Voici la capsule anti froid pour les sans abris, installée en Allemagne.
Je trouve le concept très bien, même si je me pose des questions sur l'hygiène, puis surtout, j'aimerais que tous les gouvernements se penchent réellement sur le problème des personnes sans abris.
Bon moi non plus les images cucu-nénés et les blagues pipi-caca ça ne me fait pas spécialement rire, mais ce n'est pas grave du tout.
Tout le monde n'a pas le même humour, l'important est de rire.
Je vous mets donc une image drôle toute mignonne 
Dire qu’on ne veut pas aller en EHPAD est un souhait qui est compréhensible mais qui pèse lourd sur les épaules des enfants.
Je suis pour le maintien à domicile le plus longtemps possible. Les associations d’aide à domicile sont là pour ça.
Quand la dépendance est trop importante, il n’y a pas d’autre choix que la structure d’accueil, car pour accueillir un parent chez soi il faut avoir les moyens matériels pour pouvoir le faire, tout doit être adapté et il faut pouvoir mettre sa vie personnelle entre parenthèse avec tout ce que cela implique.
Aussi, je ne dirai JAMAIS que je ne veux pas aller en EHPAD, car je refuse que mes proches, et particulièrement mes enfants, se sentent coupables un jour de m’y avoir mise car ils n’avaient pas d’autres choix.
Pour mes parents, je respecte et respecterais leurs choix, nous avons toujours parlé ouvertement du vieillissement, je sais déjà ce qu’ils veulent et surtout ce qu’ils ne veulent pas.
Et dire qu’on se félicite de l’augmentation de l’espérance de vie. Ce n’est pas une victoire car rien en France n’est fait correctement pour s’occuper dignement de notre population vieillissante. Sans compter que la vieillesse est un marché, tout comme l’est la mort.
Quant aux soignants, un jour nous n’auront plus personne pour s’occuper de nous, car plus personne ne voudra faire ce métier.
Le scandale ORPEA n’est pas nouveau, cette réalité existe depuis des années et des années, et pas uniquement dans ce groupe. Les gens tombent des nues car ils n’y étaient pas confrontés avant, ce n’est pas de leur faute. Les jeunes soignants arrivent plein d’espoir et leur espoir est vite brisé mais tiennent par vocation, jusqu’au jour où ce n’est plus possible, car accompagner les autres vers la mort dans ces conditions fait mourir les vivants.
