Meilleurs messages postés par Twillily

@unfauxgraphiste

Je viens de terminer ce bel album de Julia Wertz et j'aimerais donc partager cette jolie découverte avec vous .

"Les entrailles de New York", c'est une déclaration d'amour à la Grosse Pomme... le fruit du travail passionné de Julia Wertz (dessinatrice de bande dessinée américaine qui a notamment bossé pour le Times, The New Yorker...) qui a croqué sa ville d'adoption pendant les 10 ans où elle y a séjourné.

J'ai beaucoup aimé cette aventure au cœur des rues, des recoins, des grandes avenues de New York. J'ai pu découvrir les bouleversements sociaux, l'évolution architecturale rapide de la ville... me suis amusée à décrypter et contempler les changements des façades et des enseignes au fil des ans, les bars secrets, les boutiques historiques...

Le livre est truffé d'anecdotes historiques comme celle de la tueuse en série Lizzie Halliday, la grande prohibition des flippers...

Bon je m'arrête là pour vous laisser le plaisir d'y jeter un coup d’œil en librairie
C'est atypique, drôle et contemplatif !

@icescream Merci !
Suis fan de ses collages photographiques et de ses trompe-l’œil

La version live que je trouve excellente

et le clip qui me rappelle à chaque fois la magie de Prague

@pompon J'adore les renards, quand j'habitais chez mes parents j'en voyais souvent passer devant ma fenêtre de chambre les soirs à peine à 1 mètre.

Ils s'arrêtaient pour me regarder, c'était des instants magiques

John Poppleton est un photographe et un artiste qui crée des œuvres d'art peintes directement sur le corps humain.

Sa série « Black Light Bodyscapes » est constituée de scènes de nature fantaisiste peintes avec des pigments fluorescents sur le dos de modèles. Celles-ci sont ensuite photographiés sous lumière noire pour produire ces incroyables visuels.

Cela m'évoque un peu les génériques des vieux James Bond (ça et les somptueuses musiques de John Barry, des moments magiques quand j'étais gosse).

Mes préférées (le reste de sa série est je trouve un peu plus kitsch, ça manque d'épure ) >

The Human League - Don't You Want Me

@Marcel a dit dans Les célébrités qu'on consommerait bien :

je le préfère crâne rasé le Damiano

Moi, le Damiano, je le consomme al dente, nu et chevelu

Halloween c'est fini (et c'est plus de la déco) mais je voulais tout de même vous présenter la maison hantée décorée par la photographe et artiste américaine Christine McConnell.
Il aura fallu cette année là 4 jours de 12 heures et environ 250 dollars pour finir la décoration de la maison de ses parents. Celle-ci a été construite dans les années 1900.

Et voici ce que Christine McConnell a imaginé...

@Kachina a dit dans Vos musiques des années 80 :

je ne me suis jamais lassée du groupe "imagination"

Et hop petite dédicace pour toi @Kachina

9. Bordeau Chesnel (bord d'eau chêne aile)

Ce programme nous offre une plongée captivante dans l'histoire des Imagineers, ces visionnaires qui ont contribué à créer la magie unique des Parcs Disney.

Au travers des deux premières épisodes d'une heure, j'ai découvert des interviews, des images d'archives et surtout les détails techniques, les défis créatifs auxquels les Imagineers ont été confrontés, les innovations technologiques qu'ils ont introduites (les audio-animatronics, les effets spéciaux dans la Maison Hantée dingues pour l'époque)...époustouflant !

Les deux premiers volets de cette série ont un charme fou... ces images datant des années 50-60 .
J'ai été vraiment impressionnée par les talents des différents corps de métier (ingénieurs, compositeurs, coloristes, designers, stylistes...), la passion, la cohésion et la dévotion dont ils ont fait preuve pour faire vivre des expériences inoubliables et magiques aux visiteurs des Parcs Disney.

Hâte de visionner la suite !

Voici Koralie & Supakitch, un duo de street artistes français que j'affectionne depuis leurs débuts.

Ils se sont rencontrés en 2001, alors invités à travailler ensemble sur une fresque, et depuis ils ne se sont plus quittés .

Koralie (Koralie Carmen Flores), graffeuse, est l’une des premières femmes à s’être exprimée dans la rue (avec Miss Tic, Fafi, Miss Van...).

Elle travaille désormais (seule ou avec son mari) sur des fresques colorées aux formes géométriques en utilisant collage, pochoirs, acrylique, peinture à l’huile, feutres Posca, etc..
Ses inspirations sont le Japon, des détails ethniques (tresses africaines, poupées russes, etc.), la nature, mais aussi l'Art Déco.

J'ai la chance d'avoir l'une de ses œuvres près de chez moi :

NOMADE - Installation urbaine (13m x 16m) - Structure métallique + patchwork de tissus.

SupaKitch (Guillaume Gando) lui s'est beaucoup passionné pour la board culture (surf et skate), le tatouage, les mangas et le hip-hop. Il a commencé à faire des graffs dans la rue avant d’être découvert par des galeries internationales. Il travaille désormais beaucoup sur la matière, la nature et les textures.

Ils exposent partout dans le monde, collaborent avec de grandes marques, des institutions, des professionnels comme des restaurants, cafés, hôtels... pour réaliser des fresques qu’ils signent ensemble :

Cool cette idée de topic @Music !

@Kachina a dit dans Remix :

cette chanson me donne trop la pêche

@Kachina a dit dans Remix :

ce titre de Disclosure mais j’aime bien celui là

Moi aussi, fan de ces deux morceaux, surtout le premier qui me met grave la banane comme toi !

@Guizmo a dit dans Remix :

celui de Pendulum sur Voodoo People de Prodigy

Un des meilleurs, voir le meilleur remix de The Prodigy, punchy à souhait

Allez zou je me lance avec un remix du King par Junkie XL !

Filthy Luker & Pedro Estrellas (Luke Egan and Pete Hamilton) est un duo d’artistes urbains anglais. Ils « hackent l’environnement » depuis une vingtaine d'années en utilisant un matériau inattendu : des structures gonflables (parfois géantes ).

Une matière qui offre des possibilités infinies en matière de formes et d’utilisations. A travers ces installations les deux artistes cherchent à alerter sur les dimensions parfois monstrueuses des villes et veulent rappeler la force de la nature, prête à resurgir et reprendre les droits qui lui ont été dérobés.

C'est spectaculaire, fun et avec du sens, je kiffe !

Quelques œuvres du street-artiste portugais Sergio Odeith, l'un des pionniers de l'anamorphique graffiti 3D

Résumé :

Privée d'affection, Mary Lennox n'a jamais appris, dans son extrême solitude, à sourire ni à aimer. A la mort de ses parents, emportés par une épidémie de choléra, Mary quitte l'Inde où elle avait toujours vécu. Exilée dans le manoir anglais d'un oncle toujours absent, Mary trouve du réconfort dans l'amitié. Elle va partager avec Dickon et le rouge-gorge, un merveilleux secret: un jardin oublié de tous, dont la clef, comme par magie, ouvre aussi la porte des cœurs...
(source : Babelio)

Mon avis :

Bien que ce livre soit destiné à un public "jeunesse", j’ai été charmée par son histoire. Je l'ai trouvée captivante, dépaysante et apaisante, au point de m'y replonger chaque soir avec hâte et plaisir.
J'adore les descriptions dans les romans, et encore plus lorsqu'elles concernent la nature. Ici, elles sont assez présentes. On imagine sans difficulté la lande, les vergers, les recoins de la propriété, les personnages, et bien sûr, le jardin secret. On pourrait presque en sentir les parfums et entendre les pépiements du malicieux petit rouge-gorge !

J'ai beaucoup apprécié le message du livre sur la transformation personnelle, et j'ai été sensible aux "conseils" subtilement distillés au fil du récit, surtout vers la fin. La "magie" (plus symbolique que fantastique) évoquée dans l’histoire m’a vraiment plu et m’a confortée dans l'idée que la nature a un impact positif sur nous et peut nous aider à évoluer et à nous sentir mieux. C'est une lecture qui fait vraiment du bien !

Quelques petites déceptions cependant concernant le récit : je m'attendais à un peu plus de merveilleux, de fantastique, et j'aurais aimé que les descriptions du jardin soient encore plus riches, que le style d'écriture soit parfois un poil moins simpliste.

Concernant la forme : bien que ce soit secondaire j’aurais préféré lire ce roman dans une édition un peu plus soignée (comme celle de Minalima en photo ), plutôt que la version poche d'occasion, à moitié déglinguée que j'avais, et qui contenait des erreurs typographiques .