Le logo d'une école de danse qu'il m'arrivait d'utiliser en avatar pour troller des modos trop stricts.

Le logo d'une école de danse qu'il m'arrivait d'utiliser en avatar pour troller des modos trop stricts.

Après avoir cherché pendant plus d'une heure, je pense avoir enfin le 19 :
Le Cinquième Elément (le sein qui aimait l'aimant)
@Marcel C'est le moment de t'avouer un truc. A chaque fois que je vois ton pseudo, je pense à cette pub : 
@Antigua Comme dirait le célèbre philosophe Oldelaf, la tristitude, c'est quand tu marches pieds nus sur un tout petit Lego.
Dites, vous n'auriez pas vu la ligne d'arrivée par hasard ?
Ce test, réalisé en collaboration avec Mathieu Avanzi, professeur de dialectologie de l'Université de Neuchâtel, permet de savoir d'où vous êtes, et je dois avouer que ça marche pas trop mal.
J'ai ri devant une publicité du Crédit Lyonnais/LCL. C'est la première fois de ma vie que ça arrive. 
Là, le choix est vraiment très difficile. 
Je vote pour J'ai encore rêver d'elle
@Hilda-Van-Holp Même sans sel, elles pourraient au moins avoir la jugeote de déneiger au tracto-pelle. Je connais plusieurs mairies de villages de montagne qui font ainsi, pourquoi ce serait impossible en région parisienne ? 
@Coyotito Pas uniquement les Québécois. 
@Hornet Et pis Daddy Cool, c'est peut-être un bousin, mais c'est là le truc, tout y est faux et artificiel, mais ça fonctionne quand même super-bien.
C'est beau, les aquarelles de Marie Laurencin, Je vote pour L'été indien. 
Une mélodie simple peut être efficace. Je vote pour Pour un flirt.
@Uzeste Et oui, Gainsbourg était avant tout un musicien avec une formation classique. C'est pour ça que, quand il s'est mis à la chanson populaire, il avait le sentiment d'arnaquer les gens.
@LeaPierce @Miss-Audrey Elle y exprime une haine envers son ex, en lui reprochant principalement d'avoir brisé son plan de vie sans se poser la question de savoir si elle le partageait vraiment. Elle veut quand même sauver le couple, non pas en repartant sur de nouvelles bases, mais juste pour accomplir son projet de vie à elle.
De même, elle refuse d'admettre que les sentiments de son ex se sont estompées et puisse connaître une nouvelle histoire d'amour.
Dans les chansons de rupture, on peut prendre en exemple celles de Vianney, avec ce vers "Ce qui m’emmène, ce qui m’entraîne, c'est ma peine, ma peine plus que la haine" dans la chanson Je m'en vais. De même, dans Pas là, avec ce couplet Des nuits d’ivoire / sûr, ça je t’en dois, / si les tiennes sont noires / non, je ne t’en veux pas, il préfère éviter la haine sachant qu'elle ne l'aidera pas à se reconstruire. Il y a également Anaïs qui, dans sa chanson Christina, préfère tourner cette haine en dérision.
Et pour le thème de l'adultère, quand Obispo se demande où et avec qui tu m'aimes, il y met bien plus de philosophie et de compréhension de l'autre.