Bon, The Rock semble faire l'unanimité (je l'ai vu presque nulle part, donc NSPP).
@Kachina13 Je te suis pas mal concernant ta liste ! On va en avoir quelques uns en commun (Clavier et Dany Boon au moins)
@jool Je suis pas sûre que tu aies déjà mentionné ton aversion pour Truc Astier en tout cas, c'est désormais chose faîte (pas fan non plus, donc je sors pas les gifs mode offensée ^^)
@LeaPierce Keuwââââ ? Colin Firth ici ? Dieu tout puissant, je n'aurai jamais cru le voir inscrit ici celui-ci ^^ Comme quoi, rien n'est écrit !
Petite remontada de topic, @Cinéphile je propose le challenge 61 :
Rappel : pour ce jeu, 4 indices pour trouver le nom d'un film. Il faut mettre vos réponses sous spoiler, car tout le monde peut jouer et gagner.
Vous avez 24h pour trouver : bon jeu ^^
Les machines à laver modernes (ou lessiveuses, ou lave-linge, ou...) constituent pour un foyer une source de dépense énergétique considérable. Avez-vous pensé à vous équiper d'une machine sans électronique ? Vous avez un budget riquiqui pour ce poste de dépense ?
Si oui, la machine à laver manuelle peut s'avérer une excellente option ^^
Deux tutos que je trouve bien faits pour construire une washing machin façon Mac Gyver :
Nécessite : un récipient avec couvercle type bidon ou seau / un débouche évier à ventouse / un outil de découpe type cutter
Nécessite : deux récipients avec couvercle type bidon ou seau / une poignée / une pâle en plastique / des balles en plastique / une perceuse
Il existe aussi des modèles plus élaborés (mais pas non plus irréalisables) utilisant le mécanisme d'un vieux tambour de machine à laver + une pédalier. C'est non-exhaustif, le web regorge de tutoriels pour créer votre lave-linge!
Et aussi des modèles conçus en usine, prêts à l'emploi, plutôt trouvables en France en magasins spécialisées vendant du matos de camping. En général, le prix est inférieur à une centaine d'euros.
(l'image choisie pour la vignette est celle d'un modèle de machine à laver manuelle, Drumi, commercialisé uniquement en Amérique j'ai cru comprendre )
Vous connaissez? Vous avez des astuces / conseils à partager?
De : Park Chan-Wook Avec : Song Kang-ho, Shin Ha-kyun, Bae Doona, Im Ji-eun, Lee Dae-yeon... Nationalité : Corée du sud Année : 2003
Synopsis (Allociné, tronqué) : Avertissement : film interdit en salle aux moins de 16 ans
Ryu est un ouvrier sourd et muet, dont la sœur est en attente d'une opération chirurgicale. Son patron, Dongjin, est divorcé et père d'une petite fille. Young-Mi, la fiancée de Ryu, est une activiste gauchiste.
Lorsque Ryu perd son emploi et voit diminuer les chances d'opération de sa sœur, elle lui propose de kidnapper la fille de Dongjin. La rançon obtenue servirait à pouvoir soigner la sœur de Ryu...
BA (ça en dévoile beaucoup trop à mon goût donc sous spoiler) :
Avis :
Sympathy (...) signe le début de la trilogie sur la vengeance engendrée par Park Chan-Wook, complétée par le bien connu Old Boy puis enfin Lady Vengeance. Opus le moins connu de cette saga certainement. Le résumé vend pas du rêve, et pourtant ! Encore aujourd'hui, c'est mon film favori de Chan-Wook, lui même un de mes réalisateurs fétiches.
Je présume que la longueur de cette intrigue lui vaut cette faible notoriété, et c'est bien dommage à mon goût. Il faut en effet dépasser des lenteurs initiales -nécessaires à l'installation de certains développements- pour finalement être emporté(e) par ce récit revanchard d'une singularité folle !
Les bons points que je retiens :
La bande sonore qui joue tout du long subtilement avec le handicap du personnage principal (les scènes à l'usine, avec sa sœur, et plus ..)
La composition des plans, magistrale (la séquence avec les escaliers est de toute beauté)
La photo, sublime++, comme pour chacun de ses films me direz-vous certainement
Puis cette brochette d'acteurs parfaitement dirigés (Song Kang-ho )
La pitioute toute choupie qui joue la fille de Dongjin dont je me rappelle pas le prénom
Mais c'est surtout par son scénario articulé autour du thème de la vengeance que je classe ce film comme brillant. Car selon moi, c'est LE film de la trilogie qui exploite cette thématique avec brio.
Impossible d'en dévoiler plus sans ruiner le plaisir de la découverte. Disons juste que, comme souvent, la vengeance amène son lot de dommages collatéraux...
Un avis sur ce long-métrage made in Korea ?
PS : Si des personnes l'ont visionné ou ont une critique constructive, je serai ravie d'échanger sur ce film que je considère comme un chef d’œuvre, avis positif, négatif, neutre ou autre à la clé, y'a pas de souss'
Je vote pour le Révérend Harry Powel.
Après une petite hésitation : Light est pas loin d'être mon anti-héro de manga préféré.
Mais :
je trouve toutes les versions animées/films flinguées, c'est selon moi un massacre du chef d’œuvre de Obata/Ōba (oui, oui, toutes, même la série animée pourtant plébiscitée par le public - surtout cette fin fumée par rapport au manga !! )
La Nuit du Chasseur : sublime long métrage, le jeu parfait de Mitchum, ses mains capables du Bien ou du Mal, cette dualité permanente ... Avec M Le Maudit et Norman Bates, il est je pense l'un des méchants historiques "parlants" ayant le plus impacté l'histoire du cinéma et la représentation des méchants.
De : M. Night Shyamalan Avec : Bruce Willis, Samuel L. Jackson, Robin Wright, Spencer Treat Clark, Charlayne Woodard... Année : 2000 Nationalité : américain
Synopsis (Allociné) :
Elijah Price souffre depuis sa naissance d'une forme d'ostéogénèse. S'il reçoit le moindre choc, ses os cassent comme des brindilles. Depuis son enfance, il n'a de cesse d'admirer les superhéros, des personnages qui sont tout l'opposé de lui-même. Propriétaire d'un magasin spécialisé dans les bandes-dessinées, il épluche pendant son temps libre les vieux articles de journaux à la recherche des plus grands désastres qui ont frappé les Etats-Unis. Il se met alors en quête d'éventuels survivants, mais y parvient rarement.
Au même moment, un terrible accident ferroviaire fait 131 morts. Un seul des passagers en sort indemne...
Avis :
1er volet de sa saga se déroulant dans le même univers (avec ses suites Split et Glass), et second long métrage du réalisateur, Incassable est alors l'un des 1ers films grand public à dépeindre des supers héros "réalistes".
Je dirais que le travail scénaristique de MNS constitue la force et la faiblesse du film. La force, car le twist étant la marque de fabrique de MNS, le final est grandiose et on savoure lors d'un second visionnage les indices délivrés au compte-goutte. Faiblesse car pour certains, le film s'appuyant beaucoup trop sur son scénario, la réalisation est trop sobre et économe de scènes d'action/marquantes.
Côté réal', les choix de Shyamalan apportent beaucoup, même s'ils accentuent la faiblesse sus-mentionnée...
Le soin apporté; la bande son (musique et ambiance sonore, spécialement pour les scènes de l'accident d'Elijah et du sauvetage de David), les nombreux plans séquences avec Elijah/David, la direction des acteurs principaux (la retenue parfaite de Willis et l'intériorité du jeu de Lee Jackson!!), les choix de montage, etc; en font à mon humble avis l'un des meilleurs Shyamalan réalisés.
Pour moi, le meilleur jusqu'ici même
Et voici mon poulain, Adolf Hitler : sa vie, son œuvre.
Poupin aux traits disgracieux, Adolf a une enfance plutôt banale. Sauf que plus tard, il veut pas être fonctionnaire comme son papa, ça non ! Je ne voulais pas être fonctionnaire. […] Je deviendrais « quelqu’un » -mais pas un fonctionnaire ! (Mein Kampf)
Adof devint donc fondateur du parti nazi, wesh ma gueule
Déjà, petit, il adorait commander en vociférant comme un putois, dixit ses copains de jeux (chanceux, y'avait pas de fours au village ). Prédestiné à...
Ses crimes ? Boarf, pas grand chose, il est jute responsable de :
la destruction en son temps de la démocratie allemande
l'instauration d'un culte de sa personnalité
la mort d'environ 6 millions d'êtres humains... Une peccadille !
l'élaboration et la mise en service de camps de concentration et d'extermination
le pire, et je suis sûre qu'on sera d'accords là-dessus, aura été de rendre hype sa coupe et sa moustache. Et d'en inspirer d'autres plus tard, on t'as capté Kim Jun Il !!
etsétéra
Ses pouvoirs ?
C'est le chef suprême, capito ? Il peut tout faire. TOUT !!
Talentueux délégateur. Ses soc' : Heinrich Himmler, Joseph Goebbels, Josef Mengele, Adolf Eichmann, Reinhard Heydrich...
Mais l'Adolf Hitler que je vais présenter ici est une vue de l'esprit d'un tout jeune enfant embrigadé dans les jeunesses hitlériennes, Jojo, grand grand fan du bonhomme.
Hitler est son ami imaginaire, un gugusse sympathiquement détestable qui danse comme un nostalgique de danse oubliée (la tecktonik). Le même que l'original mais version sympa juste avec Jojo. Qui motive à sa manière ce gamin, impatient à l'idée de casser du juif (sic) comme il démonte ses constructions de Kaplas.
Toujours là pour le motiver dans son entreprise ! Le conseiller quant aux meilleures techniques de génocide, lui remonter le moral quand on doute de son aptitude à être une machine de guerre surpuissante, lui détailler les formes démoniaques que prend le juif pour voler le bon pain -noir- aux allemands, ou lui proposer une cousue
Told ya : il est diabolique
Il est versatile, et peut montrer les crocs si des social traitres tentent de détourner Jojo de sa mission divine et de protéger sa mère patrie !
Il est vulgaire et lâche :
Il est pathétique, prêt à tout pour une friandise sonore :
Bref, c'est Adolf avec un peu moins de pouvoir puisqu'il existe que dans la tête de Jojo. Pour autant, il est super fidèle à son modèle et caresse les mêmes espoirs : éradiquer ses ennemis décrétés. On sait pas bien comment, mais décrétés... Et surtout, il n'hésite pas à manipuler un gosse de 10 ans pour parvenir à ses fins. Tout est raccord avec le vrai de vrai.
Voilà, Adolf, un avis à partager ?
Bon, bah il valide (siiii !). Donc vous savez quoi faire pour plaire au Führer, votez pour le chef de guerre autoritaire !
@Koursk si tu lis ceci, c'est pas moi, j'ai rien dit, j'ai rien fait. On m'a piratée mon compte Gloire au révisionnisme !!
Pour l'envoyer en Quart de Finale du Groupe F. Cliquez sur le cœur de ce post.
De : M. Night Shyamalan Avec : James McAvoy, Anya Taylor-Joy, Betty Buckley, Jessica Sula, Haley Lu Richardson... Année : 2017 Durée : 110 minutes Nationalité : américain
Synopsis (Allociné) : Avertissement : film interdit au moins de 12 ans
Kevin a déjà révélé 23 personnalités, avec des attributs physiques différents pour chacune, à sa psychiatre dévouée, la docteure Fletcher, mais l’une d’elles reste enfouie au plus profond de lui. Elle va bientôt se manifester et prendre le pas sur toutes les autres. Poussé à kidnapper trois adolescentes, dont la jeune Casey, aussi déterminée que perspicace, Kevin devient dans son âme et sa chair, le foyer d’une guerre que se livrent ses multiples personnalités, alors que les divisions qui régnaient jusqu’alors dans son subconscient volent en éclats.
AVIS : (Comme cet avis est long, je l'ai structuré en plusieurs parties distinctes)
Je me suis lancée dedans ultra hypée, j'aime le cinéma de Shyamallow. Au final, j'avais été plutôt déstabilisée la 1ère fois, partagée sur ce que je venais de voir... Pourquoi ça ?
Général/casting:
Ça a été dit partout dans la presse : la performance de Mc Avoy étonne et désarçonne quelque peu le spectateur, voir évince en 1er visionnage certains éléments scénaristiques. Son aptitude à embrasser une personnalité puis une autre et rendre ça crédible sans surjeu bluffe son monde! J'étais sans doute trop portée sur son (ses?) personnage(s) au détriment du film, aussi la déception fut ma 1re impression une fois la résolution donnée. Puis Shyamalan ici nous embarque dans une histoire dont la tournure est inhabituelle chez lui,
j'attendais trop le twist, et y'en avait pas...
Finalement, je l'ai revu (et re-revu) avec plaisir sachant où Shyamalan veut nous emmener! Je m'attarde d'avantage sur d'autres éléments que sur le personnage bien mindfucké de Kévin, le plaisir est toujours au RDV
Une autre performance à saluer, celle d'Anya Taylor-Joy, qui délivre chacune de ses répliques avec l'émotion parfaite, à la juste mesure. Elle est impeccable dans ce rôle, j'ai été très touchée par sa performance! Le jeu du reste du casting est bon également, aucun point noir ici.
La réalisation
Sur le film en lui-même : avare de FX, l’habilité de MNS pour éblouir le spectateur se niche dans le soin apporté aux détails. Déjà, le générique d'ouverture est ca-non!! Il reprend à merveille la thématique du film, une belle promesse pour la suite. Le cadrage envoie du pâté, des compositions de plan sublimes (je trouve que le cadrage est un gros point fort de Shyamalou) se succèdent. Le métrage est un petit régal de ce côté là. L'environnement sonore accentue bien l'ambiance oppressante, RàS. Enfin, le scénario, on aime ou pas, et surtout on spoile pas, alors je dirais que j'ai d''abord pas trop aimé pour finalement valider ce déroulement et cette conclusion avec quelques réserves.
Points négatifs
Mon gros bémol se situe plus au niveau du montage et de la double chronologie, à mon sens mal rythmée. Elle amène des longueurs alors que le film repose déjà surtout sur son ambiance , après c'est pas la cata non plus, faut juste rester accroché.
L'autre réserve, c'est le choix de traiter du TDI, un peu casse-gueule et surtout trop alambiqué ici. Comme beaucoup, j'ai été déçue de ne voir que 7 ou 8 des personnalités de Kévin,. Je pense que c'était pas nécessaire de créer un système de 24 personnalités au final, même si ça a été un argument promotionnel tonitruant. Après, je connais pas le processus d'écriture de Shyamou, paraît qu'il avait ce film en tête depuis au moins 15 ans, donc en même temps il avait matière à coller un sacré background à son perso... Puis, comme certains le savent, ce perso est inspiré par Billy Milligan, un criminel américain ayant permis de révéler au monde l'existence et surtout la véracité (encore décriée) du trouble de l'identité.
Les points positifs :
Les victimes qui se bougent les miches à fond pour s'extraire de cette situation et ne correspondent pas aux stéréotypes hollywoodiens (siii, ceux de de la meuf populaire en déficit neuronale permanent ou de la meuf EMO sur les bords bien kassos, toi même tu sais ). Et là, ça spoile :
La réaction de la Bête en voyant le corps scarifié de Casey, la sauvant du sort initialement promis. Cette scène, ces dialogues, je les trouve pleins d'une juste sensibilité. L'apogée du film d'après moi, où l'on comprend que la Bête est le produit des mauvais traitement qu'il a subi, et que dans son échelle de valeurs existe tout de même une limite à son envie de dominer et d'écraser le monde. C'est le moment où le message de MNS se diffuse complètement : les "monstres" sont plus souvent le fruit de traumatismes anciens et du rejet social que des créatures animées on ne sait comment par des pulsions mortifères. Tout est logique, tout est expliqué, et même si comme on est dans un film, ça se veut spectaculaire, le traitement du tout demeure réaliste. J'insiste là-dessus car Shyamy le fait : de la force décuplée aux skills de dingue en varappe de la Bête, tout est expliqué de manière rationnelle dans le film. Donc si le personnage ne l'est pas, son traitement l'est. Tout comme, et c'est mon dernier point, dans Incassable dont nous apprenons à la toute fin que Split est une suite, amorçant le dernier volet de sa trilogie alors que tous les protagonistes sont présentées au spectateur : le grand méchant qui fomente ses plans diaboliques, le super-vilain à sa solde et le super-héro sauveur de l'humanité. Pour moi, Split est (depuis mon 2ème visionnage, j'avoue) une suite parfaite à Incassable, et j'ai vraiment kiffé toutes ces allusions que j'avais loupées faisant référence à cet univers.
:
Petit avertissement :
Ce film a fait l'objet de plusieurs signalements et appels au boycott pour sa représentation de la maladie mentale jugée stigmatisante (Kévin est un méchant, enfin pas excatement : la Horde soit certaines de ses personnalités le sont....) et approximative/mensongère sur la définition du trouble. Aussi l'expression de l'identité de genre de Patricia, un des alters de Kévin, jugée encore une fois stigmatisante (une personnalité méssante).
Bon, perso, je trouve ça un peu abusé, même si je trouve très positif que des voix s'élèvent je m'oppose à la censure et préfère le débat. J'en ai déjà un peu parlé ici, après chacun son avis sur le sujet et y'a moyen de pondre une thèse Au moins, vous êtes prévenus!
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