Vous avez observé que je dis ce que je pense, je défends mon bout de gras avec + ou - d'ardeur.
Je dis parfois des choses qui sont comme pisser dans un violon.
Pas grave : cela me fait égoïstement du bien. Bin quoi, charité bien ordonnée commence par soi-même, non ?
Je ne fuis pas les débats un tantinet houleux, j'ai la chance de ne pas être susceptible et de ne pas me vexer,
surtout en virtuel. Une fois l'ordi éteint, qu'en reste t-il, de ce qui m'aurait dérangé, comme l'exemple donné par @Peri ?
Je fais bien, comme Peri, le distingo entre la personne et ses propos à l'instant T.
Les insultes ou simplement mots ironiques ? Bah, se dire qu'on ne se sent pas concerné,
qu'on ne se reconnaît pas dans ces vocables, lesquels, quand ils dépassent les limites de la décence, ne salissent
que leur auteur avant que la modération n'intervienne 
.
Sur tous les forums que j'ai fréquentés, il y avait de temps en temps des prises de bec.
Ma philosophie tient en 3 mots : dédramatiser, relativiser, lâcher-prise ( je l'ai déjà dit sur d'autres topics) .
