter ou d’y pallier. En gardant à l’esprit que les troubles ne sont pas d’ordre psychologiques mais bien neurologiques, on comprendra que ces difficultés ne pourront jamais vraiment disparaitre. Une personne qui ne supporte pas de se retrouver dans une foule nombreuse adaptera donc son emploi du temps pour éviter de se retrouver dans un magasin aux heures de forte fréquentation ou bien s’arrangera pour y passer le moins de temps possible, par ex.
On ne peut pas communiquer avec une personne autiste
FAUX
Si les personnes autistes éprouvent des difficultés dans leur communication verbale et non verbale, cela ne signifie pas qu’elles ne peuvent pas communiquer. Dès la petite enfance, elles développent une manière, bien à elles, de communiquer. Tout l’enjeu des prises en charge est de faire un pont avec leurs modes de communication : par exemple en utilisant une communication visuelle, en évitant les phrases à double sens ou imagées, en simplifiant son message…
Une personne autiste ne peut rien apprendre
FAUX
Certaines formes cliniques sévères de l’autisme associent une déficience intellectuelle qui entraîne des troubles de l’apprentissage importants. Mais, dans la plupart des cas, la plasticité cérébrale persiste. Adapter les méthodes d'apprentissage au fonctionnement cognitif spécifique de la personne autiste permet leur efficacité.
l’autisme est-il forcément associé à un retard mental ? ou Les autistes sont-ils tous des génies
Eh bien non. Nombre d‘études ont prouvés que l’on trouve dans la population autistique les même proportions en termes de variété d’intelligence que dans le reste de la population. Donc, non, une personne autiste ne sera pas forcément plus intelligente que la moyenne et elle ne souffrira pas forcément de retard mental. Elle ne sera pas forcément non plus confrontée à des difficultés d’apprentissage… rien en tout cas qui ne sera lié à leurs capacités cognitives. Car dans les faits, on pourra malgré tout constater des difficultés à l’école. Soit que l’enfant aura du mal à se concentrer à cause d’une hyper-sensibilité au bruit (une règle qui tombe, les frottement des chaussures sur le sol, les murmures… ) ; soit qu’il lui sera impossible d’écrire tout en écoutant une leçon (la prise de note sera difficile voire impossible) ; soit que les instructions ne seront pas suffisamment détaillées ou données de manière orale et non ou mal mémorisées… etc. C’est pour cette raison que la présence d’un.e assistant.e scolaire pourra être nécessaire voire indispensable auprès d’un élève autiste même si cet élève ne souffre d’aucun soucis d’apprentissage d’un point de vue cognitif.
les autistes sont des solitaires-nés et ils ne recherchent pas le contact social
FAUX
Les autistes vont éprouver des difficultés concernant la communication et la socialisation. Ils vont avoir du mal à comprendre les autres. Ils vont éprouver des difficultés à se faire comprendre. Et cela va se traduire par ce qu’on pourra confondre avec de la timidité. Mais l’envie de contact et de se voir intégrer dans un groupe restera réelle. Il faudra juste faire avec les contraintes de l’autisme. Une personne autiste aura plus de facilité à s’intégrer dans un petit groupe de personnes (2 ou 3 personnes), elle éprouvera plus de facilité à s’exprimer si on lui laisse le temps de formuler des réponses (les autistes éprouvant parfois du mal à trouver des réponses appropriées de manière spontanées) ; les rencontres sociales, même si elles sont recherchées et appréciées resteront souvent des moments propres à générer du stress et / ou de la fatigue, la personne autiste donnera donc sans doute la préférence à des soirées ou des rencontres qui ne s’éterniseront pas ; le cadre pourra être important également : une personne autiste préférera sans doute retrouver son groupe d’ami dans un endroit qui lui est familier. Il est d’ailleurs bon de noter ici que si vous croisez une personne autiste dans un lieu différent de celui dans lequel vous le croisez d’habitude, il pourra très bien ne pas savoir comment se comporter ou quoi dire. Si la personne autiste vous voit mais se détourne, il ne sera probablement pas en train de vous snober, mais il sera juste, sans doute, en train d’éviter une situation qu’il ne se sent pas capable de gérer.
Les autistes sont capricieux et colériques.
OUI ET NON.
oui, parce que, avant d’être autistes, les personnes atteintes d’un TSA sont des individus et que chacun aura sa personnalité propre. Ainsi donc, il pourra arriver que la personne autiste ait développée une personnalité capricieuse et / ou colérique.
CEPENDANT, l’autiste va parfois souffrir de ce qu’on appelle des Meltdown ou des Shutdown. Souvent impressionnantS, ces « crises » que l’on confond aisément avec des crises de colères ou d’hystérie sont dues à une surcharge (émotionnelle, mentale, sensitive voire tout en même temps) et cela se manifeste de manière parfois spectaculaire.
Les Meltdown : La personne en meltdown peut se montrer violente physiquement ou verbalement, elle peut crier, se débattre, se faire du mal à elle-même, chercher à fuir. Elle peut pleurer de manière incontrôlable, s’en prendre à son environnement ou aux personnes qui l’entourent. Un meltdown est souvent très impressionnant pour ceux qui y assistent. Pour celui qui le subit, la perte de contrôle est totale. Il se retrouve l’otage de ses pensées et de ses émotions, incapable de les digérer ou de prendre la main sur elles. Dans cette situation, la personne ne contrôle ni ses gestes ni ses mots. Son cerveau est en plein tremblement de terre.
Le Shutdown : bien que moins impressionnant vécu de l’extérieur, n’en est pas moins difficile à vivre de l’intérieur. Lorsque le niveau de stress atteint un niveau insupportable, le cerveau « gèle ». Il ne parvient plus à fonctionner. Si on devait faire une comparaison, on pourrait alors comparer le shutdown à une sorte de plantage de Windows lorsque le nombre de tâches simultanées devient soudain trop important et que le pc pédale dans la choucroute et ne réponds plus à rien et ne parvient même pas à répondre à la plus petite requête.
Pendant un shutdown, la personne autiste se sent épuisée, confuse, perdue. Elle ne comprend plus ce qui est attendu d’elle. Tout devient difficile et incroyablement complexe : lire, parler, comprendre une instruction, chercher un objet dans un sac, … Nos capacités de réflexion et Pendant un shutdown, on se sent épuisé, confus, perdu. La personne autiste ne comprend plus ce qui est attendu d'elle, ses efforts de concentration n’y font rien, et ses capacités de concentrations sont réduites. Tout semble difficile et incroyablement complexe : lire, parler, comprendre une instruction, chercher un objet dans un sac, … Les capacités de réflexion et de fonction exécutives (ensemble de processus cognitifs qui permettent de définir un objectif et les différentes étapes qui permettront de l’atteindre) prennent un tel coup dans l’aile que même des tâches très simples deviennent insurmontables et incompréhensibles.
Note : je me suis beaucoup inspiré pour la rédaction de cette partie de ce qui a été formidablement écrit dans un article que vous retrouverez ici Je vous invite à lire l’intégralité de l’article. Il est très instructif !
Pour terminer quelques chiffres
• 1 personne sur 100 concernée
• 700 000 personnes autistes en France
• Dont 100 000 ont moins de 20 ans
• Source Inserm
• 3 garçons pour 1 fille
• Mais ce chiffre est à nuancer au regard des recherches actuelles : les filles pouvant être sous-diagnostiquées.
• Apparition des 1ers signes principalement : entre 18 et 36 mois
• Âge moyen au moment du diagnostic : entre 3 et 5 ans
• 60 à 70 % d’enfants autistes non scolarisés
Mes sources :
https://www.autismeinfoservice.fr/
https://www.craif.org/ (Centre de Ressources Autisme – île de France)
https://comprendrelautisme.com/
Et mon expérience personnelle sur le sujet.
Si vous avez des questions ou si vous voulez partager sur le sujet, ce sujet est fait pour ça !
J'en pense que c'est du grand n'importe quoi !
Les œuvres littéraires ou les films ou les séries ou les chansons, il suffit de les contextualiser, d'expliquer dans quel culture avait baigné l'auteur, dans quel contexte historique, quels étaient les tournures de pensées de l'époque.. etc. Et non seulement, on enrichit notre culture, mais en plus, on peut se rendre compte des progrès qui ont été faits (ou pas d'ailleurs ^^).
Aujourd'hui, j'ai appris le mot Compression.. euh.. non Compersion.
La compersion est le sentiment éprouvé lorsqu'on se réjouit du bonheur d'autrui.
Et j'apprends, par la même occasion que je suis du genre compersive.
Hop, aujourd'hui - si de me décide enfin à lâcher le forum deux minutes - ça sera une petite salade dite "scandinave".
Il manquera juste le fenouil, y en avait pas sur les étals, hier quand j'ai fait mes courses.
Bien le bonjour à toutes et tous !
Comme le veut la coutume, je viens me présenter brièvement à la communauté afin d'établir un premier contact et vous donner une idée de la personne à qui vous avez à faire.
Je suis une française, mariée et mère de deux enfants.
Depuis plusieurs années maintenant, nous vivons en Autriche car c'est là que mon époux a trouvé un poste correspondant à ses compétences en tant que Dr ès Micro-informatique.
Mes enfants ont 15 et 13 ans. Vous les connaitrez sous les pseudos : Salimarth, pour mon ainé, et Capuqueen pour ma cadette.
Mes loisirs sont essentiellement regroupés autours des jeux vidéo (Diablo III, Civ VI, Xenoblade, Pokemon, Hearthstone), mais pas uniquement. J'aime également les jeux de société (Citadelle, Carcassonne, 6 qui prend, belote, Scotland Yard, Kerala, Cluedo, trivial pursuit...). Enfin, j'aime m'occuper les mains en réalisant des châles au crochet. Je m'adonne parfois, avec un certain talent, à la photographie.
Au niveau des films et des séries, j'ai tendance à privilégier les films d'action (j'adore les Marvel) et les séries fantastiques (attention, pas horrifiques !) et la science fiction.
Mes lectures de prédilection concernent les mêmes domaines : fantasy, science fantasy, Science fiction.
J'aime parler de sciences, de nouvelles technologies, de cultures, de voyages...
Ma famille et moi-même aimons voyager. Notre destination préférée étant l’Écosse.
Ma langue maternelle est le français, mais je pratique également un assez bon niveau d'anglais (même si je manque cruellement de pratique) et un niveau correct d'allemand (même si mon côté perfectionniste à tendance à me faire penser que je pourrais toujours faire mieux).
Ma famille a également une particularité que j'aimerais dès maintenant partager avec vous car cela pourrait influer sur ma façon de m'exprimer parfois un peu directe : Mes enfants sont tous deux dans le spectre de l'autisme (Type Asperger) et les psy de mes enfants me soupçonnent fortement de faire également partie du spectre.
Voilà, si vous avez des questions, n'hésitez pas !
Et hop !
ma compo.
Curieusement, c'est le mot que j'ai proposé que j'ai eu le plus de mal à placer.. lol.
Thème : souvenir
Mots à placer : ambulance ; glisser ; oubli ; couloir ; inexorablement ; champs ; décalé.e
« Vous savez, les gens évoquent parfois une sorte de couloir blanc et lumineux », commença-t-elle avant de laisser à nouveau le silence s’installer. Comment pouvait-elle expliquer, quels mots pourraient bien exprimer ce qu’elle avait ressenti ?
En face d’elle, la psychologue l’observait avec patience. Elle avait cessé de prendre des notes, désireuse de respecter l’introspection de sa patiente.
« C’était très étrange vous savez, reprit-elle. Une seconde auparavant, j’avais conscience d’être dans l’ambulance. J’avais mal, j’avais peur. Et puis, brusquement, je me suis senti… glisser. Comme emportée par… un courant d’air chaud.
Chantal releva la tête, brièvement et croisa le regard de sa psychologue un instant.
« J’ai pratiqué le parapente, vous savez, précisa-t-elle. Et ce que j’ai ressenti, à ce moment-là, c’était finalement très similaire. La légèreté soudaine, le sentiment de liberté… »
Son regard se fit à nouveau trouble et douloureux. Elle finit sa phrase presque dans un murmure :
« … le harnais et la voile en moins. »
De nouveau, le silence. Et puis, après avoir laissé échapper un long soupir, elle reprit :
« Je sais que ça n’a duré qu’une poignée de seconde. On me l’a dit. Mais, moi, j’ai eu l’impression de glisser dans l’oubli, inexorablement, durant une éternité. Une longue glissade, dans une sorte de vide grisâtre, un tunnel insondable avec, au bout, un point lumineux. Mais ce n’était pas totalement blanc. Il y avait des touches de couleurs. Du vert, du bleu, du rouge, beaucoup de rouge…
Une nouvelle fois, comme une sorte d’illumination, une sorte d’évidence, elle finit par trouver ses mots.
« On aurait dit le tableau du champ coquelicots de Van Gogh » affirma-t-elle. « Mais vu de loin. »
Elle sourit à cette petite touche d’humour et la psychologue lui rendit son sourire.
Le silence s’éternisa un peu, alors la psychologue finit par lui poser une question.
« Vous aviez envie d’aller dans ce tableau ? »
Chantal fronça les sourcils et secoua la tête.
« Un instant, juste un très bref instant. Mais je me sentais comme décalée, comme si je n’étais pas entrée en phase, comme si le moment n’était pas encore venu. »
Dans un soupir retenu, des larmes perlant à ses paupières, la voix à la limite de se briser, elle expliqua :
« J’ai des enfants, vous savez. Ils ont besoin de moi. »
Elle releva soudain la tête et redressa les épaules, déterminée, presque dans une attitude de défi.
Alors, la psychologue comprit. Elle sut comment le cœur de cette femme alors en arrêt total avait fini par se remettre à battre avant même que les ambulanciers ait eu le temps de mettre la main sur le défibrillateur.
@Elenwey a dit dans La Reine Charlotte : Un chapitre Bridgerton (Queen Charlotte: A Bridgerton Story) :
Je connais Diaspora. Je ne suis pas sûre que ce soit totalement et complètement français, mais il s'agit bien d'une alternative aux réseaux sociaux que tu cites.
Ce qui est assez terrifiant, c'est que même dans la fiction, rares sont les films qui ont été jusqu'à proposer une telle immersion (sauf à vouloir dénoncer une déviation ou un abus).
Alors, oui, en effet, je pense qu'ils pourraient revoir leur manière de communiquer.
En outre, ils semblent vouloir faire de ce casque un nouvel outil indispensable et indécollable du visage. La fille qui prépare ses valises, n'a pas besoin de porter son casque de réalité augmentée. Elle pourrait le mettre au moment où on l'appelle, pour un meilleur confort de communication, mais avant ??
Punaise, on dénonce déjà les comportements qui donnent l'impression que l'on a le téléphone greffé à la main ^^ Il y a déjà des gens qui ont du mal à décrocher et à ne pas aller vérifier leurs nouveaux messages (toutes provenances confondues) toutes les 30 secondes.
Alors autant, je pense que dans certaines catégories de métiers, ça pourrait être super utile et autant je peux comprendre que dans certains loisirs (la fille dans l'avion, par ex) ça peut améliorer le confort, autant il me semble clair que cette pub est une invitation à du grand n'importe quoi !
@agathe a dit dans Décris-moi un mouton :
voilà une fouée
Allez ! je sors mon inculture !
C'est quoi une fouée ? (oui, je sais, je pourrais sans doute googleler ma requête, mais je préfère le dialogue )
@ayamé a dit dans Maigrir sans régime :
c'est de manger des fibres au cours de ce repas
J'ai entendu dire que toutes les fibres ne faisaient pas cet effet-là... Et que certaines étaient duirétiques et d'autres pas.. ^^ je fais le tri comment ?
Sur l’étagère, au fond de la pièce, l’inspecteur avait découvert trois minuscules socles en bois. L’un d’eux était vide, mais sur les deux autres on trouvait un minuscule chaudron et un minuscule tambour. C’était un détail qui n’avait pas manqué d’attirer l’attention de l’enquêteur tant ces figurines semblaient en totale inadéquation avec le reste de la décoration.
Mais quel genre d’information pouvait-il tirer de ces petits objets ? Qu’est-ce que cela pouvait bien lui apprendre au sujet de leur propriétaire ?
Délicatement, l’enquêteur se saisit du chaudron. Tandis qu’il le tournait entre ses doigts, il fut frappé par la qualité de l’objet. Il ne s’agissait pas de quelque réplique en mauvais plastique, mais belle et bien d’une sorte de reproduction fidèle, à tel point qu’on aurait pu croire – et l’enquêteur ne put s’empêcher de se trouver idiot de formuler une telle pensée – qu’il s’agissait d’un véritable chaudron que l’on aurait miniaturisé. Pensif, il s’apprêtait à reposer le chaudron sur son socle en bois lorsqu’il remarqua un détail que l’objet avait dissimulé jusqu’alors. Sur le socle, à l’endroit même où le petit objet devait se tenir, il y avait comme une inscription.
L’homme déposa délicatement le chaudron sur un coin de l’étagère, se saisit du socle et se mit à l’observer à la loupe en ignorant ostensiblement les ricanements de son collègue.
« Tentation » parvint-il finalement à lire.
Intrigué, il reposa le socle sur l’étagère, remit précautionneusement le chaudron à sa place et se concentra sur le tambour. Là encore, il eut l’étrange impression de tenir un véritable tambour entre ses doigts. Il frissonna.
« Résilience » fut le mot qu’il découvrit sur le socle en bois dédié au tambour.
« cette sorcière s’est mise à la musique, figures-toi ! » cracha soudain derrière lui une voix pleine de mépris.
L’enquêteur prit le temps de reposer le tambour à sa place avant de se retourner et de faire face à une jeune adolescente qui mâchait bruyamment un chewing-gum.
« sorcière ? » répéta l’inspecteur.
« ma belle-doche » précisa la jeune fille avant d’ajouter : « depuis des semaines, qu’elle tape sur un putain de tambour africain, c'était juste insupportable, tu vois ? Comme si elle, une meuf comme ça, pouvait piger quoi que ce soit à la musique africaine, sérieux, c'est juste pathétique !"
L’inspecteur aurait bien prié la jeune fille de ne pas le tutoyer, mais il avait assez d’expérience pour savoir que ce serait illusoire d’attendre un minimum de respect de la part d’une adolescente visiblement en mode « rien à foutre de rien ».
« c’est peut-être mieux que de fabriquer des potions, cela-dit » répondit-il, mû par une étrange impulsion.
« t’as jamais goûté sa bouffe » lâcha la jeune fille. « Moi, je te le dit direct : elle a simplement fini par se casser et c’est très bien comme ça, wallah! »
Sur cette sentence, la jeune fille quitta la pièce aussi péremptoirement qu’elle y était entrée.
« et qui lui en voudrait ? » murmura l’inspecteur.
Il n’en restait pas moins étrange que la femme soit partie sans aucunes de ses affaires personnelles. C’est ce qu’il dit à son collègue qui lui fit remarquer qu’on avait trouvé aucun tambour africain.
« Certes » répondit l’inspecteur évasivement tandis qu’il se retournait vers l’étagère. « à moins que… »
« a moins que quoi ? » demanda son collègue, intrigué.
Mais l’inspecteur ne répondit pas. Il se contenta de saisir le troisième socle et de l’inspecter à la loupe.
« vengeance »
Tel était le mot inscrit sur le minuscule objet.
Et sans comprendre pourquoi, soudain, il eut peur.
@Jabba-the-Hutt a dit dans pessimisme :
Un problème est en réalité une opportunité.
Ma grand-mère avait coutume de dire : "y a pas de problème, il y a juste une solution qu'on a pas encore trouvé".
Savoir voir ce qui ne va pas dans la vie, ce n'est pas forcément un soucis, ça peut-être un bel atout aussi. Car, quand on voit ce qui ne va pas, on a déjà fait un pas vers la solution qui va améliorer la situation (comme Jabba le disait autrement avant moi). L'idée étant donc de ne pas s'arrêter au constat de "y a ça, qui ne va pas et ça et ça aussi.." Il faut savoir passer au stade suivant qui consiste à trouver le moyen de changer / améliorer / stopper ce qui ne va pas. Et savoir aussi trouver le moyen de s'aider soi-même lorsque c'est possible (ne pas forcément attendre de l'aide des autres) ou savoir s'entourer lorsque la solution nécessite une aide extérieure.
Et lorsqu'un problème n'a pas de solution immédiate, il faut savoir "prendre son mal en patience". Ne pas rester les yeux / l'esprit fixé dessus et savoir se concentrer sur ce qu'il y a de positif autours / ailleurs. Ce qui ne signifie pas qu'on baisse les bras. Juste, qu'on tempère et qu'on attend le bon moment / la bonne opportunité pour avancer et appliquer la bonne solution.
S'il s'agit de quitter le foyer familial pour un jeune adulte parce que c'est nécessaire a son épanouissement, ok. Mais il faut le faire au bon moment, pour ne pas se jeter dans une multitudes d'autres problèmes. (Je ne parle pas ici, évidemment des cas de violences).
Pour le côté scénario, je ne sais pas encore.. puisque je m'amuse à faire trainer la quête principale en faisant toutes les quêtes annexes accessibles, les donjons, les caves... etc qui traînes sur mon chemin. Pour dire, pour l'instant, j'ai pas dépassé l'Acte 1 ^^ Mais ce que tu dis ne m'étonne pas. La licence Diablo n'est pas réputée pour concourir pour le meilleur scénario de jeu ^^ loin de là. Donc, ben, en fait, je m'en moque un peu, de leur scénario.
J'adore le côté openworld. J'aime les graphismes, même si je m'efforce de ne pas trop regarder dans le détail pour certains donjons ^^ Mais, oui, c'est gothique à souhait, c'est horrifique, sombre et pour une fois, cet aspect du jeu semble pleinement assumé et c'est très bien ainsi. (quand j'en ai marre du côté sanglant et glauque du jeu, je joue à Plate up avec mes enfants)
Pour le matos d'exception, j'ai pas encore trop exploré.. faudra que je découvre ça.
J'espère toutefois qu'ils n'ont pas totalement abandonné l'idée de nous proposer des objets de set.
Mes persos en cours : Irina que je joue en groupe et Throné que je joue en solo.
... bon les photos ça sera dans un édit, ce soir apparemment, ça veut pas.
edit, donc...
Je commence...
Pour ma part, la musique d'un jeu peut clairement avoir son importance dans mon expérience de jeu. Mais il faut que le jeux parvienne à se renouveler et ne soit pas trop répétitif. C'est d'ailleurs l'un des aspects d'Octopath Travelers 2 que j'ai beaucoup apprécié, à savoir les efforts qui ont été réalisé pour que la bande son soit riche et variée, avec des musiques d'ambiance qui ne prend pas le pas sur les autres aspects du jeu.
Par contre, je vous avoue, lorsque je jouais à Diablo III, je coupais la musique, leur préférant ma propre musique et ma propre ambiance (j'aimais bien jouer sur fond de
Un jeu auquel je ne joue pas : Hollow Knight !
A la maison, c'est mon fils qui y joue. Eh bien, autant j'avoue que ça me saoulerais grave de jouer à se jeu ^^ autant, je trouve l'ambiance musicale plutôt agréable et bien faite.
Sinon, dans les "jingle" inoubliables qui ont marqué ma vie de gameuse : la
note d'intro aux Modos : j'espère n'avoir pas manqué de sujet similaire..
J'aimerais interpeller, ici les @Gamer en particulier, mais évidemment, tout le monde peut participer !
J'aimerais discuter ici de tous ce qui a trait aux musiques des jeux vidéos. Les musiques qui servent de fond au jeu, les musiques de génériques lorsqu'il y en a, les quelques notes qui accompagnent les combats, les victoires, les défaites, mais aussi les musiques qui ont été inspirées - plus ou moins librement - de l'univers des jeux vidéos.
Librement, j'aimerais que l'on parle de l'importance que cela peut avoir à vos yeux. Que vous mettiez en avant, si vous le souhaitez, des morceaux particuliers. Que vous nous disiez si vous laissez la musique en jeu ou si vous la coupez ou en baisser l'intensité dans les options lorsque c'est faisable. S'il y a des jeux que vous avez apprécié de jouer malgré une musique "pourrie" ou au contraire, des jeux qui ont été "sauvés" à vos yeux à cause d'une musique au top (ou une ambiance sonore particulière). S'il y a des musiques que vous apprécieriez d'écouter même sans jouer... Bref, je souhaite un sujet assez vaste et libre.