• S'inscrire
    • Se connecter
    • Recherche
    • Catégories
      • Communauté Actualité Cinéma Jeux Lectures Médias Musique Quotidien Séries Société
    • Récent
    • Mots-clés
    • Utilisateurs
    • Groupes
    1. Accueil
    2. leo
    3. Meilleur sujets
    • Profil
    • Abonnements 2
    • Abonnés 3
    • Sujets 11
    • Messages 349
    • Meilleur sujets 79
    • Contesté 9
    • Groupes 0

    Meilleurs messages postés par leo

    • RE: Le poids des apparences

      @Barbouille a dit dans Le poids des apparences :

      Regarde comment être concis:
      Voici ce qu'est la généralité et l'individualisme:
      Russian-Matroshka

      Une photo de foule ferait-elle aussi l'affaire ? La matroshka te semble signifier quoi ?

      Pour la parti en gras: on peut créé en labo une variante d'une maladie qui peut ciblé un seul individu, tout comme certains individu sont immunisé à certaines maladie, sans compté que comme on ne réagit pas tous pareil aux vaccins... Ton exemple est périmé. 😉

      Mon exemple ne visait pas à contredire ce que tu dis. Mais je disais qu'on ne va pas faire un vaccin par individu, car je ne crois pas que chacun réagisse assez différemment au vaccin pour cela... Et sur la possibilité de le faire, économiquement, as-tu des infos ? crois-tu cela possible ?

      Rien ne ressemble à rien, oui, d'accord, est-ce tout ce que tu veux dire ?

      Je parle de groupes. Je ne nie pas qu'il y ait des différences mais les ressemblances l'emporte, et de loin sur les différences. On peut donc faire des grandes catégories. Car tout résumer à l'individualité ne me semble ne pas avoir de sens. Et c'était exactement ce que mon exemple disait...

      😉

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      leo
      leo
    • RE: Star Wars (série de films)

      @Delnis a dit dans Star Wars (série de films) :

      @Peri oui ça fait toujours qq chose, on a vraiment un lien affectif avec star Wars et surtout Leïa 😔

      Elle est devenue un personnage de légende, bientôt une déesse mythique (mais il faut que je m'enlève de la tête l'image idiote de superwoman de l'espace de ce film non existant dont on ne citera donc pas le nom, puisqu'il n'existe pas...).

      posté dans Films
      leo
      leo
    • RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)

      @loutre J'espère qu'il y a un contexte pour sortir un aussi con texte que ce monsieur ! Ils sont fous ces adultes ! 😳

      @LeaPierce a dit dans Le topic défouloir (quand t'as envie de rager) :

      Après vérification, mybad vous avez raison, à cause du comme si.

      Après comme si introduisant une phrase exclamative (et non une proposition) au conditionnel :
      Comme si tout désormais aurait dû lui paraître fade (Mauriac, Mystère Frontenac, p. 67). — Comme si le Gouvernement n’aurait pas dû éviter cette humiliation à l’immortel chantre d’Elvire ! (Henriot, Aricie Brun, II, 1.) — Comme si je n’aurais pas été capable de me défendre ! (Schlumberger, Saint-Saturnin, p. 366.) — Comme s’il se réconcilierait jamais avant d’avoir vaincu ! (Troyat, Araigne, p. 73.)
      Du chaptire «1156 — Le futur et le conditionnel après si.» (source)

      Je trouve quand même la formulation étrange. (Maintenant j'ai juste le droit de rager encore plus, je ne vous remercie pas 😘)

      Ouais, ben je plussoie toujours aussi ça ! D'abord ! C'est rageant ! dirais-je même plus... comme si je ne pourrais pas le dire ! (brrr beurk !)

      posté dans Carte blanche
      leo
      leo
    • RE: Pourquoi vouloir des enfants ?

      @Astyanax
      A mon sens, , mais je souligne bien à mon sens (sur les conseils de Wantwish) 😉 Une absence de jugement est un jugement, par défaut, mais un jugement nihiliste et sociétal. En gros, tant que rien ne contrevient à la loi et l'ordre, que chacun fasse ce qui lui plaît, peu importe. Rien n'a plus alors de sens a = b = x = w... Tout se valant, rien ne vaut rien, sauf peut-être à l'instant présent, totalement présent.... Mais à quoi ? A l'année ? A la semaine ? A l'heure ? A la seconde ?

      C'est cela l'individualisme le plus extrême, car il ne voit le monde qu'à une temporalité si réduite que toutes les conséquences seraient supportables, ou plus exactement, "sans" conséquences. C'est une abstraction qui relève de la chimère platonicienne occidentale qui, malheureusement, s'est diffusée à toute la planète, par le biais de l'essenisme, du christianisme... (Je pourrais remonter un peu la généalogie mais je préfère rester sur Platon qui est le vecteur principal de l'idéelisation du monde, ce qui pourrait sembler, pour cet athlète, culturiste, très adepte des plaisirs du corps, un paradoxe... mais qui ne l'est pas, au contraire nous l'allons voir).

      Car oui ! Cette idéelisation implique une subordination du corps ... Des autres, de leur temporalité, de leur matérialité, au corps dominant ; au corps de celui ou celle qui va utiliser les autres pour ses propres plaisirs (exploitation de la force de travail, de la voix, du sexe, de la présence, de la force, etc.).

      Donc oui, lorsque tu dis par égoïsme, c'est très précis.

      Mais le corps, la matérialité n'a pas la temporalité de la volonté, d'un soit disant "esprit" 😉

      LE monde matériel est limité, fini. Ses ressources peuvent s'éteindre, le corps peut vieillir, mourir, ne plus plaire 🙂

      L'individualisme est un jeu de jeunes divinités appeler à payer cher leur haine des autres, leurs profits, leurs manipulations, la satisfaction de leur Ego, tout cela accompagné d'une justification permanente à laquelle il se livre avec méthode et cynisme (sans avoir l'air évidemment d'y toucher pour garder une estime de soi) pour pouvoir ignorer le fait que l'épée de Damoclès ne vient sur eux un jour que parce qu'ils ou elles l'ont prise en main, mais au-dessus de la tête des autres, durant quelque temps.

      Tout manque d'attention aux autres est un jugement. Toute non implication est un jugement. Je vous invite à revoir "12 hommes en colère". Et oui, tu as raison Astyanax, le religieux est là très exactement pour la quasi totalité de cet homo sapiens, aux aspirations et illusions de lui et de son être si grandes et à sa force si inexistante. Se mettre sur les épaules d'un "père" ou dans les bras d'une "mère" pour n'avoir jamais la force d'affronter le réel dans sa vérité.

      La physique et la biologie ne disent rien de l'inexistence de dieu. Seule l'anthropologie et l'archéologie nous disent, précisément, les inventions, les récits (on parle maintenant de "storytelling"), la fabrication, le bidouillage, assez maladroit voire comique, de ces "personnages conceptuels" (dieux, dieu, esprits, anges, ancêtres, fées, père noël, etc.) du fils de l'Homme : homo sapiens.

      Ce n'est donc pas,,,,,, là encore AMHA (A Mon Humble Avis),,,,,, l'individualisme qui pose problème au croyant, même ancien, mais plutôt la contrainte que représente le vieillissement du corps, le changement climatique, la perte de sens consummériste, c'est à dire la douleur d'avoir à accepter la vraie matérialité du monde. J'aime, dans Le nom de la Rose la remarque sage de Guillaume à Atzo lorsque celui-ci, tout au début, se tortille par envie de pipi : "- pour apprendre à dominer la nature, il faut d'abord apprendre à lui obéir". Et tout dans le livre parle de ce rapport et de sa complexité dans ce monde bancal du religieux.

      Sur un tel sujet il faudrait se voir, lire les expressions du visage, entendre la voix, ses intonations. Sinon il y a trop à dire...

      posté dans Famille - Amis
      leo
      leo
    • RE: Le poids des apparences

      @ayamé a dit dans Le poids des apparences :

      Tu dis : " cela implique trop un dédouanement des pratiques d'humiliation ou d'agression ".
      Cette notion de dédouanement n'est qu'une vue de l'esprit pour moi.
      Face à l'agression ou n'importe quelle frustration d'ailleurs, 2 types de réponse possible :
      on réagit, sous l'impulsion de l'émotionnel, donc à chaud.
      on agit, après analyse qui permet de relativiser, donc à froid.
      Tu imagines combien différentes alors seront les répercussions de l'option choisie.

      Oui, bien sûr, mais je ne suis pas sûr que le contexte permette toujours ce choix. D'une part car le choix est fonction de compétences sociales, que nous possédons à des degrés divers, disons, comme toujours, sur une échelle, en fonction de l'âge, des expériences vécues, etc. mais aussi de facteurs plus conjoncturels : fatigue, milieu ambiant, degré de l'agression, etc.
      Et puis l'agression peut être répétée, non pas occasionnelle mais renouvelée, comme dans le cas du harcèlement... Qui plus est dans un cadre socialisé, avec plusieurs relations en jeu, dont les attitudes peuvent être ambivalentes voire partisanes... Dans des lieux moyennement choisis. Je pense notamment à l'école ou au travail.
      La culpabilisation des victimes peut devenir très problématique de ce point de vue, non ?

      Il y a quelque-chose qui m'interpelle : tu dis " qu'il est insupportable pour beaucoup d'imaginer que chacun n'est pas irrémédiablement unique, n'ayant RIEN de commun avec les autres. Mais EGO est tellement imbu de lui-même..."
      Il est pourtant réconfortant de savoir qu'au-delà d'une certaine unicité, nous avons bien des points communs avec les autres, en termes d'émotions, de besoin d'amour, de justice, de paix, etc...ce sont des structures psychiques universelles communes à l'ensemble des hommes, quelle que soit leur culture.
      Mais j'ai bien aimé l'exemple cité par @Barbouille pour démontrer où peut se situer notre part d'unicité.
      Individualité face aux généralités : l'une n'exclut par les autres et inversement, je pense.
      Mais que fais-tu de ceux qui ont un ego sous-dimensionné ? Ceux-là n'ont besoin de personne pour se dévaloriser.

      Oui, c'est une situation en tension, plus ou moins paradoxale selon l'individualisation sociale de la subjectivité. Je l'ai dit, je suis d'accord, les deux ne s'excluent pas. Mais j'insiste surtout sur le fait que nous sommes à mon sens dans une période de déni ou au moins de forte minimisation du général, de la ressemblance, du commun (voire des communs sur un autre registre, qui rejoint finalement celui-ci - et c'est bien là un souci majeur à mon sens -).

      Et le réconfort dont tu parles est important. La revendication d'unicité presque radicale, très souvent, ne relève-t-elle pas d'un inconfort à la réalité statistique ressentie comme une agression pour l'Ego, une minimisation de celui-ci ? Dans un monde mathématisé, globalisé, en perte rapide de différenciation culturelle réelle, etc.

      Lorsque tu parles d'auto dévalorisation... Ne le faisons-nous pas presque tous à des degrés divers (bon là on a des différences très marquées entre l'émotif anonyme et le petit chef d'état hyper-actif dominateur et sûr de lui..., c'est certain). Mais cette tendance à la dévalorisation n'est-elle pas justement relative à une possibilité de comparaison aux autres, plus forte dans une société hyper communicante ? Ou l'Autre, et surtout son apparence, son rôle social, est sur-présent, écrasant parfois. L'Autre à la fois possiblement concrétisé par tel ou telle exemple, individu (surtout celles et ceux les plus médiatisés), mais aussi en tant qu'abstraction de l'Altérité trop vaste, trop ceci, trop cela, débordant littéralement nos fragilités, nos incertitudes.

      Et, pour rebondir alors sur le choix de réactions que tu proposes ci-dessus, la défense individualiste n'est-elle pas une réaction émotionnelle, à chaud ? Et le recul n'invite-t-il pas, justement, à considérer, analytiquement, la réalité statistique, qui n'écarte pas des individualités potentielles, et même concrètes, mais qui observe cependant la réalité pratique de grands agrégats, très loin d'être en quantité infinie, voire même en nombre tout à fait quantifiable ?

      A propos d'ego, j'aime beaucoup la représentation de l'archange Michaël terrassant le dragon.
      Pour moi et d'autres aussi ( généralisons un tantinet ), il s'agit de la représentation de notre moi supérieur maîtrisant notre ego.
      archange Michaël.jpg

      Tu l'as noté, la psychanalyse n'est pas ma tasse de thé 😉 Mais le symbolisme en est puissant, il est vrai.

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      leo
      leo
    • RE: La communauté noire

      @Dryanaide Le problème du vocabulaire est toujours important. ce n'est pas le premier fil sur lequel se pose cette question. Le sens, voire l'acception, qu'on donne à un même mot peut impliquer des difficultés à se comprendre. Ces difficultés peuvent aussi être en partie volontaires, lorsqu'un fond idéologique les construit. Et un terme comme communauté, surtout dans cette époque de multiculturalité ne peut qu'être polysémique, avec des options idéologiques plus ou moins marquées. Mais il est souvent difficile d''approfondir les bases idéologiques. d'une part car elles sont parfois moins définies, solides, établies qu'il ne le faudrait pour pouvoir en discuter profondément. De deux parce que cette discussion deviendrait "chiante" ou "pesante" pour beaucoup puisqu'il y aurait impression d'une vaste et inopportune digression qui noie le poisson ou qui simplement démotive. Enfin, car une fois une posture ou position adoptée, il est parfois difficile d'en changer, sauf peut-être parfois par palier, par degré. D'autant que des adversaires auront possiblement intérêt ou envie de caricaturer l'autre, de faire mine de ne pas voir ou accepter des changements pour rester eux-mêmes dans une position, qui leur apportera souvent des avantages sur d'autres plan (par exemple de bénéfice émotionnel du conformisme, ou de considération au sein de leur groupe).

      Un communauté peut-être une des composantes d'une société mais aussi une forme de société traditionnelle (on a pu parler de communauté traditionnelle). Mais le tout est de contextualiser l'utilisation. Et le problème actuel de nos sociétés, est celui de grands mouvements de population qui impliquent des échanges plus ou moins conflictuels. Ça a d'ailleurs été les cas depuis les temps les plus anciens, dans lesquels ont parlait plus souvent de tribus, parce que l'homogénéité du groupe considéré était plus forte qu'actuellement dans la plupart des communautés.
      La 'communauté noire' est un agrégat, non seulement d'origines et donc de cultures diverses, voire même de types physiques puisque c'est sur ce registre qu'elle s'institue, mais également et peut-être surtout d'objectifs, de besoins, de calculs, de stratégies, aussi bien collectifs qu'individuels. Et c'est à peu près la même chose pour toutes les 'communautés' actuelles. Il y a un degré parfois assez important d’hétérogénéité qui font de ces communautés des ensembles flous, complexes, très liés à des logiques d'affirmation, de luttes sociales décalées ou détournées.

      Donc oui il y a des communautés de l'anneau, sportives, d'idées, etc. Mais, là, le sujet est celui de cette singularité sociale et politique actuelle de rassemblements identitaires face à la montée en charge de l'universalisme dont l'idéalisme, certes sympathique de fraternité entre tous les êtres humains, néglige facilement des spécificités qui ont une Histoire, des racines, des désirs, et qui, de plus, oublie aussi une 'nature' humaine (même si je n'aime pas souvent employer ce terme à prendre avec des pincettes) faites de confrontations pour des ressources, des positions, des places, du pouvoir, etc.
      La tolérance et le vivre ensemble sont des idéaux nobles mais, comme le disait Péguy le kantisme a les mains pures, mais il n'a pas de mains... Non pas d'ailleurs que Kant soit si naïf que cela sur le sujet, mais qu'il juge trop facilement de ce que cette granularité des passions humaines se dissoudraient dans leurs confrontations multiples au sein des règles d'une société globale.

      posté dans Carte blanche
      leo
      leo
    • RE: Mots de vos enfants ou de ceux des autres...

      Et dire qu'on me demande de ne pas utiliser des mots savants... 😉

      posté dans Famille - Amis
      leo
      leo
    • RE: Le poids des apparences

      @ayamé a dit dans Le poids des apparences :

      @leo : tu disais vouloir revenir sur l'ecclésiaste. Perso, je suis preneuse ( si tu le souhaites toujours ), même si nous nous chamaillons tous les 2, parce que nous sommes des ergoteurs et c'est tant mieux 🙂
      Si nous étions d'accord sur tout, il n'y aurait pas de débat, pas de vie, et ronronner en choeur, perso, ça me lénifie, mais pas dans le bon sens du terme : mes neurones n'y trouvent pas la nécessaire gym pour les entretenir 😉

      Ah mais avec plaisir, j'étais en train de répondre à cela déjà. Je prends un peu de temps désolé.J’essaie de profiter aussi du (trop? 🤔 ) beau temps actuel. Ce sera un plaisir pour moi de me chamailler avec toi sur certains sujets ;).

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      leo
      leo
    • RE: Mots de vos enfants ou de ceux des autres...

      @ivoire a dit dans Mots de vos enfants ou de ceux des autres... :

      Mon petit dernier de bientôt 5 ans en février m'a posé une question mardi dernier.

      J'avais fait un gigot de 7 h, et il me demande ce qu'on va manger.

      Je lui réponds "un gigot"

      • "C'est quoi comme viande ?"
      • "De l'agneau"
      • "Han ! T'as attrapé un agneau, maman ?"

      J'ai ri parce que je ne m'attendais pas du tout à ce qu'il pense que j'étais partie à la chasse ou je ne sais quoi. Surtout que quand on mange du poulet ou du poisson, il ne s'est jamais posé la question si c'est moi qui l'avais attrapé 😂😂😂

      Mémoire génétique... Ce qui prouve bien que les femmes allaient à la chasse il y a 30000 ans ! CQFD ! 🤗

      posté dans Famille - Amis
      leo
      leo
    • RE: Le poids des apparences

      @Hornet a dit dans Le poids des apparences :

      @leo a dit dans Le poids des apparences :

      Je t'en serais gré.

      Saurais. Quand on veut jouer à l'intello ça fait partie de ce qu'il est intéressant de connaitre.

      J'ai déjà dit que je faisais des fautes. Je ne veux pas jouer à l'intello. J'ai des connaissances et du plaisir parfois à en discuter. et "connaître" prend un accent circonflexe. donc on s'en fout !

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      leo
      leo
    • RE: Pâques 2020 (pendant le confinement)

      @laetie1804

      Trop bien !!!
      Tu nous l'envoie le soleil !!!! steuplait ! Passcque nous on a eu de la pluie et de la grisaille comme s'il en pleuvé !
      Pis moi au printemps j'aime trop le soleil ! et les parcs avec les fleurs jaunes et toussa !

      posté dans Famille - Amis
      leo
      leo
    • RE: Les tabous

      Quels auteurs ont développé cette notion de "sidération morale" ?

      Le tabou est normalement relatif, si ce n'est au religieux en tant que tel, du moins au sacré. Sont tabous des êtres, des objets, parfois pour une catégorie d'être (ou d'objets aussi) particulière. Il est interdit par exemple aux hommes Guayakis de toucher le panier des femmes et aux femmes de toucher l'arc des hommes. Braver cet interdit implique d'attirer la malchance, plus dans le cas de l'arc que celui du panier d'ailleurs... ( 😉 ).

      Là, on a plutôt l'impression, effectivement, de jugements de goûts et dégoûts. Le drapeau éventuellement pourrait relever du tabou, mais dans une société avancée c'est assez mince. Surtout pour un vieux drapeau, dont on ne sait pas trop ce qu'il représente pour la femme. Le chien et la femme mourante ?! Je ne vois pas bien. Pour le chien ça fait assez provocation car on ne voit pas bien qui ferait ça... surtout pour la raison invoquée. Mais aucune de ces deux propositions ne semble relever réellement d'un "tabou". La sexualité nourrit toujours des tabous mais là il n'y a que celui de l'inceste, et entre frère et sœur, c'est un tabou effectivement relatif en fonction des cultures, dans l'Histoire. Les égyptiens le pratiquait du fait de leur cosmogonie et de la relation Isis / Osiris. Mais sinon c'est tout de même un tabou assez général, pour les raisons de parentés structurantes des liens et rapports sociaux (Levi strauss) plus que pour une prohibition psychique (Freud). Mais là, le frère et la sœur s'embrassent comme le souligne @JL. Vont-ils plus loin ? Pour le dernier cas, comme l'ont relevé la plupart, ça ne relève pas du tabou mais plutôt du désordre psychique probable (sauf à imaginer une société où cela serait rituel, pour des raisons d'ailleurs assez difficiles à concevoir pour nous).

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      leo
      leo
    • RE: Pâques 2020 (pendant le confinement)

      @laetie1804 C'est po zuste ! 😕

      Bah oui, frais ça oui !!!

      posté dans Famille - Amis
      leo
      leo
    • RE: Communication non violente

      @apis-32 Je vois ce que tu veux dire... Trop souvent l'éducation, effectivement, passe par une discipline assez rigoureuse. Et qui ne s'y plie pas doit être contraint, voire brisé. Je pensais à des enseignements de rhétorique au moyen age, ou au préceptorat de l'âge classique. L'apprentissage de la politesse depuis la révolution passe plus par une école le plus souvent modélisée sur la caserne.
      Mais tu as raison.
      Et d'ailleurs cela me fait penser à Conan le barbare. Howard lui fait dire quelque part, alors qu'un marchand le bouscule dans une ville, ne s'en excuse pas et en plus l'insulte plus ou moins en le traitant de barbare, qu'il n'y a que des civilisés pour se conduire aussi mal. Car dans les sociétés barbares la politesse est une nécessité. Un comportement comme celui du marchand impliquerait sinon trop rapidement la mort.
      Mais si je pensais à l'âge classique, c'est que la civilisation n'élimine pas d'ailleurs totalement cette nécessité de la politesse. On voit combien d'Artagnan collecte de duels en une matinée pour son comportement un peu trop fier et des mots mal choisis...

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      leo
      leo
    • RE: Comment vous occupez-vous au parc ?

      @loutre a dit dans Comment vous occupez vous au parc? :

      Mon mari tiens 5h minimum.... Mais comment fait il???

      @wishoushou a dit dans Comment vous occupez vous au parc? :

      @loutre a dit dans Comment vous occupez vous au parc? :

      Mon mari tiens 5h minimum.... Mais comment fait il???

      IMPOOOOOOOSSIBLEUHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
      les seules fois où je reste lgtps c'est quand il y a de jolies mamans!!!
      text alternatif

      Le parc... C'est pas un des lieux où se rencontre les causes de divorces ?

      posté dans Famille - Amis
      leo
      leo
    • RE: Le théorème du singe

      @riad a dit dans Le théorème du singe :

      Il y a beaucoup d'expériences de psychologie sociale de ce genre ;). On pense à celle, célèbre (trop peut-être) de Milgram dans les années 70, sur les chocs électriques délivrés sur ordre à des inconnus (très souvent citée mais dont le protocole a toutefois été fortement remis en cause..).
      Et la Vague est effectivement un bon exemple. Ionesco dans le Rhinocéros montrait également par l'absurde, l'absurdité de ce processus, mais dans son mécanisme plus contagieux (on pense alors aussi à La Peste de Camus).
      On pourrait remonter très loin sur la compréhension du conformisme, plus ou moins moqué traditionnellement.
      Que pensez-vous du bourgeois gentilhomme qui se conforme au point de l'absurde également, mais d'une façon qui semble plus drôle et où la majorité des personnages gardent eux leur esprit critique... ?
      Ce qui montre la finesse et la complexité de ces conformismes du quotidien. Mais aussi de la critique par l'art.
      Les pressions sociales chez un animal social sont assez normales, normatives de fait. Car elles sont liées à la coopération et à la cohésion du groupe. Et les interroger est plus que sensible...( sur la religion, l'égalité, les représentations du corps et la sexualité, la famille, la mort volontaire, la procréation, le travail, etc. ).

      Le XXe siècle est peut-être devenu plus sensible à certains automatismes d'imitation, de conformisme, avec l'expérience violente des totalitarismes. La démocratisation et les remises en cause des inégalités peuvent avoir également joué pour augmenter l'indépendance des individus... Mais le libéralisme est très formateur de conformisme pour favoriser la consommation...
      La publicité a hérité de la réclame, mais aussi des "relations publiques" (avec les premiers leaders d'opinion) développées par Edward Bernays (un neveu de Freud...), pour fortement renforcer ces mécanismes de conformation.
      A l'inverse l'individualisme et l'éducation ont permis une diffusion (peut-être plus qu'un développement) de l'esprit critique.

      On a ainsi aussi plus d'individus en situation d'indépendance, qui peuvent cependant rentrer parfois dans des postures anti-conformistes, c'est à dire d'opposition par contradiction, qui peuvent aller jusqu'au complotisme parfois (celle ou celui qui voit plus de complots qu'il y en a, ce qui ne veut donc pas dire qu'il n'y en a pas, bien au contraire 😉 ).

      Mais au final qui est résistant alors à cela ? Ou peut-être plutôt quand ? Comment, et pourquoi ? Qui reste totalement et toujours seulement "indépendant" ?
      Avez-vous déjà vécu des résistances ?
      Pensez-vous que l'âge fait évoluer la résistance aux pressions sociales ?
      La lecture ? Les forums ? 😉

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      leo
      leo
    • RE: Le théorème du singe

      @la-passagère

      Un test intéressant avait été réalisé sur l'effet Pygmalion et le genre :
      2 groupes d'élèves ont effectué un exercice de maths : dans le premier groupe, il était présenté comme du dessin et dans le second comme de la géométrie. Les filles du 1er groupe (dessin) ont mieux réussi l’exercice que les garçons alors que ce sont les garçons qui ont mieux réussi dans le 2ème groupe (géométrie). Ce serait donc la simple idée de « faire des maths » qui bloquerait les performances des jeunes filles testées.
      Source : Huguet, P., & Régner, I. (2007). Stereotype threat among schoolgirls in quasi-ordinary classroom circumstances. Journal of Educational Psychology, 99, 545-560.

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      leo
      leo
    • Supérieur

      Où, chez qui, de nos jours, est valorisée l'humilité ?

      Le grand basculement du 20e siècle, accompagnant la montée de l'individualisme, me paraît être la démocratisation de l'orgueil, ou tout du moins de la nécessité à démontrer sa supériorité.
      Dans des sociétés anciennes ou beaucoup des places étaient attribuées presque à la naissance, la supériorité était dévolue de même.
      Dans les sociétés modernes, s'impose progressivement l'obligation de se "faire sa place". Même si le jeu de dupe entretenu par les élites pour favoriser ses rejetons est plus hypocrite mais non moins actif...

      Il faut se vendre, et progressivement en tout : travail, couple, relations éphémères, amitiés, il faut faire montre de sa supériorité sur d'autres, plus intéressant, plus beau, plus travailleuse, plus disponible, plus drôle, plus tatouée, plus volcanique, plus responsable, plus engagée, etc.

      Les sujets sur le racisme me font penser aussi à cela. Le racisme est un sentiment de supériorité, ancien, toujours socialisé, ethnicisé. La victimisation en son envers m'y fait également songer, en particulier dans la compétition victimaire qui est devenu un sport : Etre plus persécuté, plus souffrante, plus méritant, plus fragile, etc.

      Chacun, chacune, se définit le plus souvent par ses supériorités sur d'autres.

      Les surdoués avaient déjà eu leur côte, mais, dorénavant, modernisés, il y a les hpi (haut potentiel intellectuel), souvent Asperger, mais version light, super cool dans un certain imaginaire glamourisé du génie incompris avec un côté marginal médicalisé, donc victimaire qui plus est (la totale).

      Pensez-vous que cette extension du travail de supériorité existe bien ? Pour quels effets, actuels et à venir ?

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      leo
      leo
    • RE: La transidentité, qu'en penser ?

      @icescream a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :

      @leo pas besoin de tf1 pour ça, l actu locale du quotidien régional suffit

      Comprends moi bien. Je ne dis pas que ça n'existe pas, mais, comme je l'ai indiqué, il faut regarder où, quand comment par qui, à quelle fréquence... Sinon, on reste dans la confusion et on ne distingue pas ce qui fait sens. Ou alors, le premier qui a emporté l'émotion a simplement raison et point n'est besoin de s'interroger... Ni donc de discuter de quoique ce soit.

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      leo
      leo
    • 1
    • 2
    • 3
    • 4
    • 4 / 4