Ah, mais quel bizarre hasard, se dit le renard jamais en retard pour pister un canard fuyard, malgré tout très bavard tout en faisant de nombreux écarts.
J'avais faim et voilà que se présente sous mon regard cette proie à la démarche d'un vieillard. Mon estomac ne souffrira nul retard et de mes dents-poignards, je n'en ferai que 3 bouchées. Mais au 2e regard, il comprit qu'il n'avait sous la peau que bien trop peu de lard.
Y'a pas de lézard, ce clochard doit quand-même faire mon repas, aussi maigre soit-il.
C'est à ce moment-là que le canard, qui n'était pas un chauffard, en 2 coups d'ailes s'envola.
Mille milliards de pétards, vais-je donc devoir aujourd'hui jeûner ? Je vais aller au square, tiens, en évitant soigneusement des hommes les radars, il s'y trouvera bien quelque pigeon à plumer ou au pire, près du snack-bar, quelques restes de sandwich au cheddar et pourquoi pas au calamar.
C'est ainsi que maître Goupil, qui sait parfois être flemmard, à bien des égards, devint en matière d'opportunisme une vraie superstar.
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RE: Décris-moi un mouton
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RE: Décris-moi un mouton
Rien ne serait arrivé si je n'avais pas loupé ma correspondance, écrite autant avec mes larmes qu'avec l'encre de mon stylo à plume.
Il s'agissait d'une lettre de rupture que je lui avais adressée pour lui signifier qu'entre nous, c'était fini.
La mort dans l'âme, j'avais écrit des choses comme : " tu n'es plus mon soleil, la vie avec toi est comme un tunnel sans issue ", ce genre de clichés, vous voyez.
Et j'avais conclu avec ces mots : " je me noie, je crie au secours et tu ne m'entends pas ".
Mais pourquoi donc avais-je écrit cette phrase au présent ! C'est là, je pense, que j'ai loupé l'occasion de mettre un terme à notre histoire.
Parce qu'il en avait déduit que tout n'était pas perdu, qu'il avait encore une chance de sauver notre amour.
Pour me ramener à de meilleurs sentiments à son égard, il a fait livrer à mon intention au lycée où je travaille un énorme bouquet de roses avec ces quelques mots, laconiques à souhait : " je te promets parce que je t'espère ".
En voyant la scène, moi tenant ces fleurs les mains tremblantes et les yeux humides, mes collègues comprirent que ma décision n'était finalement pas aussi ferme et définitive que j'avais bien voulu l'affirmer. Ils percevaient nettement combien le radeau de mes certitudes tanguait sur un océan de doutes et de perplexité.
Alors, chose incroyable, comme s'ils avaient répété leur texte, ils me dirent d'une seule voix :
" la vie n'est pour personne un long fleuve tranquille ". Et mon amie de rajouter, avec un petit sourire de connivence : " personne n’est sûr de rien. Tout est si provisoire ". -
RE: Décris-moi un mouton
C'est parti mon kiki, je vous ouvre le bal des mots .
Nul besoin de mots pour savoir qu'aujourd'hui, il était de très méchante humeur !
Les reflets aussi noirs que la suie dans ses yeux déjà naturellement sombres révélaient un regard dont l'expression torve à souhait ne laissait aucun doute quant à la colère qui animait autant son coeur que son âme.
On pouvait nettement percevoir le feu qui ravageait tout ce qu'il y avait de bon, de clément, de bienveillant en lui.
Il était évident qu'en ces terribles instants, il fallait prendre soin de ne surtout pas le contrarier : son ego, à l'évidence, ne souffrirait pas la moindre frustration...
Alors, sans fards ni voiles, sachant bien qu'ils ne me seraient d'aucune utilité pour échapper au châtiment auquel le professeur ne manquerait pas de me soumettre, je décidai de faire profil plus que bas en baissant les yeux sur ma copie...cette fameuse copie qui m'avait valu un zéro pointé parce que je n'avais pas respecté les consignes !
S'était-il seulement demandé si ce n'était pas par insolence, mais bien par mauvaise compréhension de celles-ci, que j'avais écrit écrit toutes ces choses qu'il jugeait impertinentes ?
Ce qui me faisait le plus rager, c'est que je ne pouvais même pas m'en expliquer : j'étais de facto jugée, condamnée et bientôt exécutée !
Mais, instant de grâce dans cette pitoyable scène, mon amie assise à côté de moi, discrètement sous la table, me prit la main en signe de soutien. Elle a serré mes doigts, j'ai ressenti toute son empathie et son affection à mon égard et là, je me suis dit : l'amitié est vraiment un bouclier magique contre les aléas de la vie. -
RE: Inktober 2023
Superficiel...est-ce à dire qu'on a le cerveau comme une cervelle de moineau ?
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RE: Inktober 2023
@agathe : comme toi, j'ai pensé à une bestiole. J'ai choisi l'araignée, mais pas n'importe laquelle : l'épeire parce que je l'admire, celle-là, et en plus, elle ne vit qu'au jardin, elle ne rentre pas dans les maisons. Vaut mieux pas se faire mordre par elle quand-même. Elle n'est pas mortelle comme certaines espèces mais sa morsure n'est pas plus sympa pour autant.
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RE: Inktober 2023
@Katorz : insidieux, ce danger n'en est que plus dangereux .
Difficile, le thème de ce jour...l'infirmière que j'étais a de suite pensé à un acte de chirurgie. Je précise ce que j'ai dessiné parce que ce n'est pas d'une évidence folle .
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RE: Décris-moi un mouton
@Kachina : Cupide nous fait toujours de sacrées farces avec ses mots, mais soit, le défi sera relevé.
Pauvres petits oiseaux enfermés dans une cage, sommes-nous ! Nous n'avons pour tout horizon que les murs de la pièce dans laquelle nous vivons. Notre vol se réduit à quelques battements d'aile pour aller d'une barre en bois à l'autre ou sur la balançoire composée de fils de chanvre entrelacés. Les humains pensent que des matériaux naturels favorisent notre bien-être.
Mais quid d'une perspective d'avenir comme par exemple fonder une famille malgré la présence d'un nid qu'ils ont installé dans un coin de la trop petite volière ?
Nous n'avons en effet pas le coeur à nous reproduire, cela n'aurait pour nous aucun sens de faire naître des oisillons en captivité. Quand notre habitacle n'est pas régulièrement nettoyé, il sent aussi mauvais que, pour vous les hommes, un pot de pus. Pour survivre, nous n'avons d'autre choix que d'accepter notre sort que moi, titi, je cherche tout de même à égayer : je chante régulièrement à ma douce ma plus belle mélodie d'amour.
Mais cela ne suffit pas à mettre quelques épices dans notre vie amoureuse. Nous ne rêvons que d'une chose : qu'on nous ouvre la porte vers la liberté. -
RE: De Clics en Déclics
Pour le fun, je vous montre cette photo avec laquelle j'avais hésité pour participer.
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RE: Décris-moi un mouton
Je me jette à l'eau, voici ce que cette belle image m'a inspiré.Grand-père se faisait vieux, pas assez cependant pour oublier de me consoler quand je manifestais humeur chagrine ou boudeuse. Mais déjà trop pour continuer de prendre régulièrement soin de son jardin, surtout dans le fond, là où visiblement personne ou presque n'allait plus.
C'était une évidence parce que la rouille commençait à colorer sa brouette d'une teinte cuivrée.
Et puis, il y avait divers objets, des pots, des bidons, des tasseaux de bois et même son échelle qui restaient dehors par tous les temps. Il y avait aussi des herbes folles dont j'adorais admirer le balancement au gré du vent, celui qui caresse, celui qui chuchote, celui qui fait naître bien des désirs inavoués.
Mais surtout, il y avait cet appenti abritant un vieux fauteuil qui n'attendait plus que moi maintenant. Je m'y réfugiais pratiquement tous les jours pour m'adonner à la rêverie en toute tranquillité, assurée que personne ne viendrait troubler le vagabondage de mes pensées.
Personne ? Si, il y avait un rouge-gorge qui venait me rendre visite, curieux de me voir en ce lieu abandonné de tous, même du chat qui préférait farnienter sur les confortables coussins du salon de jardin. J'avais pris l'habitude de lui confier mes chagrins d'enfant, à l'époque de 7 ans, mes envies et mes projets également.
J'avais vraiment le sentiment, non seulement qu'il m'écoutait, mais aussi qu'il me comprenait. Enfin un être, aussi petit soit-il, qui ni ne me jugeait, ni ne me faisait la leçon pour que je devienne plus sage et plus raisonnable.
Je retournais ensuite à la maison, emplie d'une secrète joie. Mais à partir d'un certain jour, il ne revint plus. J'avais perdu mon précieux ami !
Plusieurs soirs de suite, j'ai pleuré en silence, cachée sous la couette de mon petit lit. Et puis un beau matin, j'ai dit à grand-père, éberlué par ma demande :
" Papy, il faut débarrasser et nettoyer le fond du jardin pour y mettre une balançoire : je veux bercer toutes mes émotions. Je crois que c'est comme ça que j'arriverai à mieux comprendre la vie ". -
RE: Décris-moi un mouton
Ma muse a décidé de rester encore sur le thème de la semaine dernière : " " l'homme est une prison où l'âme reste libre ". Cela n'en surprendra pas quelques-uns que je l'ai laissée m'inspirer ces lignes sans rechigner.
En ces jours assombris, entre guerres et conflits sociaux, nous assistons impuissants au renouveau de l'obscurantisme. A qui, lors d'une sorte de nuit des césars - histoire de faire de l'humour noir, lequel est, comme on le sait, le dernier rempart contre le désespoir - décerner le trophée tant sont nombreux ceux qui le méritent ?
Dans tous les domaines, tant publics que privés, les gens se voient de plus en plus réduits au silence. Alors, sur quel mur écrire ces mots de Paul Eluard : " liberté, j'écris ton nom "?
Car revendiquer la liberté d'expression, que les gens devraient tous désirer partout pourtant, à condition bien sûr qu'elle n'incite jamais au mépris et encore moins à la haine, devient presqu'une insulte pour tous ceux qui ont un tant soit peu de pouvoir. A force d'être comprimés, oppressés par de nouvelles règles pseudo-démocratiques, nombre d'entre eux s'y sont habitués.
Résignés, n'osant plus croire que les choses puissent vraiment changer, ils ont laissé leurs yeux s'acclimater à l'obscurité. Les injustices sont vues comme des fatalités : alea jacta est, il faut faire avec. Face aux horreurs, même les émotions les plus légitimes, à peine ressenties, s'émoussent...
Non, il y a et il y aura toujours des révoltés pour se soulever contre un conformisme qui s'attaque jusqu'à la liberté de pensée. En effet, on veut nous faire croire qu'ils n'ont, ces insurgés, que de mauvaises réponses à apporter au moindre de nos doutes et de nos questionnements pendant que les chants des sirènes sont savamment orchestrés pour nous bercer d'illlusions. " Pour nos enfants nous marcherons ", chante Chloé dans sa chanson : puisse t-elle nous donner la force d'en avoir encore envie.
Sarah, Inès, Neilia, Lywenn, mes chères petites-filles, j'espère, oh oui j'espère, que vous connaîtrez, quand vous serez en âge d'assumer vos choix, la même liberté que celle que fut la mienne avant qu'elle ne soit bafouée !
#mamiefaitdelarésistance -
RE: Décris-moi un mouton
Qui n'est pas offusqué par l'injustice ? Forcément personne ! Elle est tellement intolérable et nauséabonde qu'elle en donne ... des nausées. Nauséabonde ... la nausée abonde ! Et si par malheur, face à celle contre laquelle on ne peut pourtant rien, on tente quand-même de la contrecarrer, on n'obtient comme résultat que des céphalées à se taper la tête contre les murs ! Ah non, vraiment, y'a pas bon banania dans des cas comme celui-là !
Face au sentiment d'impuissance que l'on ressent alors, n'engendrant que frustration, colère et dégoût, il ne sert à rien d'invoquer, pour venir à notre aide, un quelconque dieu, non, par n'importe lequel, Jupiter lui-même censé être le plus puissant de tous.
D'ailleurs, il y a tant d'humains, dès qu'ils ont un tant soit peu de pouvoir, qui se prennent pour Jupiter. S'il existait, il en prendrait tellement ombrage qu'il abattrait sur eux sa foudre, histoire de les calmer une bonne fois pour toutes.
Face à l'injustice, de quels moyens de défense disposent les opprimés ? Bien peu en vérité pour ne pas dire aucun, car toute tentative signifie danger en réponse !
L'Histoire conserve en sa mémoire les noms de ceux qui y ont laissé leur vie, ils sont marqués en lettres de sang dans les annales akashiques dans lesquelles tout est soigneusement consigné.
A quoi bon se la jouer vatenguerre. Si l'on constate que le poisson rouge Maurice commence à tourner en rond trop frénétiquement dans son bocal et qu'ainsi, il agite tant l'eau de son aquarium que cela peut provoquer un tsunami, il vaut mieux sagement se replier puisque la lutte sera de toutes les façons inégale.
Vous savez quoi ? Si vous ressentez une quelconque injustice à un instant T, allez donc chez Kachina : elle vous offrira en guise de consolation une bonne gaufre et même deux si le coeur vous en dit. Le problème ne sera certes pas résolu, mais le plaisir des sens auquel s'adjoindra une bienfaisante convivialité remettra en harmonie tous vos chakras et ça repartira pour un tour ...jusqu'à la prochaine injustice. -
RE: Décris-moi un mouton
@Artelise : trop drôle, excellent .
Voici un autre texte, histoire d'étoffer cette session.
Je me sens comme la fille de Jupiter, Diane la chasseresse, mais moi je le suis de mots que j'aime décocher tels des flèches pour composer poèmes ou prose, selon mon inspiration.
Et si par malheur j'en manque, je le vis comme une vraie injustice forcément. Après une crise de céphalées à force d'obliger mon esprit à chercher d'abord un fil conducteur, je finis par avoir la nausée devant la sensation de néant qui envahit tout mon être.
Et tout autant douloureux le sentiment d'échec si à mon sens je me gaufre dans mon exercice d'écriture, alors marqué par la platitude, me donnant l'impression de n'être qu'une " écrivaine de comptoir " en total spleen. Je ne veux tellement pas décevoir mes éventuels lecteurs. Non, ce n'est pas une question d'ego car rien ne m'oblige à écrire, c'est moi qui veux absolument faire travailler mes neurones pour qu'ils ne se ramollissent pas.
Pour ma défense, je vais vous avouer : dans le fait de vieillir, ce qui me fait le plus peur, c'est l'appauvrissement de l'esprit et pire, me retrouver un jour atteinte d'Alzheimer. Voilà pourquoi il me faut des occasions de penser puis d'en coucher les fruits sur papier, lesquels, une fois consommés par leur lecture, deviennent des lettres mortes, oubliées dans les carnets dans lesquelles elles sont notifiées.
" Ma pauvre Ayamé, tais-toi donc, me susurre ma petite voix intérieure, tu en deviens ridicule à te créer ce genre de souci ! Va donc t'aérer dehors, à admirer les beautés de dame Nature et à écouter les chants si mélodieux des oiseaux en ce début de printemps : elle est là, la vraie vie.
Formidable, je vois que cette idée te plaît, tu souris ". -
RE: Décris-moi un mouton
@Kachina a dit dans Décris-moi un mouton :
Une image, des mots, un texte . Oui, c''est bien l'exercice de cette semaine.
Ce matin-là, curieusement la gare n'était pas grise comme à l'accoutumée, mais couleur sépia, tout comme ses vêtements d'ailleurs. Sépia, cette couleur de terre un peu désolée, qui évoque plutôt le passé, celui des jours enfuis, ceux qui se paraient alors de toutes les couleurs de l'arc en ciel. Mais le temps, avec son lot de lassitudes et d'ennuis, avait fait son oeuvre. Il les avait estompées, jour après jour, jusqu'à les confondre dans cette monochromie qui illustrait si bien le désert de sa vie.
Mais ce matin-là, elle avait franchi le pas que jusque-là, elle remettait toujours au lendemain, des lendemains à chaque fois synonymes de chagrin.
Elle avait enfin réussi à boucler sa valise mille fois faite et mille fois défaite avec à chaque fois un peu plus d'amertume.
Mais ce matin-là, debout sur le quai à attendre son train, elle avait enfin réussi à aller au bout de son désir : partir vers un ailleurs qui ne pourrait pas être pire que son ici maintenant. Elle était pour l'heure seule sur ce quai car elle avait voulu arriver en avance, comme pour faire un pied de nez à celle qu'elle avait toujours été : une femme toujours en retard à tous les rendez-vous que le destin lui avait offerts, de ce fait manqués à force de trop tergiverser.
Une question toutefois la taraudait : il se dit que les valises de ceux qui partent pour fuir un quotidien trop pesant contiennent aussi, bien malgré eux, leurs problèmes les plus intimes. A quoi bon alors partir si c'est pour emmener cette partie de soi que l'on voudrait justement laisser parce qu'elle empêche d'accéder à la liberté d'être qui l'on pressent que l'on est capable d'être ? Mais ce n'est plus le moment de se poser ce genre d'interrogation, c'est le moment de se dire : alea jacta est, les dés sont jetés.
Ce matin-là, sa main qui tenait fermement la poignée de la valise, pour la 1ère fois, ne tremblait pas parce que pas un seul instant elle n'en doutait : une place, sa place l'attendait, là-bas. -
Ronronthérapie
J'ai reçu la lettre Directe Santé, et comme je suis bonne copine, je partage.
Les heureux esclaves de chat ( dont je suis ) vont être contents de ces bonnes nouvelles.
Quant aux autres, pas de souci, des solutions alternatives existent.Il y a en France, 11 millions de soignants prêts à venir en aide aux personnes qui souffrent.
Ce sont les chats avec leur technique de soin, le ronronnement.
Voilà l’approche développée depuis des années par le vétérinaire Jean-Yves Gauchet, qui a mis au point
une « ronronthérapie » apaisante, qui agirait comme un médicament sans effet secondaire ! Il explique :
" lorsqu’on étudie le spectre sonore d’un chat qui ronronne, on voit apparaître principalement des sons très graves,
étagés sur des fréquences de 25 à 50 hertz. Ces "basses" permettent de provoquer des émotions ".
Des médecins orthopédistes et des kinés ont utilisé l'action de ces fréquences pour consolider
des fractures ou soigner des arthroses délabrantes.
Avec pour résultats une accélération du processus de cicatrisation, de création de tissus nouveaux.
En un mot, ces basses fréquences auraient une action anabolisante.
« A fracture égale, le chat se rétablit 3 fois plus vite que tout autre animal. » explique Véronique Aïache
dans son livre La Ronronthérapie. Écouter le ronron du chat entraîne une production de sérotonine,
l'hormone du bonheur, impliquée dans la qualité de notre sommeil et de notre humeur.
« C'est un puissant antistress, régulateur de la tension artérielle, booster des défenses immunitaires et soutien psychomoteur ».
Les " ronronautes " qui relatent leurs impressions font l’état d’amélioration intéressantes :
• Effet très net sur l'endormissement.
• Relaxation profonde.
• Diminution immédiate et notable du stress.
• Activation de la circulation d'énergie avec picotements typiques dans les paumes de la main et des pieds.
L'écoute doit se faire au calme, à faible intensité, le mieux étant d’utiliser un casque.
Sur internet, de très nombreuses séances de ronron sont offertes par Pastel, Rouki, Minou...
Voici un lien si vous voulez essayez dès maintenant :
Une étude parue dans Lancet a montré que la musique est une thérapie d’accompagnement utile
en cas d’opération chirurgicale : après avoir compilé 73 études sur près de 7 000 patients,
les chercheurs ont conclu que la musique réduit la consommation de médicaments sédatifs
pour s’endormir avant l’opération et qu’elle permet aux patients opérés de consommer moins d’anti-douleurs.
En France, certains hôpitaux comme le Val de Grâce à Paris, utilisent même la musique en cancérologie.
À l’hôpital Sainte Périne à Paris aussi en soins palliatifs pour atténuer la douleur des malades en fin de vie.
Ce projet, poétiquement baptisé le « pansement Schubert », permet à chaque patient en attente d’un soin douloureux
de bénéficier d’un accompagnement musical. La réduction des douleurs a pu atteindre jusqu’à 50 % !
Un groupe de musiciens s’est récemment associé à des scientifiques pour créer la « musique la plus relaxante au monde ».
« Comme votre rythme cardiaque a tendance à s’ajuster au tempo de la musique, le morceau commence
à un rythme de 60 BPM pour descendre progressivement, autour de 50, ce qui fait baisser rythme cardiaque et tension artérielle.
L’écart entre les notes (les intervalles harmoniques) a été choisi pour créer un sentiment d’euphorie et de confort.
Et il n’y a pas de « refrain » ou de mélodie qui se répète, ce qui permet à votre cerveau de vraiment déconnecter,
sinon il essaie de prévoir ce qui va arriver ! Ce morceau provoquerait même une baisse de l’anxiété de 65 % ».
A écouter ici : .
Gabriel Combris - Email envoyé par : Editions VivaSanté -Bonus que je suis allée chercher sur le net :
Que préférez-vous, la musique humaine ou le ronronnement du chat ? Ou aucune des 2, pourquoi pas.
Cela ne remplace pas les prescriptions médicales jugées nécessaires.
Je ne tiens pas à être accusée d'exercice illégal de la médecine . -
RE: Société d’Appréciation des Nuages de PopcornFr
Photos du ciel toulousain prises par mon fils le 20 août vers 20h depuis l'observatoire.
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RE: Une image/une histoire
Voici ma participation à ce nouveau jeu d'écriture très sympathique, je ne peux plus longtemps l'ignorer .
18 lignes ( fidèle à cette " règle " que j'apprécie ) .Par une nuit de pleine lune, alors que tous les êtres de son peuple festoyaient en l'honneur de celle dite rousse, Ondine, elle, pleurait. En son for intérieur, elle ruminait des pensées plus noires que les nuits d'hiver sans les astres nocturnes.
Comment peuvent-ils avoir le coeur si léger et l'âme si insouciante. Sont-ils donc aveugles à ce point ?
Ils ne peuvent pourtant pas ne pas voir combien, inexorablement, disparaissent rus, ruisseaux, mares et étangs. Pourquoi ?
Parce que les hommes, ce peuple devenu leur plus redoutable ennemi, bétonnent à tout-va pour construire des villes afin de se loger, eux dont le nombre croît à un rythme effréné.
Ils manquent d'eau à bien des endroits de la Terre, mais ne s'en soucient guère.
Les naïades doivent se retrancher en des lieux de plus en plus restreints. Quant à leurs cousins, les océonides, ils ne sont pas mieux lotis.
Les eaux des mers et des océans subissent une effroyable pollution causée par les activités humaines, pollution composée d'hydrocarbures et de plastiques en tous genres principalement.
Personne ne la vit partir de la fête. Elle prit la 1ère barque qui à sa vue l'appela tant elle se mourrait d'ennui, amarrée, inutile.
" Viens, je vais te conduire vers une contrée que nul n'a encore explorée, dans les nuages du ciel chargés d'eau et de là-haut, tu pourras voir combien la planète bleue est encore très belle.
Quand tu reviendras vers les tiens, forte des énergies de l'éther, tu sauras et pourras les convaincre d'oeuvrer auprès des hommes afin d' éveiller leur conscience.
Alors ensemble, avec les autres élémentaux aussi, ceux de la terre et de l'air, vous rendrez à Gaïa, la Mère nourricière, ses droits les plus fondamentaux. " Viens, j't'emmène au vent ".
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RE: Avoir un chien
Avoir un chien, c'est une bonne raison pour s'obliger à aller se promener, respirer du bon air, admirer la nature et s'offrir ainsi une parenthèse de zénitude .
Photo prise hier lors de ma balade avec mes 2 chéris-chéris. Que cherchent-ils dans l'eau ?
Un caillou lancé, c'est un de leurs jeux préférés, et croyez-moi, ils le trouvent !
Bon, parfois, ils en ramènent un autre, plus gros : les chiens ont aussi la notion de valeur de l'objet en fonction de sa taille. -
RE: Le grand bain
@vi-king : mais que crois-tu, fieffé coquin ? Parce que tu sais avec grand talent me faire rêver,
me mettre aussi plein de papillons dans le ventre, tu vas réussir à me faire perdre la tête ?
Que, parce que tu arrives à me faire décoller jusqu'au 7e ciel, je n'aurai plus les pieds sur terre ?
Et pire, que tu arriverais à profiter de moi sur le plan matériel ?
Que nenni, mon cher, j'ai appris très tôt à ne pas confondre l'écu et le Q.
Je suis fille d'Hécate ( et ses chiens, et comme elle, j'en ai plusieurs ), j'ai le pouvoir de maîtriser mes démons intérieurs.Ps : le fieffé coquin n'est pas toi, ceci dit au cas où certains se poseraient des questions.
Aucune allusion subliminale donc, car mon texte sert juste mon côté provocateur .Je passe le relai à @Carl_Jung avec les mots : marche et perdre. J'espère qu'ils t'inspireront.