@Tigrette mdrrrr moi aussi
J'ai du demander à un pote de venir le faire chez moi. moi j'étais coincé dans une salle avec des morts vivants squelettiques armés d'épée (ou des soldats normaux jsplus), j'arrivais pas à les battre. Mais ouais comme toi, les puzzles c'était un enfer, surtout que la caméra changeait d'angle parfois, si je me souviens bien.
Ça m'a fait tout drôle quand il a fini ce passage en trente secondes. Par contre les mécanismes du jeu était incroyable, le slow motion, les courses sur les murs. Je crois que ce jeu a quand même posé les bases de ce qu'est devenu Assassin's Creed par la suite.
Le personnage avait une phrase fétiche quand tu mourrais en plus, je sais pas si tu t'en souviens, il disait avec une voix suave "ça ne s'est pas passé comme ça..." avant de remonter le temps.
PUSH IT TO THE LIMIT
WALK ALOOONG THE RAZOR'S EDGE
BUT DON't LOOK DOWN JUST KEEP YOUR HEAD...
OR YOU'LL BE FINISHED
Quelle musique, c'est incroyablement animant.
C'est pas mon Al Pacino préféré même si c'est celui pas de mal de mes copains.
Mais, avec le recul, c'est quand même un film qui aborde des thématiques sympathiques (ça rime en plus). Par rapport à son influence sur la jeunesse, c'est vrai que j'ai jamais vraiment compris pourquoi il était érigé comme un modèle le Tony Montana.
Avec le temps, j'ai toutefois compris certains éléments, avec l'aide d'autres oeuvres que j'ai regardées.
D'un côté, tu as la promesse d'un rêve américain, d'une ascension sociale fulgurante qui obéit à la fougue de celui qui sait oser. Aussi bien sur le plan économique ("j'ai les mains faites pour l'or et elles sont dans la merde") que social ("d'abord le pouvoir, puis l'argent, puis les femmes")
De l'autre, c'est aussi un film qui renvoie peut être à des codes d'une société qui était plus dure, plus machiste.
Parce que Tony c'est aussi celui qui a des "limites morales" lorsqu'il refuse de tuer des enfants, celui qui est le protecteur de la famille lorsqu'il distribue son argent à sa famille et qui veut surprotèger sa soeur dans une folie presqu'oedipienne.
J'ai tout de suite détesté le personnage personnellement. Mais, il correspond fidèlement à l'iconographie du gangster paradoxal à la fois ombre et lumière, qui essaie de construire sa morale et d'obtenir son salut dans un univers mafieux sans foi ni loi. Ce qu'on retrouve d'ailleurs dans pas mal de médias, que ce soit les films, les séries ou les musiques (les rappeurs qui présentent des personnages qui vendent du shit et rackettent mais c'est pour mettre la daronne à l'abri vous comprenez..).
Comme Vito Corleone qui construit son ascension en construisant un réseau politique tentaculaire et en protégeant son quartier (donc l'assassinat, certes, mais pour la bonne cause) mais qui s'interdit fermement le business de drogues et de prostituées.
Comme Tony Soprano, qui, est le roi des sept pêchées capitaux mais qui est quand même sujet à des crises d'angoisse et qui a désespérément besoin d'une rédemption hebdomadaire chez une psychiatre.
Mais, Tony, c'est aussi un personnage qui aurait pu avoir sa place aisément chez Scorcese avec les Jordan Belfort, Sam Rothstein ou Jake LaMotta qui illustrent très bien le concept de grande ascension = grande décadence et les dommages de l'hubris comme on peut la voir dans les tragédies grecques.
Enfin, sur le côté réalisation, j'ai pas grand chose à dire. L'histoire est belle; le rythme du film est sympathique; et les montages électriques et exaltés avec des musiques bien années 80 bien disco comme on peut en voir dans Rocky IV ou Top Gun sont fantastiques.
Alors, c'est un film que je n'ai vu que rarement, donc, c'est tout à fait possible aussi que je n'aie que très peu compris les thématiques du film et que je sois passé à côté de beaucoup de scènes importantes/messages du film.
Qu'à cela ne tienne, quand je pense Al Pacino, je revois toujours le Parrain I et II en premier, puis l'Avocat du Diable et Heat. Mais, Scarface arrive toujours bon dernier.
Une Gameboy Color sur laquelle je n'ai jamais réussi à passer certains niveaux dans des jeux comme Titi & Grosminet ou Tarzan (une déception qui me suit jusqu'à aujourd'hui).
Puis Playstation 2, petit Tekken, petit PES.
Et Hassage m'a donné un bon coup de nostalgia avec ses références PC. Moi c'était plus tous les noms de domaines de site qui comportaient le mot jeu (donc jeux.fr etc.) mais c'est vrai que Tfou.fr, Habbo, Prizee c'était quelque chose aussi.
Je pense que c'est Resident Evil 1. J'étais encore gosse et un peu trouillard, mais, les scènes de défaites contre les zombies avec la musique insidieuse et la chair déchiquetée bon sang c'était terrifiant.
Sinon je dirais Alien Isolation. Alors, j'y ai pas joué (cf la trouillardise), mais, j'ai vu des let's play: c'est magnifique. Tant dans l'IA qui est incroyable pour un jeu vidé, - et qui est encore, je pense, inégalée - que dans l'atmosphère, le récit et le gameplay.
Je te réponds avec quelques années de retard et j'en profite pour déterrer le sujet.
A l'époque, ça existait pas encore, mais, récemment je me suis remis à regarder des speedrun parce que ça a été remis au gout du jour par Laink & HugoDélire (je sais pas si tu connais ces youtubeurs/streamers).
Je crois qu'ils se sont un peu inspirés des chroniques mentionnées initialement dans ce topic (SpeedGame). Avec une ambiance un peu old school et les invités qui sont très sympas. Ils invitent donc des speedrunners avec des records ou des temps top 10/20 (si je me souviens bien) dans des jeux plus actuels/modernes parfois (Sekiro ou Celeste par exemple). Il y a eu un show également.
Voilà, si ça intéresse, toi ou d'autres, comme ça.
@Egon Avant, quand il était plus jeune, j'aurais bien vu Thomas Brodie. Il est pas mauvais comme acteur en plus. Mais maintenant, il est trop âgé je pense, c'est dommage.
@Peri C'est vrai que le troisième bouquin a donné des maux de tête a plus d'un.
Déjà rien qu'avec le retourneur de temps.
Mais bon, ça donne l'opportunité de combler les trous ou la logique de l'auteur et de s'approprier un peu plus l'univers.
J'ai jamais vraiment pensé à ces incohérences personnellement. Je te donne quand même mes interprétations, bien qu'elles soient uniquement subjectives et un peu tirées par les cheveux.
Quand bien même les frères se demanderaient qui est Peter Pettigrew: ils tomberaient sur une nécrologie. Car, la version officielle est que Sirius Black l'a tué. Donc, ils doivent se dire que la carte est dysfonctionnelle ou ment (comme Ron et Harry dans le film). L'idée étant que seuls les maraudeurs savent que "la carte ne ment jamais". Concernant le déblocage de la carte: j'aime à penser les frères Weasley comme les héritiers des maraudeurs à Poudlard. Comme on sait que la carte s'adapte à son lecteur (cf. sa remarque à Severus), elle est en quelque sorte un objet magique autonome empreinte des personnalités de ses créateurs. Comme la Ford d'Arthur Weasley, (ou à la manière de la Salle sur Demande qui s'adapte à l'élève, d'une Beuglante, de l'Epée de Gryffondor ou du Vif d'Or modifié par Dumbledore). Donc, pour moi, la carte a pu reconnaître les frères Weasley comme des héritiers et leur révéler ses arcanes.
Mais, en vrai, la théorie de ton fils est très belle, et je la considère comme tout aussi possible que les miennes.
edit 19.10.2025 : l'image n'existe plus
Bon, le test a parlé, je dois commencer mon nouveau job. On va aller faire un tour sur les topics cinéma et série et gacher l'ambiance. Je vais commencer par Loki tiens.
Jamais joué à ce jeu ; pas l'intention d'y jouer un jour.
Mais, je l'ai découvert grâce à un petit podcast sur jvc et l'histoire derrière ce jeu est très belle: un exemple d'abnégation et de passion.
Y'avait une pancarte publicitaire ou un truc avec le logo de marque de boisson qui attirait l'attention des insectes et les amenait à vouloir faire leur affaire avec le logo plutôt qu'entre eux ?
Je l'avais découverte il y a quelques années dans un Tiny Desk Concert de la chaine NPR Music et j'avais été assez choqué. Je ne l'ai pas beaucoup écoutée depuis.
J'ai du mal avec la soul en général, donc, je pense pas savoir apprécier l'artiste pleinement à sa valeur. Mais, j'adhère vraiment pas aux prods sur lesquelles elle chante.
Pour moi, elle a une voix impressionnante, mais, ses oeuvres ne transmettent pas son potentiel. Par exemple, j'apprécie davantage quand elle fait des covers ou qu'elle a une prod plus pop/rnb contemporain.
Mais, je sais pas si c'est pertinent artistiquement pour elle de se lancer que dans ça. C'est peut être moi qui dois peaufiner mes oreilles pour apprendre à mieux l'apprécier.
Ça m'avait fait ça aussi avec Miley Cyrus. Je l'appréciais pas spécialement mais lorsque j'ai écouté ses covers de Dolly Parton ou Lana Del Rey, je suis tombé amoureux.