Aimer aimer, l'amour et son gaz ça m'inspire des trucs à l'eau de rose, (beuk) alors l'amour de la liberté ça existe?
Certains aiment la liberté (Certains, oui enfin pour le coup j'ai envie de dire tout le monde), d'autres ont une passion pour des choses... détestables, ont dirait qu'ils n'ont pas de cœur.
Le cœur du LionC'était un Lion plein de passion
Pièger avec ce poison
Après la dernière moisson,
Le gros matou n'a rien d'un doudou
Enfermer dans une prison
Priver du moindre frisson
Ici de la viande à foison,
Le gros matou n'a rien d'un loulou
Un trésor qui s'endort
Un cœur qui se meurt,
Il ne prononce le mot écoeure
Le gros matou ne dis rien du tout
Pour le bonheur de ces dames
L'horreur pour ces âmes
Nul liberté, dans ce monde infâme
Le gros matou devient un atout.
Je me suis perdu et je suis tomber la dessus, simpa ! Coloringcorruption
Le but est simple, détourner les coloriages d'enfants pour en faire des œuvres un peu plus décalé.
Ma nuit a été interrompu, j'avais l'âme pouet. Ça colle avec le thème.
Avec les mots : chimère, cauchemar, illusion
Après une longue chute. C'est la course.
Pas n'importe quelle course, l'allure n'a rien de commun, elle essaye de courir à pleine vitesse, tous ses muscles travail, elle les sent, elle pousse sur ses orteils, mollets, cuisses, de toutes ses forces, mais son corps n'avance pas, il est au ralenti. Que veut-elle fuir, pourquoi cette sensation désagréable ?
En se retournant, c'est une tornade qui la poursuit, elle, n'a pas de mal à avancer, le tourbillon emporte tout sur son passage. Réverbères, arbres, lapins, voitures, maisons...
Suzie comprend, elle m'a collé dans un cauchemar, tous ça n'est que chimères!
Je dois faire travailler mon imagination pour me sortir de là. Maintenant, que j'ai compris que je suis dans les songes, je n'ai plus qu'à arrêter de courir, me retourner de nouveau et trouver un endroit sympa pour continuer de dormir.
Je pense que cet arbre là-bas, suffirait pour me protéger de toutes ses mésaventures, il est grand, vieux, et en pleine forme, il semble immortel, je pense qu'il pourrait facilement devenir le protecteur de mon sommeil, même si il n'est que mirage, il est MON mirage, personne ne pourra jamais voir ce leurre, enfin je crois. Je n'est qu'à ajouter quelques accessoires pour me sentir bien, ici tout est permis, pourquoi ce privé ? Un endroit confortable, quelques sons agréables, un air doux, je peux me rendormir pénard, c'est parti pour la sieste intra rêve, est il possible de dormir dans un rêve ?
C'est bien la première fois que ça lui arrive de rêver, elle ne sait comment faire.
Cet arbre scintille, pourquoi pas ? Ici, on se sent mieux qu'à la course pensa t'elle, en fermant les paupières sous son arbre, Suzie ne comprend pas pourquoi des yeux la regardent de là-haut, mais elle sens qu'ils ne sont pas méchants.
Enfin, pour le moment, on ne sait ce qu'il peut arriver dans une prochaine illusion.
Antoine de Maximy arrive dans un pays où il tente, équipé de trois caméras, de s'inviter chez les habitants pour découvrir leur mode de vie. Les périples du globe-trotter à la chemise rouge sont spontanés, soumis aux hasards des rencontres humaines, en dehors des commodités touristiques habituelles. Régulièrement, il parvient à ses fins en s'invitant à manger et à dormir chez les gens qu'il interroge, son intention étant de recueillir des témoignages sur les modes de vie de ses hôtes.
Dès les premiers épisodes que j'ai vue, j'ai kiffer le concept, la gueule du mec, ses interactions, et bien-sûr ses voyages comme si on y était.
Je ne suis jamais tomber sur un épisode ou je me suis dit, bof.
De belles rencontres, de beaux voyages au cœur des pays, villes.
Vraiment le job de ce mec n'as pas l'air dégueulasse! Il faut quand même du bagou, du culot et un amour du genre humain pour faire ça mais il le fait si bien!
Celui que j'ai trouver le plus délirant est celui du festival "Burning Man"
Celui où j'ai trembler pour lui, au Vanuatu, il s'est senti menacé par les habitants d'un village qui exigeaient de l'argent pour accepter de l'héberger. Il a fini par céder, sentant que les choses tournaient au vinaigre.
Connaissez vous Maximy et son émission? Quels sont les épisodes qui vous ont le plus marquer?
"Cet homme au chapeau qui boit des bières et fume des cigares inlassablement."
"C'est qui ?" Demanda Suzie à sa patronne.
"Je le vois tous les jours, là assis au bar, il ne pipe pas un mot."
"Et bien ma petite écoute cela, et garde en ce que tu veux. Ce récit je le tiens de ma tante Bérengère, celle qui boit souvent au bar aussi, mais qui parle tout le temps."
Son histoire commence sur une île. Énormément de bateau venait échouer sur cette île du cap corn, dépourvue d'habitants, très sauvage, à plusieurs kilomètres de la côte, les marins pris dans les vents et les vagues ne pouvait éviter la catastrophe.
C'est ainsi que l'on décida de bâtir un phare, en guise de gardien, pour les marins et leurs bateaux.
Le phare mit 5 ans à sortir de terre, c'était un petit phare peint de blanc et de bleu, sa torche prête à tournoyer dans l'horizon. Autour, des rochers, beaucoup de flores, et une faune à peine décelable.
Comme personne ne souhaitait vivre reclus sur une île déserte, trois hommes furent nommé pour vivre et travailler dans ce phare, Rémi, Tommy, et Léon, orphelins de naissance, pupille de l'état. Ils avaient été former au travail de marin, on avait dû se dire que trois hommes en huit clos entourer d'eau, cela ressemblait de près ou de loin à de la navigation.
Ils avaient débarqué avec leurs ballots sur l'île sans grande appréhension, sauf Léon, qui était le plus peureux des trois, sa vie l'avait rendu méfiant, avec son côté artiste il préférait être dans sa bulle, dessiner ou écrire, toujours avec son petit carnet pour noter ce qu'il voyait ou ressentait.
Les premières semaines, c'était bien passer, le trio se connaissait depuis toujours, ils étaient comme des frères, jeux de cartes, bières, cigarettes, les soirées se ressemblaient. Entre deux check-up de l'état du phare qui était neuf et qui ne demandait pas beaucoup d'entretien, Léon trouvait le temps de vaquer à ses occupations d'artiste. En somme, tout allait bien.
C'est là que ça se corse, un soir une tempête de tous les diables éclata, des vagues énorme venait se casser contre le petit phare, emportant roches, bois et objets divers, Remy et Tommy, qui étaient, d'habitude, confiant en toute circonstances avaient la frousse, Léon l'avait bien remarquer, il notait ce qui se passait.
Rémi prit peur..."Putain, Tommy, cette tempête va nous rendre fous ou pires !"
" Arrête de délirer, elle va passer et demain, tout ira bien" renchéri Tommy.
Rémi était en panique.
"Et toi avec ton carnet t'es pas fou! S'il te plaît, viens avec moi dehors voir l'état du phare."
Léon ne savait pas comment réagir.
"L'état du phare ? Pourquoi faire ? Tu veux voir quoi?"
"Y a urgence là les gars, il faut se bouger !"
Léon enfila un gilet de sauvetage.
"On ne sait jamais" avait t'il dit à haute voix.
"Avec ton carnet et ton gilet, t'as l'air fin, toi Pâ" continuait Remi
Les trois hommes décidèrent d'aller dehors pour se rendre compte de la situation. Le vent fit tous voler à l'intérieur du phare, les trois matelots dure lutter pour s'extraire du bâtiment.
Avec le vent, les vagues, l'orage, il était impossible de s'entendre, Léon avait levé la tête alors que ses compères regardaient déjà en l'air bouche bée, le toit du phare n'existait plus.
C'est à ce moment qu'une lumière vive éclaira Tommy, ce fut le premier à disparaître, Rémi et Léon n'eût pas le temps de comprendre que ce fut au tour de Rémi de disparaître, comme emporter dans un halo de lumière, dans le ciel, qui paraissait paisible, bizarrement.
Léon prit ses jambes à son cou, il fut cueilli par une gigantesque vague.
C'est le bip bip incessant qui réveilla Léon. La lumière vive qu'il vit en ouvrant les yeux lui fit presque peur, mais il comprit rapidement qu'il était à l'hôpital.
Les journaux parlaient d'un mystérieux homme qu'on avait retrouvé sur la plage, portant un gilet de sauvetage de l'île du cap corn. L'homme en question parlait d'une énorme tempête qui avait emporté ses camarades, et la moitié du phare.
Les enquêteurs qui se sont rendu sur place, n'ont pas compris pourquoi l'île n'avait pas de stigmates de cette "tempête du siècle". Tous paraissait calme et normal, le phare se portait bien, la barque était en place bien nouer à sa bite d'amarrage, en entrant à l'intérieur du phare, rien de spéciale, des assiettes sales dans l'évier, les couchages faits, le jeu de cartes distribuer sur la table, vraiment, il n'y avait aucun problème.
Jamais personne n'a su expliquer ce qui c'était passer ce jour-là.
"Cet homme que tu vois là, a passé quelques mois derrière les barreaux et ne sachant pas pourquoi ils l'avaient enfermé, il fut libéré. Ses quelques séjours en hôpital psychiatrique ne l'ont pas aidé, et personne n'a jamais mis la main sur ce carnet mystérieux."
Quand elle eut fini son récit, l'homme au chapeau avait disparu.
Suzie ne put s'empêcher d'ouvrir le carnet que l'homme avait laissé en partant, sur la première page, elle put lire :
@icescream j'adore les hasard des dates. Ma petite niece est née le 02.02.2020, à l'endroit où à l'envers peu importe. Impossible d'oublier cette date!
Trois inconnus identique.
Comment trois frères ont pu être placés à l'adoption, sans jamais rien savoir de l'existence de leurs frères jumeaux ? Disponible sur Netflix, ce documentaire explore les dessous d'un fait divers bien plus sordide qu'il n'y paraît.
Une histoire extraordinaire et triste.
Tant de manipulations pour des expériences humaines.
J'ai trouver ce documentaire bien façonner. De bons interviews, de belles images. Je ne regrette pas de l'avoir regardé, même si je reste sur ma faim.
Car, comme les concerner j'aurais aimer voir les résultats de cette expériences et surtout connaître les raisons exactes de celle ci... Alors j'imagine la frustration des "cobayes".
Avez vous regarder ce documentaire? Vous aimeriez découvrir votre jumeaux? Lequel de vous deux serait le maléfique ?
Une partie de cette histoire est réelle, mais je ne vous dirais pas laquelle.
Aujourd'hui, il fait chaud, un soleil de plomb reflète sur l'asphalte, pas de nuages, pas de répit.
On décide de s'arrêter au premier bistrot que l'on croise, histoire d'y trouver un peu d'ombre et aussi une boisson fraîche.
Dans cette petite rue calme, une église à quelques pas, une épicerie en face.
Posé à la terrasse sous le parasol, on est bien, un chien et son humain s'approchent de l'épicerie, avec une jolie étale devant, des fruits des légumes, et plus loin des bouteilles de gaz, l'homme décide d'y attacher son chien, un malinois peut-être, et il rentre dans l'épicerie.
Quelques secondes, plus tard, on entend un cadenas sauter, le chien a dû avoir peur de quelques choses, a tiré d'un coup sec sur son attache et la briser.
Lui, attacher à des bouteilles de gaz, vide, attacher elles aussi entre elles, le voilà qu'il court à perdre haleine, paniquer par les trois ou quatre bouteilles qui le poursuivent, il court pour échapper à son prédateur, créateur de chaleur dans nos radiateurs. La scène est plus qu'insolite.
Son humain, alerté par le raffut, sort en furie de l'épicerie, le voilà lui aussi à courir après son chien en lui criant de revenir.
Bouchon Bouchon!!!! Reviens!!!!! Bouchon !!!!
Les deux sujets tournent au coin de la rue, nous ne les avons jamais revus.
Il pensait qu'avec ce médiator, il pourrait être le médiateur, il savait très bien chanter, mais personne ne l'écoutait.
Il aurait voulu les transporter avec ses mélodies, que la transe les portent et les élèvent au rang de divagation, tout est plus drôle quand on dit vague, rien n'est droit, tous peut être chambouler, chabraque.
Mais percher là, en haut de son arbre bétonné, il se sent bête, étonné.
En bas la folie, pas celle qu'il aime, pas la folie douce
Mais celle de la ville, celle qui court, qui fait du bruit, qui pense trop fort, notre piaf percher ne fait pas autant de bruits qu'il aimerait.
Chut il y a trop de bruits.
-Faire de l'apnée dans son bain... en comptant!
-Faire un gâteau au chocolat,... et léchée le plat...
-Jouer à il m'aime un peu, beaucoup, passionnément...
C'est vrai! Quand je dis j'aime le ciel et ses nuances, c'est surtout grâce aux nuages que c'est beau!
Ce matin la brume était bien là, donc j'étais dans mon nuage ️
Dans cette colonie de vacances, Suzie avait attraper un coup de froid, elle n'avais pas voulu l'attraper comme c'est souvent le cas quand on attrape des choses, elle l'avait attraper à cause de son cou au froid, saisie sang.
Dans un safari, il fait très chaud durant toute la journée quand le soleil tape, mais la nuit quand la lune tape elle donne des coups de froid, c'est souvent le cas avec les coups, on en veux pas, mais on les prends quand même, donc attraper un coup de froid c'est vraiment involontaire.
Après toute cette histoire de cou et de froid et de choses que l'on attrapent ou pas. La voilà a traverser la rivière, elle avait les pieds tremper, la goutte au nez.
En allant voir sa camarade elle lui dit, toujours avec sa goutte au nez,
" Tu as des Josettes à me prêter et un boujoir?
Pardon ?
Des Josettes, josettes répéta t'elle en montrant ses pieds. Et un boujoir en indiquant la goutte qui perlait a l'extrémité de son nez.
Haaaa des CHAUSSETTES, oui avec le nez bouché ce n'est pas facile un mouchoir attend je cherche...
@Delnis oui effectivement c'est le cirque et c'est très drôle !
@Plume je n'est pa pu m'empêcher d'être inspirer par Josette
@ayamé
Les nuages ne sont jamais sages.
Parfois, on y voit des images, des présages ou des messages.
Mais cette fumée n'a rien à déclarer.
Elle née et vogue au fil du vent, du temps, et du présent.
Ne voyez dans les nuages rien de menaçant
même quand ils on l'air déplaisant.
Il finissent toujours par s'évaporer.
Dans les courants ils s'en vont explorer
Chez le voisin d'à côté.