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J'aime pas du tout les jeux en pixel art, donc je sais que je ne jouerai pas à Hell is Others, Adios ne me tente pas des masses non plus mais peut-être que je testerai si je n'ai rien de mieux à me mettre sous la dent.

J'avais adoré le livre quand je l'ai lu, et j'avais un peu peur quand la série est sortie, comme tout lecteur, j'ai déjà subi un paquet d'adaptations foireuses, mais cette série était formidable.

Forcément c'est un style assez particulier, et je comprends que le brin de folie de Sir Terry Pratchett ne plaise pas à tout le monde. Cela dit, pour l'instant je n'ai croisé que deux types de personnes: ceux qui adorent Pratchett et son œuvre, et ceux à qui ça en touche une sans bouger l'autre, mais je n'ai encore vu personne qui déteste cet auteur.

Et je trouve l'histoire de l'adaptation de ce livre en série presque aussi passionnante que l’œuvre en elle-même. Je suis curieux pour la saison 2. La saison 1 m'a donné beaucoup de confiance, mais je crains de tomber de haut. On verra, vivement que le tournage se termine.

Allez, je me lance aussi dans l'aventure

@LeaPierce mais toi tu connais bien le jeu, c'est pour des gens comme @Hornet ce genre d'exercice

@Antigua Ma foi, pas de raisons que ça ne compte pas

@cuillère Magnifiques plans de mains et de ventres Vivement qu'on puisse voir quelques visages aussi.

@Biquette (chaque paragraphe doit être individuellement mis entre astérisques)

Est-ce que le score était à la base de 5 à 2, mais pour une raison X ou Y ça a dû être divisé en deux, ce qui a donné ce score étrange ?

@Shanna Je suis ravi que tu apprécies le Loup Garou, ça veut dire que tu vas pouvoir créer un topic sur le sujet

@jool Alors, qu'est-ce que ça vaut, Call of the Mountain?

Le concept est très intrigant. Et j'aime bien Mackenzie Davis, donc je pourrais me laisser tenter.

Il a utilisé une bouteille à la place d'une batte ?

@icescream Les différents passants sont connus avant, et ils sont dévoilés un à un, donc on sait qui on va voler, on ne sait juste pas dans quel ordre ils vont sortir.

A chaque tour, on dévoile le passant, chaque joueur choisi une de ses cartes voleurs, la pose face cachée, puis quand tout le monde a choisi, on dévoile. La plus grande carte remporte la valeur du passant, la plus petite remporte sa propre valeur, puis on met de côté le passant et les voleurs joués et on continue.

Petit point dont je n'ai pas parlé mais qui est également important, en cas d'égalité pour la carte la plus haute, la récompense est partagée. Par contre, en cas d'égalité pour la plus petite carte, chacun gagne la valeur.

Parfois aussi, les campagnes sont un peu un moyen de récompenser les fans les plus fidèles. Clairement ceux qui participent ne sont pas le public de base qui va tomber par hasard sur une BD sympa et l'acheter, ça sera plutôt le fan qui connaît bien l'univers de l'auteur/la boîte, et suit un minimum ses actualités. Donc au lieu de lui permettre d'acheter le bouquin en librairie, il peut en payant plus et en finançant le livre avant son impression, avoir des goodies et des petits bonus. Tout le monde est gagnant dans l'histoire.

Et puis il y a un truc dont je n'ai pas parlé mais qui est assez important, c'est le principe de stretch goals.

J'ai grandi sans TV et donc sans Nickelodeon donc contrairement aux personnes de ma génération je n'ai pas vu Avatar durant mon enfance. J'ai rattrapé la série il y a environ 1 ou 2 ans, et ça a été une grosse surprise. Je savais que c'était une série particulièrement intelligente en comparaison des autres productions pour enfants, mais je ne m'attendais pas à ça !

Buvez avec modération, les enfants

@icescream Le principe d'avoir des manières de scorer qui changent en cours de partie, en fonction de la manche, me fait penser à Cartographers. Le système de tuiles pour construire sa propre île, en fonction de terrains différents, d'enchérir pour avoir les meilleures tuiles, ... ça me rappelle Sorcerer City. Tous deux des jeux que j'ai apprécié jouer.

Donc même si ça n'est pas le genre de jeu auquel j'aime jouer régulièrement, ta description m'a bien vendu le truc, et si j'ai un jour l'occasion de tenter une partie, ce sera avec plaisir !

@Artelise C'est quelque chose qui fait débat, beaucoup pensent comme toi. Les éditeurs de jeux se défendent en disant qu'une fois le jeu modifié complétement, il peut continuer à être joué dans son état final, et que du coup il s'agit d'un jeu unique au monde. Ce n'est pas un produit jetable, c'est juste que la partie évolutive n'est plus possible.

D'autres ont trouvé des systèmes pour ne pas rendre la modification définitive. Par exemple un pack de remise à zéro avec de nouveaux autocollants, voire des autocollants qui peuvent être décollés et recollés à volonté.

D'autres utilisent comme argument qu'il existe d'autres hobbys bien polluants et à usage unique (impossible de revivre un voyage à l'étranger à moins de racheter un nouveau billet d'avion par exemple). C'est l'argument qui me convainc le moins, ce n'est pas parce qu'il y a pire ailleurs qu'il ne faut pas faire d'effort.

Une chouette série où les pouvoirs surnaturels du petit servent de métaphore pour parler de la difficulté d'élever un enfant seule. L'écriture n'est pas toujours exempte de défauts mais ça se laisse regarder. Je n'étais pas convaincu avant de me lancer dans la série puis je me suis laissé emporter et je ne le regrette pas.
Et ce n'est pas seulement à cause du sourire ravageur d'Alisha Wainwright

@Spip Bien vu !

Au rayon des jeux titanesques, tant par l'importance qu'ils ont eu dans le monde du jeu de société que par leurs mensurations, il y en a un dont je n'ai pas encore parlé, c'est Gloomhaven.

Légèrement narratif, le jeu prend place dans une ville fantasy et ses environs. Le monde est tellement une invention de l'auteur, ici ni elfe, nation ou troll, ce sera plutôt des vermlings, des inox, des savvas, …

L'histoire est là pour enrober le cœur du jeu qui est de l'exploration de donjons. Avec leurs personnages, les joueurs vont enchaîner des missions qui consistent toujours en un enchaînement de salles remplies d'ennemis et parfois de pièges.

À la fin de ces missions, outre l'avancement de l'histoire, ils auront gagné de l'expérience et de l'argent, utiles pour améliorer et mieux équiper les héros en prévision de la mission suivante.

Les donjons sont en fait des sortes de puzzles à cause de la mécanique. Ici pas de dés, pas de distance de déplacement de base ou d'attaque liée à l'arme équipée. Tout le système de jeu est contenu dans un court deck d'une dizaine de cartes. Les déplacements, les attaques, les soins, les sorts dévastateurs ou les boosts, tout est dans ces cartes. Chaque carte est divisée en deux, avec une action en haut et une autre en bas. Chaque tour, chaque joueur choisit précautionneusement deux cartes. Il devra obligatoirement jouer le bas de l'une et le haut de l'autre. Ensuite ces cartes sont défaussées. Il faut donc bien réfléchir à ce qui pourra comboter ensemble sans empiéter sur la stratégie de son voisin.

Votre cerveau risque de fumer un peu parfois, et il n'est pas rare qu'un donjon dure plus d'une heure. Ce qui fait que cette boîte massive n'est pas donnée mais contient des dizaines voire des centaines d'heures de jeu, avec une rejouabilité tout à fait correct.

À noter que le jeu a été adapté en jeu vidéo, qui est parfois en promo.