Décris-moi un mouton
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@music j'avais oublié le point d'interrogation je me doutais mais j'étais pas sûre
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@heidi coucou ! Cool! C’est sans nul doute ma saison préférée tant elle marque le renouveau
Je choisis le mot « réveilBonne journée les plumes !
Qui mieux que Le grand Victor pour chanter
Le PrintempsVoici donc les longs jours, lumière, amour, délire !
Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire,
Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis !
Les peupliers, au bord des fleuves endormis,
Se courbent mollement comme de grandes palmes ;
L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ;
Il semble que tout rit, et que les arbres verts
Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers.
Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ;
Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre,
A travers l’ombre immense et sous le ciel béni,
Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini. -
@kachina quelle très jolie ode au printemps merci
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Je propose : Parfum
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je propose le mot musique
(un clin d 'oeil au printemps de Bourges )
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@heidi : je propose oiseau(x). Ils chantent avec un tel enthousiasme au printemps .
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@ayamé j'ai failli le choisir
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s 'il est une musique que j'apprécie particulièrement ,
c'est celle du bonheur ,
matérialisé par des petits moments de douceurs ,
comme celui du réveil , un matin d'une des première journée du printemps,
la fenêtre à demie ouverte ,
un parfum de renaissance envahissant la chambre ,
me faisant titiller l'oreille par le délicieux gazouillis d'un oiseau malicieux .
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@ayamé désolé je suis pas réveillé ^^
je corrige au plus vite -
Réveil - Parfum - musique - oiseau
tiens ça me rappelle une partie de zinzinulage @Ostara ? -
@vi-king : ouiiii ! J'ai hâte d'être au printemps pour être à nouveau réveillée par le chant des oiseaux.
Ça me met de bonne humeur et me donne de l'entrain . -
@delnis je zinzinule tu zinzinules il zinzinule nous zinzinulons vous zinzinulez ils zinzinulent.
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Réveil au parfum envoutant des fleurs en couleur ;
l’oiseau revient un matin,
jouant la musique de l’espoir en virevoltant dans mon ciel. -
Zut, le réveil sonne ! J'étais pourtant si bien dans mon rêve. J'étais un oiseau, mais pas n'importe lequel.
J'étais un aigle majestueux, je volais très haut dans le ciel, me laissant porter par les courants ascendants,
flottant dans un éther radieux, dans lequel l'espace-temps aurait perdu ses 4 dimensions
et moi les 5 qui caractérisent l'humain et qui sont :
. la 1ère physique ( ah, ne plus être frustrée de ses limitations ),
. la 2ème affective ( ah, ne plus souffrir de tout ce qui cause du chagrin ),
. la 3ème intellectuelle ( ah, ne plus avoir à chercher à comprendre ce qui est absurde ! ),
. la 4ème sociale ( ah, ne plus avoir à voir la violence qui règne dans notre société et dans les autres aussi ),
. et enfin la 5ème spirituelle (ah, ne plus supporter la charge parfois trop lourde des responsabilités ).
Délicieuse sensation que de ne plus ressentir le poids de mon corps, douce sérénité
de ne plus entendre les bruits parfois infernaux des activités humaines.
La seule musique appréciable ne pouvait être dans mon rêve que celle des éléments :
celle de l'eau serpentant entre les rochers posés ça et là dans le lit d'un torrent,
celle du vent quand il vient jouer avec les feuillages qui alors se mettent à frénétiquement danser,
et surtout celle des oiseaux quand ils chantent le printemps et clament leur amour pour la vie.
Mon rêve avait un parfum d'Eden et le goût de l'extase.
Zut, le réveil a sonné, me ramenant à la réalité d'un monde dans lequel je n'ai plus vraiment,
là, maintenant, le besoin d'y avoir une place.
Je prends alors le temps de savourer, ne serait-ce que quelques précieux instants, cette parenthèse enchantée
dans laquelle rien de mauvais ne peut m'arriver. -
Réveil amusé
L’oiseau joue sa partition
Parfum de printempsMusique à gogo
Pétales d’ardents soleils
Mon cœur en émoiLa douceur rayonne
Soleil joueur du matin
L’iris apparait