Les stylistes :
L'espace urbain :
Hommage à Citizen Kane + Gary Oldman dans le rôle principal + Fincher aux commandes = hypée à bloc Je le verrai ASAP!
J'aime bien ce thriller, pas exceptionnel mais bien fichu ^^ Il a pas beaucoup fait parler à l'époque, non ? Parce que j'ai pas été le voir en salles, alors que je le confesse, j'étais une fan hardcore de Josh Hartnett (j'ai regardé Pearl Harbor que je considère comme un navet absolu beaucoup trop de fois ).
Slévin, j'en attendais rien ou si peu et ça a été une bonne surprise ! Des acteurs que j'apprécie pour leur talent (Lucy Liu, Morgane Freeman et Ben Kingsley en tête), un petit scénario qui se tient bien et a le mérite de pas trop s'éparpiller, une réalisation correcte...
De bons ingrédients pour un bon petit film, sans prétention ^^
Je vote pour Jool.
J'aurai préféré un extrait de la version originale, alors j'ai hésité un peu quand même ^^
@Doc-Cranium héhé, c'est précisément le film dont j'avais envie de parler à vrai dire (je suis assez cliente du cinéma Shyamalan), thx pour cet aiguillage
Alors je fais partie de la team "wesh, c'est un film fantastique et aucun des films de ce réalisateur (et encore d’avantage dans cette trilogie avec un mec qui survit au crash d'un train sans une égratignure dés les 1ères minutes) n'a vocation a être réaliste".
Pour expliciter, Kévin et ses 27 personnalités, en particulier celle de la Bête, je pense pas qu'il ai vocation à être une représentation réaliste d'une personne atteinte de trouble dissociatif de l'identité. Tout comme le perso de Lee Jackson ou de Willis sont de purs produits de l'imaginaire.
Et je trouve au vu de la notoriété établie du réalisateur qu'il peut être un bon moyen de faire parler de cette pathologie et donc de briser certaines idées reçues (que cette fiction pourrait elle aussi véhiculer, alors que sa forme et surtout son fond devraient éluder d'office ce raccourci...).
@Shanna Done! J'aime beaucoup trop le choix de réponses trollesques concernant la question sur Laurel et Hardy
@Doc-Cranium Oh, y'en a plusieurs des questions posées, ce sont juste des pistes, tu fais comme tu le sens ^^ Tu penses à quels films plus spécifiquement ?
Il est vrai que le cinéma mélange souvent la schizophrénie et le dédoublement de la personnalité alors que, si je ne m'abuse, les 2 n'ont pas de lien. Perso, comme @Dirty-Cop pour je suis d'avis que les intentions du cinéaste prévalent dans ce cas là.
@Sylareen justement, pour toi, c'est quoi "n'importe quoi", et à partir de quand c'est n'importe-quoi ? A quelles œuvres penses tu si t'en as qui te viennent en tête ?
Disclaimer : ce spoiler dévoile l'intrigue finale du film Black Swan
Les films doivent-ils s'interdire toute écriture pouvant porter préjudice à des personnes atteintes de troubles psychiques de par leur manque de réalisme ?
C'est la question posée par ce topic!
Plus particulièrement les films de notre époque où les mots en x-phobie sont désormais démocratisés dans le langage courant et les professionnels du cinéma plus informés de tout ceci. Jusqu'où s'étend la portée d'un film ? Où se situe la limite selon vous ? A quels films pensez-vous en lisant ce topic ?
Le film de genre en particulier doit-il s'affranchir de tous les codes ou au contraire se fixer des limites infranchissables ?
Ces questions agitent les sphères cinéphiles et virtuelles depuis un moment, et devinez quoi ? Elles n'ont pas de réponses tranchées. En revanche, elles sont je trouve porteuses de réflexions intéressantes et permettent également de s'informer sur des phénomènes réels. Comme mettons découvrir ce qu'est plus réalistement le trouble de l'identité multiple qu'en regardant Split ou Glass ^^
Je comptais parler un peu de toutes ces x-phobie (transphobie, homophobie, biphobie, xénophobie,... mais aussi sexisme, racisme, validisme etc) mais je n'ai pas les ressources intellectuelles nécessaires pour y parvenir alors je limite ce 1er post à la psychophobie
Pour autant, j'ai choisi un titre je l'espère assez ouvert pour permettre d'étendre le champs des débats et à quiconque de poser les questions attenantes à ce fil.
Enfin, et surtout, si tous les points de vue pouvaient coexister dans le respect et la bienveillance, ce serait génial!!
Évitons les opinions exprimées de manière clivante, les "tel film est x-phobe, j'ai raison et si t'es pas d'accord t'es x-phobe" ou les "on vit une drôle d'époque, on peut plus rien dire" qui souvent n'augurent rien de bon
Les textes de Grand Corps Malade me séduisent beaucoup. Mais pas le slam, c'est vraiment pas ma came...
Donc je vote pour Sylareen
Je vote pour Hornet.
Dussolier
@LeaPierce a dit dans Natalie Portman :
Black Swan pire film ever niveau représentation de la maladie mentale ._.
Réponse à retardement : ni en total désaccord, ni vraiment d'accord avec toi Pas le 1er film ni le 1er réalisateur (Shyalaman, je crie ton nom !) pour lequel je lis ou j'entends ce type de retour, et ça me fait aussi penser à un débat qui a eu lieu sur le topal de Ghostland où je tenais le rôle de la casse-gonades de service ^^
Je vais tâcher de créer un topic dans la partie dédiée pour pas faire de HS++ ici et te répondre plus en détails, mais ce sera pas today...
Titre : Tragédie à l'Everest
Ecrit par : Jon Krakauer
Traduit de l'anglais vers le français par : Christian Molinier
Genre : autobiographie, aventure
Date de la 1ère publication : 1997
Origine : États-Unis
Résumé (Fnac) :
Printemps 1996. Sur les pentes piégeuses du plus haut sommet de la planète, ils sont une poignée d'aventuriers en quête du défi ultime. Guides ou sherpas, alpinistes chevronnés ou néophytes, ils ont des motivations différentes, mais une seule règle : un pas après l'autre. Répartis en plusieurs expéditions, chacun progresse à son rythme de camp en camp. Mais lorsqu'une fenêtre météo favorable les pousse à tenter le même jour l'assaut final, un terrible drame se prépare. Des nuages apparus trop vite dans la vallée. Un embouteillage au sommet. Huit morts, dont deux guides parmi les plus réputés au monde.
Envoyé spécial du magazine américain d'aventure "Outside", Jon Krakauer fait partie de ceux qui ont survécu. Il nous livre ici sa vérité sur l'effroyable tragédie.
Apartés :
Il s'agit là de son second roman publié, le 1er étant le bien connu Voyage au bout de la solitude (Into the Wild).
Ce livre a fait l’objet de contestations, spécialement sur le traitement que réserve Krakauer au guide de haute montagne kazakh Anatoli Boukreev. Celui-ci a également publié un récit autobiographique de cette ascension, The Climb (non traduit en français). "L'oubli" du journaliste concernant les conditions météorologiques désastreuses portées à la connaissance de toute l'expédition le jour du drame ont également fait l'objet de polémiques.
La page wikipédia du livre fait mention des faits décriés dans ce roman (section "controverses"). Ceci n'annule cependant pas les qualités de l’œuvre mais mérite d'être porté à votre connaissance ^^
Enfin, le livre a été porté à deux reprises à l'écran : Mort sur le toit du monde en 1997 puis Everest en 2005.
Avis :
Peu adepte d'alpinisme, ni séduite par la 4ème de couverture bien qu'adepte de récits d'aventures, c'est suite à d'élogieux commentaires de proches que j'ai fini par me lancer, pour finalement être emportée par ce récit. Le style journalistique propre à Krakauer confère beaucoup de force à cet ouvrage!
On sait dés le départ combien ces alpinistes vont morfler, mais si comme moi, vous vous attendez à être saoulé par l'aspect dramatique et/ou sportif du récit dont l'issue est déjà connue, ce sera possiblement une bonne surprise
A noter également, ce topic intervient suite à la chouette initiative de @djino, je veux parler du challenge de lecture Popcorn pour le mois de décembre 2020.
Vous l'avez lu ? Sinon, ça vous tente ?
Je vote pour Djino
@djino j'ai rien bité, puis j'ai été lire la traduction ici
Plusieurs choses lues ici sur lesquelles j'aimerai revenir. Je précise néanmoins que je ne vais parler ici quasi que des denrées alimentaires produites, transformées et conditionnées en France. Et que j'ai une pseudo expertise dans le domaine ayant été responsable de plusieurs rayons au sein de diverses commerces bio (et d'écoproduits) :
En synthèse : si "les marques, ça vous gagne" c'est du bullshit en barre, les labels (pas que bio) de par leurs réglementations plus contraignantes et contrôlées présentent bel et bien un intérêt pour le consommateur.
Sinon, pour répondre à la question de départ, non je consomme plus de produits bio. Je suis tombée dans la précarité et j'ai toujours été partisane du "la bio est un problème de riches" particulièrement en milieu urbain. C'est une hyperbole, néanmoins, le discount conventionnel demeure plus accessible aux plus démunis que le bio. Justement car les garanties apportées par ces labels a un coût qui se répercute sur le prix d'achat (pour les distributeurs et commerces) et de vente (pour le consommateur).
J'aime bien cette actrice (et j'aime aussi Keira, même si je préfère le jeu de Portman ).
Je l'ai découvert dans Léon, mais c'est vraiment Hesher qui me l'a révélée
Elle le produit et joue aussi l'un des rôles principaux, une belle surprise tant elle y campe un rôle inhabituel. Le fait qu'elle le produise confirme pour moi qu'elle recherche des rôles différents de la meuf supra hot, une démarche artistique que je salue. Et elle est absolument parfaite dans Black Swan je trouve !
J'avais pas répondu à quelques uns :
@Godzapon cette erreur doit être réparée, mais sans honte aucune Comme dit plus haut, t'es loin d'être le seul, étant sorti avant le succès triomphal d'Old Boy, Sympathy (...) est passé à la trappe pour beaucoup alors que Lady Vengeance a lui bénéficié d'une belle promotion ^^
@jool thank you my dear ! Je te préviens quand même, la BO n'est pas celle d'Old Boy, si jamais tu te lançais (pour l'un ou l'autre). Quand je parle de la bande sonore, c'est plus des effets/bruitages/dialogues que de musique ici.
Un choix cornélien pour ma part, Je vote pour Delnis quand même, parce que 2 Unlimited
Pour nombre des personnes citées ici, je les trouve belles dans le sens courant du terme (traits réguliers, symétrie du visage, correspondance avec les critères de beauté actuels...) ^^ Quand j'ai lu ce topic, j'ai d'office pensé à Ron Perlman, je lui ai toujours trouvé un petit quelque-chose !
Sinon, Natasha Lyonne, pas WOW (on lit aussi sur son visage qu'elle est passée par la case drogue dure), mais ses expressions
@Doc-Cranium Maintenant, obligé, faut que tu le vois pour comprendre exactement ce que tu as involontairement soulevé (j'aurai du m'en douter, ton spoiler est en partie incorrect...)