Recette ultra saine et légère : le chorizo frito. Un classique du tapas. Globalement c'est simplement faire frire de larges tranches de chorizo pelé dans une poêle avec huile et de l'ail. Ça baigne d'huile, c'est formidable. C'est mieux sur du pain pour pouvoir ramasser toute la bonne graisse épicée.
American Vandal est une série mockumentaire, c'est à dire un faux documentaire, une fiction qui suit les codes et a toutes les apparences d'un réel documentaire. C'est par exemple ainsi que se présente la série The Office ou bien le film C'est arrivé près de chez vous.
Le documentaire est ici "tourné" par Peter Maldonado, un jeune lycéen (un "sophomore, donc 2e année de lycée) et son ami Sam Ecklund. Il s'agit en réalité d'acteurs, Tyler Alvarez et Griffin Gluck.
Le lycée a été le théâtre d'un grave vandalisme, sur le parking des professeurs, des pénis ont été tagués sur 27 voitures. Le coupable idéal, Dylan Maxwell a été renvoyé. En tant que cancre, habitué à dessiner des phallus partout et en conflit avec le corps professoral, il ne peut s'agir que de lui, même s'il n'y a aucune preuve matérielle.
Mais Peter est convaincu que Dylan est innocent, et avec Sam, il compte bien le prouver, et en même temps ça lui fait un bon exercice pour son club de journalisme.
La série est donc une parodie de journalisme d'investigation. Les différents protagonistes sont interviewés devant la caméra, on assiste aux événements en caméra à l'épaule, parfois même en caméra cachée.
Même si le sujet de l'enquête est un peu trivial, et qu'il s'agit d'une fiction, cela n'est jamais traité comme tel. La série est résolument sérieuse et ne traite pas son enquête à la légère. Dylan voit son avenir barré à cause de cet incident, les rancœurs et les secrets sortent de toutes parts et les sentiments sont à vif.
En plus d'être passionnante et drôle, la série est aussi bien plus profonde qu'on pourrait l'imaginer en lisant ce pitch. En filigrane de l'histoire, on voit en réalité une critique des médias qui n'hésitent pas à aller remuer la merde du moment que ça leur fait une bonne histoire, sans se soucier des gens qui souffriront de l'enquête.
Et c'est une excellente transition pour parler de la saison 2. Après le succès de leur documentaire dans leur lycée, nos deux journalistes en herbe sont invités par une élève dans un lycée privé où des actes criminels impliquant de la matière fécale ont été commis. La recette est plus ou moins la même, les personnages et les intrigues changent, mais c'est tout aussi fascinant et intéressant.
Je ne peux évidemment pas vous donner plus d'infos pour ne pas vous spoiler, mais je vous conseille la série, d'autant plus si vous aimez bien les histoires "true crime".
@Sky Ah oui ? Je suis tout de même surpris, même si j'ai entendu beaucoup de personne dire que la série était supérieure aux séries Star Trek actuelle, c'est fou qu'elle fasse plus d'audience que cette énorme franchise avec des fans hardcores depuis des années 
Ayant souscrit un abonnement D+, j'ai pu regarder la saison 3. Elle est plus courte que les épisodes précédents, mais les épisodes sont plus longs.
C'est à la fois une bonne et une mauvaise chose, cela permet de développer bien plus certains épisodes qui auraient eu besoin d'un double épisode si ils n'avaient pas pu s'étendre sur une heure, mais pour certains ça donne des longueurs, on sent que MacFarlane n'est pas habitué à écrire des épisodes aussi longs, et il a du mal à prendre son temps quand il le faut et préfère rajouter du contenu à ses épisodes, qui deviennent à la fois lents et chargés parfois.
Cela dit je chipote parce que la série est toujours très bien ! On voit bien la progression en terme de qualité, les effets spéciaux, les décors, les maquillages et les costumes sont bien plus beaux que durant les deux premières saisons qui ne se débrouillaient vraiment pas mal du tout pourtant. L'histoire continue là où elle est la meilleure, avec des commentaires sociaux déguisés en space opéra coloré. J'ai trouvé que les épisodes liés aux Moclans un peu moins chouette cette saison-ci mais c'est tout personnel.
Je remarque aussi que pour quelqu'un qui écrit, réalise, et joue le rôle de capitaine dans la série, MacFarlane se met beaucoup en retrait. Le personnage du Capitaine Ed Mercer est peut-être le plus haut gradé sur le vaisseau mais il est bien souvent un personnage secondaire dans l'intrigue des épisodes. La place est complètement laissée aux autres membres qui ont tous et toutes des choses très intéressantes à apporter.
Pas de nouvelles concernant une saison 4, et autant la série pourrait se terminer là sans être frustrante, j'espère de tout cœur qu'elle sera produite. La fin est ouverte à une potentielle suite sans avoir de cliffhanger frustrant ou de question laissée sans réponses.
Je ne savais pas trop où poster ce topic car je vais vous parler de Robert Pickering Burnham, connu sous le nom de Bo Burnham, un humoriste, chanteur, auteur, acteur, scénariste et réalisateur américain qui a sorti plusieurs spectacles de stand up, des albums, une série et un long métrage. Mais il faut bien choisir donc je mets ça en humour.
Il est né en 1990 et a commencé sa carrière très jeune, en 2006, en postant des vidéos de chansons amusantes qu'il avait écrit sur un nouveau site web appelé YouTube. Sa chaîne gagne pas mal d'attention et vers 2009 il finit par sortir de sa chambre pour faire des spectacles sur scène et sort des albums avec les chansons humoristiques de ses spectacles.
A la même période, il décroche de petits rôles dans des comédies au cinéma et dans des séries. en 2013, il écrit sa propre série pour MTV, Zach Stone Is Gonna Be Famous, un mockumentaire (si vous ne savez pas ce que c'est, je l'explique dans mon topic American Vandal) dans lequel il joue lui-même le rôle de Zach, un adolescent obsédé par l'idée de devenir célèbre à tout prix, et qui engage une équipe de tournage pour le suivre au quotidien. La série est annulée au bout d'une saison, et n'est disponible actuellement que sur Netflix US, j'en ferai peut-être une critique si je réussis à la voir un jour.
En 2016, sort sur Netflix une captation live de son dernier spectacle, Make Happy, parlant entre autres de son thème de prédilection, la façon dont les gens se mettent en scène dans leur propre vie, et les personas derrière lesquels ils se cachent.
Après cette tournée, Bo annonce se retirer de la scène un moment pour prendre soin de sa santé mentale, après avoir subit des crises de panique sur scène. Il en profite pour se concentrer sur l'écriture d'un long métrage qui sort en salle en 2018, Eighth Grade. Le film suit une jeune fille de 13 ans très timide et effacée qui fait des vidéos youtube où elle donne des conseils. Le film reçoit de nombreuses nominations et reçoit des prix célébrant l'écriture de Burnham et le talent de la jeune actrice jouant le rôle principal.
Après ça, il prend le temps de soigner sa santé mentale jusqu'à se sentir à nouveau prêt à remonter sur scène, ce qui tombe bien puisque Netflix lui commande un nouveau spectacle. Ce qui tombe moins bien, c'est l'arrivée d'une pandémie mondiale. Bo décide de passer son confinement seul dans une pièce à monter ce spectacle en écrivant et filmant des sketches en autonomie. La pandémie se prolongeant bien plus qu'il l'avait anticipé, il ressort au bout de plus d'un an de travail avec une santé mentale à nouveau bien fragilisée, une pilosité hors de contrôle, et un spectacle d'une heure acclamé par la critique et le public, Inside.
Je l'ai vu et ... ce n'était pas très très drôle. Non pas que ce soit mauvais, bien au contraire, mais j'en suis ressorti plus doucement déprimé qu'amusé. On plonge dans le chaos de son esprit durant cette expérience, où les sketches et les chansons se suivent sans liens apparents, mêlant satires cyniques et moments d'introspections pleins de sensibilité. Il y traite la société du paraître, l'état de notre monde, la santé mentale, l'utilité de l'humour, la place d'internet dans nos vies, ... Le spectacle a plusieurs niveaux de lectures, entre le côté très comique de chansons très pop et entraînantes et une réflexion plus profonde parfois discrètement cachée derrière les traits d'humour.
Un des exemples les plus clairs :
Désolé, je n'ai pas trouvé de vidéos avec sous-titres en français, mais ses deux derniers spectacles sont sur Netflix et sont sous-titrés.
Connaissez-vous cet artistes ? Avez-vous vu Inside ? Qu'en pensez-vous ?
@icescream Je connais ce sentiment et il est difficile à vivre 
c'est douloureux de se rendre compte qu'on est peut-être pas aussi important pour les gens qu'ils le sont pour nous. Il n'y a pas grand chose à faire contre ça à part se rappeler que le problème ne vient pas de nous. Courage, j'espère que tu trouveras d'autres personnes encore plus chouettes qui t'apprécieront à ta juste valeur.
@Guizmo ça me dit quelque chose, l'ai l'impression que ça date de ma jeunesse, mais impossible de remettre le doigt dessus
@Elenwey bête question mais du coup est-ce qu'il y a moyen de purement et simplement passer ce tome là ?
@Elenwey je n'ai pas lu les bouquins mais j'aime bien la plume de Richelle Mead. J'ai entendu parler de cette série qui était dans les starting blocks, sans rien savoir de plus à ce sujet. Je me laisserais bien tenter si je réussis à trouver un moyen de regarder.
Et j'ai entendu parler du film, qui avait un bon casting mais était paraît-il très mal écrit. J'espère qu'ici plus de soin sera apporté.
Ca ne me semble pas si cher pour du Tintin ... La société Moulinsart, qui gère les droits d'auteur de Tintin, et qui est gérée par un homme d'affaire s'étant marié à la veuve d'Hergé, est connue pour être très jalouse de ses droits et très agressive avec ses prix. Les produits dérivés Tintin sont souvent très chers.
Plutôt en rapport avec les mammifères du coin ? genre renard ou chats errants ou que sais-je ?
@Peri Le prénom Xander est en fait un diminutif de Alexander, comme Xander dans Buffy par exemple. Donc ce n'est pas les parents qui ont donné un nom badass, mais bien le gamin qui a trouvé que "Xander, alias xXx" faisait plus badass pour sa carrière que "Alex, alias aAa".
Dans la BD d'origine, la fin est bien plus proche de ce que tu souhaites. Et bien plus sombre, aussi.
@Shanna a dit dans Comment prononcez-vous... ces noms anglais ? :
par contre Selena (celina) Gomez ce serait impossible ?
Je m'insurge, que les américains le prononcent mal, soit, mais Selena c'est de l'espagnol, donc ça se prononce "Sèlèna Gomess"
@Peri a dit dans Comment prononcez-vous... ces noms anglais ? :
Matthew McConaughey (que j'ai longtemps prononcé "Mac-conogué", et je ne sais toujours pas comment il faut dire)
Ça je le prononce globalement assez proche de comment c'est supposé être prononcé : "Massiou Maconohé". En gros c'est juste le G qui tombe.
@Peri a dit dans Comment prononcez-vous... ces noms anglais ? :
Shia Leboeuf (que je prononce "chiélebeuf", sans envisager de changer, tant ça m'amuse )
C'est plutôt "Chaya Labeuf", ce qui m'a toujours perturbé, étant donné que son nom ce n'est pas Leboeuf mais Labeouf. Ce qui n'a aucun sens. Et ce qui nous pousse, pauvre francophone, à mal orthographier son nom.
Au rayon des célébrités au nom compliqué, il y a ce gars:
Jake Gyllenhaal, que beaucoup, y compris les américains, prononcent "Djilenhôle", alors que c'est supposé être prononcé "Yilenheïleuh"
Je croyais que ce film était déjà sorti depuis longtemps, en tout cas moi ça fait un moment que j'ai lu l'histoire sur Wikipedia 
(Après vérification c'est sorti en mars aux US)
J'ai un très léger crush sur Jenna Ortega, qui jouera Mercredi dans la prochaine série éponyme sur Netflix, et qui joue aussi dans ce film.
C'est fou, pour une fois tout le monde a déjà perdu au moins une fois, donc cette manche sera en mort subite
Je propose quant à moi le thème :
Une chaleur insoutenable
Et ce sera pour le truel Egon / Guizmo / Shanna, ou EGS, pour les intimes.
@Shanna Alors ce n'est clairement pas ce cliché là de série. Ici on est plus dans l'histoire du type qui revient dans sa ville natale suite à une tragédie et ça fait ressurgir les traumatismes du passé.
Clairement c'est très beau, les acteurs sont bons, techniquement il n'y a pas grand chose à y redire. Et au niveau de l'histoire, j'aime beaucoup que les personnages ne soient moralement ni blancs ni noirs mais plutôt ... anthracite. Personne n'est parfait, la plupart du temps certains sont même énervants voire carrément détestables, mais à d'autres moments ce sont ceux qu'on apprécie qui vont merder et nous énerver, et les plus chiants qui seront dans leur bon droit.
J'aime aussi que la série parie sur l'intelligence de ses spectateurs. Comme l'a dit LeaPierce, on arrive au milieu de l'histoire, personne ne nous est présenté, on ne connaît pas le passé des personnages, pas les relations qu'ils ont entre eux et pas plus leurs motivations. Tout ça on le découvre dans l'action, dans la façon que les personnages ont de se comporter, de réagir aux événements, dans leurs interactions, ... Il y a très peu d'exposition, et souvent quand il y en a, c'est des choses qu'on avait déjà plus ou moins devinés par nous-même avant, et c'est toujours fait de façon très naturelle.
@jool Ce sont des américains d'origine italienne, et encore, il y a genre 2 personnes qui soient vraiment italiennes, et ce ne sont pas eux qui utilisent le plus de mots italiens, mais oui il y en a quelques uns disséminés par ci par là
Je ne comprends pas trop la critique de "trop" de contenu. Parce qu'on ne fait que ce qu'on veut faire. Il y a beaucoup de trucs qui ne me plaisaient pas dans Horizon et que je n'ai pas fait, par exemple les zones de chasse, ce n'est pas mon truc. Si j'avais voulu uniquement suivre la quête principale, j'aurais eu un jeu tout à fait correct, bien suffisamment riche, et qui justifiait sans mal le prix que je l'avais payé. Je préfère un jeu trop rempli et où je peux ignorer ce qui ne me plait pas qu'un jeu qui me force à subir des mécaniques pesantes 
Après, je ne peux pas vous forcer à aimer ce jeu, parfois le courant ne passe tout simplement pas. Par exemple je n'arrive toujours pas à rentrer dans The Witcher 3, qui était pourtant le jeu le plus plébiscité avant l'arrivée d'Elden Ring. Je peux comprendre qu'il plaise, mais moi je n'arrive pas à m'y plonger, et je lui préfère toujours d'autres jeux. Et il m'a fallu du temps avant d'être séduit par God of War. Donc parfois, ce n'est juste pas le moment, et il vaut mieux lâcher l'affaire et y revenir peut-être un autre jour où on sera plus d'humeur.
Ah, et pour la surabondance de points sur la map, la plupart des open worlds actuels permettent de choisir qu'est-ce qui est affiché et qu'est-ce qui est masqué. Je joue pas mal avec ça, et je sais que ça peut être plaisant de tout désactiver pour trouver les choses par hasard/en observant des choses étranges sur la carte.
probablement pas la meilleure stratégie, mais c'est ce qui me passait par la tête