Meilleurs messages postés par Yoyo

@tigrette

Enfant, j'avais appris que le lait peut servir de colle. Les étiquettes des bouteilles de vin et les pots de confiture sont collées avec du lait. (Je ne sais pas si c'est toujours le cas). En tout cas ça m'a servi à coller (quand je ne disposais pas de colle) : 
1- Les timbres et les enveloppes qui ne collent plus
2- Le papier qui ne collait plus de mes cigarettes roulées quand j'en fumais encore
3- Du papier sur n'importe quelle surface lisse

@pompon Je ne suis pas un fan mais on a tous dans le cœur une chanson de Johnny qu'on aime bien

@pompon a dit : :

pas le temps de prendre une photo (...) ils sont trop rapide

Ça doit être pour ça qu'il y a autant de photos de chats sur internet

@carl_jung a dit dans Stéréotypes, clichés et idées reçues... sur vous :

@yoyo
Beaucoup font l'amalgame entre berbères, pieds-noirs, harkis, juifs ou kabyles..
C'est pourtant pas difficile à comprendre

Ben oui c'est pourtant simple, ceci dit les Kabyles sont aussi des berbères et l'on devrait dire magrébins plutôt qu'arabes, ces derniers étant plutôt situés dans la péninsule arabique

@jool Je comprend seulement maintenant ta réponse. Je m'étais gouré de lien.
Joe le taxi version japonnaise électro c'était celle-ci :

@leapierce Duplication d'onglet et hop! Voilà la musique idéale pour accompagner la lecture de popcorn à cette heure ci

Ma toute première série entre deux blédina, les aventures d'une voleuse de poule croate.

Le synopsis est improbable en comparaison des séries actuelles pour enfants :

Sa mère étant morte et son père parfois introuvable, le jeune Branko se retrouve seul. Alors qu'affamé, il attrape le poisson tombé par terre au marché, il est injustement accusé de vol. Directement conduit à la prison, il est libéré par une certaine Zora la rousse...

Histoire : Cette série destinée à la jeunesse met en scène, sur les côtes de l'Adriatique, à Senj, en Croatie, les aventures d'une bande de jeunes adolescents en rupture de ban. Branko, un jeune orphelin, entre dans la bande de vagabonds que sont les Uscoques, autrefois chevaliers maîtres de cette portion de l'Adriatique dont les enfants ont adopté le nom. Ils ont d'ailleurs élu domicile dans un vieux château qui appartenait aux chevaliers.

Zora est leur chef. C'est évidemment la couleur de ses cheveux qui lui a donné son surnom : Zora la Rousse. Zora vient d'Albanie. Elle a quitté son pays quatre ans plus tôt pour fuir la vendetta qui a touché sa famille. Durant une chasse, son père a tué par accident un membre d'une autre famille, laquelle a décidé de se venger en assassinant tous les hommes de la sienne. Son oncle, son père et ses grands frères ont été tués. Sa mère et elle ont passé la frontière pour protéger le petit frère. La mère de Zora est morte de la même maladie que celle de Branko, son petit frère qui n'a survécu au décès de sa mère que quelques semaines.

Zora n'a pas voulu rester à l'orphelinat, elle aime trop la liberté pour ça.

Si elle est la chef des Uscoques, c'est parce qu'elle est la plus forte.

Tout au long du feuilleton, on suit les aventures de la bande. Au quotidien, leur problème majeur est de se nourrir. Ils en sont souvent réduits à voler pour manger et ont mauvaise réputation à cause de cela (telle la mésaventure de Branko au marché). Mais on assiste aussi à leur descente aux enfers. Au vol, s'ajoute quelques menus faits qui vont précipiter leur perte. Optant pour la fuite, ils décident ensuite de revenir à Senj reconquérir leur château. L'amitié que leur porte le vieux pêcheur Gorian mettra en lumière leurs qualités de cœur et de courage quand ils lui viendront en aide pour contrer les manigances d'une puissante société de pêche.

Zora et ses compagnons comptent aussi parmi leurs amis Cursin le boulanger, qui leur donne chaque jour tout son pain de la veille, et le vieux portier de l'Hôtel Zagreb.

Le riche Caraman, lui, complote sans cesse leur perte et les fait pourchasser sans trêve par les deux gendarmes Dordevic et son bedonnant compère Begovic. Mais les Uscoques courent trop vite pour eux !

@ayamé D'un autre côté personne ne viendra claironner que son QI ne dépasse pas les 76 tout habillé...

Un de mes préférés de Métallica. Clip tourné dans la prison de Saint Anger

@pompon a dit dans Vous avez carte blanche ! :

perso je trouve pas cela très beau je préfère faire du vélo

Et encore, avec modération le vélo...

Je pense que l'on s'adapte plus que l'on ne change. Ce n'est pas réellement nous qui changeons, c'est notre rapport au monde qui évolue, notre moi profond, lui, reste le même.
C'est Charlélie Couture qui disait : Personne ne change jamais, c'est le décor qui évolue.

@cygoris a dit dans Le topic défouloir (quand t'as envie de rager) :

Cela est vrai, mais là, ce n'est pas "un peu plus cher"

Oui, mais là je parlais d'un petit café sympathique du coin, avec un prix moyen de 2,50 euros. Il y a beaucoup de cafés agréables à Paris qui pratiquent des prix abordables. Je laisse les Drugstores et autres Fouquet's à ceux qui souhaitent aller s'y faire voir.
En revanche je suis tout à fait prêt à payer mon café un euro de plus pour ne pas avoir à supporter une salle MacDo. Un euro de plus, pas 6.

On utilise parfois à tort le mot disgression pour digression. En effet, la forme disgression n’existe pas et constitue un barbarisme.

L’emploi erroné et très fréquent de disgression pour digression peut s’expliquer par l'influence de mots formés du préfixe dis-, qui indique la séparation, la différence ou le défaut, comme discontinuer, disjoindre, disjoncter, disparaître et disharmonie. Par analogie, on ajoute un s après di- pour rattacher digression à cette série lexicale. Comme le nom digression évoque l’idée d’une séparation d’avec le propos principal, la forme dis- semble s’être imposée dans l’esprit de certains locuteurs. En fait, digression vient du latin digressio, qui vient lui-même de digredi « s’éloigner du sujet » formé justement du préfixe dis- et de gredi « marcher, s’avancer ». Cependant, en latin le s de dis- disparaissait devant la consonne g.

@gainsburk allez pour toi:

Magnifique flash mob sur Carmina Burana interprété dans un centre commercial.
Il est toujours étonnant de voir la réaction des passants, entre ceux qui comprennent immédiatement qu'il s'agit de musiciens de talent et ceux qui passent sans aucune réaction, sourd et dans leur petit monde.