Décris-moi un mouton
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@delnis ben j en donne souvent des nouvelles lol
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@heidi Bonjour, pas trop fan des bandeaux noirs mais l'histoire j'en redemande... Encore, encore!
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Les bandeaux noirs ça fait pirate ...Tu aimes ou ça t'emmerde ...ou tu aimmerde
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@heidi Black is the color... et désolée je ne peux pas m'en empêcher, tous les mots me ramènent à la musique
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@music
très douxpas comme eux
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@1tel44 : le bandeau noir, tu sais où et comment je l'aime, comme ça et pas autrement, pour ne pas le dévoyer .
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@ayamé Je n'entends pas dévoyer surtout un lendemain de manif ...Tiens j'y retourne et tant pis si j'suis tout seul . Bon dimanche
Hasta siempre la Revolucion -
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@heidi Je vois que ça ne sert à rien de s'abonner au compte de Heidi ...Tant pis j'me suis encore fait avoir . Il me reste le couscous.
...coucou Heidi -
@1tel44 relis bien et tu es excellent c est pour cela que tu es dans les vainqueurs
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@heidi Kelkon , j'suis pas réveillé ...je renouvelle donc mon abonnement . Et ça tient toujours pour le couscous ?
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@heidi : tu nous ménages, 1 seul mot à donner chacun, tu sais que la pilule passera bien.
Comme tu fais bien : avec 4, tu aurais droit à mes cris d'indignation, éhé. Bise de reconnaissance .Voici un petit poème que j'ai fait ce matin, que ne ferais-je pas pour squizzer mes obligations ménagères.
Il est un palais que l'on nomme Elysée qui n'a rien de commun avec un quelconque fortin.
Y demeure un ersatz de roi, mais ne souffrons d'aucune méprise, sachons voir l'imposture :
il nous promet la lune, quoiqu'il en coûte, annonce t-il : que voilà une belle devanture,
pour cacher la misère de tous ceux qui ne connaissent que désarroi et grand chagrin.
Des aides sont brandies, voyez donc, admirez, elles ne sont pas de simples colifichets.
Des étincelles d'espoir brillent à nouveau dans les yeux de certains, c'est sûr.
De ceux, toujours les mêmes, qui tireront l'épingle de ce jeu aux règles trafiquées,
car les autres, majoritaires, qui sont sous la table de ce beau banquet, n'étant pas invités,
resteront comme d'habitude, d'un Eden en chantier, seulement en bordure.
Le ruissellement promis ne leur profite jamais, cochon qui s'en dédie.
Elle ne remplit que les caisses des puissants de ce monde, cette odieuse forfaiture.
Et pendant ce temps-là, s'étiole inexorablement de ceux qui sont manants, la flamme de leur vie.
Voilà mes 12 vers, comme le nombre des apôtres, et comme chez eux s'y trouve un traître, un renégat,
un Judas l'Iscariote qui aura eu le temps d'infliger aux brebis que nous sommes de trop nombreux dégâts.
" Leurs voix se multiplient à n'en plus faire qu'une, celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs
En remplissant l'histoire et ses fosses communes que je chante à jamais celle des travailleurs - Ma France -
Celle qui ne possède en or que ses nuits blanches pour la lutte obstinée de ce temps quotidien
Du journal que l'on vend le matin d'un dimanche à l'affiche qu'on colle au mur du lendemain - Ma France -
Qu'elle monte des mines descende des collines, celle qui chante en moi la belle la rebelle
Elle tient l'avenir, serré dans ses mains fines, celle de trente-six à soixante-huit chandelles - Ma France -Mais revenons à nos moutons : je propose le mot être, que l'on pourra utiliser en verbe ou en nom commun .
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Pour moi ce sera Hêtre que l'on pourra respecter en conjuguant nos efforts .
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@1tel44 : pliée de rire : voilà de quoi mettre à l'honneur
les sensl'essence de cet arbre. -
Je propose emmerdeur
Je vois pas pourquoi j'ai pensé à ça
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Suis super inspirée, @vi-king : vite, donne-nous ton mot que je puisse finir mon texte .
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@delnis Tu as dû aller faire un tour sur mon profil .
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en hommage à tous nos participants,
je propose Champions ,car we are the champions of the words ......
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et belle journée à tous