Le vrai problème là dedans à mon sens, ce n'est pas la médiatisation, etc...
Le vrai souci, c'est que visiblement, encore une fois, c'est la nomination à un poste honorifique qui fait ressortir la parole des victimes.
Comme un:" non là c'est trop, je ne peux plus me taire".
On comprend bien la succession qui mène à ça, mais ce n'est bénéfique pour personne au final.
Il faudrait que la parole se libère sans tarder, sans attendre ces nominations. Et peut être n'avons nous pas encore les structures adéquates à cela.