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    Meilleurs messages postés par Cygoris

    • RE: Le Bonheur du jour !

      @Mai-Tai Félicitation aux parents, et à la tata qui gardera dans quelques temps la chic-ouf 😋

      posté dans Carte blanche
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Le coin des mélomanes incompris

      posté dans Parler Musique
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Votre endroit coup de coeur en France et votre flop ?

      @myra-flore a dit dans Votre endroit coup de coeur en France et votre flop ? :

      @cygoris Il m'est arrivé de couper un trajet trop long,en décidant de s'arrêter ds une ville à mi-parcours;et ce fut Bourges...................

      Je lui préfère Saint-Florent sur cher pas loin. 😉
      text alternatiftext alternatif

      posté dans Sorties - Voyages
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Le Bonheur du jour !

      @wawa007 a dit dans Le Bonheur du jour ! :

      mon bonheur du jour c'est d'avoir remis l'imprimante sur le nouveau wifi.
      Ce sera la troisième fois que je l'installe : première fois, imprimante foutue..j'en achète une et l'installe sur l'ordi.
      deuxième fois : ordi foutu...j'installe un nouvel ordi et l'imprimante. LOL
      troisième fois : problème avec ma tv et mon internet ainsi que mon telephone fixe : un technicien vient pour tout réparer mais me change le wifi.
      ......reconfiguration de l'imprimante ! hi hi !

      Eh bey 😳
      Euh, peut être une 4è fois en changeant de Box 😊

      Allez, MBDJ c'est d'être les pieds dans le sable, avec le soleil ☀️ dardant sur le parasol, et les glaçons tintant dans mon verre 🥃

      posté dans Carte blanche
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Le coin des mélomanes incompris

      Sing
      by Gary Barlow & The Commonwealth Band (featuring Military Wives)

      posté dans Parler Musique
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Paris, grandiose ou morose ?

      On oublie,parfois que certain(e)s membres ne vivent pas en région parisienne, ou ne sont pas encore venu(e)s à Paris.
      Alors pour pallier une envie méditée, voici une visite de Paris en accéléré dans toute la capitale en moins de deux minutes.
      Enjoy 🙂

      posté dans Sorties - Voyages
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: [AJA] Aujourd'hui j'ai appris

      AJA ce qu'était un insecte lacryphage 😳

      Des insectes qui se nourrissent des larmes de mammifères, de tortues ou encore de crocodiles !
      Ce phénomène appelé lacryphagie, leur permet de compléter leur alimentation grâce aux nutriments naturellement présents dans le fluide lacrymal de leurs victimes.

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      1ère source

      2ème source

      posté dans Carte blanche
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Musiques & danses country

      posté dans Parler Musique
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Les belles affiches de cinéma

      Au secours !!!!!!

      text alternatif

      posté dans Parler Cinéma
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Vous avez carte blanche !

      @Hilda-Van-Holp a dit dans Vous avez carte blanche ! :

      Pour en revenir au vélo par pitié faites tout pour qu'ils ne soient pas invisibles sur la route...............

      Tout ce qui est fluo et lumière est le bienvenue.

      J’approuve totalement 👍
      Pour avoir pratiqué sur une RN, je me suis vite rendu compte de l'importance de revêtir un chasuble jaune fluo (de préférence). Et ça change TOUT !
      D'autant qu'il existe aussi une simple lampe qu'on accroche sur le mollet, car il bouge.

      En plus, mieux vaut être équipé d'un casque pour cycliste, sinon c'est votre tête qui servira de déjeuner aux rongeurs.
      Sans compter les pneus qui vous l’aplatiront.

      A propos, sauriez-vous dire avec exactitude jusqu'à quelle vitesse résiste un casque de moto (neuf*), lors d'un choc frontal ?

      (*) CàD avec sa mousse+polystyrène intacts

      25 km/h
      Car plus vite, c'est votre cerveau qui s'écrase au fond de votre crâne.
      Désolé pour ces images ragoutantes, mais mieux vaut choquer qu'être choqué 😉

      posté dans Carte blanche
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Partages divers Musique

      “What If We” par Pia Toscano

      posté dans Parler Musique
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Les belles affiches de cinéma

      plouf

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      posté dans Parler Cinéma
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: [AJA] Aujourd'hui j'ai appris

      AJA, je viens de réaliser en fait, que les chiffres en relief des cartes bancaires ont (presque) disparu 😳
      Et ceci en observant une CB de la LBP.

      En effet, le numéro en relief serait devenu obsolète.
      « Ce sont les mêmes cartes avec les mêmes caractéristiques. Il n'y a aucune différence en termes d'acceptation, le changement est absolument neutre », affirme Grégory Guermonprez.
      L'embossage, en effet, n'avait qu'une utilité : payer sur les « sabots », ces antiques terminaux conçus pour imprimer le numéro de la carte bancaire sur une facturette à l'aide de papier carbone. Une « technologie » datant des années 1960 et qui a aujourd'hui totalement disparu, supplantée par les terminaux de paiement électroniques (TPE).

      Article sur moneyvox.fr

      posté dans Carte blanche
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Quelle musique vous fait frissonner ?

      Une autre artiste me fait frissonner :
      Liza Minnelli

      "New York, New York"

      'Maybe This Time'


      With a 'Z'

      posté dans Parler Musique
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Les contes de Noël

      text alternatif

      Le sapin
      (conte de circonstance, de Hans Christian Andersen paru en 1882)

      Narratif en Spoil car assez long pour ceux/celles qui souhaitent le lire en entier ou le raconter lors d'une veillée.

      Au milieu d’une forêt, en une belle place bien aérée et éclairée par le soleil, croissait un charmant petit sapin. Tout autour de lui se trouvaient une quantité de camarades plus âgés et par conséquent plus grands que lui.
      Le plus ardent désir du petit sapin était d’égaler en hauteur ses voisins.
      Ce désir était tel qu’il ne faisait plus attention au brillant soleil et au ciel bleu. Les joyeux enfants du voisinage passaient inaperçus devant lui.
      Souvent, quand ils avaient fait de fruits ample provision, ils venaient s’asseoir auprès du petit sapin en disant :
      — Comme il est joli et mignon ! Ah ! le beau petit arbre !

      Ces paroles, qui auraient dû lui plaire, le remplissaient de dépit.
      — Petit, disait-il, toujours petit !

      Alors chaque année, au printemps, il faisait une poussée, et l’année suivante, une poussée encore.
      — Oh ! que je voudrais donc être grand, soupirait-il ; j’étendrais mes branches au loin et de ma cime je dominerais le monde ! Les oiseaux construiraient leurs nids dans mon feuillage, et, lorsque le vent souffle, je saurais m’incliner avec autant de majesté et de grâce que mes orgueilleux camarades.
      Il ne se souciait plus ni des concerts joyeux des oiseaux qui chantaient dans les feuilles, ni des beaux nuages pourprés qui matin et soir flottaient au-dessus de lui, dans l’azur des cieux.

      L’hiver arriva et avec lui la neige blanche et étincelante. Souvent un lièvre, poursuivi par les chasseurs, franchissait d’un saut le petit sapin, et cette familiarité blessait au vif son orgueil.
      Après deux hivers, il avait grandi assez pour que les lièvres fussent obligés de passer sous ses branches. Ce progrès était trop lent à son gré.
      Pousser, grandir et devenir vieux, c’est ce qu’il y a au monde de plus beau, pensait l’arbre.

      En automne vinrent des bucherons qui abattirent quelques-uns des plus grands arbres. Le jeune sapin ne les voyait plus qu’avec terreur ; car les grands et magnifiques arbres tombaient avec fracas sous leurs cognées. On en coupait les branches, et ils avaient alors l’air si nus et si décharnés qu’on pouvait à peine les reconnaître.
      Puis on les chargeait sur une voiture, et les chevaux les traînaient hors de la forêt.
      Où allaient-ils ? que devenaient-ils ?

      Au printemps, lorsque les hirondelles et les cigognes revenaient, l’arbre de leur dire :
      — Ne savez-vous pas où on les a conduits, ne les auriez-vous pas rencontrés ?

      Les hirondelles n’en savaient rien, mais une cigogne, réfléchissant un peu, répondit :
      — Je crois le savoir ; en m’envolant de l’Égypte, j’ai rencontré plusieurs navires ornés de mâts neufs et magnifiques ; je crois que c’étaient eux : ils exhalaient une forte odeur de sapin. Comme ils étaient fiers de leur nouvelle position !
      — Oh ! si j’étais assez grand pour naviguer sur la mer ! Dites-moi, comment est la mer ? À quoi ressemble-t-elle ?
      — Ce serait trop long à expliquer, dit la cigogne, et elle s’envola.
      — Réjouis-toi de ta jeunesse, lui disaient les rayons du soleil. Réjouis-toi de la beauté, et de ta vie pleine de sève et de fraicheur !
      Et le vent caressait l’arbre, et la rosée répandait ses larmes sur lui, mais le sapin n’y prenait point intérêt.

      Vers la Noël les bucherons coupaient souvent de jeunes arbres, qui n’étaient pas même aussi grands que notre sapin. Comme les autres ils étaient chargés sur une voiture et traînés par des chevaux hors de la forêt.
      — Où vont-ils ? demanda le sapin. Il y en a qui sont plus petits que moi ; on leur a laissé toutes leurs branches. Où vont-ils ?
      — Nous, nous le savons bien, gazouillèrent les moineaux. Nous avons été dans la ville, et nous avons regardé à travers les fenêtres. On les a plantés au milieu d’une belle pièce chauffée par un âtre pour les orner ensuite de pain d’épices, de bonbons, de joujoux et de cent lumières.
      — Et puis… demanda le sapin en frémissant de toutes ses branches ; et puis qu’est-il arrivé ?
      — C’est tout ce que nous avons vu, mais c’était bien beau !
      — Est-ce que moi aussi je serais destiné à une carrière aussi brillante ? pensa le sapin ; cela vaudrait encore mieux que de naviguer sur la mer. Oh ! que le temps est long !
      Quand serons-nous à Noël, pour que je parte avec les autres ? Je me vois déjà dans une beau salon bien au chaud et chargé d’ornements.
      Et ensuite, il viendrait probablement quelque chose de mieux encore ; sans cela pourquoi nous parer avec tant de luxe ? Comme je suis curieux de savoir ce qui m’arriverait, je souffre d’impatience ; vraiment je suis bien malheureux !
      — Réjouis-toi lui disaient le ciel et les rayons du soleil : réjouis-toi de ta jeunesse qui fleurit au sein de la nature paisible.

      Toujours inquiet, le sapin, croissait toujours. Son feuillage devenu plus épais et d’un beau vert attirait les yeux du passant, qui ne pouvait s’empêcher de dire : « Quel bel arbre ! »
      Soudainement, Noël arriva et il fut choisi le premier. La hache le frappa au cœur. Après un soupir, il tomba presque évanoui. Au lieu de penser à son bonheur, il se sentit tout affligé de quitter le lieu de sa naissance. Il savait qu’il ne reverrait plus ses anciens camarades, les petits buissons, les gracieuses fleurs, qui l’avaient entouré, peut-être pas même les oiseaux.
      Son départ le rendait tout triste.

      L’arbre ne revint à lui qu’au moment où avec plusieurs autres il fut déchargé dans une grande cour. Un homme arriva et dit en le désignant : « Celui-ci est magnifique ; c’est ce qu’il nous faut. »
      Vinrent ensuite deux domestiques en superbe livrée, qui portèrent le sapin dans le salon d’un grand seigneur ; partout des tableaux d’un grand prix, sur la cheminée des porcelaines de Chine ; les meubles étaient d’ébène et garnis de satin ; les tables couvertes d’objets d’art, de livres illustrés et de magnifiques gravures.

      On planta le sapin dans une grande caisse pleine de sable ; cette caisse était recouverte et comme vêtue d’étoffes de mille couleurs.
      Oh ! comme il tremblait ! que devait-il donc lui arriver ?

      Les enfants et les domestiques se mirent à l’orner. Ils suspendirent à ses branches de petits cornets de papier doré remplis de bonbons. Ensuite ils y attachèrent des pommes et des noisettes argentées, toutes sortes de joujoux et plus de cent petites bougies rouges, bleues et blanches. Des poupées qui ressemblaient à de véritables enfants, telles que l’arbre n’en avait jamais vues, se reposaient sur ses branches, et, au sommet de sa couronne, étincelait une étoile semblable à un diamant.
      Quel luxe ! quelle splendeur !

      — Ce soir, s’écrièrent les enfants, comme il sera beau et brillant de lumières !
      — Oh ! pensa l’arbre, je voudrais déjà être à ce soir, et que toutes les bougies fussent allumées ; mais qu’arrivera-t-il après ? Les autres arbres de la forêt viendront-ils me regarder ; les moineaux me verront-ils à travers la fenêtre ; resterai-je ici, hiver et été, toujours paré ainsi ?

      Pauvre sapin, qu’il devinait mal ! Et cependant ces réflexions étaient un supplice pour lui.
      Le soir arriva, et les bougies furent allumées. Quelle magnificence !
      L’arbre tremblait si fort qu’une bougie en tombant mit le feu à l’une de ses branches :
      — Aie ! aie ! s’écria-t-il en frémissant.
      — Au secours, au secours ! crièrent les enfants. Les domestiques accoururent et éteignirent le feu. Dès ce moment l’arbre n’osa plus trembler ; il avait peur d’endommager sa parure ; il était tout étourdi de sa splendeur.

      Tout à coup les portes s’ouvrirent et une joyeuse troupe d’enfants se précipita dans le salon. Derrière eux venaient les parents.
      D’abord les petits restèrent muets d’admiration à la vue de l’arbre de Noël ; mais bientôt ils commencèrent à pousser des cris de joie, et se mirent à danser en rond autour de lui. Bientôt le tirage des lots commença. Chacun avait son numéro ; peu à peu l’arbre se dégarnit. À mesure qu’un numéro était appelé il perdait un de ses joyaux, qui, de ses branches, passait aux mains émues des enfants.

      — Que font-ils ? pensa l’arbre ; que va-t-il m’arriver ? Cependant tout ce qu’il avait eu de plus précieux avait peu à peu été détaché de ses branches, les bougies aussi se consumèrent et furent éteintes l’une après l’autre. Alors les parents permirent le pillage des menus objets et des bonbons qui restaient. Les enfants ne se le firent pas dire deux fois. Ils se jetèrent sur le sapin avec tant d’impétuosité qu’il eût été renversé, si son étoile qui le fixait au plafond ne l’eût retenu.
      Après l’avoir complètement dépouillé de ses ornements, les jeunes pillards se remirent à danser et à jouer ; et personne ne fit plus attention à l’arbre, si ce n’est la vieille bonne, qui vint regarder si l’on n’y avait pas laissé, par hasard, une orange ou une figue dont elle pût faire son profit.

      Le sapin restait muet et pensif ; jamais les oiseaux de la forêt ne lui avaient raconté rien de pareil.

      • Qui sait si je ne finirai pas par rouler en bas d’un escalier et par épouser une princesse. Demain ils vont probablement m’orner de nouveau, me couvrir de lumières, de joujoux, d’or et de fruits ; je me redresserai fièrement !
        Puis il s’abandonna à ses pensées, et resta toute la nuit sombre et silencieux.

      Le lendemain matin, les domestiques entrèrent dans le salon.
      — Ils vont me faire une nouvelle toilette, pensa l’arbre.
      Mais il fut traîné hors de la chambre, monté dans le grenier et jeté dans un coin obscur.
      — Qu’est-ce que cela signifie, se demanda-t-il ; que vais-je faire ici ?
      Et il s’appuya contre le mur en réfléchissant.

      En vérité, il avait le temps de réfléchir ; car les jours et les nuits se passèrent sans que personne entrât dans le grenier, on l’eût dit complètement oublié.
      — Maintenant nous sommes en hiver, pensa-t-il, la terre durcie est couverte de neige, il faut qu’on attende le printemps pour me planter ; c’est pour cela sans doute qu’on m’a mis à l’abri ; les hommes sont vraiment bons, et ils savent prendre leurs précautions ; seulement, c’est dommage que ce grenier soit triste et si abandonné : pas même un petit lièvre. C’était pourtant bien gentil, lorsque dans la forêt un petit animal venait jouer sous mon ombre, ou quand des oiseaux babillards venaient se dire leurs secrets sur mes branches. Il est vrai que dans ce temps-là je m’en fâchais ; ah ! que j’avais donc tort. Ici, rien de tout cela ; je m’ennuie horriblement !

      ....

      Enfin il fut retiré du grenier. Un matin les domestiques arrivèrent et le descendirent dans la cour.
      — Je revis enfin, pensa l’arbre, en sentant le grand air et les rayons du soleil ; et, dans sa joie, il oubliait de se regarder lui-même.
      La cour aboutissait à un jardin magnifique. Les roses et le chèvrefeuille se montraient à travers le grillage, l’air était embaumé de leurs doux parfums. Sous les tilleuls les hirondelles volaient en chantant : « Quiirrevire vite ! mon mari est venu ! » Mais en chantant ainsi elles ne pensaient guère au sapin.
      — Je me sens revivre, disait-il toujours, en étendant ses branches, sans s’apercevoir qu’elles étaient jaunies et desséchées, et que lui-même se trouvait dans un coin au milieu des orties.

      Cependant il avait conservé à son sommet l’étoile dorée, qui brillait au soleil. Dans la cour jouaient quelques-uns de ces joyeux enfants, qui, dans la soirée de Noël, avaient dansé autour de l’arbre ; le plus petit courut vers lui et arracha l’étoile.
      — Regardez ce que j’ai trouvé sur ce vilain vieux sapin, s’écria-t-il, en marchant sur les branches qu’il faisait craquer sous ses pieds.

      L’arbre se regarda et soupira. Ah ! qu’il se trouva laid en effet à côté des arbres et des fleurs qui vivaient, fleurissaient et verdissaient à quelques pas de lui. Il eût voulu se cacher dans le coin obscur du grenier ; il pensait à sa vivante et calme jeunesse dans la forêt, aux gloires de la Noël.
      — Hélas ! hélas ! dit-il, j’ai été heureux, j’ai tenu le bonheur et je n’ai pas su en jouir. Tout est fini pour moi.

      Bientôt vint un homme qui coupa le sapin en petits morceaux, en fit un fagot, le porta dans la cuisine, et le mit sous la marmite. En se sentant dévoré par le feu, il poussa, en pétillant, soupirs sur soupirs. Il se rappelait les beaux jours d’été dans la forêt, les nuits d’hiver lorsque les étoiles étincelaient au ciel ; toute sa vie passa dans sa mémoire comme un rêve.
      — Quelques instants après l’arbre n’était plus que cendres et poussière...

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      Conte 'Le Sapin'

      text alternatif

      posté dans Parler Cinéma
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Vous avez carte blanche !

      Je m'interrogeais quant à l'origine de certains accidents automobiles.
      Et si c'était du fait que des conducteurs quittent des yeux la route de + en + souvent.
      Principalement à cause de l'écran central, regroupant l'ensemble de la plupart des fonctionnalités liées à la conduite, et au confort.

      Ca ne vous est jamais arrivé ?
      N'avez-vous jamais été surpris d'avoir délaissé votre vision routière au détriment de cette console centrale (oui, au détriment) qui accapare de + en + et l'esprit ?

      On le voit bien, dans les nouvelles voitures modernes les constructeurs réduisent le nombre de commandes physiques dans les habitacles des automobiles, et qui rebutent d’ailleurs bcp de personnes des générations précédentes.
      Les commandes de la radio (et du volume), du chauffage/Clim./ventilation, etc. sont de plus en plus centralisées via les écrans tactiles. C’est un peu l’effet smartphone qui est autant dicté pour des raisons de design que pour des raisons d’économies.
      Accéder à certains menus essentiels est parfois long et fastidieux, et manipuler 'longuement' un écran (qq sec. suffit) impose de quitter la route des yeux et de procéder à des manipulations.

      Article

      https://jalopnik.com/a-tesla-touchscreen-mix-up-killed-angela-chao-report-1851327161

      Traduction partiel:
      Angela Chao, femme d'affaires américaine, PDG de Foremost et par ailleurs belle-soeur du sénateur Mitch McConnel, a perdu la vie en février après s'être retrouvée coincée dans un étang avec sa Tesla Model X.
      Elle et son mari possédaient 3 Tesla, ils les connaissent et les aimaient bien.
      Son mari se dit d'ailleurs "ami d'Elon Musk".

      Et curieusement les différents articles de presse blâment le vitres en verre feuilleté "pratiquement incassables" de la Tesla Model X.
      C'est pourtant une fausse manœuvre sur l'inversion marche avant/marche arrière, commandée depuis l'écran tactile, qui l'a expédiée par dessus un talus puis dans un étang.
      Elle avait relaté que ce problème lui était déjà arrivé, avant cet accident qui lui a été fatal.

      posté dans Carte blanche
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Partages divers Musique

      Iliona : J'ai du mal

      posté dans Parler Musique
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Les méchants au cinéma

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      Bon, il avait une 'gueule', comme on dit sur du 35mm.
      Mais durant toute mon adolescence lorsqu'il apparaissait à l'écran, il m’impressionnait au point de renforcer l'atmosphère dangereuse du film, et pour sûr qu'il allait y avoir du grabuge...

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      posté dans Parler Cinéma
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Partagez tout ce que vous voulez

      Quand le sort s'acharne 😳

      text alternatif

      Manquait plus qu'il soit sur la trajectoire de la roue tombée du Boeing 777 😕
      text alternatif

      posté dans Carte blanche
      Cygoris
      Cygoris
    • RE: Partages divers Musique

      @Music a dit :

      @Cygoris Ce titre d'Iliona est pas mal.
      J'avoue avoir beaucoup de lacunes en nouvelle scène française qui n'a jamais été mon truc, mais je trouve qu'on avance vers du meilleur............

      Jolie voix, Solo.

      Effectivement, de nouveaux artistes émergent presque toutes les semaines.
      Dont certains méritent.
      1 bien pour le public, 1 mal pour les anciens qui sont tt doucement poussés vers la sortie. 😕

      Telle, Lena Hall (“Zombie”)

      Une artiste à forte intensité vocale qui réunit de manière authentique et explosive les mondes du Rock et de Broadway.

      posté dans Parler Musique
      Cygoris
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