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Peri
AJA que Phil Collins était apparu dans un sketch de Stéphane Collaro, au début des années 80. Je vous laisse faire ce que vous voulez de cette info.
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Peri
@Cuillère a dit dans Inoxtag au sommet en 2024 :
Bref, je vous invite à regarder !
Vu.
Dans la forme, c'est une réussite. Beaux visuels, bon montage, très dynamique. On ne s'ennuie pas.
Après dans le fond et la finalité de l'entreprise, ça reste très discutable.
Je passe sur la dimension "aventure de riche" pour arriver à ce point : là haut, notre gars a vu des cadavres.
Et en dépit de ça, depuis quelques jours, il fait le tour des plateformes médiatiques en mode "J’avais pas le droit d’abandonner".Ben si bonhomme, t'avais le droit. Y'a même pas mieux que ce genre d'aventure extrême pour te le rappeler. Content que tu ais réussi, mais ne vas pas te servir de ça pour promouvoir un message de jusqu'au-boutisme. La vie c'est pas un shonen.
Bref, le mec a beau avoir vaincu l'Everest, il ne semble pas l'avoir compris.
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Peri
@ANNE5983 a dit dans L'affaire Mazan (ou l'affaire Pélicot) :
@Peri C'est mon avis personnel, qui n'est bien sûr pas la règle, et je dirais heureusement.
Imagine comment tu réagirais si ça arrivait à ta fille par exemple.Je ressentirais une forme de haine, sans nul doute.
Mais ça ne changerait pas mon regard sur la Justice, laquelle se doit de rester juste. Ni vengeresse, ni au service de nos ressentis.
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Peri
@ANNE5983 a dit dans L'affaire Mazan (ou l'affaire Pélicot) :
C'est ce qui est "anormal", il y a des actes ignobles qui ne meritent aucune défense.
Qui a décrété ça ?
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Peri
@ANNE5983 a dit dans L'affaire Mazan (ou l'affaire Pélicot) :
@Angelina-0 a dit dans L'affaire Mazan (ou l'affaire Pélicot) :
Dans ses histoire, il montre le rôle réel de l'avocat de la défense qui n'est pas d'innocenter des coupables, mais de pénétrer au cœur de la personnalité des prévenus pour arriver à expliquer le passage à l'acte.
Dans cette affaire ignoble y a-t-il vraiment quelque chose à expliquer ? Pour moi non, cet homme doit être puni et sévèrement......pas besoin de défense. Certains actes sont impardonnables.
Oui, s'il est déclaré coupable il doit être puni. Néanmoins, il a droit une défense. Tout le monde y a droit. Même les pires monstres.
Maitre Eolas l'explique mieux que moi :
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Peri
@Marcel Pas faux. C'est vrai que par le simple fait d'avoir été mis dans la confidence de l'acte, ils avaient déjà fait un pas peu avouable dans le côté obscur.
Pas toujours évident à assumer vis à vis des proches, voir même de l'opinion publique.Reste que ceux là ne doivent pas dormir sereinement aujourd'hui.
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Peri
Ah oui, et aussi...
J'ai lu ici et là que tous les gars que Dominique Pélicot avait approché n'étaient pas passés à l'acte. Un certains nombre se sont rétractés.
Bon.
Que ceux qui ont violé Gisèle se soient terrés dans le silence, ça se comprend. Ils sont impliqués, et jusqu'au cou.
Mais les autres ? C'est quoi leur excuse pour avoir su et ne pas avoir prévenu les autorités ?Limite, c'est presque à eux que j'en veux le plus. A ceux-là qui n'avaient rien à perdre à parler, et ne l'ont pas fait.
Plus que jamais, cette situation donne raison au philosophe Edmund Burke : "Pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens de bien."
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Peri
Ce que je trouve particulièrement glaçant dans cette histoire, c'est qu'on n'est pas face à 3, 4 individus dispatchés au sein d'une région.
Non, c'est plus d'une centaine, et dans un périmètre restreint, autour de l'agglo de Carpentras.
Ce qui veut dire qu'on pourrait statistiquement avoir d'autres Dominique Pélicot, avec des carnets de clientèle équivalent, faite de profils équivalents et ce, au coeur de n'importe quelle ville d'environ 30 000 habitants ou plus.
Là, ça s'est joué à pas grand-chose. Le Pélicot s'est fait coincer parce qu'il n'a pas sécurisé ses fichiers compromettants, et qu'il a baissé la garde en allant photographier sous les jupes des filles.
Mais combien d'autres continueront à passer sous le radar, ne réitérant pas les mêmes erreurs ?
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Peri
Dans la catégorie "ces parti-pris de SF qui ont mal vieilli".
Au début du Director's cut de Aliens, Burke remet à Ripley une photo de sa fille Amanda, qu'elle avait laissée sur Terre et qui est depuis décédée. La dite photo apparait très fortement pixelisée.
Surement à l'époque, bien des années avant l'émergence de la photo numérique, les accessoiristes du films s'étaient dit que ce rendu sonnerait "futuriste".
Aujourd'hui cependant, on aurait plus l'impression qu'ils lui ont imprimé un vieux gif en 12 dpi, en mode balek.