@LeaPierce a dit dans Communication non violente :
@Barbouille ce n'est pas enrober les choses, ce sont les amener sans que l'autre se sente attaqué.
"Tu t'es encore trompé, tu as oublié de faire ça blabla" devient "Je constate que tu as fait la même erreur là et là. Est-ce que l'explication manquait de clarté ?", "J'ai l'impression que (si on est sur du ressenti)" ou encore "Je me sens mal quand il se passe ça (...)". Bref, ouvrir la conversation pour que la personne ne se sente pas dévalorisée et qu'elle puisse te dire ce qui se passe sans se sentir mal, braqué ou autres sentiments négatifs qui l'empêcherait de s'ouvrir.
C'est aussi un problème de patience, non ?
Et puis comment comprendre que certain-e-s mettent plus de temps à faire ou comprendre ou agir ? Voire ne le peuvent pas ? Pouvons-nous au final communiquer avec tout le monde et à quelle condition d'effort de compréhension, d'attention émotionnelle ? Et pour quels résultats ?