Pour affronter son maitre dans un combat -presque- sans merci, le jeune Paul Atreides a recours à un bouclier énergétique corporel qui le transforme en simili perso de Minecraft.
Contre toute attente, cet effet aux allures de vieille 3D toute pétée ne comporte pas un seul pixel. Tout à été fait à la main, chaque facette des différents blocs ont été rotoscopés (directement dessinés sur l'image des comédiens), en image par image.
Ce sont ces petits défauts, à la fois discret mais aussi évident, qui donnent comme une touche d'authenticité, et qui sont autant "d'indices" laissés à notre attention en vue de mieux comprendre la mécanique de l'effet visuel.
Ce qui a complètement disparu aujourd'hui, période où les plans sont scrutés, re-scrutés, et peaufinés en post prod, ne laissant pas le moindre défaut apparent.
A la fin de Indiana Jones et la dernière croisade, l'antagoniste Walter Donovan, ayant malencontreusement bu dans le mauvais graal, fait les frais d'un vieillissement accéléré, phénomène impliquant au passage une rapide croissance des cheveux.
Retracter les cheveux d'une fausse tête étant infiniment plus simple que de les en faire sortir, la scène a tout simplement été tournée à l'envers, les cheveux tirés vers l'interieur. Ce qui a obligé la comédienne Alison Doody à jouer l'effroi, mais à l'envers aussi.
Soulignons les flammes de l'arrière plan qui brulent à l'envers et donc, grillent l'effet.
Au final cette histoire est une excellente démonstration du pouvoir de la relativité.
En effet, seuls les gens qui ont été confrontés à Chuckesmee ont ensuite pu considérer la Renesmee CGI comme visuellement satisfaisante.
Le purgatoire semble si doux en comparaison de l'enfer.
Dans le film The Twilight Saga: Breaking Dawn - Part 2 (2012), l'équipe a, plutôt qu'un vrai bébé, privilégié une doublure numérique pour le personnage de Renesmée Cullen.
Il y a en chacun une part de mensonges et de vérités.....à nous de faire le tri.
En l'occurrence non, pas à nous.
Il s'agit d'une question de santé. C'est donc aux chercheurs et aux professionnels de santé de faire ce tri, par leur travail. Puis à nous de nous plier à leurs conclusions.
La médecine a toujours fonctionné comme ça. Aucune raison que ça change ici.
Dans le film La Mémoire dans la Peau (The Bourne Identity), le personnage de Jason Bourne, joué par Matt Damon, parvient à subitement disparaitre au beau milieu de la scène ci-dessous.
Masquage ? Retouche numérique ? Coupure dans le montage ?
Rien de tout ça, Matt s'est juste mis à courir, planqué derrière ce Piaggio Ape bleu qui passait à ce moment là. "Coucou Matt."
Savez vous comment Hitchcock a réussi, dans Vertigo (Sueurs froides), à nous faire partager la sensation de vertige de son personnage ?
Grace à l'usage du traveling compensé (ou effet vertigo), obtenu en changeant la focale de l'objectif (zoom/dezoom) tout en réalisant un traveling (caméra qui avance/recule).
Le plus souvent utilisé pour évoquer le malaise ou la stupéfaction. Avec un peu de maîtrise, permet de distordre l'environnement autour du sujet sans avoir recours à de la post-prod.
Comment font-ils ce genre de méga scène qui en fout plein les yeux?
Images de synthèse.
C'est une scène spectaculaire, même si pas tellement dans l'optique de ce topic en vérité, où on privilégiera d'avantage ces anciennes petites ficelles de l'ordre de l'illusion.
Un bug d'affichage auquel je viens d'être confronté.
En gros quand j'intègre une vidéo youtube à un spoiler, ce dernier englobe tout le reste du post, même ce qui est en dehors des balises du spoil ( ce n'est pas la première fois que j'observe ça).
En gros :
[s=Spoiler 1] Voici un spoiler 1 avec une vidéo.
https://www.youtube.com/watch?v=mkggXE5e2yk&ab_channel=TheHDRChannel[/s]
Ceci n'est pas dans le spoiler 1.
[s=Spoiler 2]Et voici un spoiler 2[/s]
Cette question, nous nous la sommes tous posé au moins une fois, en réaction à un effet spécial particulièrement réussi, tels des spectateurs ébahis par un brillant numéro de prestidigitation.
Comment ont-ils réussi ce tour de force, ces magiciens du cinéma ?
Le paradoxe est que, plus les effets spéciaux gagnaient en qualité ces 20 dernières années, et moins la question se posait, la réponse toute-prête "boh c'est fait par ordinateur" tendant à s'imposer de plus en plus, siphonnant tout le côté magique de la chose.
Voila pourquoi je nous invite à nous reposer cette question, en partageant ici quelques effets visuels à la mécanique aussi mystérieuse qu'astucieuse, n'ayant -si possible- pas eu recours à l'informatique.
2001, l'odyssée de l'espace. (1968) Au début du film, un voyageur endormi durant son vol spatial laisse échapper son stylo, lequel se met à flotter en apesanteur.
Point d'image de synthèse ici ni fil invisible. Le stylo était tout simplement collé à une vitre transparente immaculée. Un effet très astucieux, qui permet même à une comédienne d'attraper le stylo pour le rendre à son propriétaire.
Sh ! The Octopus (1937) En retirant sa perruque, une femme voit son visage changer radicalement.
Celui-ci est diablement futé et saisissant pour son époque. A noter qu'il n'est d'ailleurs réalisable qu'en noir et blanc. En gros notre comédienne a été grimée avec du maquillage rouge, puis un filtre rouge a été apposé sur l'objectif de la caméra afin d'harmoniser son teint et de dissimuler le maquillage. Au moment du retrait de perruque, il aura suffit de passer sur un second filtre, bleu cette fois, faisant ainsi contraster le maquillage.
Notez que comme la comédienne avait de toute évidence les yeux bleus, le filtre rouge les a assombris là où le filtre bleu les a éclaircis.
Et de votre côté, en avez vous d'autres à partager ?
(vous n'êtes pas obligés de poster la réponse à "comment ça a été fait ?", c'est quelque chose que l'on peut aussi découvrir ensemble. )
Ce que raconte ton article, c'est que Peronne a tenté de saisir un juge des référés-libertés pour annuler sa suspension, mais que la justice a rejeté sa demande, soulignant que la sanction disciplinaire dont il fait l'objet ne s'apparente pas à une atteinte à sa présomption d'innocence.
Il n'est pas du tout gracié ni réhabilité. Au contraire, c'est ici un revers que la justice lui a infligé.
@Tigrette Le Dr PEYRONNE est allé au tribunal et a été gracié
Il n’a pas été gracié, c’est juste une plainte contre lui qui a été classée sans suite.
Il reste cependant démis de ses fonctions de chef de service pour avoir fait la promotion de l’HCQ et prétendu que le port du masque pouvait faire chuter le taux d’oxygène dans le sang (lol).