• S'inscrire
    • Se connecter
    • Recherche
    • Catégories
      • Forum Communauté Actualité Cinéma Jeux Lectures Médias Musique Quotidien Séries Société
    • Récent
    • Mots-clés
    • Utilisateurs
    • Groupes
    1. Accueil
    2. want.wish
    3. Meilleur sujets
    • Profil
    • Abonnements 0
    • Abonnés 2
    • Sujets 79
    • Messages 4912
    • Meilleur sujets 3030
    • Contesté 2
    • Groupes 1

    Meilleurs messages postés par want.wish

    • RE: Unpopular opinion

      @LeaPierce Mince j'imagine trop la scène là:
      -J'ai pris du poids!
      -Mais non chéri(e), ton petit bourrelet te rend unique!

      posté dans Carte blanche
      want.wish
      want.wish
    • RE: Le Grand Tournoi des Méchants de Fiction (sur les écrans)

      @Mai-Tai C'est tout le principe de la politique non? Pour faire élire son poulain, il ne faut reculer devant aucune tactique!!
      Et puis Freedy et Voldemort se croisent pas mal en période d'halloween 🤫

      posté dans Animations Cinéma
      want.wish
      want.wish
    • RE: Légende cette image

      48898eea-7896-4421-8c57-be0d303b8e22-image.png

      -Cherie, on en a déjà parlé. Si tu ne portes pas pas le masque, tu dois sourire!

      posté dans Animations Communauté
      want.wish
      want.wish
    • RE: Vous avez carte blanche !

      @peri oui mais si je me souviens d'anciens post, @jool avait prévu pleins de chambres dans la grande maison pour vous accueillir 😉

      Édit je complète après avoir vu le post de @jool moi de personne (ou peut être @Guizmo puisque j'ai rêvais de Maître Yoda il n'y a pas si longtemps) mais @icescream on ressemblait à quoi et on était comment pas trop chiants?

      posté dans Carte blanche
      want.wish
      want.wish
    • RE: Le Grand Tournoi des Méchants de Fiction (sur les écrans)

      GOT une de mes séries préférées (bon ok j'en connais pas beaucoup en fait) Geoffrey on a envie de lui mettre des claques vraiment ....
      Mais je tiens à rappeler que Harley Quinn mince c'est Harley Quinn elle est choupi, joli, ...

      adorablement psychopathe, une folle furieuse dans le corps d'une bombe atomique
      68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f4459675362764e6b484249544b773d3d2d31342e313437373734623931633465396232643538373837303431333131312e676966.gif

      posté dans Animations Cinéma
      want.wish
      want.wish
    • RE: Mystères ?

      @kachina gg tu as raison d'y croire

      Personnage célèbre: Charlemagne (a assiégé Lourdes selon la légende)
      Personnage commun: pretre c'est comme les champignons à lourdes
      Matière: eau de lourdes
      Musical: Like a Virgin bien oui quoi🤭
      Film/TV: Bernadette Soubirou
      Verbe: prier à lourdes
      Lieu: Lourdes
      Objet: Cierge de Lourdes qui sont gratuits mais personne ne le sait
      Nombre: 6000000 pèlerins par an
      Animal: Isard animal symbole du parc des Pyrénées

      posté dans Animations Communauté
      want.wish
      want.wish
    • RE: Partagez tout ce que vous voulez

      Toute ma vie!!
      Polish_20210907_125123935.jpg

      posté dans Carte blanche
      want.wish
      want.wish
    • RE: Le Grand Tournoi des Méchants de Fiction (sur les écrans)

      Bon pour tous ceux qui n'ont pas d'emblée voté pour Voldemort, et qui seraient tentés par la propagande de @Sylareen


      Après une telle argumentation je ne peux défendre mon poulain qu'avec une seule phrase: avez vous vraiment envie de vous faire botter le derrière au prochain tour par un god géant extraterrestre? La réponse est non vous le savez! Allez vite mettre un petit coeur dessous ce charmant jeune homme prénommé TOM, vos fesses vous remercieront plus tard!

      posté dans Animations Cinéma
      want.wish
      want.wish
    • RE: QUIZZ - La télévision française part en couille - Hornet a gagné !

      @Koursk

      D'accord mais usons de discrétion @Shanna regarde sous les spoilers même quand on dit qu'il faut pas :p

      posté dans Animations Communauté
      want.wish
      want.wish
    • RE: Le Bonheur du jour !

      Je suis en week end de 3 jours!!!! 😎

      posté dans Carte blanche
      want.wish
      want.wish
    • RE: Saurez-vous retrouver *collectivement* ces titres de films ? - Jeu terminé

      28 The neon demon (si c'est ça c'est plus que confidentiel😅)?

      posté dans Animations Cinéma
      want.wish
      want.wish
    • RE: [Patchwork] Voulez-vous, danser, grand-mère ? - Chibi grande gagnante !

      Je progresse je progresse donc bravo à moi d'abord puis bien-sûr bravo aux autres😅 et surtout un grand merci @jool pour ce patchwork, c'était très sympa😉

      posté dans Animations Communauté
      want.wish
      want.wish
    • RE: Le topic flipette (quand t'as eu la peur de ta vie)

      Quelques une de mes grosses frayeur, en scooter:

      • un cheval au milieu de la route, de nuit, en pleine campagne
      • une petite échappée et un cache cache
      • un vol plané sur une voie ferrée en train de se fermer
        En voiture, gros flip :
      • des travaux sur autovia, non signalé, de nuit et une voie réduite par des plots en béton à quelques mètres alors que j'etais sur la voie de gauche et que j'avais une file de camion roulant à droite. Vous avez déjà entendu le vvvvvviiiiooouuuuwwwww, moi oui. L'accélération et le coup de volant final m'ont retourné le coeur et le ventre.

      Je me permets de poser par la même occasion une question aux papas mamans du forum.
      Normalement je suis une flipette, un peu trop d'imagination mais inversement gros sang froid sur des situations périlleuses et légèrement addict aux sensations fortes. Depuis que j'ai les enfants punaise dès qu'ils sont avec moi je flippe pour un rien, c'est abusé. Alors la peur de ma vie, j'ai l'impression que c'est tous les jours avec eux. Par exemple si un de s'approche trop près (genre 1m et encore. c'est plus 2 😅) du vide, j'ai le vertige. C'est hallucinant, je n'ai pas le vertige je l'ai jamais eu. Et ce n'est qu'un exemple parmis tant d'autres. Ça vous fait pareil ou c'est moi? Bon je sais que tous les parents s'inquiètent mais de là à donner le vertige et puis dès qu'ils ne sont plus là, fini je retrouve mon "inconscience".

      posté dans Carte blanche
      want.wish
      want.wish
    • RE: Battles du cinéma (3ème édition) - Dirty Cop a gagné !

      @sky tu vas mourrir!!

      on ne joue pas dans la même catégorie, regarde j'ai déjà les meilleurs répliques!!!!

      posté dans Animations Cinéma
      want.wish
      want.wish
    • RE: QUIZ en live - En criant son nom - Et son nom est Orabig (le gagnant) !

      Mais de qui diantre, parlez vous ?? Ce forum file un mauvais coton, moi je vous le dis!!! 😋

      posté dans Animations Communauté
      want.wish
      want.wish
    • RE: Vous avez carte blanche !

      @egon la Normandie je suis assez fan du Cotentin
      received_509728006442427.jpeg
      received_439935456625084.jpeg

      Le marais poitevin est très sympa aussi même si c'est moins mon truc. Le reste je ne connais pas vraiment 😭 mais Annecy me fait de l'oeil depuis un moment!

      posté dans Carte blanche
      want.wish
      want.wish
    • RE: Vous êtes dans le film : que faites-vous ?

      Je suis contente, de m'être tu pour une fois

      bon ok, j'allais dire ben oui j'en ai bien un chez moi, mais mince c'est un vrai pour les travaux quoi!!!

      posté dans Animations Cinéma
      want.wish
      want.wish
    • RE: Red Hot Chili Peppers

      Ma coloc de chambrée en foyer et accessoirement meilleure amie, m'a fait découvrir cette merveille en 2000 avec Californication. Je ne les ai jamais quitté alors oui, je ne suis pas du genre groupie et n'attends pas avec impatience chaque nouveauté du groupe, mais j'aime toujours autant écouter ce groupe même si l'opus Californication est pour moi le meilleur!!!

      posté dans Artistes
      want.wish
      want.wish
    • RE: Animaux choupis

      file.jpg
      images (2).jpeg
      images (3).jpeg
      istock-1091920292_sq.0da8b175196b.jpg

      posté dans Écologie - Nature
      want.wish
      want.wish
    • Le Pur et l'Impur

      Petit roman autobiographique ne concernant seulement que des portraits, souvenirs, témoignages et annecdotes sur le plaisir et la jalousie, Le pur et l'impur de Colette a été écrit en 1931.

      41whXHMPV-L.AC_SY1000.jpg


      Dans sa première version, le volume était intitulé Ces plaisirs
      Une citation précisait le sens des points de suspension : « ces plaisirs qu'on nomme, à la légère, physiques
      » où les virgules mettaient en valeur l'expression « à la légère ». (Par la suite, Colette modifiera le titre pour Le pur et l'impur en raison selon ses dires de la sonorité de ces mots)

      Loin de toute théorie, ce dont elle s'est toujours bien gardée, Colette évoque les différentes formes du plaisir, qu'elle a parfois expérimentées, le plus souvent observées.
      Ce récit, comme elle qualifie le volume, touche aux sujets les plus périlleux : la tentation des paradis artificiels, la simulation du plaisir par la femme pour rassurer son amant, les « travaux forcés » auxquels ses amantes soumettent un don Juan, l'homosexualité vue de Sodome puis de Gomorrhe

      On ne trouvera pas la moindre trivialité, aucune complaisance, ni, à l'opposé, le plus petit soupçon de condescendance, pas même un jugement de valeur dans ces pages, seulement une chaleur, une attention, une sensibilité, une délicatesse, comme seule Colette, qui sut toujours se tenir hors des préjugés dans ces domaines, pouvait en manifester.

      Colette a 59 ans lorsqu'elle publie, en 1932, Ces plaisirs dont le titre deviendra, en 1941, Le pur et l'impur. Elle atteint alors la perfection de sa sensibilité et de son style, si intense dans ce libre recueil de souvenirs attachés à quelques figures de femmes ou d'hommes "monstrueux". Souvenirs moraux pourrait-on- dire, puisque Colette y traque les instants de beauté ou de grâce qui font croire en une certaine pureté de la vie. Souvenirs de "spectateur" ou de "témoin translucide"; elle y écoute et nous fait entendre la musique d'une voix, d'un regard, d'une présence. Entre deux parfums, on y discernera l'odeur subtile de l'amour et de la jalousie.

      Colette exerce ici, sur trente années de sa vie parisienne, la clairvoyance secrète qu'elle partage avec les chats qui l'accompagnent. Voici un livre qui commence par les vibrations intimes des corps, par ces désirs et ces plaisirs qui ne suffisent jamais, et qui finit par l'aveu d'une "soif optique de pureté".

      Colette espérait que l'on s'apercevrait un jour que c'est là son meilleur livre.

      Mon premier livre de Colette et si le sujet est intéressant, et sa vision assez particulière pour aiguiser ma curiosité sur ce personnage haut en couleur, ce que j'en retiens, c'est la poésie des mots. Des phrases longues mais fluides. Des jeux des mots, des insinuations, des sous entendus d'une finesse véritablement étonnante. Je n'ai pas eu l'impression de lire à mon rythme cet essaie. J'ai eu l'impression que les mots, leurs enchaînements me donnaient le rythme. Comme une partition... C'est assez spectaculaire... Je retournerai donc vers cette auteure rapidement je pense.

      Sur le fonds, j'ai lu des avis bons moins bons. Certains essayant d'analyser les propos, d'autres recherchant des sens, ou voulant y voir des arguments ou contre arguments .. Mon avis personnel sera donc beaucoup moins élaboré. Pour moi, dans ce récit on croise des personnages ayant des conceptions particulières et personnelles du plaisirs, du donner et du recevoir, du prendre, laisser, garder... Mais aussi des visions singulières de leurs partenaires, de l'amour, de l'amitié... En cela, pour moi ce récit ne finit donc que par nous faire nous interroger sur notre propre conception, en nous donnant plusieurs pistes de réflexion. Mais n'oublions pas que ce texte a presque un siècle.... En même temps, les hommes sont toujours des hommes et les femmes des femmes 😋.

      Petits extraits pour vous donner une idée

      Je ne revis pas tout de suite Charlotte. Je ne la cherchais pas, du moins dans les endroits où j’imaginais pouvoir la rencontrer, par exemple une messe de mariage sur la rive gauche, ou dans un vieil appartement, au sein de ces familles qui conservent fortement leur province dans Paris. J’imagine qu’autour d’un guéridon hexagone, couronné de gâteaux secs, sa présence m’eût semblé toute naturelle. Assise dans son manteau vert olive, son petit chapeau incliné sur les yeux, la voilette remontée en jalousie sur le nez et la tasse de thé fade entre deux doigts, je la voyais, je l’inventais, j’entendais son accent de modestie et de vérité, habile à convaincre les vieilles hôtesses revêches : « Moi, n’est-ce pas, pour vous dire ma façon de penser... »
      Je ne la cherchais pas, car j’avais peur de détruire cette idée de mystère que nous attachons aux êtres dont nous ne connaissons que la simplicité.

      "Mais qu’est-ce que c’est que le cœur, madame ? Il vaut moins que sa réputation. Il est bien commode, il accepte tout. On le meuble avec ce qu’on a, il est si peu difficile... Le corps, lui... À la bonne heure ! il a comme on dit la gueule fine, il sait ce qu’il veut. Un cœur, ça ne choisit pas. On finit toujours par aimer. J’en suis bien une preuve. "

      Mais un jour, la marée de 6 heures, qui, vidant les ateliers de métallurgie et d’électricité, verse sur Paris le myosotis avec le bleuet, l’aconit, la gentiane et la scille, mit Pepe en face d’un bleu qui n’avait pas de nom, et d’un poil d’or aveuglant, en banderole au travers d’un visage...
      « Ah ! balbutia Pepe... Vercingétorix !... »
      Il appuya ses deux mains sur son cœur enfin déchiré, et referma la bouche. Car un homme a le droit de soupirer haut : « Adèle !... » ou « Rose !... » et de baiser publiquement le portrait d’une dame, mais il faut étouffer les noms de Daphnis ou d’Ernest.
      Pâle, ailé comme ceux qui marchent à la mort, Pepe suivit Vercingétorix. Sur le col de sa veste, dans les plis du coude et jusque sur ses galoches, le Gaulois étincelait d’une limaille toute fraîche, et parfois ses moustaches démesurées, obéissant au vent du soir, lui cravataient presque la nuque. Il entra au tabac proche, d’un pas si brusque qu’il heurta Pepe. Touché par la pointe d’une moustache en mèche de fouet, Pepe chancela.
      « Pardon, monsieur... », dit Vercingétorix.
      « Je rêve, se dit Pepe. Ou bien c’est que je vais mourir. Il s’est excusé. Il m’a regardé. Il vient de me regarder encore une fois... Qu’ai-je à la place des genoux ? Mes genoux ne savent pas ce qu’ils font, et pourtant j’avance, je le suis, je le... »
      Il cessa de penser, parce que Vercingétorix, en se retournant d’une manière gamine et pétulante, venait de lui sourire...
      « Je ressentis, me conta Pepe, cette douleur traversante qui vous avertit, dans le sommeil, qu’un songe heureux va finir. Mais je n’aurais pas pu m’arrêter de marcher. Et une demi-heure plus tard je montais, derrière Vercingétorix, une échelle-escalier, et je m’asseyais dans une petite chambre très propre, très silencieuse, où il y avait sans doute des rideaux de mousseline, car tout me paraissait blanc. Vercingétorix m’avait dit : “Asseyez-vous”, et il était parti derrière une porte vitrée. Je crois que je suis resté seul longtemps. Jamais rien de pareil ne m’était arrivé. Je me dissais : “Mon Dieu, s’il pouvait me tuer !... Mon Dieu, s’il pouvait me tuer !...” parce que je pensais déjà que c’était ce qui pouvait m’arriver de mieux... Enfin la porte s’est rouverte et Vercingétorix... »
      Il ferma ses poings d’enfant, les frappa l’un contre l’autre :
      « Non, pas Vercingétorix ! Plus de Vercingétorix ! Une horreur ! Il avait mis une chemisse à faveur, décolletée... Et savez-vous quoi sur la tête ? Une... une... J’osse à peine dire... »
      Il avala sa salive, fit la mimique de la nausée :
      « Une couronne de rosses pompon... De rosses pompon... avec le feuillage... Et les belles douces moustaches là-dessous... La beauté désshonorée, la honteusse mascarade... »
      Comme il se taisait amèrement, je le questionnai :
      « Et puis, Pepe ? Après ?
      — Après ? Rien, dit-il étonné. Sans doute vous trouvez mon histoire pas assez amussante. Après je suis parti... Je lui ai donné quelque chosse, sur la table.
      — Vous l’avez revu ?
      — Merci beaucoup, dit Pepe en agitant la main. Je le revois bien assez dans mon imagination – avec les rosses pompon. De ma vie qu’on ne me reparle de rosses pompon...

      Pour finir, je dirais que ce roman est aussi l'occasion de rencontrer des personnages ayant existé et de les voir un peu autrement à travers les yeux de Colette. Ainsi j'ai découvert Renée Vivien, poétesse, amie de Colette et parce que je suis un peu curieuse je suis allée chercher un ou deux poèmes de cette jeune femme.


      A la Femme aimée , Renée Vivien

      Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume,
      Le ciel mêlait aux ors le cristal et l’airain.
      Ton corps se devinait, ondoiement incertain,
      Plus souple que la vague et plus frais que l’écume.
      Le soir d’été semblait un rêve oriental
      De rose et de santal.

      Je tremblais. De longs lys religieux et blêmes
      Se mouraient dans tes mains, comme des cierges froids.
      Leurs parfums expirants s’échappaient de tes doigts
      En le souffle pâmé des angoisses suprêmes.
      De tes clairs vêtements s’exhalaient tour à tour
      L’agonie et l’amour.

      Je sentis frissonner sur mes lèvres muettes
      La douceur et l’effroi de ton premier baiser.
      Sous tes pas, j’entendis les lyres se briser
      En criant vers le ciel l’ennui fier des poètes
      Parmi des flots de sons languissamment décrus,
      Blonde, tu m’apparus.

      Et l’esprit assoiffé d’éternel, d’impossible,
      D’infini, je voulus moduler largement
      Un hymne de magie et d’émerveillement.
      Mais la strophe monta bégayante et pénible,
      Reflet naïf, écho puéril, vol heurté,
      Vers ta Divinité.

      Renée Vivien, Etudes et préludes

      Amour, toi le larron, Renée Vivien

      Amour, toi, le larron éternel, qui dérobes
      Les lourds trésors des cœurs et le secret des robes !

      Tu te glisses et te dissimules la nuit,
      Et ton pas est le pas du traître qui s’enfuit…

      Ton pas est plus léger que le doux pas du Songe !
      Et l’on n’entend jamais ce bruit sournois qui ronge.

      N’as-tu point d’amitié ? N’as-tu point de raison ?
      Voici que s’insinue en mon cœur ton poison.

      Épargne-moi ! Vois mon visage et mon front blême…
      Mon ennemi, l’Amour, je te hais et je t’aime.

      Renée Vivien, Dans un coin de violettes, 1910

      Voilà pour moi et vous vous connaissez ? Vous avez apprécié ce livre? Peut être détesté ? Dites nous pourquoi ?

      posté dans Littérature
      want.wish
      want.wish
    • 1
    • 2
    • 13
    • 14
    • 15
    • 16
    • 17
    • 151
    • 152
    • 15 / 152