Décris-moi un mouton
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Récréation: Une petite détente entre 2 défis
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Pour qui veut suivre les aventures lunaires de la famille Merzougui: Mission Lunaire
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Les aventures de Mag & Alex sont en Pause, ... because demain au boulot !
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@delnis .......max et alex alors.......snifffff
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@1TEL44 @APLACOPHORE @ayamé @Delnis @icescream @Lissilma @Morphée @Kachina
Le vainqueur est une femme et pas n importe la quelle notre chère.....@Kachina
Félicitations
Trois mots ma belle a toi seule -
@heidi Bravo 1TEL44 euh ...Kachina
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Coucou les plumes
Du plus loin de ma retraite je vous vois et je vous lis . Merci à tous
@heidi Coucou! Dur dur de trouver 3 mots mais j’ai envie de légèretéCaresse paresse liesse
Ça vous va ?Et si ça va pas écrivez votre détresse
Bises à tous
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Victoire de @kachina
Bravo, vraiment un very bad trip, mdr
Son texte :Oulala ! Suis comme dans un manège. Les murs de ma chambre tournent. Vestiges d’une soirée au bistrot bien arrosée. Bravo ! Me voilà sens dessus de saoul ! Et cette canicule qui n’arrange rien ! J'avoue que l’idée d’aller finir ma nuit dans le frigo, m’effleure l’esprit un instant. Je me réveille, m’assois péniblement au bord du lit et tends la main vers la bouteille d’eau. Je dévisse le bouchon. Il est vivant ! Il quitte ma main et va rouler sur le sol : je l’entends continuer sa course pendant quelques secondes quelque part sous le lit.
Oh non ! Manquait plus que ça. Mauvais temps à la mer. La stabilité du navire est telle que je ne peux prendre le risque de me baisser. Un regard furtif à bâbord puis un autre à tribord.
Je me décide à pousser le lit. Bam ! Je me cogne le petit orteil. Je ne sais pas vous, mais entre le lit et moi, c’est toujours le lit qui gagne. A croire que les objets inertes remportent toujours la victoire. A moins qu’ils ne soient plus résistants à la douleur.
Bref ! Quelqu’un , disposant de toutes les capacités nécessaires ; devrait s’arrêter là , ne pas insister. Et bien pas moi. Même si la Loi de Murphy est très claire et me rappelle à l’ordre à cet instant là , « Pitié ! Ne suis pas la voie de la catastrophe »J’insiste lourdement. Et au lieu de laisser ce bouchon dans cet univers sombre du dessous de lit, mon esprit revanchard me pousse à continuer le combat. Après tout, je me suis pas fait mal pour rien. Malheureusement, il semble que les choses gagnent souvent à ce jeu. D’un geste brusque , c’est mon coude qui vient de heurter la bibliothèque et fait sauter tous les livres à terre. Bingo ! Encore perdu.
Et flûte ! Je capitule. Suis trop fatiguée ce soir. Ce maudit bouchon n’a qu’à continuer sa vie . Un jour un aspirateur aura sa peau. Ce sera un juste retour des choses. La chance aura tourné pour moi. Je pourrai aller de l’avant .Mes orteils ont bien des fois survécu, ils pourront encore survivre après tout !
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@kachina Caresse et paresse me vont mais liesse ça entraîne beaucoup trop de monde .
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Par paresse je ne me suis pas levé éteindre la télé c'est donc devant une foule en liesse que je me caresse , les bleus venant de marquer un troisième but .
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C'est dans cette liesse que je retrouve mon ami.
Lui qui fait souvent preuve de paresse, à qui je me confie.
De simples caresses il paraît ravi.
Lui, ma rousette, mon cabot, mon dingo, sinon qui? -
De,simples caresses me mettent en liesse mais ajoutent à ma paresse
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Il fut accueilli en liesse lorsqu'il décida de sortir de sa paresse en réclamant une caresse
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J'espère que vous avez toutes et tous passés un merveilleux week-end et fait d'agréables rencontres. Bonne nouvelle semaine à vous!
Pour cette fois ci, nous avons en lice: paresse, caresses et liesse.
C'est parti!Pour la quatrième fois depuis le début de la soirée Liam se demandait se qu'il faisait dans ce foutu théâtre.
Le garçon, en sa qualité de capitaine de l'équipe de rugby, était plus habitué à la ferveur ardente de ses supporters lors des matchs qu'a ce silence respectueux qui planait dans la salle de spectacles. Aux chuchotements discrets et polis, le sportif préférait de loin la liesse bonne enfant exprimée par une foule en délires quand son équipe marquait un but contre l'adversaire. Rien dans cet endroit feutrée et protocolaire ne lui était familier: trop de dorure sur les murs, trop de velours incarnat sur les fauteuils , trop de cristal pendaient sous les hauts plafonds. Que diable venait il faire dans cette galère? Pour couronner le tout les chaussures neuves qui avaient troquées contre ses baskets habituelles lui faisaient horriblement mal aux pieds. D'un geste rageur Liam desserra sa cravate et déboutonna le bouton du col de sa chemise. D'aise il soupira lentement, lui qui n'aimait que les joggings se retrouvait affublé d'un costume de serveur qui le serrait aux entournures. Il détestait cette sensation étrange de ne pas se trouver à sa place. Personne pourtant ne l'avait obligé à venir voir ce fichu ballet. Vraiment? En était il si sur? Le garçon posa une main tremblante sur son coeur. Il sentait sous sa paume frémir le fragile organe pourvoyeur de vie. Personne sérieux? Tu te voiles la face mon gars songea t il pour lui même. Si le trouble qu'il ressentait était bien ce qu'il croyait il se trouvait irrémédiablement piégé par un sentiment qu'il ne pensait pas un jour éprouver pour une personne comme celle qui envahissait depuis quelques semaines déjà ses nuits et ses jours.
Alors qu'il suivait comme un petit "toutou" bien dressé la placeuse tout de noir vêtue qui le conduisait à sa place réservée, l'esprit de Liam se perdit dans ses souvenirs.
Toute cette histoire avait commencée à cause d'une stupide indigestion. Ce jour là, la cantine avait servit de la choucroute. Peut être que le choux avait mariné trop longtemps où bien qu'il s'était oxydé au contact de l'air ? Toujours est il que les élèves qui en avait mangé s'étaient retrouvés à courir aux toilettes à tour de rôle, où bien avait squatter l'infirmerie une bonne partie de l'après midi. Liam n'avait aucunement fait exception à la règle, son estomac en vrac l'avait obligé à s'attardé plus longtemps que prévu dans les w.c des garçons. Enfermé dans l'une des cabines; le buste et la tête penchés au dessus de la cuvette, il avait été le témoin involontaire d'une scène d'intimidation. Tout avait commencé par une porte qui avait méchamment claquée contre le mur, puis avait suivit des cris, du bruit et de la fureur. Quelqu'un se faisait passer à tabac, nullement besoin d'être devin pour le deviner, Les mots plus tranchants que des poignards blessaient l'âme plus surement qu'une arme blanche aiguisée.- "Avoue le que tu n'es qu'un P.D! Une saloperie d'homo? Tu t'es permis de mater le cul de mon frangin dans les douches mais je fais d'en faire passer l'envie mon p'tit gars. Même ta mère ne te reconnaitra pas quand j'en aurai fini avec toi! " Eructa l'un des agresseurs.
A l'intonation de la voix et surtout grâce à la formulation du "p'tit gars" Liam reconnu Steven. Le jeune homme se trouvait être un des piliers de son équipe et pour tout dire s'était une armoire à glace tous en muscles et en hargne. Qui que puisse être la personne que son courroux désignait, ce dernier risquait de passer un sale quart d'heure. Il y eut le bruit mat et écoeurant d'un poing rencontrant la chair, un gémissement de douleur, des halètements de rage et une voix hystérique cria à plein poumon. - " Tabasser le! Crever le! Je veux la peau de cette ordure!"
Un cri plaintif s'éleva dans les airs alors que la correction reprenait. Le sang de Liam se mit à bouillir dans ses veines. Comment pouvait on s'acharner ainsi. D'un geste sec il ouvrit la porte de la cabine qui l'avait jusqu'à présent dissimuler aux regards des agresseurs. Surpris ces derniers se retournèrent et contemplèrent stupéfait, le regard assassin que leur lançait leur vénérable capitaine. D'une voix plus coupante qu'une lame de glace il leur ordonna de décamper sur le champs. Steven essaya de négocier mais le regard chargé de mépris qu'il reçu en plein visage comme un soufflet le dissuada de tenter la moindre approche.
Lorsque les trois brutes eurent quittés les lieux, Liam s'approcha lentement du garçon à terre. A première vue, il s'agissait d'un première année. L'adolescent était mince, presque fragile. De lourds sanglots secouaient ses frêles épaules. Liam posa délicatement sa main dans le cou du garçon. Sous la caresse, ce dernier trembla légèrement, il tourna son visage vers son sauveur. Ce fut à ce moment précis, à l'instant même où deux yeux couleur de lagon rencontrèrent les siens que Liam sentit une douleur lui vriller la poitrine. Il fulmina, ces salauds avaient bien amoché le gamin. De vilains bleus marbraient déjà ses joues tandis qu'un filet de sang maculait son menton. Doucement le sportif sortit de la poche de son jogging un mouchoir et entreprit avec le plus de délicatesse possible d'essuyer les lèvres souillées. Le petit eut un geste de recul, Liam sourit et lui murmura. - "T'inquiète pas mec, je te conduis à l'infirmerie et j'irai ensuite témoigner chez le proviseur. Ces connards auront droit à de l'exclusion temporaire mais cela suffira à remettre les idées de tout le monde en place!"
Ainsi fut il fait! Ainsi commença ce qui aurait put être une amitié virile mais qui dès la première seconde se mua en amour véritable et sincère. Deux âmes soeurs, deux flammes jumelles s'étaient trouvées cet après-midi là.
Dans les jours qui suivirent les deux jeunes hommes apprirent à se connaitre. Le blessé se nommait Jin, il était évidement élève de seconde malgré son jeune âge, c'était un garçon mature, sensible, un véritable artiste. Malgré son air nonchalant qui pouvait passer pour de la paresse, Jin était un bosseur acharné. Pendant de longues heures, il répétait dans une salle de danse. à peine chauffée.
Infatigable, il s'étirait à la barre, sautait, faisait des entrechats, pirouettait et fouettait l'air de ses longues jambes fines. Liam qui l'avait accompagné plus d' une fois, demeurait sidéré devant la beauté aérienne de son ami.
Voila pourquoi en ce jour, le ballet de "La Belle au bois dormant" allait être donner en spectacle à toute la population. Les amateurs étaient venu en masse admiré les artistes. Parmi la troupe battait le coeur du Prince, battait le coeur de Jin. .
Voila pourquoi quand retentit les premières notes de musique, après que se fut éteintes toutes les lumières du théâtre, une larme roula sur la joue du jeune capitaine de rugby. Ce soir Liam allait avouer son amour à celui qui lui était plus précieux que sa propre vie. Jin au regard d'océan deviendrait son compagnon.
L'amour n'a pas de genre, ni de sexe précis l'amour est un sentiment profond que l'on ressent pour une âme avant toute chose. Tout au fond de son coeur Liam connaissait cette bien belle vérité.
Amis de la nuit, je vous souhaite de beaux rêves. Cordialement
- "Avoue le que tu n'es qu'un P.D! Une saloperie d'homo? Tu t'es permis de mater le cul de mon frangin dans les douches mais je fais d'en faire passer l'envie mon p'tit gars. Même ta mère ne te reconnaitra pas quand j'en aurai fini avec toi! " Eructa l'un des agresseurs.
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@lissilma a lire peut-être par @les lecteurs
j ai la larme a l œil tu t es encore surpassée vraiment c est ton plus beau texte car le sentiment amoureux transparaît vraiment
Un hymne à la tolérance dans un monde de brut
Chapeau tout mon plus grand respectUn clin d œil musical
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Coucou les plumes
Quel bonheur de vous lire ! Surtout Le matin en savourant mon café@heidi de mon portable pas évident d écrire un texte mais je tenais à vous rejoindre
J’ai le cœur en liesse
Je veux bien oublier d’être sage
Me faire pécheresse
Frissonner sous les caresses
M’abandonner avec paresse
Ne crains rien sinon l’ivresse
En aucun cas te mettre en laisseVoili voilou ! Je vous souhaite une belle journée
BisouillesÉdit : j’avais oublié la chanson
Re édit j’ai ajouté le mot paresse
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"Viens viens viens là approche n est pas peur que je te caresse viens viens ma belle viens me voir
La porte ouverte elle se faufile entre mes jambes en se frottant au passage
C est l heure matin et soir le même cirque 'elle fait sa princesse .
Elle déambule dans le salon se dirige vers la porte si je ne bouge pas elle me grimpe dessus assise ou allongée elle sort ses griffes à moitié et masse mon ventre avec douceur
Elle sait y faire vraiment celle la il lui manque que la parole ....mon cœur est en liesse à chaque fois elle ronronne la féline la petite maline
Elle me joue le grand jeu tous les jours si je ne cède pas elle s allonge complètement et le laisse la caresser encore et encore
Puis d un bond retourne devant la porte et m attend là impassible
Je finis par céder je descends avec elle les escaliers elle est toujours la première en tête jusqu à sa gamelle
Des fois que j oublie le chemin ou le pourquoi j etais descendue
Une ou deux fois j ai fais demi tour pour jouer avec ces nerfs et ben 5 mn a peine après elle était là de nouveau a me faire son numéro
Ma star
Je n ai la paix qu après son repas
Et durant des heures la paresse la reprend le ventre plein
elle déambule nonchalamment du fauteuil au canapé à la chilienne dehors et en pleine chaleur d été
Elle se vautre littéralement au sol frais au plein milieu de la pièce
Elle est si dure la vie de chat -
Afin d avoir plus de textes donc plus de temps
Je donne un jour de plus à ces trois mots exceptionnellement -
Ily a des caresses du vent sur le visage qui valent celles d un homme ou presque !
La paresse d un lendemain d une nuit torride
Met mon cœur en liesse
Je délaisse alors tout ce qui est matériel
Et ne vois que ses bras sa bouche ses mains
Son visage est flou j en dessine les contours de sa bouche d iou sortent des mots doux que j entend sans écouter vraiment
Un amant d un soir tout au plus que je ne reverrai jamais
J attend qu il s endorme pour partir sur la pointe des pieds et fermer sa porte a tout jamais -
@heidi T'en vas pas Heidi ...( zut , elle ne s'est même pas aperçue que nous étions chez elle )
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@1tel44 ah ah ah .......appel moi doris comme dans Némo
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@heidi je pense à cette chanson en lisant ton texte je ne sais pas pourquoi🤭