Décris-moi un mouton
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@ayamé a dit dans Décris-moi un mouton :
alors le goûter, quand j'en prends, c'est double plaisir
Cool ! ️
@Kachina Mon côté gourmand te remercie
@Artelise Merci beaucoup également ️
Il faut dire qu'à chaque fois, j'écris mes petits textes dans un état de fatigue avancé, mais après tout, c'est peut-être de là que naît le talent
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Avant que la fièvre ne monte trop, j'ai voulu terminer mon texte j'ignore dans quel état j'errerai demain
Mon cœur bat la chamade. Je vais enfin connaitre ce mystérieux invité surprise ! Ma petite fille vient de naître. En passant la porte de cet hôpital, aux vieilles briques rouges, je suis plongée dans un drôle d'état d’euphorie . Je traverse les couloirs aux senteurs de désinfectant , à vitesse grand V. Je suis au comble du bonheur. Mais, tout à coup , et de façon étrange, les émotions se mélangent au plus profond de moi.
Joie ? Tristesse ? Je ne sais plus . Je suis dans l’incapacité de distinguer , tout comme celle de retenir ces longs sanglots , libérateurs, sûrement un peu trop enfouis depuis si longtemps.
Et me voilà, pleurant à chaudes larmes . A quoi bon lutter contre ce mécanisme ?
C’est ici, dans ces murs , dans cette maternité , que j’ai vu le jour pour la première fois . Une semaine après, ma mère m’a confiée à l’Assistance Publique. Mon nom , consigné dans un cahier, figure à présent de façon officielle à la page des « déracinés »
Mes yeux s’attardent sur le berceau de ma petite fille. Elle dort calmement, en toute innocence, sous les yeux attendris de ses parents.
Quels regards d'amour a-t-on porté sur moi ? Et qu’a donc ressenti ma mère en me voyant ? Notre incroyable complicité, tissée au fil de ces mois, lui aurait-elle fait si peur ? au point de me rejeter comme un poids inutile ?Je n’en sais rien. Je n’en saurai sûrement jamais rien . Un morceau de ma vie dort ,quelque part , dans des archives. Mais aurai-je le courage un jour d’en découvrir plus ?
Je n’ai aucun souvenir avant mes 3 ans.
Lorsque je suis arrivée dans cette ferme perdue au milieu des vignes, ll y avait une belle lumière d’automne. Enfant de la ville, tout n’était que paradis à mes yeux, je ne pouvais que m’émerveiller en découvrant, ces vaches , ces coqs , ces poules, . D’autres enfants étaient déjà là, me regardant avec curiosité.
J’ai tout de suite été bien au milieu de ce décor bucolique, au point de rapidement trouver ma place dans ma nouvelle « famille » .
Une petite dame âgée, toute fine, est venue vers moi, m’a aussitôt accueillie avec un regard chaleureux, embrassée et pris joyeusement dans ses bras « Bonjour, moi, c’est Mina »Mina n’était pas du genre à boire le thé dans de la fine porcelaine, le doigt en l’air, mais elle avait l’incroyable faculté de faire soleil même quand les jours étaient gris.
Je n’ai jamais oublié la force de ses mains rugueuses, lorsqu’elle m’a enserrée , Faut dire, qu’avant Mina , personne ne m’avait prodiguée autant de marques d’affection , ni même regardé comme une personne vivante.
Dans ma mémoire, des tas d’ images se bousculent, ardentes et précises comme des aquarelles.
J’ai pris la main de ma petite fille dans la mienne . J’entends, encore, la voix de Mina qui résonne dans un coin de ma tête et je souris . “L'amour, une fois qu'il a germé, donne des racines qui ne finissent plus de croître.”(Le petit Prince St Exupéry)
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@Kachina
déchirant
et tant d'amour, aussi. -
@agathe Merci beaucoup !
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Lui, c’était autre chose ,il avait la faculté d'aimer mais il était rugueux et déraciné, impoli et méchant, je n’étais invitée a ce monde amoureux qu'un peu de temps avant .d'habitude,je buvait mon thé et dirigé ma vie,la vie des autres, parfois .j'étais même accusée de complicité de stress.un jour ,mes amis m'ont invités a un bar où je l'ai vu la première fois , quand mes chers amis m'ont convaincus à danser avec lui, puis nous étions resté en contact .il me fait rire avec ces histoires dingues, et lui,il aime être le centre d’intérêts. avec le temps il m'a avoué son amour,et avec toute mon innocence dans ce domaine et il m'a invité a son paradis et la vitesses qu'il m'a fallu pour comprendre son mécanisme était folle ... aujourd'hui et a ce moment même je regarde le crépuscule dans mon balcon tandis qu'il nous prépare un café.
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@Lucifer Bonsoir et merci pour cette agréable surprise . Bienvenue parmi nous .
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@Kachina merci infiniment
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- C’est un curieux mécanisme…
L’homme examinait avec attention la machine posée sur une sorte d’estrade. Un peu abîmée par son séjour dans l’eau, elle avait été nettoyée et avait fière allure. Il tournait tout autour avec son assistant et touchait le métal de ses mains tremblantes, apparemment surexcité par cet étrange objet. C’était lisse, froid, étonnant, mais ce qui attirait l’attention des deux hommes c’était cette plaque dorée avec des dessins et une sorte de texte gravés. Aucun des deux apparemment n’avait la faculté de comprendre ce que cela représentait.
Un troisième homme entra dans la vaste pièce. Il expliqua qu’il avait été invité par les hautes instances pour apporter de l’aide aux deux chercheurs car ils ne semblaient pas à la hauteur de la tâche qui leur avait été confiée. En effet, vu la vitesse avec laquelle ils réfléchissaient, et aussi une certaine complicité pour déguster, un peu trop souvent semble-t-il, une sorte de thé au minjas, -une plante exotique dont on ne consommait que la partie déracinée-, cela semblait devoir prendre « un certain temps ».
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Alors, messieurs, quelles sont vos conclusions ? Tonna une voix au son rugueux dans le haut parleur fatigué sur lequel somnolait en toute innocence une araignée. Le bruit la fit sursauter et elle faillit tomber si un fil ne l’avait retenue.
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Euh… nous cherchons, nous cherchons dit le plus grand des trois hommes en grattant son large crane orange et plissé bordé de part et d’autre par de volumineuses oreilles. Ses yeux globuleux tournaient dans tous les sens. Par contre ses neurones semblaient aux abonnés absents.
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J’exige une réponse, sinon vous retournez d’où vous venez. Et vous savez que ce n’est pas le Paradis...
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Eh bien, bredouilla l’un des trois hommes aux grandes oreilles, cette chose… sert à capturer les letkos. Et ceci est le mode d’emploi, dit-il en indiquant la plaque dorée...
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@ytica J'aime bien le petit passage sur l'araignée
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Le texte "Le terme Amour est une chimère que chacun d'entre nous cherche désespérément et quand on le trouve on doit profiter des moments à passer car on ne sait jamais de quoi est fait le lendemain" résonne profondément dans le cadre des relations humaines. L'amour peut effectivement être considéré comme un ensemble de mécanismes complexes, que l'on peut parfois considérer comme étant rugueux en raison de ses nombreux défis et obstacles. Cependant, une fois déracinée de son sol d'incertitude, cette chimère peut nous mener au paradis émotionnel que l'on désire tant.
Imaginez une relation où la vitesse à laquelle deux personnes se rapprochent est stupéfiante. Elles passent d’être de simples invités à un événement social à des âmes pleines de complicité en peu de temps. Ce rapprochement est souvent facilité par leur faculté à comprendre et à apprécier les petites choses de la vie. Prenez, par exemple, un moment simple autour d’une tasse de thé. Dans ce contexte, le thé devient plus qu'une simple boisson ; il symbolise une sorte d'innocence, un moment privilégié qui nous rappelle que la vie est en effet précieuse.
La complicité n'est pas seulement un mécanisme émotionnel, mais aussi une forme d'intelligence émotionnelle. Elle est le reflet de la capacité des deux personnes à naviguer à travers les eaux parfois rugueuses de la vie, sans perdre de vue leur destination. À l'instant où l'on pense avoir atteint un paradis relationnel, c'est souvent là que la réalité nous rappelle que l'amour est aussi éphémère que précieux. Le lendemain est incertain, et c'est pourquoi il est indispensable de chérir chaque moment, sans répit.
En conclusion, le texte initial capture l'essence même de ce que l'amour peut et doit être : une quête sans fin, une aventure à la fois exaltante et difficile, mais toujours enrichissante. C'est une aventure où l'innocence et la complicité se croisent et se mêlent, nous rappelant constamment que, même dans un monde incertain, il y a toujours une place pour l’amour véritable.
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Bonsoir les Plumes
C'est dimanche soir . Et oui ! déjà !
Pour cette semaine Je voulais faire une petite fantaisie , vous proposer un ptit exercice d'écriture , mais je n'ai pas eu trop de courage . Mes neurones sont bien enrhumés et très embrumés.
Aussi, allons -nous poursuivre cette petite croisière, tranquillement.
D'ailleurs, réjouissons nous de l'arrivée surprise de Lucifer, qui je l'espère, se plaira parmi nous.Allez ! dans la salle d'à côté , on a parlé de BLEU , ce sera donc le mot que je retiendrai pour ouvrir la route .
Je vous attends
@agathe @Music @ytica @Hilda-Van-Holp @Artelise @cupide @ayamé @Lucifer @Melodia @Katorz @DindonEn espérant n'avoir oublié personne . Mais n'hésitez pas à me faire de grands signes
Je vous souhaite une belle fin de soirée et une excellente semaine .
Demain, fin de matinée, je vous retrouverai pour la récap.
Bizouilles à tous !
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@Kachina Sur le thème du bleu : Océan
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Je propose le mot : âme
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Bleu ? Euh... Schtroumpf !
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@Melodia ça va pas être facile à caser ce mot là !
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@Katorz C'est ça qui est drôle. Mouahaha !
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@Melodia Peut-être que @Etiquator fera un commentaire, j'ai vu dans la liste des membres qu'il a un personnage schtroumpf comme avatar.
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@Katorz Ah, tu vois que c'est un mot facile à caser dans une phrase, finalement.
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@Kachina
ce sera : salsepareille -
Alors @Melodia on nous fait des blagues ? Passer sans transition du mot âme à schtroumpf 🥳 c’est surprenant mais original.
On saura comment le cuisiner celui là@agathe il y avait bien longtemps que je n’avais pas entendu ce drôle de mot(il faut le dire) C’est pourtant une plante bien connue par chez moi pleine de vertus notamment pour lutter contre les rhumatismes. A noter qu’on y entend presque le mot salsa ceci expliquerait il cela?
J’en profite pour vous dire que si d’aventure vous voyez rouge aujourd’hui, n’hésitez pas à partager cette vision dans le petit jeu photos « de clics en déclics » . Vous êtes les bienvenus !
Bon lundi les plumes ! Suis contente , mon bonheur du jour : j’ai pas le sentiment d’être sortie d’un essorage a 1000 tours ️
C’est reparti !