En 4ème place pour un pseudo comme le mien c'est quand même pas terrible, j'ai honte.
Il est possible de trouver un ailleurs sans aller très loin, juste quelques jours, seule avec soi même, enfin presque, jamais sans appareil photo.
L'histoire : Singapour, jour du nouvel an, le commandant Brodie Torrance (Gérard Butler) s’apprête à faire décoller son avion de ligne pour Hong-Kong avec très peu de passagers à bord, dont un prisonnier Louis Gaspard (Mike Colter), ancien soldat de la légion étrangère accompagné par un agent.
Pris dans une tempête plus importante que prévu, le pilote va devoir poser son appareil en urgence, mais ce qu’il ne sait pas, c’est que cette terre de refuge, l’Ile de Jolo, est aux mains de séparatistes, là où l’armée de ne veut plus s’aventurer.
Un film d’action bien ficelé, pas de temps de mort, et même si certaines scènes sont peu réalistes, elles sont bien filmées avec de bons effets spéciaux.
Le scénario sort un peu des sentiers battus concernant les crashs d’avion, le scénariste et écrivain Charles Cumming maintient la pression tout au long de la projection.
Même si de film est loin d’être un chef d’œuvre, Gérard Butler est impeccable et j’ai apprécié le fait de voir Mike Colter dans un autre rôle et diamétralement opposé de celui du prêtre dans la série Evil.
Un bon moment de divertissement, efficace dans son genre.
@outrebleu En Bretagne, il y a comme un parfum d'Irlande où il est presque possible de vivre les quatre saisons en une seule journée. Mais véritablement, je n'ai eu que du beau temps à chaque fois que j'y suis allée, et dans des départements différents.
Une chose m'a frappée, ce sont les nuages sur un beau ciel bleu aux formes si particulières relevant souvent de la féérie.
Hors saison, on apprécie les grand espaces où les falaises dominent l'océan.
L'air y est pur et frais.
Je suis une inconditionnelle de la Bretagne, donc ceci n'est peut-être pas très objectif, et j'espère pouvoir aller y vivre un jour.
As-tu fait quelques photos de ton séjour ?
Pas de doute, on ne peut pas se tromper, Knock at the Cabin est du pur Night Shyamalan où on y retrouve son thème récurrent sur la foi (Signs, Phénomènes, The Village).
Une première partie de film très bien amenée, inquiétante et pesante.
Mais quand on fait un huit clos il faut pouvoir tenir la distance, or, à mon sens, l'exercice s'est vite essoufflé dans la deuxième partie du film.
Puis je dois dire que ce qui me pèse le plus avec ce réalisateur, ce sont les messages à caractère religieux à toutes les sauces, et la façon dont il peuvent culpabiliser les gens.
Cependant, les effets spéciaux sont bien, mais rien de nouveau non plus.
Les acteurs assurent, surtout Dave Bautista qui a un rôle qui nous questionne longtemps, est-ce un gentil, est-ce un méchant ? Une mention spéciale pour la petite Kristen Cui, très expressive.
Je précise qu'il n'y a pas d'images bien moches dans ce film pour les personnes sensibles, la plupart sont suggérées où alors on ne voit que furtivement et pas nettement.
Après, psychologiquement, c'est en fonction de l'appréciation de chacun.
Bon, loin du chef d'œuvre, Knock at the Cabin reste un film à voir de ce réalisateur, qui passe un moment, mais qui je pense, ne restera pas forcément dans les annales.
France
La Zarra "Evidemment"
Bon ça va, la chanson est pas mal, un peu de rythme, on retrouve bien l'esprit de la chanteuse.
Voilà j'ai vu Barbie cet après-midi et j'ai passé un très bon moment !
Margot Robbie était l'actrice idéale pour le rôle de Barbie, elle apporte une réelle fraicheur, et Ryan Gosling était excellent dans le rôle de Ken.
Matel n'a pas peur de la gentille auto-dérision, c'est un bon point.
La musique et les chorégraphies sont cool.
Film de divertissement et plutôt original, beaucoup de second degré et des sujets existentiels sont aussi abordés.
Oui ça parle de société matriarcale et de société patriarcale, puis de l'égalité homme/femme, même si l'orientation du film est un tantinet féministe quand même.
Des gros clichés sont exposés, aussi bien du côté masculin que féminin, mais malheureusement, certains de ces clichés sont le reflet de la réalité.
En dehors de ces sujets, celui de la conscience de soi m'a beaucoup plu, et puis c'est plein de sentiments, sans que ça soit too much.
C'était bien sympa 
tu parles, j'ai honte
Blue Beetle film de 2023 (sorti en salle le 16/08/2023) produit par DC Studios et réalisé par Angel Manuel Soto, est un film sur un super-héros méconnu et oublié Blue Beetle.
On retrouvera dans la distribution Xolo Maridueña (de la série Cobra Kai) dans le rôle principal et Susan Sarandon, qu’on ne présente plus, dans le rôle de la méchante.
Synopsis : Jaime jeune homme plein d’ambition et de projets rentre de l’université pour rejoindre sa famille à Palmeras City (Ville autant fictive que Gotham City) au Mexique.
Par un concours de circonstances, il rencontre une jeune femme qui lui confie le Scarabée, ancienne relique d’une biotechnologie extraterrestre qui choisit de faire de lui son hôte.
Jaime se voit alors revêtu d’une armure hors du commun qui lui octroie des pouvoirs extraordinaires et imprévisibles.
Blockbuster de l’été mais sans trop de tapage médiatique, DC Studios a su tirer son épingle du jeu avec un film coloré (au premier sens du terme) et efficace, dans l’humour sans trop de lourdeur, se moquant gentiment des clichés avec une bande son synthwave omniprésente qui n’est pas pour me déplaire.
L’occasion de remettre dans la lumière un super-héros dont les origines datent de 1939 dans une publication de Fox Features Syndicate (Mystery Men Comics #1), amélioré par Charlton Comics en 1967 et cédé à DC Comics en 1983. Ceux qui connaissent la version la plus récente de Blue Beetle verront que le scénario, dans les grandes lignes, fait honneur à ce super-héros.
Sans temps mort, sans cesse dans l’action, mais aussi ancré dans les relations familiales, le film est aussi critique vis-à-vis de la politique d'immigration américaine, ce qui est tout de même assez rare pour le souligner dans ce genre de film, je trouve, sujet sérieux qui contraste avec le côté comique de l’oncle présenté comme génie insoupçonné et de la grand-mère révolutionnaire.
Possiblement présenté comme un film familial, je ne le recommanderais pas pour autant aux enfants avant 10-12 ans ; il y a quand même une scène impressionnante de transformation et des morts.
Les acteurs constituant la famille de Jaime sont vraiment excellents bien que tous inconnus (pour moi en tout cas).
Xolo Maridueña remplit son rôle correctement et j’ai été contente de revoir Susan Sarandon, actrice confirmée, mais on aurait pu choisir n’importe qui d’autre pour ce rôle, la présente de l’actrice ajoute juste un peu plus de cachet.
J’ai passé un bon moment et je recommande ce film qui est un chouette divertissement, l’occasion aussi de profiter des salles climatisées 
@Hornet Je baisserai le son la prochaine fois
