@koursk J'avais même pas oublié de faire remonter ton sujet d'abord.
Oh mais qu'il est beau ce quiz, ne résistez pas à la tentation. °_°
@koursk J'avais même pas oublié de faire remonter ton sujet d'abord.
Oh mais qu'il est beau ce quiz, ne résistez pas à la tentation. °_°
@Astyanax Style on ne peut plus artificiel et pompeux, basé sur la volonté de montrer à tous ces gueux qu'il y a encore quelques êtres supérieurs qui possèdent un vocabulaire pseudo scientifique même si ils n'en tirent rien puisqu'ils pondent au final un galimatias quasi sans queue ni tête, révélant ainsi que vivre un peu trop dans sa bulle, ça n'aide pas à apprendre à communiquer et à échanger avec les autres.
Je tiens à signaler que le test RT-PCR est hyper désagréable. On te fout un coton tige dans le nez sans y mettre les formes et on le tourne dans tous les sens. Mon nez et mes sinus ont mis une bonne demie-heure à se remettre de ce viol. è_é
Acclamez-moi, après un mois très chaotique, j'ai enfin eu l'occasion de finir ce livre entamé au mois d'août.
@Shanna a dit dans QUIZ - La réponse adéquate 3 :
@Peri Je confirme que tu as dû hésiter (temps de réflexion considérable) :
Et ça c'est la tête de @Hornet quand il a fini ma soirée dans les bars. 🫢
Quand je bossais en pharmacie, j'étais impressionnée de voir que certains avaient des ordonnances entières dédiées à de l'homéopathie. Vous imaginez 70 balles remboursés par la sécu pour un simple effet placebo à base de substances hyper diluées ? Je peux vous dire que derrière le comptoir, on se marrait bien hein. Si ce truc fonctionne si bien, c'est parce que ça se vend très bien. Ça fait autant la joie des pharmaciens que du laboratoire Boiron (qui a le monopole). Mais par contre quand il s'agit de faire comprendre aux gens que NON ça n'est pas un médicament, ça devient compliqué puisque tout est fait pour lui donner la même légitimité.
Heureusement que ces dernières années, il y a eu plus de mouvement notamment via la volonté de le dérembourser (même si ça l'est encore en partie) et un nombre assez important d'études qui démontrent son inefficacité.
@leo a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
Nous sommes complètement d'accord sur les stéréotypes de genre.
@leo a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
Me trompe-je en ayant le sentiment (enfin pas que en fait) que les femmes ont masculinisé une bonne partie de leurs comportements
Ah bah moi je reste sur du très classique, à savoir les serviettes hygiéniques jetables même si ça ne doit pas être très sain pour le corps.
J'ai testé les tampons une fois, plus jamais. Et le reste, mouais bof. Devoir laver des serviettes hygiéniques, ça me donne moyennement envie et les cups, soit un petit contenant de sang toute la journée sur soi que tu fais bouillir dans une casserole pour la nettoyer, ça me vend pas du rêve plus que ça.
Ah et le truc de flux machin, jamais de la vie.
Bref, je me félicite juste d'avoir des règles assez peu abondantes même si elles le sont un peu plus depuis que j'ai arrêté la pilule.
@Heidi Non, rien d'inné là-dedans. Grandir dans la même famille et en recevant la même éducation ne signifie pas que cela va avoir la même influence sur l'ensemble de la fratrie. En effet, les rencontres que les sœurs vont faire à l'extérieur (école, activités extra-scolaires...) vont aussi jouer énormément dans leur perception des choses et leur comportement.
Il faut aussi prendre en compte le fait que l'éducation reçue n'est pas complètement la même selon la position des enfants dans la fratrie. On ne leur demande pas les mêmes choses et on reagit différemment à leur comportement.
Oh putain mais c'est quoi ce truc ? o_o
Et pour info, les hospitalisations recommencent à grimper (actuellement au niveau de mo-mai) et ça va à nouveau exploser dans une quinzaine de jours selon certaines prédictions. Foilà, c'était cool de ré-ouvrir les écoles et de ramener tout le monde dans les bureaux.
L'objectif que je me fixe à long terme et qui devient vraiment une priorité : perdre du poids. Et je ne parle pas de perdre quelques kilos mais de revenir au poids que je faisais il y a dix ans : 57/58kg toute mouillée. Je sais, je sais, je dis souvent qu'il faut que je me bouge mais je n'agis pas pour autant ou alors je le fais mais je m'y tiens seulement quelques semaines avant de retourner à mes mauvaises habitudes. Sauf que là, trop c'est trop. J'en peux plus de ce corps, je ne me reconnais plus, je ne me sens pas bien et je me dégoute quand je croise mon reflet. Si j'avais encore des larmes, je pense que j'en chialerais pour évacuer un peu de frustration à l'idée d'avoir autant déconné.
Et j'en ai marre des gens qui laissent entendre que je suis jolie comme je suis, que je devrais avoir un peu plus confiance en moi et blabla. Non putain, y a rien de joli à être grosse, avoir du gras qui déborde de partout et physiquement ce n'est pas sain.
Pour mon grand plus malheur, j'aime tout ce qui est sucré, c'est ce qui me fait rechuter à chaque fois donc faut que je fasse une croix sur ça sinon je vais encore me faire avoir. Faut que je diminue les repas aussi (pas besoin de repas le soir), les quantités, le budget bouffe, que je marche plus, plus de vélo et, ahah, ce qui a toujours été le plus dur pour moi : que je me remette au sport de manière sérieuse.
J'hésite aussi à aller voir un nutritionniste mais je sais très bien qu'il faut que je mange sainement sauf que j'ai toujours eu un rapport compliqué à la bouffe...en même temps voir une maman au régime tout le temps ne m'a pas aidé à avoir un rapport très sain à l'alimentation. J'ai toujours été dans les excès, soit je ne mange quasiment pas, soit beaucoup trop, pas de juste milieu.
Bref, je vais me donner des claques jusqu'à temps que je m'y tienne et que je vois des effets notables. C'est MA priorité. Je veux me sentir à peu près bien dans mon corps au moins une fois, c'est même pas pour me sentir jolie aux yeux des autres mais simplement pour être à l'aise et pouvoir faire des choses que je m'interdis de faire tant que je suis comme ça.
J'ai eu un passage à vide aussi ces derniers mois. Je n'avais plus aucune concentration et tout ce que j'aimais faire me laissait complètement indifférente. Les livres me tombaient des mains, je ne touchais plus aux jv, je décrochais des films et des séries au bout de quelques minutes, j'étais peu présente quand j'étais avec mes amis. Bref, j'avais pris cher et ça se ressentait au quotidien puisque je me prenais la tête h24. Le déclic ? Il n'y en a pas vraiment eu. C'est le temps qui passe, la douleur qui commence tout doucement à s'atténuer et le soutien de mes proches qui a fait que j'ai recommencé petit à petit à faire des trucs rien que pour moi. Tout doucement, je me suis remise à jouer (beaucoup avec les autres au début puis seule), puis à regarder des vidéos, des films et des séries, puis ma grande victoire : lire à nouveau. Et évidemment avoir des projets, des objectifs, de la motivation et prendre du plaisir à partager du temps avec les autres et à m'ouvrir.
Bref, c'est basique mais il n'y a pas de solution miracle : le temps atténue tous les maux et le soutien des gens que l'on aime joue énormément. Ensuite, la prise de conscience que l'on fait les choses pour nous avant tout, qu'il faut savoir apprécier le peu de temps que l'on a à passer ici bas au lieu de se le pourrir en se mettant constamment des bâtons dans les roues permet justement de relativiser et de mieux se concentrer sur le positif. Et là, c'est cool parce qu'on se dirige vers l'envie de faire des choses que l'on apprécie, qui nous font du bien. C'est la pente ascendante qui n'est pas parfaite et qui est jonchée d'obstacles mais le principal c'est d'avoir conscience que c'est ça la life : des moments de bonheurs plus ou moins éphémères qu'il faut savoir saisir quand ils se présentent à nous et se contenter du moment présent.
Les choses ne sont pas toujours aussi compliquées que l'on se l'imagine. C'est souvent nous qui les compliquons plus que de raison.
@Gaip a dit dans Les conséquences non étudiées du confinement :
Se faire des amis.
Mouais, ça je ne pense pas que ce soit particulièrement lié au confinement. Des tas de gens s'en plaignent une fois arrivé à l'âge où on trouve un job et se stabilise dans la vie. En fait, dès lors que l'on quitte les études et que, petit à petit, chacun fait progressivement sa vie de son côté, construit son foyer, il devient plus difficile d'élargir son réseau amical et de rencontrer e nouvelles personnes. Les gens ont tendance à rester dans le réseau qu'ils ont créé et ont moins de temps et d'énergie à consacrer à créer de nouveaux liens.
Fin du couvre feu à partir du 21 juin et apparemment du port du masque en extérieur aussi. Qu'est-ce qu'on dit ? Oh yeah, baby. °_°
Source : Le Parisien.
Je suis allée à la salle et j'ai fait du sport. Ça faisait des lustres que je n'avais pas couru et le pire c'est que malgré mon zéro d'endurance, j'ai tenu. (D'ailleurs, c'est dans une salle rien que pour les filles, c'est cool).
Et demain, on va tester la boxe parce que ça fait des mois qu'on en parle mais on ne s'était pas vraiment décidés.
Je suis de la team jamais malade. Là, mon seul bobo en deux ans, c'est un léger mal de gorge qui est en train de s'atténuer avec un simple médoc. Oui, les garçons en font des caisses quand ils sont malades mais je ne peux pas les blâmer, je fais aussi ma petite nature quand c'est le cas.