Des hommes d'honneur :
Un film américain réalisé par Rob Reiner (1992)
Avec, entre autres, Tom Cruise, Jack Nicholson, Demi Moore, Kevin Bacon & Kiefer Sutherland
Il est beaucoup question de Tom Cruise en ce moment, par le biais du Festival de Cannes et de son dernier film.
Alors, pourquoi pas visionner ce film extraordinaire, mettent en valeur des comédiens qui se tiennent tête dans un tribunal militaire..... jusqu'à la dernière scène jubilatoire, que je vous laisse découvrir.
Synopsis :
2 marines affectés sur la base de Guantánamo, ont causé la mort d'un de leurs camarades au cours d'une action disciplinaire appelée code rouge.
Leur défense est assurée par 1 jeune lieutenant (Tom Cruise).
Alors que l'avocat pense mener une enquête de pure routine, son adjointe (Demi Moore) l'oblige à instruire le dossier plus sérieusement.
Ils découvrent que le commandant de la base (Jack Nicholson) pourrait être mêlé à cette affaire.
Serait-ce lui qui a ordonné le code rouge ?...
Ou comment construire un panneau de chauffage solaire a partir de canettes d'aluminium !
Le panneau solaire est fabriqué a partir de canettes de bière et/ou de soda, soit des boîtes de coke, et couvertes d'une peinture noire résistante aux hautes températures.
La partie supérieure et inférieure des canettes est spécialement transformée pour améliorer l'échange thermique entre elles.
Le chauffage solaire est construit a l'intérieur d'un cadre en bois (contre-plaqué 15mm), d'une plaque de Plexiglas / polycarbonate de 3mm. L'arrière contient une épaisseur de 20mm de laine de roche (ou styrodur) comme isolation.
Les canettes se trouvent donc entre le plexiglas et la laine de roche. edit 08.05.2025 : l'image n'existe plus
Quand le soleil brille, indépendamment de la température extérieur, l'air contenu dans les canettes se réchauffe très vite. Un ventilateur permet un flux régulier de l'air dans le système.
L'air chauffé est retourné à l'intérieur à travers le trou supérieur du capteur solaire et tuyaux en aluminium pour la fourniture d'air chaud.
nb : Ce système n'est pas en mesure d'accumuler la chaleur.
Attention cependant, les canettes sont généralement faites en aluminium (très coupant. Protégez vos mains !), mais certaines sont en métal. Testez-les avec un aimant. La conductivité thermique de l'aluminium est meilleur que celle du métal.
Il faudra coller les canettes avec une colle résistante aux hautes températures, au moins 200°C.
Vidéos
A vous de calculer combien de bières il faudra boire pour chauffer votre maison au solaire a 100% par beau temps
Avant les présentations, sachez que ce groupe a définitivement marqué mon adolescence, au point où, par moments, j'aurai aimé endossé leurs costumes (de scène) pour sortir avec les copains. Partant du principe que le ridicule ne tue pas.
Un ami proche a réussi à m'en dissuader, et je ne lui en veux pas.
Je me contentais de vénérer ce poster qui trônait sur le mur de ma chambre, et qui en faisait sourire plus d'un.
Mais alors, qu'avaient-ils de si attirants ?
Peut-être un démarquage visuel pour ma génération.
Une musique à faire péter les tympans et embêter les adultes.
Au point de saturer les baffles des Auto-radio-cassettes (oui K7 !). Et on nous entendait arriver de loin !
(Les titres "Don't blame me" , ainsi que "Get Down and Get With It" sont révélateurs)
Des accoutrements fort originaux, réservés aux seuls initiés, groupies et autres aficionados.
Tout ça à la fois, en fait.
- - - - - - La genèse : - - - - - -
En 1964, le guitariste Dave Hill et le batteur Don Powell formèrent donc le Groupe "les Vendors"
(Dave Hill en bas à gauche & Don Powell au milieu en haut)
qui deviennent les " ’N Betweens".
Composition du groupe :
Dave Hill
Don Powell
Un an plus tard, un chanteur et guitariste les rejoint : Noddy Holder.
Ensuite c’est autour du bassiste Jim Lea.
Après 4 ans, le groupe doit changer de nom: les ’N Betweens optent pour Ambrose Slade
Cela leurs permet de lancer leur 1er album : "Beginnings" (passé inaperçu)
Mais Chas Chandler, ancien bassiste des Animals et manager de Jimi Hendrix, leur fait raccourcir leur nom en "SLADE" !
Un groupe de Glam Rock va naitre...
En 1971, SLADE laisse de côté le look skinhead et chacun se laisse pousser les cheveux à nouveau.
Ils enregistrent alors une reprise de « Get Down And Get With It » du chanteur de Rhythm ’n’ Blues Bobby Marchan qui faisait partie de leur répertoire live depuis des années.
(attention au son !)
L’intensité du groupe est rapidement communicative.
Holder et Lea commencent également à composer ensemble.
Une collaboration, mélangeant Rock et musique folklorique, « Coz I Luv You » sort en single et se retrouve catapulté en première place des ventes !
Devant ce succès, le groupe remet le couvert avec « Look Wot You Dun » qui se hisse à la quatrième place.
Il semble évident que ce sont les titres du duo, à l’orthographe très particulière, qui feront les fondations du succès de SLADE.
Les membres du groupe n’ayant pas le look de playboys permanentés qui sera associé au genre dans les années 80, mais plutôt celui qu’on est en droit d’attendre de membres de la classe ouvrière de la campagne anglaise.
Or, le Glam Rock anglais se définissait plus par les costumes extravagants et clinquants que par des visages de tombeurs.
Leur succès est propulsé jusqu’en Australie, qui verra le groupe y effectuer une tournée – chose rare à l’époque pour un groupe anglais – avec Status Quo en première partie !!
« Take Me Bak ‘Ome » devient leur deuxième numéro 1 anglais et fait même une timide entrée dans le Top 100 américain, bientôt suivit par un troisième, « Mama Weer All Crazee Now » toujours pour la seule année 1972.
L’année 1972 se termine pour le groupe avec leur troisième album, Slayed? .
Deuxième single issu de l’album « Gudbuy T’ Jane » manque de peu la première place et s’impose un peu partout dans le monde.
C’est à cette époque que Holder commence à porter le chapeau haut de forme à miroirs qui deviendra sa caractéristique.
Pour cette version (que j'ai découverte), il fallait osé
1973 commence bien avec « Cum On Feel The Noize » qui prend la première place dès sa sortie.
« Sweeze Me, Pleeze Me » suit le même parcourt et le groupe joue dans les plus grandes salles du pays.
Puis d'autres tubes dont « Everyday » (quasiment leur seul grand slow avec « How does it feel »)
Everyday when I'm away I'm thinking of you,
Everyone can carry on
Except for we two
And you know that our love
And you know that I
And you know that our love won't die
And it won't even show
And no-one will know
One little wave
To say you'll behave
It won't even show
How far love can go
Everyday when I'm away
And there's been a few
Every land I need a hand
To help me come through
And you know that our love
And you know that
And you know that our love won't die
And it won't even show
And no-one will know
One little wave
To say you'll behave
It won't even show
How far love can go
And you know that our love
And you know that I
And you know that our love won't die
And it won't even show
And no-one will know
One little wave
To say you'll behave
It won't even show
How far love can go
C'est alors que Chandler propose à SLADE de faire un film. Ce sera Flame (vendu sous le titre "Slade in Flame" )
Contrairement à ce qu’on aurait pu penser vu les autres films mettant en scène des Stars du Rock et avec un groupe proposant une musique populaire et authentique comme SLADE, le film offre un regard sans concession sur la difficulté pour un groupe pop de percer dans le business musical.
La bande-originale offrira un nouveau succès, notamment avec « Far Far Away » et « Standin' On The Corner »
Voulant à tout prix percer en Amérique, SLADE s’y embarque pour 2 ans, mais leur accent prononcé, leur look extravagant et le côté folklorique de leur musique ne semble pas être ce que recherche le publique américain de l’époque, en pleine désillusion suite aux problèmes auxquels les Etats-Unis font face alors.
Et comble de malchance, ne pouvant pas défendre leur nouvel album, Nobody’s Fools, dans leur pays, les ventes seront décevantes pour un groupe habitué aux sommets comme SLADE.
Lorsqu’ils rentrent chez eux, nous sommes en 1977, en pleine furie Punk.
Le Glam Rock est hélas bel et bien passé de mode et SLADE arrive trop tard pour arriver à faire une transition.
Pourtant, des groupes de Glam Rock (tels Sweet ; Garry Glitter ; Roxy Music ; T. Rex ; Sparks ; Suzi Quatro ; David Bowie ; Kiss...), SLADE était celui dont le son était le plus brut, le plus sonore, le plus étincelant et extravagant, donc le plus enclin à trouver sa place dans la nouvelle scène.
Mais l’éloignement de son public ainsi que leur look trop haut en couleur les classèrent dans la catégorie des 'Has-been'.
Pourtant, le groupe sort de bons albums avec "Whatever Happened" To SLADE, en 1977, ou "Return To Base" en 1979, mais ni eux ni les très bons singles indépendants « Burning In The Heat Of Love » et « Rock ‘n’ Roll Bolero » ne rencontrent le succès.
SLADE est au bord de la rupture et, devant la chute des ventes, Dave Hill se reconvertit en chauffeur de mariage à bord de sa Rolls....
Et puis le miracle a lieu.
Alors qu’Ozzy Osbourne se désiste à la dernière minute du festival de Reading en 1980, SLADE est appelé pour sauver la fête.
Dave Hill n’y croit guère mais est convaincu de participer à ce qui semblait être le concert d’adieu du groupe.
Pourtant le groupe créé la surprise, rappelant aux nouveaux fans de Hard Rock à quel point SLADE était un groupe de bêtes de scène. Entre ce succès britannique et la montée du Glam Metal aux Etats-Unis le groupe se retrouve une seconde jeunesse et arrive enfin à percer en Amérique !
"Till Deaf Do Us Part", en 1981, remporte un joli succès en Europe tandis que "The Amazing Kamikaze Syndrome", porté par les singles « Run Runaway » et « My Oh My », entre dans le Top 40 américain.
Si 2 albums sortirent encore ("Rogues Gallery" en 1985, "You Boyz Make Big Noize" en 1987), il semblait bien que sans concert SLADE avait perdu sa raison d’exister.
En 1992, Holder décide alors de quitter le groupe pour tenter d’autres aventures (DJ, comédien…).
Et ne voyant pas l’intérêt d’un groupe sans son chanteur si charismatique et partenaire d’écriture, Lea quitta le groupe également.
Depuis, Hill et Powell ont continué à faire vivre les vestiges du groupe, d’abord sous le nom de SLADE II.
Mais sans la voix de Holder et de nouvelles compositions cela se termina assez vite, au grand dam de beaucoup de fans.
Quelques albums qui ont fait date :
Leur deuxième album : Play it loud
Slade alive (inclus le fameux "Get Down and Get With It" le morceau le plus puissant rarement entendu)
SLADEST (l'un des meilleurs)
Old, New, Borrowed and Blue (inclus "Don't blame me" et le magnifique slow "Everyday")
Récapitulatif de leurs hits à connaitre (orthographe volontairement écorchée) :
Know who you are ; Coz I Luv You ; Look Wot You Dun ; Take me bak ome ; Mama weer all crazee now ; Gudbye to Jane ; Cum On Feel The Noize ; Skweeze me, pleeze me ; Everyday et Far far away
@leapierce La bande originale française ? C'est quand la chanson du film fait "jolie femme, marchant dans la rue, jolie femme, le genre que j'aimerais rencontrer"
Oui, c'est bien celle-là
J'ai même retrouvée la scène dans la boutique (avec la chanson de la jolie femme)
J'habite le 94 et possédant une mazda6, je fus Administrateur sur le site www.mazdafrenchclub.com qui accueil, bien sûr, tous les possesseurs de mazda, mais aussi les fans de voitures japonaises.
Puis sur d'autres Forums principalement automobiles.
A la retraite depuis février 2021, disposant d'un peu plus de temps (notamment en soirée), et ayant envie de diversifier mes loisirs*, on m'a cité votre Forum qui me semble très, très complet.
Avec de nombreuses rubriques toutes aussi intéressantes les unes que les autres.
Qui m'assureront, je pense, de longues heures de lectures et interventions en votre compagnie.
On oublie,parfois que certain(e)s membres ne vivent pas en région parisienne, ou ne sont pas encore venu(e)s à Paris.
Alors pour pallier une envie méditée, voici une visite de Paris en accéléré dans toute la capitale en moins de deux minutes.
Enjoy
Le sujet de @Lapin sur la chanteuse Sigrid m'a donné envie de vous présenter une autre fabuleuse chanteuse norvégienne : Rebekka Bakken, née en 1970 à Oslo.
Cette artiste s'est fait connaitre il y a quelques temps avec cette belle chanson : "Powder Room"
que je vous suggère d'écouter les yeux fermés dans l'obscurité et au moins 2' si possible.
Compositrice, pianiste et interprète norvégienne de jazz et de blues, Rebekka Bakken étudie le violon et le piano dès l'enfance et joue dans quelques groupes avant de partir en 1995 pour New York, afin de devenir une musicienne professionnelle.
Sa rencontre avec le guitariste autrichien Wolfgang Muthspiel débouche sur des concerts et l'enregistrement de trois albums en commun, suivis d'un quatrième, Steinhaus (2003), avec le joueur de oud (guitare arabe inspirée de la lyre) tunisien Dhafer Youssef.
Elle collabore avec le trio de la pianiste Julia Hülsmann sur l'album Scattering Poems (2005).
De retour en Europe, Rebekka Bakken signe avec le label Emarcy et développe un style à la lisière du jazz, du blues et du pop-rock, représentant la nouvelle génération de chanteuses norvégiennes sur The Art of How to Fall (2003), Is That You? (2005), I Keep My Cool (2006), Morning Hours (2009) et September (2012), avec entre autres musiciens, Eivind Aarset, Lars Danielsson, Marc Ribot, Patrick Warren ou Gail Ann Dorsey, voire l'Orchestre philharmonique de Vienne !
En 2014, elle consacre l'album Little Drop of Poison aux compositions de Tom Waits, accompagnée par le HR Big Band, orchestre de jazz de la radio de Francfort.
Elle s'entoure de musiciens norvégiens, comme le guitariste Johan Lindström, pour les albums suivants, Things You Leave Behind (2018) et Winter Nights (2020).
Bolaji Badejo, est l’acteur qui joue l’alien dans Alien
Bolaji Badejo est l’acteur qui s’est glissé dans le costume de l’Alien dans le célèbre film du même nom. C’est Ridley Scott qui l’a repéré dans un bar de Londres en 1978 à cause de sa taille ( il mesurait 2m18 ) et de sa minceur qui lui donnaient des mensurations parfaites pour le rôle, le réalisateur voulant donner l’impression qu’aucun humain « normal » ne pouvait rentrer dans le costume. Il a participé à toute la préproduction du film et le costume de l’alien a été spécialement conçu pour lui.
Dans cette vidéo, on le voit avec un masque d’alien s’entraîner à déambuler dans les couloirs du vaisseau à la manière de la créature :
Lors de sa rencontre avec Ridley Scott , Bolaji Badejo était étudiant en design graphique à Londres, parlait anglais avec un gros accent londonien mais se disait originaire de Somalie.
Dès la fin du tournage du film il disparut complètement, plus personne n’a entendu parler de lui, des membres de la production ont tenté de le retrouver quelque temps après mais n’y sont pas parvenus...
Content de voir ce Topic, remémoré par @LeaPierce , car groupe (re)découvert par @Spillway via le Sujet des frissons musicaux.
Je confirme donc que j'aime bien la sonorité de leur musique et la douce voix de leur chanteuse : Romy Madley-Croft.
Qui a sorti son premier single en solo (en septembre 2020), et que je remets donc ici pour le plaisir.
Les Vestiges du jour
(The Remains of the Day)
est un film américano-britannique réalisé par James Ivory (1993).
L'attrait de ce film (diffusé récemment sur France 5) réside notamment dans sa fabuleuse distribution :
Anthony Hopkins ; Emma Thompson ; Christopher Reeve ; Hugh Grant, Michael Lonsdale & James Fox, entre autres.
ainsi que dans l'interprétation magistrale d'Anthony Hopkins et remarquable d'Emma Thompson.
Résumé : Un majordome (A. Hopkins) se remémore la période d'avant-guerre durant laquelle il a connu une belle intendante (E. Thompson) au domaine Darlington, avant que son propriétaire pour lequel ils travaillaient ne se retrouve au coeur d'un scandale en raison de son soutien à Adolf Hitler.
Faisant fi de ses positions politiques et morales, le majordome a toujours été entièrement dévoué à son employeur, ne se consacrant qu'à son métier.
Au point de s'oublier, de réfréner ses émotions et de passer à côté d'une histoire d'amour avec l'intendante.
Si sa conscience professionnelle n'a pas disparu avec les années, elle s'est malgré tout étiolée, laissant place à de profonds regrets....
@Kachina m'ayant fait découvrir cette fabuleuse chanteuse fin 2021 sur le forum, je souhaitais ouvrir un Sujet afin de mettre en valeur cette artiste américaine..... (appréciée aussi de @Tany-mena et @Music )
.... et profiter que soit sorti fin février 2022 un nouvel album composé de reprises de Led Zeppelin.
Avec des tons les plus délicats et mielleux aux notes les plus hautes en passant par des sons rocailleux et soul, ses interprétations de l’irrésistible « Whole Lotta Love », l’entêtant « Kashmir, » le très funky « The Crunge » ou de l’incontournable « Stairway To Heaven », sans oublier les deux superbes medleys – « Dancing Days/When The Levee Breaks » et « No Quarter/Babe I’m Gonna Leave You Now » – qui encadrent « Black Dog », Beth nous entraine dans un tourbillon d’émotions.
Mais remontons le temps pour découvrir qui est-elle :
Beth HART (née à L. A. le 24 janvier 1972) est une chanteuse, compositrice et musicienne américaine de Los Angeles. Et dans son adolescence elle s'est aperçue que le diable n'aimait pas la lumière.
Ancienne-gagnante de “Star Search” (compétition Vocaliste dans une émission TV américaine présentée par Ed McMahon). Aujourd'hui elle joue du piano, de la guitare, du violoncelle, de la guitare basse et des percussions.
HART est mariée à son directeur de route Scott Guetzkow.
Les enregistrements :
Le premier album solo de Beth, Screamin 'for My Supper, est sorti en 1999 et présentait " LA Song (Out of This Town) " (N°1 en Nouvelle-Zélande.
En même temps, HART chantait le rôle principal dans "Love, Janis", une comédie musicale off-Broadway basée sur les lettres de Janis Joplin à sa mère.
Un 2è album "Leave the Light On" est sorti en 2003.
Puis, en 2005, Beth HART sort son premier album live : "Live at Paradiso" (avec déjà une reprise de "Whole Lotta Love" de Led Zeppelin).
Le 4è album solo de Hart "37 Days" est sorti en Europe en juillet 2007.
Son 5è album studio solo "My California" est sorti en 2010. Elle a livré la musique à la scène finale du dernier épisode de la saison 6 de 'Californication' (avec David Duchovny).
En 2012, Jeff Beck, qui joue un rôle majeur dans sa carrière, la recrute pour chanter devant le couple Obama, qui l'ovationne.
A Paris aussi, elle remplit l'Olympia 2 années de suite !
Le succès croissant lui vaut de collaborer avec le 'guitar hero' Joe Bonamassa.
Et en 2013, Beth HART et Joe Bonamassa sort l'album "Seesaw". et un 2è album live : "Live in Amsterdam "
Un 7è album solo "Better Than Home" est sorti en 2015.
2016 : 8è album "Fire on the Floor".
2018 : 9è album pour un duo HART/Bonamassa "Black Coffee". Puis, Beth HART a sorti un enregistrement du concert au "Royal Albert Hall". Un chef d'oeuvre !
"Le succès ne m'a jamais aidée, précise-t-elle. Les prières, un thérapeute, une médication contre la bipolarité, un entourage attentionné, un mari aimant... voilà ce qui a chassé mes démons. Certains viennent encore et repartent, d'autres restent auprès de moi et je m'en accommode".
La première trace discographique de la carrière de Beth HART commence en 1993. A l'époque, la chanteuse ne se produit pas encore sous son simple nom mais au sein d'une formation qui porte cependant le patronyme de Beth Hart And The Ocean Of Souls.
Parmi les musiciens qui l'accompagnent dans cette première aventure, se trouvent le guitariste Jimmy Khoury, qui la suivra durant encore quelques années, ainsi que le pianiste et claviériste Geoffrey Leigh Tozer.
Ce dernier se charge des compositions avec Beth HART pour 12 titres auxquels se rajoute une reprise du 'Lucy In The Sky With Diamonds' des Beatles sur laquelle nous aurons l'occasion de revenir.
Si ce premier opus éponyme n'a pas rencontré un immense succès, il est cependant l'occasion de découvrir une chanteuse exceptionnelle, qui met ses trips sur la table, et affiche une fusion entrelaçant les empreintes de Dani Klein (VCD) ; LP ; Etta James ; Janis Joplin ; Tina Turner & Asia (pour son énergie) - rien que ça !
Emportée par son enthousiasme, Beth HART se laisse souvent aller à un abus de trémolos et à un excès de cris dominants. Rien de rédhibitoire cependant, car ce qui marque immédiatement l'auditoire, c'est la puissance hors norme et la tessiture si particulière de la voix de la future diva. Mis au service de compositions qui font plus que simplement tenir la route, ce don ne peut pas passer inaperçu.
Du rock catchy et groovy comme ce sera son habitude tout au long de sa carrière, car Beth HART mêle de nombreuses influences à une base blues-rock servant de repère. Flirtant avec le jazz ('Just Call Me Up') ou le R'n'B ('Love Thing'), la belle et sa formation s'aventurent également sur des territoires très 70's avec un 'Can't Hear The Word' lent, puissant et à la redoutable accélération finale, ou un 'Love Suffers All' chaloupé et au refrain hyper accrocheur.
Son potentiel est époustouflant et profite de compositions traduisant déjà une ouverture d'esprit artistique et sachant envoûter l'auditeur par leur qualité et leur variété.
Et ?
Et vous n'êtes pas sans savoir qu'en ce moment sort le film de « Napoléon » de Ridley Scott.
Il est intéressant d'apprendre que le corps de Napoléon est inhumé dans un Tombeau en porphyre aux Invalides.
C'est l’architecte Louis Visconti qui l'a fabriquer de porphyre rouge, à l’instar des sarcophages des empereurs romains. Le porphyre rouge était considéré comme une pierre royale.
Oui, bon, et alors ?
Ben dites 33.
Et vous aurez l'âge des noces de porphyre
Est un film franco-belge de Jonathan Barré (2016)
Une excellente comédie burlesque avec 2 artistes de la veine de Laurel et Hardy (duo du Palmashow) : Grégoire Ludig & David Marsais
Et avec 'Saskia Dillais De Melo' ; une petite qui promet , et entre autre, Bruno Wolkowitch, Christophe Lambert, Bernard Farcy [saga TAXI], Kad Merad, Florence Foresti, Dominique Besnehard, ......
Synopsis :
1939 : La guerre vient d'éclater et Max et Léon doivent s'engager.
Si au départ ils ne réalisent pas les conséquences d'une telle mission, ils ne vont pas tarder à découvrir que la guerre n'est pas une affaire à prendre à la légère.
Et quand la défaite frappe, Max et Léon n'ont plus qu'une idée en tête : rentrer le plus vite possible chez eux, à Mâcon.
Mais c'est sans compter les forces qui sont aux commandes et qui ne comptent pas les lâcher comme ça....