Et voici le Poulain de @jool
(La présentation est faite par moi-même. Dont la 1ère partie traduite de l'Anglais par google traduction et modifié pour la rendre compréhensible.)
JOHN DOE.
John Doe est très patient, méthodique, et à comprendre parfaitement un excellent les réactions et des pensées des autres, ce qui lui procure d'excellentes capacités de planification et de stratégie. John possède une énorme quantité de journaux personnels, dans lesquels il enregistre ses propres pensées. Au vu de ces cahiers et de ses meurtres, il est évident que John Doe aime voir d'autres personnes souffrir émotionnellement et physiquement.
John est dégoûté par chacune des personnes qu'il tue, et les considère comme dignes de mourir et / ou de souffrir. C'est pour cette raison, il l'a très mal pris quand à affirmé qu'il était `` innocent '', ce fut l'une des rares fois où il a perdu son sang-froid.
Il croit avoir été choisi par Dieu pour punir ces gens et croit que son «travail» est un chef-d'œuvre.
John aime tuer ses victimes, affirmant qu'il n'y à rien de mal à ce qu'un homme prenne plaisir à faire son travail.
John reste généralement impassible et calme, sauf lors d'une explosion de colère et d'un monologue fanatique.
Il est chrétien (probablement catholique, si on se base sur ses lectures, ses crucifix et son adhésion à la doctrine morale catholique, c'est-à-dire les vices capitaux). Les créateurs de Seven ont dit que John à des fétiches sexuels dérangeants, et les images de son carnet suggèrent qu'il est un sadique sexuel.
Pour réaliser ses crimes, John Doe s’inspire des écrits du théologien du 13e siècle Saint-Thomas d’Aquin. Ces derniers font mention des sept pêchés capitaux dans cet ordre précis : gourmandise ; avarice ; paresse ; luxure ; orgueil ; envie ; colère. En découlent, à l’aune du cerveau torturé du serial-killer, des scènes de crime allégoriques. Spectacles de mort insoutenables où le sang et le corps gisant passent pour les artifices d’une peinture abstraite.
Puisque John Doe souhaite devenir la main de Dieu, celui-ci va jusqu’à s’arracher les empreintes digitales pour ne pas compromettre sa réelle identité – qui restera à jamais inconnue. De cette manière, le serial-killer passe pour une entité quasi surhumaine outrepassant l’idée même d’identité.
À plus d’un titre, John Doe semble avoir été imaginé au croisement de M le maudit (pour son mystère et son accoutrement dans la scène de course-poursuite) et Hannibal Lecter (pour son intelligence machiavélique et son regard reptilien). La partition du compositeur Howard Shore s’avère d’ailleurs assez similaire, parfois, à celle du Silence des agneaux (également écrite par Shore).
Dans le générique d’introduction, Kevin Spacey manque volontairement à l’appel. Manière de ne pas spoiler l’un des twists du film, ni d’atténuer la nébulosité du personnage que l’on pourrait aisément se représenter en pensant à l’acteur. En contrepartie, celui-ci figure cependant en première position du générique de fin.
Tout comme le xénomorphe d’Alien : le huitième passager, John Doe n’apparaît quasiment pas à l’écran. Une dynamique qui maximise inévitablement la peur qu’il suscite.
Si vous voulez le voir atteindre la Finale du groupe E. Cliquez sur le coeur de ce post.