Meilleurs messages postés par ayamé

@bingo a dit dans Les limites entre perception et interprétation :

préféreraient être l'assassin. Pourquoi ? Instinct de survie !

J'ai râté tous les derniers échanges, n'étant pas venue depuis un bon moment sur ce topic.
Bien sûr, instinct de survie : tout ce qui vit en est pourvu parce que la Vie défend sa raison d'être
en dehors de la morale quand il y a risque mortel.
Même les virus en sont dotés, d'où leur propension à muter pour survivre en s'adaptant à leur nouvel environnement .
Ici, je voudrais faire un aparté et citer ces expériences nazies pour savoir combien de temps
une mère juive supporterait de voir son enfant agoniser de faim avant qu'elle ne décide de le tuer pour abréger ses souffrances.
Quand la cruauté atteint un tel sommet d'horreur, on peut dire que les personnes la pratiquant
sont de vrais psychopathes.
J'ai lu plus haut un lien entre ce qu'ils auraient subi dans leur enfance et leurs actes à l'âge adulte.
Les psys disent que l'on réagit aux traumas de 2 façons possibles :
soit en reproduisant ( les frappés deviennent frappeurs ), soit en agissant au contraire à l'opposé
( les frappés deviennent des bisounours ).
Alors, qu'est-ce qui explique que l'on adopte un comportement plutôt que l'autre ?
Pourquoi, entre les 2 forces qui nous animent, choisira t-on Thanatos plutôt qu'Eros ?
Je dirai que cela est lié aux 2 principes : celui du plaisir et celui de la frustration.
Thanatos sera choisi s'il procure plus de plaisir qu'Eros ( oui, c'est possible, Eros n'étant pas
d'une fidélité exemplaire) et s'il permet de combler une frustration.
Un psychopathe est intolérant à la frustration. Les gens immatures aussi, mais à un degré moindre et acceptable :
c'est là qu'est la limite entre normalité et pathologie.
Cette intolérance est due à un blocage dans la maturation psychique : les traumas n'ont pas été travaillés
par la psyché : ellle n'a pas pu mettre en place des mécanismes soit de défense, soit de résilience pour les surmonter.
Pourquoi ? Est-ce rattrapable ? Un autre débat sur lequel je n'ai pas envie de m'exprimer :
des choses pourraient être dites qui heurteraient certaines sensibilités, comme tu dis .

@want-wish : hélas, peu de phamaciens s'y connaissent, l'étude des champignons
ne fait plus partie de leur cursus universitaire.

@carl_jung : oh oui, leurs bonnes ondes rejaillissent sur nous .

@le-taxidermiste : bin non, faut pas critiquer, faut être dans le moov, pour être in et non out,
ne pas passer pour un has been. Ben vi, parce qu'il faut aussi utiliser plein de mots anglais :
paraît qu'on est mieux compris avec ce type de langage.

@agathe : je balade mes chiens au bord du Tarn, sans laisse : un chien a besoin d'aller à droite à gauche pour sentir des odeurs et courir au gré de ses envies. Je croise souvent d'autres chiens, c'est bon pour entretenir la sociabilité des chiens entre eux et l'occasion de discuter avec les maîtres, c'est bon aussi pour la mienne ( de sociabilité ). .

@Mai-Tai : nan, t'inquiète, on pourra boire le champ ensemble pour fêter notre challenge lecture, je touille sans faire de bruit ;).
Moi, ce sont les gens qui touillent leur café pendant 5 longues mn qui m'agacent ( tu vois, je suis aussi misophone, on a ce point commun )

@Jabba-the-Hutt : et oui, la chanson de la cuiller ou du touilleur est trop répétitive, elle finit par énerver .

@bingo a dit dans Les limites entre perception et interprétation :

Il aurait fallut que je fasse un exemple plus soft je reconnais.

Perso, le pas soft ne me dérange pas du tout, j'ai cité un cas de figure encore plus hard que le tien.
Je trouve que ton exemple ne permet pas de répondre en choisissant un personnage ou l'autre.
On ne peut pas s'identifier à l'un ou l'autre des 2.
Mais pas grave, on peut rebondir d'une autre façon, ce que j'ai fait .

@apis-32 : ah mais faut que tu donnes envie de le lire, parce que m'est avis qu'il vaut le coup !
" Plus de 110 témoins de premier plan parlent, à visage découvert, crûment.
Ils confient aussi leurs documents. Les auteurs racontent le pouvoir solitaire d’un homme suprêmement habile,
éperdu de lui-même. Ils révèlent les dessous de la conquête de l’Élysée, puis l’exercice
de la toute-puissance, et la vaine quête d’une idéologie. La trahison a enfanté le néant ".

@plume : et c'est ainsi que naquit la pratique des mandalas qui mènent à une certaine forme de nirvana .

@le-taxidermiste : " iel est belleau ", j'en pense que c'est ballot .
@Dirty-Cop-2-0 : " iel est biel " : et là, ça me fait couler une bielle sous le capot de mon cerveau.
@Sylareen : désolée, je ne m'y fais pas et non pas parce que je ne peux pas m'adapter,
mais parce que je m'y refuse. Heureusement, j'ai encore ce droit-là.

@agathe : j'ai passé un diplôme d'éducatrice canine et je l'ai été en bénévole en club sur mon temps libre ( en plus de mon métier d'infirmière ) et je peux te dire qu'un chien en laisse ne se sent pas à l'aise en laisse car il sait bien qu'il est entravé dans la gestion de ses mouvements. Cela peut induire, pour les chiens mal sociabilisés, de l'agressivité. La laisse en ville, ok, mais il faut fournir au chien des occasions de pouvoir gambader librement, cela fait partie de ses besoins primaires de chien.

@Cygoris a dit dans Peurs et phobies :

Jamais entendu parler.

Moi non plus, comme de la plupart des très nombreuses phobies citées d'ailleurs.

@tigrette : tu sais, il y a un gouffre entre ce que l'on dit à froid et ce que l'on fait à chaud.
Et là, ce n'est plus une question de choix.
Dans une situation où ta vie serait en grave danger de mort, crois-moi, c'est ton cerveau primitif qui réagirait
pour sauver ta peau, parce que c'est une loi naturelle qui s'appelle effectivement l'instinct de survie.
En tant que mère, laisserais-tu un assassin tuer ton enfant sachant que tu peux le tuer avant ?
Perso, pour mes enfants, je suis capable de me transformer en louve.

En Creuse, j'ai découvert la gnole de vipère avec la bestiole dans la bouteille. Ça a son charme

@pompon : c'est un callistémon apparemment.

@dirty-cop-2-0 a dit dans Les tweets qui vous ont fait rire :

J'ai hâte de lire Le Bourgeois Gentilhomme en écriture inclusive.

Voyons ce que cela peut donner sur un petit extrait, en imaginant que les 2 intéressés soient non genrés :
" Monsieur Jourdain : Cela est vrai. Ah ! L’habile homme iel que vous êtes !
Maître de philosophie : Je vous expliquerai à fond toutes ces curiosités.
Monsieur Jourdain : Je vous en prie. Au reste, il faut que je vous fasse une confidence.
Je suis amoureux pris d'amour d’une personne de grande qualité, et je souhaiterais
que vous m’aidassiez à lui écrire quelque chose dans un petit billet que je veux laisser tomber à ses pieds.
Monsieur Jourdain : Mais de toutes ces façons-là, laquelle est la meilleure ?
Maître de philosophie: Celle que vous avez dite : belle Marquise... belleau bielle beaule personne du marquisat,
vos beaux yeux me font mourir d’amour ".

@Chloé : comme toi, j'adore les chiens et ne peux vivre sans. J'ai perdu l'un de mes 2 jack russell il y a 7 ans, d'un cancer de la vessie et j'ai dû le faire piquer car il ne pouvait plus pisser. Pour ce chien-là avec lequel j'avais une relation très ( trop ) forte, bien que j'ai actuellement 2 autres jacks qui ensoleillent ma vie, je sais que je ne ferai jamais le deuil pour lui, parce qu'il y a eu aussi une mauvaise prise en charge de son cancer de la part du véto.
Tu as perdu le tien il n'y a que 3 semaines : j'ai mis 6 mois avant de pouvoir en reprendre un autre. Je te souhaite de tout coeur, quand plus de temps aura passé, de retrouver un.e compagn.on qui te remettra du baume au coeur et du soleil dans tes jours.

@Miliam : le yoga est une forme de sport .

@icescream : je me doute bien que tu valides cet aspect des choses que tu n'as pas mentionné...
et je le comprends : il faut le vivre, avec nos parents, pour le réaliser .

@want-wish : t'as raison, ça doit être l'âge, parce que moi itou.
Ce we, mon frère et ma belle-soeur sont venus manger chez mon père chez qui j'étais pour 3 jours :
on a festoyé comme il se doit le samedi.
Le lendemain, nous avons mangé chez mon frère. En fin de repas, il nous a sorti une absinthe
faite maison par l'un de leurs amis.
Oh purée, quel délice. Eux n'aiment pas, du coup, mon père et moi, nous avons bu leur part en plus, éhé.
Et bien, nous étions quand-même en bon état, mon vieux père et moi : on est des winners ou on ne l'est pas.