@hitaya a dit dans Philosophie :
Qui est en licence de philosophie ? Est-ce que vous appréciez la philosophie ?
Je te laisse le choix du philosophe et du sujet , allons-y..
@hitaya a dit dans Philosophie :
Qui est en licence de philosophie ? Est-ce que vous appréciez la philosophie ?
Je te laisse le choix du philosophe et du sujet , allons-y..
@LeaPierce a dit dans Philosophie :
Je déteste la philo, ça me déprime.
Les philosophes SOCIAUX n'ont jamais été de joyeux drilles , rien d'étonnant.
Ceux à la marge c'est autre chose mais trop subversifs et absents des différents programmes bien évidemment.
@Roma31 a dit dans Philosophie :
J'ai eu 5 en philo au bac. La prof qu'on avait eu n'était pas organisée ni structurée, sentait la vinasse, ne se lavait ni se changeait jamais. On ne comprenait rien... Et j'ai eu des bonnes notes pendant l'année, je me demandais comment c'était possible parce que je faisais les devoirs au pif.
Puis j'ai rencontré mon ex mari, maîtrise de philo et qui l'a enseignée. Et on avait toute la collection de livres qui va avec. Ceci expliquerait son goût pour la manipulation ?
Invite-le ici sur ce fil , je vais me faire une joie de le ridiculiser-dégommer.. (Rires).
@hitaya a dit dans Philosophie :
Qui est en licence de philosophie ? Est-ce que vous appréciez la philosophie ?
Parlons-en...
Gérard , lorsque tu te présentes devant les caméras de BFMTV pour ton allocution , n'oublie pas de signaler à l'un de tes guignols se trouvant derrière toi que le masque doit couvrir la bouche et le nez , cela ne fait pas très sérieux.
Juan et Pedro arrivèrent à l’âge où il est nécessaire de travailler pour vivre. Tous deux fils de travailleurs, ils n’eurent pas l’opportunité d’acquérir une instruction leur permettant d’échapper à la chaîne du salariat. Mais Juan était courageux. Il avait lu dans les journaux comment des hommes issus d’un milieu modeste étaient arrivés, à force de travail et d’épargne, à devenir les rois de la finance et à dominer les marchés et même les nations. Il avait lu mille anecdotes sur les Vanderbilt, les Rockfeller, les Rotschild, les Carnegie. Ces derniers, selon la presse et même selon les livres scolaires grâce auxquels on abrutit la jeunesse actuelle, étaient à la tête de la finance mondiale pour une seule raison : leur acharnement au travail et leur dévotion pour l’épargne (vil mensonge !).
Juan se livra au travail avec une ardeur sans pareille. Il travailla pendant un an et se retrouva aussi pauvre qu’au premier jour. Au bout d’une autre année, il en était toujours au même point. Il s’acharna au travail sans désespérer. Cinq ans passèrent, au bout desquels — au prix de nombreux sacrifices — il put économiser un peu d’argent. Pour y parvenir, il dut réduire ses dépenses alimentaires au strict minimum, ce qui affaiblit ses forces. Il se vêtit de guenilles : la chaleur et le froid le tourmentèrent, épuisant son organisme. Il vécut dans de misérables taudis, dont l’insalubrité l’affaiblit encore plus.
Mais Juan continua à économiser tant et plus, au prix de sa santé. En contrepartie de chaque centime mis de côté, il perdait une partie de ses forces. Il acheta un bout de terrain et construisit une petite maison afin d’épargner le prix du loyer. Par la suite, il se maria. L’État et le curé ponctionnèrent ses économies, fruit de nombreux sacrifices.
Plusieurs années s’écoulèrent. Le travail n’était pas régulier. Les dettes commencèrent à s’accumuler.
Un jour, un de ses fils tomba malade. Le médecin refusa de le soigner car on ne payait pas ses honoraires. Au dispensaire public, on le traita si mal que l’enfant en mourut.
Malgré cela, Juan ne s’avouait pas vaincu.
Il se souvenait de ses lectures vantant les fameuses vertus de l’épargne et autres sornettes du même acabit. Il était évident qu’il deviendrait riche car il travaillait et économisait. N’était-ce pas ce qu’avaient fait Rockfeller, Carnegie et beaucoup d’autres dont les millions laissent bouche bée l’humanité inconsciente ?
Entre-temps, les produits de première nécessité augmentaient de façon inquiétante. Les rations alimentaires diminuaient de jour en jour dans le foyer du pauvre Juan et, malgré tout, les dettes s’accumulaient et il ne pouvait plus économiser le moindre sou. Pour comble de malheur, son patron décida d’employer de nouveaux travailleurs, à moindre coût. Notre héros, comme beaucoup d’autres, fut licencié du jour au lendemain. De nouveaux esclaves occupaient les postes des anciens. Comme leurs prédécesseurs, ils rêvaient aux richesses qu’ils amasseraient à force de travail et d’épargne.
Juan dut hypothéquer sa maison, espérant maintenir à flot la barque de ses illusions, qui s’enfonçait, s’enfonçait irrémédiablement.
Il ne put payer ses dettes et dut laisser entre les mains des créanciers le produit de son sacrifice, le peu de bien amassé à la sueur de son front.
Obstiné, Juan voulut encore travailler et épargner, mais en vain. Les privations qu’il s’imposait en économisant et le dur labeur qu’il avait accompli dans sa jeunesse avaient épuisé ses forces. Partout où il demandait du travail, on lui répondait qu’il n’y avait rien pour lui. Il était une machine à produire de l’argent pour les patrons, mais une machine délabrée : les vieilles machines, on les met au rebut. Pendant ce temps, la famille de Juan mourait de faim. Dans son sombre taudis, il n’y avait pas de feu, il n’y avait pas de couvertures pour combattre le froid. Les enfants, désespérés, réclamaient du pain.
Juan partait tous les matins à la recherche d’un travail. Mais qui accepterait de louer ses vieux bras affaiblis ? Après avoir parcouru la ville et les champs, il rentrait chez lui, où l’attendaient les siens, tristes et affamés : sa femme et ses enfants pour qui il avait rêvé les richesses de Rockfeller et la fortune de Carnegie.
Un après-midi, Juan s’attarda à contempler le défilé de riches automobiles occupées par des personnes grassouillettes sur le visage desquelles on pouvait deviner la satisfaction d’une vie sans soucis. Les femmes bavardaient joyeusement et les hommes, mielleux et insignifiants, les courtisaient avec des phrases sirupeuses, qui auraient fait bailler d’ennui d’autres femmes que des bourgeoises.
Il faisait froid. Juan frissonna en pensant aux siens qui l’attendaient dans le taudis, véritable refuge du malheur. Comme ils devaient trembler de froid en ce moment ! Ils devaient souffrir les intolérables tortures de la faim ! Comme leurs larmes devaient être amères en cet instant !
L’élégant défilé continuait. C’était l’heure de la parade des riches, de ceux qui — selon le pauvre Juan — avaient su travailler et épargner comme les Rotschild, comme les Carnegie, comme les Rockfeller. Un riche monsieur arrivait dans un luxueux équipage. Son apparence était magnifique. Il avait les cheveux blancs, mais son visage restait jeune. Juan se frotta les yeux, croyant être victime d’une illusion. Non : ses vieux yeux ne le trompaient pas. Ce grand monsieur était Pedro, son camarade d’enfance !
En voilà un qui a dû savoir travailler et épargner, pensa Juan, pour avoir pu ainsi sortir de la misère, pour arriver à cette hauteur et gagner autant de distinction !
Ah ! Pauvre Juan ! Il n’avait pas pu oublier les histoires imbéciles des grands vampires de l’humanité. Il n’avait pas pu oublier ce qu’il avait lu dans les livres d’école où l’on abrutit volontairement le peuple !
Pedro n’avait pas travaillé. Homme sans scrupules et doté d’une grande malice, il avait compris que ce qu’on appelle honneur n’est pas source de richesses. Par conséquent, il s’évertua à tromper ses semblables. Dès qu’il put réunir quelques fonds, il installa des ateliers et loua de la main d’œuvre à bas prix, de sorte qu’il commença à s’enrichir. Il agrandit ses affaires, loua de plus en plus de bras, au point de devenir millionnaire et grand seigneur, grâce aux innombrables Juan qui prenaient au pied de la lettre les conseils de la bourgeoisie.
Juan continua à contempler le défilé de ces fainéants(sic).
Au coin de la rue la plus proche, un homme s’adressait au public. À vrai dire, son auditoire était maigre. Qui était-il ? Que prêchait-il ? Juan s’approcha pour écouter.
« Camarades, disait l’homme, le moment est venu de réfléchir. Les capitalistes sont des voleurs. C’est uniquement par de mauvaises actions que l’on peut gagner des millions. Nous, les pauvres, nous nous décarcassons au travail et quand nous ne sommes plus capables de travailler, les bourgeois nous jettent dehors et nous laissent sans ressources, de la même façon qu’ils se débarrassent d’un cheval vieilli sous le harnais. Prenons les armes pour conquérir notre bien être et celui de notre famille ! »
Juan lança un regard méprisant à l’orateur, cracha par terre avec colère et rentra dans son taudis où l’attendaient, affligés, affamés et frigorifiés, ceux qu’il aimait. L’idée que le travail et l’épargne faisaient la richesse de l’homme vertueux ne pouvait s’éteindre en lui. Même devant le malheur immérité des siens, l’âme de ce misérable élevé pour être esclave ne pouvait se révolter.
Pluie prévue toute la journée selon France 2 , BFMTV , CNnews... (Paris quoi).
Je viens de rentrer de mon jogging (pas la moindre goutte)..
Punaise même s'agissant de la météo , ils racontent des conneries.
@Myra-flore a dit dans Vous avez carte blanche ! :
@Musings Si ce texte est de toi,c'est magnifique!
Et malheureusement près de la vérité!
Bonjour Myra-flore.
Non ce texte n'est pas de moi (ceci dit il m'arrive d'écrire et j'ai écrit quelques textes mais d'un autre genre) (LOL).
En effet , à peine caricatural.
@LeaPierce a dit dans Des publicités qu'on aime :
Je suis étonnée que personne ne l'ait mise
C 'est vrai qu'elle est marrante.
Révisons nos notions de base en économie, selon tous les systèmes, y compris le féminisme
SOCIALISME Vous avez deux vaches. Vos voisins vous aident à vous en occuper et vous vous partagez le lait.
COMMUNISME Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous fournit en lait.
FASCISME Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous vend le lait.
NAZISME Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend la vache blonde et abat la brune.
DICTATURE Vous avez deux vaches. Les miliciens les confisquent et vous fusillent.
FEODALISME Vous avez deux vaches. Le seigneur s'arroge la moitié du lait.
DEMOCRATIE Vous avez deux vaches. Un vote décide à qui appartient le lait.
DEMOCRATIE REPRESENTATIVE Vous avez deux vaches. Une élection désigne celui qui décidera à qui appartient le lait.
DEMOCRATIE DE SINGAPOUR Vous avez deux vaches. Vous écopez d'une amende pour détention de bétail en appartement.
ANARCHIE Vous avez deux vaches. Vous les laissez se traire en autogestion.
CAPITALISME Vous avez deux vaches. Vous en vendez une, et vous achetez un taureau pour faire des petits.
CAPITALISME DE HONG KONG Vous avez deux vaches. Vous en vendez trois à votre société cotée en bourse en utilisant des lettres de créance ouvertes par votre beau-frère auprès de votre banque. Puis vous faites un "échange de dettes contre participation", assorti d'une offre publique, et vous récupérez quatre vaches dans l'opération tout en bénéficiant d'un abattement fiscal pour l'entretien de cinq vaches. Les droits sur le lait de six vaches sont alors transférés par un intermédiaire panaméen sur le compte d'une société des Iles Caiman, détenue clandestinement par un actionnaire qui revend à votre société cotée les droits sur le lait de sept vaches. Au rapport de la dite société figurent huit ruminants, avec option d'achat sur une bête supplémentaire.
Entre temps vous abattez les deux vaches parce que leur horoscope est défavorable.
CAPITALISME SAUVAGE Vous avez deux vaches. Vous équarrissez l'une, vous forcez l'autre à produire autant que quatre, et vous licenciez finalement l'ouvrier qui s'en occupait en l'accusant d'avoir laissé la vache mourir d'épuisement.
BUREAUCRATIE Vous avez deux vaches. Le gouvernement publie des règles d'hygiène qui vous invitent à en abattre une. Après quoi il vous fait déclarer la quantité de lait que vous avez pu traire de l'autre, il vous achète le lait et il le jette. Enfin il vous fait remplir des formulaires pour déclarer la vache manquante.
ECOLOGIE Vous avez deux vaches. Vous gardez le lait et le gouvernement vous achète la bouse.
SURREALISME Vous avez deux girafes. Le gouvernement exige que vous leur donniez des leçons d'harmonica.
CAPITALISME EUROPEEN On vous subventionne la 1ère année pour acheter une 3ème vache. On fixe des quotas la 2ème année et vous payez une amende pour surproduction. On vous donne une prime la 3ème année pour abattre la 3ème vache.
MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE BRITANNIQUE Vous tuez une des vaches pour la donner à manger à l'autre. La vache vivante devient folle. L'Europe vous subventionne pour l'abattre. Vous la donnez à manger à vos deux moutons.
CAPITALISME A LA FRANÇAISE Pour financer la retraite de vos deux vaches, le gouvernement décide d’instituer un nouvel impôt : la CSSANAB (cotisation sociale de solidarité avec nos amies les bêtes). Deux ans après, comme la France a récupéré une partie du cheptel britannique, le système est déficitaire. Pour financer le déficit, on institue un nouvel impôt sur la production du lait: le RAB (Remboursement de l'Ardoise Bovine). Les vaches se mettent en grève. Il n'y a plus de lait.
Les Français sont dans la rue: "DU LAIT ! ON VEUT DU LAIT !" La France construit un lactoduc sous la Manche pour s'approvisionner auprès des Anglais. L'Europe déclare le lait anglais impropre à la consommation. Le lactoduc ne servira jamais. On institue un nouvel impôt pour l'entretien du lactoduc...
ONUISME Vous avez deux vaches. Vous commandez des études et échangez des rapports sur leur situation pendant qu'elles sont maltraitées et exploitées pour leur lait. Vous publiez vos conclusions après le tarissement du lait chez les vaches et vous recommandez l'adoption d'une Déclaration sur l'importance des bovins pour la paix et le développement durable.
FEMINISME Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous inflige une amende pour discrimination. Vous échangez une de vos vaches pour un taureau que vous trayez aussi.
@Hornet a dit dans Des publicités qu'on ne comprend pas :
@Shanna La grosse voiture ça compense la petite bite à mon avis
Hahahaha !
je ne suis pas certain d'être dans la bonne rubrique.
Je devrais peut-être créer un nouveau sujet dans Histoire (personnalités marquantes)....
La Bretagne mais aussi ses personnages :
Maire de Douarnenez de 1924 à 1940 : l'incroyable parcours de Flanchec l'Insoumis
Cet homme, c'est une chance pour un historien .
Quand il a commencé à tirer le fil de la vie de Daniel Le Flanchec, qui fut maire de Douarnenez de 1924 à 1940, Jean-Michel Le Boulanger pensait en faire un article pour la revue historique locale « Mémoire de la ville ». Il est allé de découvertes en révélations. Cet homme qui a laissé peu de traces si ce n'est une image contrastée de « salopard » ou de héros dans la mémoire populaire, a eu une vie qu'aucun romancier n'aurait osé imaginer. « Ni dieu, ni maître ? Flanchec ou l'étrange parcours d'un insoumis » : l'auteur de cette biographie de 310 pages a gardé les points d'interrogations. Daniel Le Flanchec est un personnage trop excessif pour les certitudes.
Né à Trédrez dans les Côtes-d'Armor en 1881, ce fils de bedeau passe sa jeunesse à Landerneau, s'engage dans la Marine, est expédié en Chine. A son retour à Brest, il fréquente les milieux anarchistes et soutiendra la « bande à Bonnot ». Flanchec, déjà remarqué pour sa hargne d'orateur, est borgne, couvert de tatouages. Présent au Congrès de Tours, il devient permanent du parti communiste puis maire de Douarnenez. Il y mène les grandes grèves de la conserve, est si encombrant que l'on tente de l'assassiner. Il devient un héros. Elu à plusieurs reprises à la tête de listes communistes, il mène en 1937, en plein Front Populaire, une liste de droite. Il est quand même réélu avant d'être destitué par les Allemands en 40. Volonté d'oubli Sa vie privée est aussi tourmentée que sa vie publique. Il vivra avec une comtesse aventurière qui, après avoir tenté de le faire assassiner, parviendra à le faire expédier à Buchenwald où il est mort en 1944.
« Flanchec, le nom claquait comme un slogan » dit Jean-Michel Le Boulanger. Derrière le slogan, l'historien aura eu bien du mal à retrouver le fil de cette histoire. « On ne savait pratiquement rien de lui, explique-t-il. Il avait laissé un souvenir trouble et sulfureux mais il y a eu une volonté manifeste de l'oubli. Pour le PC, il avait trahi, pour la droite, il n'était pas présentable ». Daniel Le Flanchec a été toute sa vie un individualiste révolté, aux extrêmes... jusque dans son corps. Pour éviter la première guerre mondiale, il se serait volontairement énucléé. Puis fidèle à la philosophie néo-malthusienne des anarchistes, il aurait demandé une vasectomie pour ne pas avoir d'enfants ! Identifié à Douarnenez Flanchec s'est aussi identifié à Douarnenez, ville « ouvrière, impétueuse, éruptive ».
« C'était un tribun extraordinaire qui a senti la population de Douarnenez au-delà de toute idéologie », dit Jean-Michel Le Boulanger. « Il pouvait écraser ses contradicteurs et subjuguer les foules dans ses discours, mêlant français, breton et latin d'église ». « Douarnenez est-elle une ville communiste ? Une ville de révoltés oui, mais quand Flanchec tourne sa veste en 37, la ville rouge suit. Révolté n'est pas révolutionnaire ». Révolté, c'est encore la réaction du maire, seul dans son bureau sans tribune, à l'arrivée des Allemands en juin 1940. Il refuse de descendre le drapeau français sur lequel il a craché toute sa vie. Le refus de toute tutelle est le plus fort. Ce sera un acte rarissime. Il sera destitué par les Allemands. Une seule personne arrivera à bout de Daniel Le Flanchec, une femme, une invraisemblable comtesse aventurière.
@Kallindra a dit dans Vous avez carte blanche ! :
@Musings a dit dans Vous avez carte blanche ! :
France 2 je cite :
" 76 ans , je tiens à vivre quand même... (Covid)..
Oh ben oui une bonne centaine d'années encore....
Non mais sérieux... P.. ces V..C'est l'âge de ma belle mère et elle est en pleine forme a cet âge...
Faut arrêter les âneries...
En effet , à un moment donné il faut un minimum de décence et réfléchir avant de parler..
Un enfant de moins de 15 ans meurt tous les 5 secondes dans le monde. parce qu’il n'a pas accès à l’eau, à une alimentation correcte.
@Myra-flore a dit dans Vous avez carte blanche ! :
Une bibliothèque chinoise,incroyable par son architecture,à Zwangong.......
Magnifique !
Du coup , je me dis que certaines femmes auraient pu faire preuve de misandrie par ces mots : ces "appendices" pour beaucoup d'entre-nous sont inutiles.. (Rires)..
@Myra-flore a dit dans Vintage :
Il y a comme ça des toubibs en folie,dont l'un interdisait les voyages en chemin de fer,vu que les trépidations mettaient les dames ds un état d'excitation inadmissible!
Ces messieurs n'y arrivaient sans doute pas avec leurs seuls attributs?
Hahaha mais c'est exactement ça..
J'ai eu la même rélfexion....