Mon mot sera........... cœur
....
.....
Décris-moi un mouton
Mon mot sera........... cœur
....
.....
Décris-moi un mouton
@heidi en attendant les 3 mots, je vous poste en freelance, la suite des "Anges à Bikini"
Sivous avez raté les épisodes précédents:
Le repas se déroule dans la joie, le soulagement qui suivent chaque épreuve, on a beau être atollien, on ne sait jamais ce qu’un cyclone va causer comme dégâts, alors ce qui ne fut qu’une grosse tempête et bien ça s’arrose. Ils ont leur alcool de coco et leur rhum qui finissent de décontracter tout le monde. Intense moment de bonheur pour les 2 missionnaires du web qui n’ont pas mangé aussi bien depuis des mois. “Je comprends mieux les candidats de Koh Lanta” dit Pierre, Magali pompette enchaîne “Oui capitaine Blye, si j’étais sur le Bounty je vous aurais jeté aux requins pour retourner dans les îles “
Ataroa est ravie de cette animation qui rompt une certaine monotonie et surtout de ne pas avoir de problèmes avec ses avions adorés, c’est une pilote dans l’âme, car si en plus c’est très utile sur ces archipels isolés, elle a surtout grandi en lisant Saint-Exupéry, “Courrier Sud” & “Vol de nuit” furent ses livres de chevet, et ses 2 films préférés sont “Wings” de Wellman et bien sûr “Hell’s Angels” d’Howard Hugues, ce génie de l’aviation dont la vie est racontée dans le film de di Caprio “Aviator”.
“Mes chers amis terriens, vous allez bien dormir, et demain on pourra enfin commencer le reportage, j’ai tant de choses à expliquer et à montrer”
Pierre qui tient encore debout “Oui votre Majesté, nous sommes en mission sacrée, le nucléaire notre génération on n’en veut plus, et comme les élus sont vendus, la base doit se battre avec ses armes, mais là une autre déesse nous appelle, Morphée, le marchand de sable a eu la main lourde”, Magali à moitié endormie, “Oui du sable de Bikini imprégné de rhum, ça envoie au chômage tous les pharmaciens ça ! ha ha !”
La Reine sourit et les raccompagne jusqu’à leur chambre en les soutenant, elle les embrasse tous les deux, “ Allez à demain, et appellez moi Ata, comme tout le monde ici”
Alex aide Magali a dépêtrer ses draps emmêlés par la bataille “J’t’en foutrai du rituel du fantôme, lol”, elle dort immédiatement et il l’embrasse tendrement, … sur le front. “Fais de beaux rêves ma douce magicienne”. Il se jette sur son lit et s’endort tout habillé...
Décris-moi un mouton
@kachina : à force de l'entendre partout en ce moment, il s'impose à mon esprit, c'est le mot :
LIBERTÉ, ahaha. Fera t-il bon ménage avec Passion ? .
Décris-moi un mouton
@heidi : voilà mon texte, écrit vite fait, pour dire ce que les 3 mots m'ont inspiré .
L'AMOUR : faut-il encore le peindre et le dépeindre pour le définir et le comprendre,
faut-il rajouter encore et encore des couches de couleurs de crainte qu'il ne se délave avec le temps ?
Bien sûr que les couleurs vives de la passion, qui ne dure que 2 ou 3 ans de l'avis des socio-psychologues,
s'estompent au fil des jours.
Et alors : elles sont peu ou prou remplacées par les teintes pastel dont la douceur est fort appréciable
quand les coeurs sont las d'avoir vécu les " mauvais sentiments ".
Lesquels sont : le désir de possession, de modeler l'autre à son image, la jalousie, la frustration,
la colère, le mépris pour aboutir parfois jusqu'à la détestation.
L'amour, qui fait couler autant d'encre que de sang et de larmes, répète pourtant inlassablement
qu'il n'est pas le genre d'oiseau que l'on peut mettre en cage.
L'amour se donne, il ne s'achète pas, il ne se force pas non plus.
Il aime la liberté et déteste les supplications autant que les exigences.
Cet amour-là, où l'un sait respecter quand l'autre a besoin de moments à soi, existe t-il seulement ?
Cet amour-là sait que rien n'est jamais vraiment acquis.
Et si l'on devait le symboliser par une fleur, ce serait, non pas la rose, mais le coquelicot :
une fleur à la fois forte et fragile que l'on ne peut mettre en vase sous peine de la voir très vite dépérir puis mourir.
Cet amour-là enfin se définit ainsi : il est à naître chaque matin.
Décris-moi un mouton
@ayamé si tu avais écrit un texte prônant « le je t’aime je t’aimerai toute la vie » je me serai aussitôt dit « y a un problème on l a droguee c’est pas possible »
Je te double like parce qu’il y’a tellement d authencite et de vérité derrière ces mots! Et dieu sait combien je suis partisane de la passion
Décris-moi un mouton
@kachina : éhé, tu me connais ;).
Je connais la passion...mais pour tout ce qui n'est pas l' humain.
Je l'ai connue autrefois et elle ne m'a rien apporté de bon, depuis, je la laisse aux autres .
Décris-moi un mouton
@Heidi : Ce soir on cuisine avec Passion - Liberté - Coeur
"Chut !" Voilà tout c’est tout ce que j’ai pu lui répondre.
En moins d’une seconde, ma mécanique interne s’est totalement déréglée jusqu’à affecter les battements de mon coeur!
Autour de moi, tous les miroirs se sont instantanément déformés. Je marche , depuis cet instant, telle une aveugle. Ma raison n’a plus eu aucun sens au milieu de ce paysage.
Je me débats au milieu d’un raz-de-marée. Que dis-je ? un tsunami Oh non ! Pitié ! Pas ca ! Je vais être l’objet d’un meurtre . C’est quasiment certain !
Je veux bien me mettre en mode tortillard, envisager d’innombrables détours, mais, au final, il faut bien qu’il sache que tout cela n’était rien de plus qu’un flirt.??? Comment lui avouer que je n’en veux pas moi de son "je t'aime" , ni de son "Toi et moi" encore moins de ce "Nous"
.
Il évoque une suite Mais de quelle suite parle-t-il ??? Passion ??? Engagement ??? Confiance ??? Illico ,j’entends ruine, carcan ,désillusion !
Moi qui ne rêve que de liberté, de renouveaux, de plaisirs carnavalesques, suis au bord d’un précipice.
C'est vrai quoi ! on a beau s’anesthésier, s’oublier, se réjouir, s’extasier, s’abandonner dans un sourire. Rien ne dure toujours ! Tout n’est que feu d’artifices.
Non , Non et Non ! c’est décidé, je ne veux pas de ce contrat. Il faut qu'il sache.
Le voilà! il est là à portée de mains. Mais au fait, je vais lui dire quoi ?
Bon d’accord! un jour, je prendrai le temps….
Décris-moi un mouton
@kachina : pliée de rire. J'ai eu peur que tu nous la joues romantico et me suis dit :
uuuuh, elle a un peu abusé du rosé, la cops.
Et puis non, virage à 180°, génial : tu nous as bien eus, ahaha, j'adore .
Décris-moi un mouton
Aimer aimer, l'amour et son gaz ça m'inspire des trucs à l'eau de rose, (beuk) alors l'amour de la liberté ça existe?
Certains aiment la liberté (Certains, oui enfin pour le coup j'ai envie de dire tout le monde), d'autres ont une passion pour des choses... détestables, ont dirait qu'ils n'ont pas de cœur.
Enfermer dans une prison
Priver du moindre frisson
Ici de la viande à foison,
Le gros matou n'a rien d'un loulou
Un trésor qui s'endort
Un cœur qui se meurt,
Il ne prononce le mot écoeure
Le gros matou ne dis rien du tout
Pour le bonheur de ces dames
L'horreur pour ces âmes
Nul liberté, dans ce monde infâme
Le gros matou devient un atout.
Je est un autre. J'assiste à l'éclosion de ma pensée : je la regarde, je l'écoute.
Décris-moi un mouton
Pour les mots : Cœur - Passion - Liberté
Et le thème : Amour
« Je dois renoncer à toi, je dois renoncer à notre amour. », me dit-il.
« Je ne comprends pas… Qu’est-il arrivé ? »
« Dieu est venu me voir, la nuit dernière. Il m’a montré une image... Une vision de l’enfer… », avait-il répondu, perdu dans ses pensées. « Et les damnés… Ils doivent jouir du feu pour toute son éternité. J’étais terrorisé »
Sûr son visage si beau, si tendre, avait pris place la peur, la terreur.
« Toi ? Terrorisé ? », lui demandais-je, incrédule.
« Oui.
一 Mais ce n’était qu’un rêve.
一 Non. Dans ma vision, Dieu m’a parlé : Il m’a dit que je devais renoncer à mes voies pécheresses une fois pour toute, sinon je ne verrai jamais son visage divin. Je n'entendrai jamais sa voix divine, seulement les cris et les lamentations des damnés. »
Il me blâmait de ne pas le comprendre, de ne pas le croire. Comment pouvais-je ? Il me regarda dans les yeux, puis dit :
« Tu n’étais pas là. Tu n’as pas vu ce que j’ai vu…
一 Tu ne peux pas faire ça, tu ne peux pas me faire ça à moi. Je pensais que tu m’aimais ! »
Pas de réponse. Mon cœur s’effondra. La passion qu’il y avait entre nous n’était pas aussi forte que celle qu’il entretenait avec son Dieu.
Alors qu’il continuait à fixer le sol en serrant sa mâchoire de toutes ses forces, je dis :
« Tu sais quoi ? Je pense que tu as toujours aimé ton Dieu, plus que tu ne m’as jamais aimé. En fait, je ne pense pas que tu m’aies jamais aimé… Tout cela, peu importe comment t’appelles ça, a toujours eu plus d'importance que je ne pourrais jamais avoir pour toi. »
Je n’étais pas fâchée, non, j’étais triste, et déçue de m’être embarquée dans cette courte relation que nous avions eu, si on pouvait l'appeler comme ça.
Je fis demi-tour et une fois la porte passée, je sentis la liberté m’envahir. Tout ce temps, je savais que je n'étais pas faite pour être avec quelqu’un, et je venais d’en être totalement convaincue après ce qui venait de se passer.
Décris-moi un mouton
La passion lui dévorait les lèvres et le bas du ventre constamment c en était trop pour elle décidément porter ainsi celle ci la redait dingue
Son coeur faisait une triple salto à chaque fois qu il la frôlait avec sa blouse de chirurgien
C était pas le titre qui l intéressait mais l homme mise a nu qu elle percevait chaque matin et chaque soir auprès des patients
Sa patience sa douceur lui faisait fondre le cœur elle ne connaissait pas un tel désir pour personne avant lui elle ne croyait même pas en l amour tout simplement
C etait son premier vrai désir physique et charnel
Elle n avait pus de liberté tout la ramenait à lui
Lui ne savait même pas vraiment comment contenir ce comportement elle le collait dès qu il mettait les pieds dans le service alors commença un drôle de jeu .il la provoquait chaque jour par de petits sourires en coin, des yeux de Merlan frit.
Cinq ans s'écoulement ainsi sans aucun échange sauf professionnels
Un matin il enfila sa blouse entra dans le service elle était partie
Décris-moi un mouton
Eh bé les filles : la manière dont nous parlons de l'amour démontre que nous avons perdu
celles des illusions qui ne sont que stériles .
Voyons comment nos partenaires d'écriture masculins vont aborder ce thème .
Ce matin, réveillée trop tôt, pendant que ma tribu en vacances chez moi dort encore,
j'en ai profité pour m'occuper à écrire, plutôt que sur l'amour, j'ai écrit sur la liberté.
La liberté n'a pas de coeur et n'éprouve aucune pitié
pour les coeurs effondrés quand l'amour est trahi.
Elle ignore la raison qui préfère conseiller
d'éviter les embûches pour se mettre à l'abri.
Elle n'éprouve de passion que pour le no limite,
ne veut s'aventurer qu'en espaces inexplorés.
Tout ce qui la contraint au plus haut point l'irrite.
La liberté est fille du vent, mais pas d'un alizé.
Dès qu'elle se voit offrir le collier et la laisse,
elle ne peut plus rester, elle s'envole à tire d'aile.
La liberté n'est pas humaine, c'est une vraie déesse,
belle à s'en pâmer certes, mais ô combien cruelle.
La liberté ne peut se côtoyer que dans quelques instants,
salutaires parenthèses qui échappent alors à l'espace et au temps.
Décris-moi un mouton
BOnjour à tous et toutes, puissiez vous faire d'agréables rencontres en ce jour!
Le menton posé au creux de la coupe que formaient ces mains, elle lisait avec beaucoup d'attention les textes envoyés par ses camarades d'écriture. Le thème était l'amour et les mots imposés cette fois-ci étaient tout un poème : Liberté, coeur et passion!.Le sujet était vaste et se prêtait à mille propositions.
Alix soupira!
Elle pouvait évidement proposé une histoire d'amour romantique, pleine de douceurs sucrées, dégoulinante de bons sentiments. Un épisode d'amour toujours, frais et délicat, ou la pureté des sentiments ressentis par les protagonistes seraient sublimés. Pourquoi pas!
Cependant dans le coin de son cerveau germait déjà un récit horrifique plein de bruits, de cris et de fureur. Une fiction où l'hémoglobine coulerait à flots et la frénésie des sentiments engendrerait une fièvre et une ivresse sauvage. Oui cela était dans ses cordes!
Créer de toute pièce une fable mêlant des amours étranges et fantasmagoriques lui plaisait beaucoup. Cet épisode chasserait pour un temps dans les ténèbres les jugements tranchés que la société imposait aux citoyens du monde. Combien d'amour étaient interdits de nos jours? Soit à cause de l'âge, du genre ou de la préférence sexuelle, la conscience des humains avançait doucement mais à pas feutrés vers une plus grande acceptation.
Alix s'interrogea, tout au fond de son coeur désespéré, tout au fond de son âme désolée que pouvait elle bien savoir de l'amour? Rien? Ou si peu!
Elle n'avait vécu sa vie qu'au travers du prisme de ses lectures. Elle avait rêver sa vie mais ne l'avait point vécu! Son âme était trop vieille pour se complaire dans ce monde. L'être et le paraitre lui faisait prendre ses distances avec ses contemporains et elle les observaient, d'un regard critique, à la dérobée. L'amour courtois ne se pratiquait plus de nos jours, le romantisme n'était plus depuis belle lurette aussi Alix se sentait Inadaptée à la société moderne. Lassée par la vacuité des sentiments profanes, elle se perdait dans les méandres de la méditation et de la spiritualité.
Un léger son la sortit de sa rêverie, un autre texte venait d'apparaitre sur son écran. Avec gourmandise et délectation Alix se plongea dans la prose qu'une personne anonyme venait de lui offrir.
Décris-moi un mouton
@lissilma splendide
Je est un autre. J'assiste à l'éclosion de ma pensée : je la regarde, je l'écoute.
Décris-moi un mouton
@lissilma a dit dans Décris-moi un mouton :
Un léger son la sortit de sa rêverie, un autre texte venait d'apparaitre sur son écran. Avec gourmandise et délectation Alix se plongea dans la prose qu'une personne anonyme venait de lui offrir.
Tu nous allèches, on a envie de connaître la teneur de la prose anonyme .