Jusqu'ici, j'ai essayé de rester calme, de comprendre, d'agir en conscience.
Un peu agacée par les invectives multiples, sachant que selon les opinions tranchées je pouvais me faire catégoriser d'antivax ou de mouton, je suis restée prudente sans cesser de vivre, je me suis fait vacciner sans m'interdire les bisous
et câlins avec mes petits enfants.
J'ai accepté les contraintes, parce que la situation était incertaine, sachant qu'il faudrait savoir un jour reconquérir les libertés perdues.
Mais aujourd'hui, même si l'histoire n'est pas finie, je refuse que ces contraintes comprennent une maltraitance instituée des jeunes enfants :
Les enfants n'ont pas à subir un vaccin de plus ( ils en reçoivent déjà trop ), à être testés à répétition.
Les enseignants, les soignants n'ont pas à gérer l'ingérable.
Les non vaccinés par choix prennent leurs responsabilités et leur précautions, ceux qui sont isolés doivent devenir priorité pour être protégés et aidés.
On n'arrêtera pas cette dernière vague, visiblement exceptionnellement contagieuse.
Protégeons les plus " à risque".
Et respectons nos enfants !
Ça fait du bien,
un petit coup de gueule
J'aimerais bien
qu'il ne serve pas à rien ...